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    Jeune & Jolie
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    diki2
    diki2

    23 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 août 2013
    Franchement déçu par ce film annoncé comme le meilleur d'Ozon. L'actrice est jeune et jolie et présentée par la presse comme une actrice en devenir. Si elle est surexposée à l'écran, son naturel et son aisance tiennent la distance même si je l'ai trouvée beaucoup moins crédible dans les scènes d'émotion ou plus intimiste. L'histoire elle ne m'a absolument pas convaincu. Ainsi donc , pour une adolescente, la prostitution serait ou pourrait être une des voies transgressive à l' itinéraire tout tracé et sans embûche vers le monde adulte? lycée Henri IV, parents bobo , fille qui ne manque pas d'amour, ni d'argent, ni de rien..juste un peu d'adrénaline pour tromper l'ennui que l'on pressent dès la première saison du film ?un peu court non? Du coup le film est vide et la transgression reste très soft : nous sommes entre gens bien éduqués de la rive gauche... L'aspect social et sociétal est donc éludé dans ce film : la camera n'est concentrée que sur la jeune actrice sans que rien ne vienne trahir ses véritables motivations, et ensuite son long chemin vers une sorte de rédemption : du coup l'émotion reste en rade. Enfin, Ozon filme un conte de fée totalement irréaliste : les parents supportent plutôt bien la chose et on devine qu'un renvoi du lycée Henri IV eût été une pire catastrophe, les clients ne sont pas violents, aucun réseau ne lui met la main dessus, et son régulier est même plutôt sympathique avec le bon goût de lui fournir une belle occasion d'arrêter cette dérive. Par ailleurs, l'histoire est alourdie de scènes inutiles qui esquissent des histoires sans creuser bien profond : l'adultère de la mère...Bref je suis resté perplexe comme bien des parents devant les comportements de leurs ados sur les véritables intentions de ce film qui pour moi, restera un film mondain pour bobo parisien en mal de frisson dans leur prison dorée.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 septembre 2013
    La caméra de François Ozon ausculte complaisamment les clichés qu'il semble s'être fabriqué sur la sexualité féminine. , Une jeune fille, le temps d'une saison, fait le choix de se prostituer ! Pourquoi? Parce que c'est sa nature, semble-t-il nous dire, ou en tout cas, nous le laisser supposer dans ce film interminable. Une certaine presse y a vu un personnage complexe et fascinant. C'est sans doute leur affaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Un film où il ne se passe rien, il n'y a aucun suspense, aucune action, aucune psychologie...C'est juste nul. C'est une déception, de plus si le film se veut provocateur c'est raté. Ozon n'oublie pas d'accumuler les clichés, en y ajoutant un peu de niaiserie. La mise en scène n'a pas grand chose d'original... Les personnages ne sont pas attachant, de plus c'est assez incohérent, on n'y croit pas une seconde à l'histoire. Puis c'est vide, les scènes de sexe ne servent à rien, elles sont juste là pour provoquer, c'est donc inutile. Voilà un film qui se veut profond et émouvant... mais qui est juste prétentieux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 décembre 2013
    le sujet n'est pas suffisamment complexe pour en faire un film. un film en quête de personnalité tels un téléfilm qui tente de ressembler désespérément à du grand cinéma. la beauté de marine vacth ne suffit pas à sauver cette oeuvre faussement intellectuelle.
    Loskof
    Loskof

    373 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 novembre 2014
    C'est mon premier Ozon et je l'ai vu sans a priori, j'étais même assez convaincu que j'allais aimé. La première chose à dire c'est que ce n'est pas le sexe qui m'a gêné, on n'en voit pas tant que ça d'ailleurs, et quand on en voit, soit c'est soft (on ne voit rien), soit on en voit un peu et c'est assez ridicule (scène de soumission). Bref le problème n'est pas là, il n'y a rien de choquant là-dedans.
    Le vrai souci du film c'est son extrême froideur... On ne ressent rien, c'est peut-être voulu mais du coup ça donne un film raté. Déjà on ne sent rien car les personnages sont inexistants. Le personnage d'Isabelle est certes torturé, n'a pas vraiment de motivation expliquant son attitude (ça encore pourquoi pas) mais le jeu de Marine Viatch ne fait rien ressortir. On regarde un glaçon, certes joli, mais ça s'arrête là. Et tous les personnages sont comme cela, la mère, le beau-père, ses amants et copains. Le souci ne vient pas des acteurs mais de la direction donnée par le réalisateur.
    Et le pire c'est que la mise en scène appuie encore plus cela, c'est sans âme, souvent cadré de trop loin, les décors sont vides et froids. Et tout ceci pour quoi? Pour découvrir au bout de 2min que Isabelle veut se départir de l'univers bobo dans lequel elle vit? Sérieux? Il n'y avait rien de plus intéressant à écrire? Des jeunes filles qui se prostituent par choix il y en a plein, et pour de multiples raisons, mais choisir uniquement celle-ci c'est d'un banal !
    Finalement c'est le personnage du frère qui intrigue le plus. Pour sa soeur on a vite compris ses motivations et ça ne touche jamais, mais pour le frère il y a du mystère, on sent qu'il y avait quelque chose à dire sur l'adolescence, mais c'est tout juste suggéré, ce n'est jamais traité...
    Et finalement je rejoins mon introduction sur le sexe... Ozon fait finalement un film sur le sexe sans montrer le sexe, il filme Marine Viatch, mais c'est tout (un peu pervers...). Nymphomaniac dans le même style racontait quelque chose et osait filmer son sujet, il montrait un personnage intéressant. Là on n'a rien de tout cela.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    84 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 août 2013
    Avec son nouveau film, François Ozon renoue avec sa mauvaise habitude de regarder ses personnages comme un entomologiste avec froideur et distance. On n'a peine à croire que cette adolescente de 17 ans, en phase de transgression qui passe par la prostitution (enfin par jouer à la call-girl pour être tout à fait juste), intéresse réellement le cinéaste qui, à force de rejeter tout point de vue et toute explication, ne parvient qu'à susciter un profond ennui, du fait même qu'il tombe dans tous les travers qu'il prétend éviter.

    Après un préambule de mise en situation, la première saison de Jeune & jolie montre donc la jeune fille couchant pour de l'argent avec des hommes âgés qui n'ont d'autre choix que de recourir à des pilules ou se livrer à des jeux pervers de domination (quelle audace, vraiment). Incapable de développer cette séquence, donc filmer ce qu'est être une jeune fille rencontrant des hommes, au-delà des pires clichés, Ozon déclenche un deux ex machina, histoire de rebondir et surtout de verser dans la psychologie de bas étage (absence du père, déliquescence et trahison des adultes, platitude des copains de lycée) jusqu'à un épilogue singulier qui sort enfin l'ensemble du marasme en clin d’œil à Sous le sable (une des grandes réussites du réalisateur).

    Car, hormis cette séquence finale (et cruelle dans ce sens où Marine Vacht montre vite ses limites de comédienne face à Charlotte Rampling), et bien sûr les quatre chansons de Françoise Hardy qui contiennent en quelques couplets la totalité du propos, et de façon bien plus subtile, on a droit à une succession de séquences qui ne sont pas loin d'être rances ou vieillottes, jusqu'à ce prénom : Isabelle complétement décalé de l'héroïne.

    Ce qui me semble de plus en plus gênant avec François Ozon, c'est son incapacité à s'assumer et à ne plus faire preuve d'audace et de courage. Ainsi il suffit de voir les premiers plans du film pour constater que c'est d'abord le jeune frère d'Isabelle qui a les faveurs du cinéaste : il n'est à voir comment il le filme, alangui sur un canapé par une après-midi estivale, alors que sa sœur allongée sur sa serviette n'a droit qu'à un plan plutôt laid. C'est bien Victor celui qui présente le plus d’ambiguïté et de secret, au contraire d'Isabelle qui, ayant tâté de l'exceptionnel (et non pas tant de l'interdit ou du transgressif), ne peut à l'avenir considérer son existence que sous un jour morne.

    Les propos de François Ozon sur la prostitution féminine, et plus exactement sur le fantasme qu'elle est censée représenter, avaient crée la polémique. C'est hélas avec tristesse et déception que leur dimension réactionnaire traverse largement ce film terriblement monotone et convenu qui, au final, n'enfonce que des portes déjà largement ouvertes ou empruntées par d'autres auteurs autrement plus inspirés.
    gvnm73
    gvnm73

    7 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 août 2013
    Jeune et Jolie, et chiante.

    Ozon nous invite à suivre ici une ado dépourvue de toute passion, froide comme un serpent, qui fait la gueule pendant tout le film de son dépucelage à l’enchainement des passes. Le pire, c’est qu’à travers cette spirale du glauque, Ozon présente son héroïne, comme une fille moderne, glamour et mature ; un peu comme les films de gangsters ont souvent tendance à présenter les malfrats comme des héros au grand cœur. Il manipule la pellicule pour nous faire croire que le chaos peut mener à la liberté. Ozon a toujours vécu de phantasmes de gauche.
    Pathétique encore est la réaction des parents de la pauvre chérie qui découvrent avec stupeur que leur fille, qu’ils n’ont jamais éduquée et qui pouvait s’acheter tout ce qu’elle voulait, est devenue une marchandise assez bon marché. Entre crise d’hystérie inutile et compassion de collabo, on a envie de leur gueuler dessus, putain, réagissez, votre fille fait la pute !
    Un seul point positif, Marine Vacth, qui aura, je l’espère, la chance de montrer tout le talent que l’on devine dans un film à la hauteur de sa beauté juvénile.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 23 août 2013
    Mauvais. A en croire ce film, se prostituer à 17 ans ne pose aucun problème, au contraire, il n"y a rien de mail à le faire, on gagne de l'argent, ça ne fait pas "mal" et ça passe le temps ...
    Incroyable qu'un film pareil n'ait pas choqué davantage lors de sa projection. L'actrice au corps anorexique est jolie en effet, jeune également mais au lieu de faire ressortir le sordide de ce type de situation, ce film ne fait que sublimer l'acte de vendre son corps chez une mineure ......ouf ! elle aurait pu avoir la palme, elle n'a eu que les claps de mains. Au revoir Ozon !
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    60 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 février 2014
    Comme d'habitude chez Ozon, que je n'aime pas beaucoup, il manque une dimension. Et ici elle est de taille vu le thème abordé. On ne comprend pas pourquoi cette fille se prostitue, comme ça du jour au lendemain. Que ce soit le sexe, l'argent, rien ne semble en être la motivation. Du coup, on ne ressent aucune émotion, on s'emmerde, On n'est ni choqué, ni provoqué, on ne ressent rien. Pas assez complexe. Une mise en scène fade, plate. L'actrice, bien que limite anorexique est ravissante, c'est le seul atout du film. Quand je lis: "Ce film ose montrer la prostitution enfantine", j'ai envie de me marrer. Ce film est creux, ne sous entend rien, ne montre rien qu'une imagination sans fondement, celle de François Ozon.
    Benjamin A
    Benjamin A

    663 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 mars 2014
    Un film où il ne se passe rien, il n'y a aucun suspense, aucune action, aucune psychologie...C'est juste nul. C'est une déception, de plus si le film se veut provocateur c'est raté. Ozon n'oublie pas d'accumuler les clichés, en y ajoutant un peu de niaiserie. La mise en scène n'a pas grand chose d'originale... Les personnages ne sont pas attachant, de plus c'est assez incohérent, on n'y croit pas une seconde à l'histoire. Puis c'est vide, les scènes de sexe ne servent à rien, elles sont juste là pour provoquer, c'est donc inutile. Voilà un film qui se veut profond et émouvant... mais qui est juste prétentieux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 août 2013
    L'idée aurait pu être intéressante, si déjà elle n'était pas sous-tendue par la certitude que toutes les femmes rêvent de se prostituer (il y a des phrases qu'on n'oublie pas, et des pensées arriérées sur les femmes dont on a du mal à se décrotter).

    Ozon, aussi peu fin dans l'analyse de la psychologie de cette adolescente qu'il l'a été dans l'analyse d'une oeuvre de fiction dans 'Dans la maison' (les petites tirades de Fabrice Luchini y sont absolument risibles, particulièrement quand il nous explique avec passion le principe désuet du schéma actanciel), se contente de ne rien dire, nous livrant un personnage froid et sans fond.

    Il aurait pu daigner analyser les ressorts profonds de ce fantasme chez cette jeune fille, mais il ne nous montre que l'évidence des faits et sous-entend un besoin d'être désirée (encore une fois un lieu commun sans intérêt). En bref, il espère que l'on trouvera nous même des réponses là où il n'en a pas mises, c'est à dire dans le mystère silencieux d'Isabelle.

    Ozon est dans la superficialité et le cliché, voilà son problème. Il traite de sujets fins sans finesse, de sujets profonds sans profondeur, de sujets complexes avec une naïveté presque attendrissante mais rendue, d'autre part, insupportable par sa suffisance.

    Le personnage d'Isabelle est d'une platitude effarante. Seul un aspect de sa personnalité (son rapport au sexe) est montré, rendant la lecture de ce personnage voulu mystérieux bien trop plate. Il essaie quand même de se donner un petit côté intello avec un poème de Rimbaud pour insinuer que l'expérience malsaine de cette jeune fille est un simple égarement de l'adolescence fougueuse.

    Certaines scènes sont esthétiquement réussies - peut-être d'ailleurs ne sait-il faire que cela, ce qui expliquerait la surabondance de scènes se voulant esthétiques - mais on sent l'ennuyeuse lenteur d'un film construit sur du vide.

    Le sujet "choc" aura fait vendre, la jolie actrice aussi, mais cela ne fait pas moins de ce film une parodie de film profond, confirmant qu'Ozon a sa place dans la catégorie des faux bons cinéastes d'où ses certitudes ne suffiront pas à l'extirper.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 août 2013
    "Jeune et Jolie" est un film à l'image de son titre : aussi bébête et niais que le magazine pour ado.
    Monsieur Ozon fantasme la prostitution : des femmes beeeelllles qui découvrent leur sexualité avec innocence et mystère grâce à des inconnus. Le film ne donne pas de raison et en plus la jeune fille est de bonne famille.... Comme c'est commode ! Evidemment Ozon peut oser un tel discours, il est libre de le faire, ce n'est pas le premier réalisateur misogyne. Le problème c'est l'accueil de ce film particulièrement positif car, ben oui quouaaa, on préfère quand les gens ils sont heureux et les filles elles sont beeellles. C'est un joli comte comme Bunel dans "Belle de jour". C'est mieux, mais c'est tellement malsain. De baigner dans cette illusion feinte, car vous ne trouverez pas de Marine Vacth à Belleville ou rue saint Denis. C'est pervers de faire bander les spectateurs devant un détournement de la réalité si facile à projeter ensuite sur tout le reste. La prostitutée devient "call-girl" et la guerre devient "propre". C'est vicieux car il s'agit en plus d'une mineure. C'est déresponsabilisant car... bah c'est elle qui le veut bien quouaaa. Ce film est gerbant et flattera les bas instincts de ceux qui préfèrent fantasmer la prostitution plutôt que de s'y intéresser. L'âge de décès moyen des femmes prostituées est de 37 ans. Oh baaaa si y'en a qui veulent quand même.....
    alain-92
    alain-92

    309 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 août 2013
    Le titre du film dit vrai. Pour le reste, le scénario tient en une phrase comme le synopsis le résume parfaitement. "Le portrait d’une jeune fille de 17 ans en 4 saisons et 4 chansons". François Ozon s'est fait plaisir à réaliser un film dont chacun connait la véracité du propos. Pourquoi pas ? D'une façon délibérée il suit et filme sous tous les angles la très jolie Marine Vacth qui m'a rappelé, dans certaines images, Charlotte Rampling dans sa jeunesse. Il en oublie l'essentiel. Réaliser un film. Celui-ci m'a profondément ennuyé par ces images récurrentes, aussi belles soient-elles. Aucune explication n'est donnée quant aux agissements de la protagoniste. C'est dommage. On reste dans le flou intégral. Déception d'une initiation rapide, et mal vécue, aux plaisirs de l'amour ? Révolte d'adolescente en mal d'identité ? Refus d'une existence trop dorée ? Dans ce dernier cas Luis Buñuel l'avait déjà réalisé avec brio dans son "Belle de Jour", c'est vrai que la belle Séverine était mariée. Alors pourquoi ? Le rôle de la mère, tenue par Géraldine Pailhas, aurait permis à cette dernière de déployer plus de conviction avec un scénario plus approfondi. Il y avait là, matière à donner plus de consistance à une histoire en mal d'intérêt. Quatrième collaboration entre François Ozon et Charlotte Rampling, j'ai eu mal pour elle.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 mai 2013
    Malgré le sujet, Ozon signe un film d'une réelle platitude (les étoiles sont pour l'actrice, superbe !) où il prend bien le soin de n’absolument rien expliquer, laissant sans doute ua critique le soin de trouver eux-même la profondeur qui manque cruellement à son film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 septembre 2013
    trop de choses convenues, les acteurs autour de l'héroine sont posés mais ne jouent pas. L'histoire n'est pas crédible. Elle est belle et bien filmée mais l'on ne sait pas comment elle tombe dedans et pourquoi. Le film est raté et peu intéressant, vraiment dommage, y'avait de quoi faire un film plus puissant sur le sujet. Que de stéréotypes navrants gâchent tout. La sexualité est traitée de loin alors on ne comprend rien là dessus.
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