Avis : Cinquante Nuances plus sombres - Page 6

Je mets 5 étoiles juste faire taire les mauvaises langues.
J'ai lu le livre et je comprends, comme pour le 1er, la déception de beaucoup d'entre vous mais on ne pourra rarement faire mieux qu'un livre...chacun personnalise sa propre version....
Mais cela n'empêche pas que ce film fait sourire et permet de passer une bonne soirée entre copines... belle histoire de compte de fée pour adultes. Bien sûr que c'est irréaliste et c'est bien le but de cette romance.
Moi j'ai bien aimé ;)

Ma femme avait insister pour voir le premier suite à sa lecture des romans. Nous avions été très déçus, en particulier moi. Ce second volet est à mon sens pire. De l'ennui profond, des acteurs aux charismes d'huîtres, une intrigue bateau et clichée. Rien ne vas. C'est niais et inintéressant.

très déçu. je trouve que le film est pas trop adaptè au livre.
on verra pour le 3éme volet en espérant que celui ci sera mieux

Pour les amateurs de roman de gare ou de soap. Sinon rien de bien passionnant , classique dans la realisation et bizarrement pas erotique.

une suite digne du précédent pas de surprise. toujours la même ambiance. On reste sur sa fin....on verra bien au 3 eme volet.

Un 2eme opus qui, au point de vu economique est sans doute tres intéressant mais d'un point de vu scénaristique n'apporte absolument rien à la franchise, pire, c'est d'un ennui profond. Les Dialogues sont d'une tristesse mais tellement drôle à la fois...Déjà que le 1er était limite, la, c'est la berezina !

Anastasia, fraîchement reconquise par son milliardaire sadique, est toujours aussi niaise malgré sa tentative de rébellion ratée. Un rien l’émoustille, lui donne des papillons dans le ventre et ça en devient presque gênant. Christian Grey quant à lui, est aussi expressif qu’un mollusque et à défaut de dégager un peu d’émotion, passe son temps à déballer sa fortune d’un air présomptueux sur fond de misogynie. Le duo Dakota Johnson / Jamie Dornan manque cruellement d’alchimie, de vie et de crédibilité.

Parlons maintenant de l’intrigue … à vrai dire il n’y en a pas ! Cinquante nuances plus sombres aurait dû, comme son nom l’indique, nous dévoiler la sombre histoire de Grey, les origines de sa bestialité ou encore révéler un aspect plus ténébreux de sa personnalité, mais il n’en est rien. Alors que James Foley nous annonce fièrement que dans ce nouvel épisode il n’y aura « plus aucune règle » disons plutôt qu’en réalité, il n’y a plus rien du tout. Les dialogues complètement neuneus ornés de rubans rose bonbon et paillettes sont en fait un ramassis de fioritures destinées à combler les temps morts entre deux scènes pseudo-affriolantes. Mises bout à bout, toutes les séquences donnent une histoire sans queue ni tête, fastidieuse et éperdument fade.

Ce qui a fait la renommée de la saga Cinquante Nuances, c’est en partie les pratiques trash et sadomasochistes du beau et riche Christian Grey. Dans l’adaptation cinématographique des romans, il est bien entendu normal de ne pas pouvoir illustrer totalement les écrits très crus sans se voir être censuré à coup sûr. Mais dans ce second opus, les images comme les dialogues sont encore plus soft que dans le précédent, cucul la praline au possible et bien loin de l’image sulfureuse qui fait la réputation du best-seller. Il est dommage que certains passages et personnages du livre aient été laissés pour compte à l’écran, ils auraient pourtant pu insuffler un peu d’entrain à ce contenu insipide.

Avec tout ça, l’ennui vient rapidement nous chatouiller et on commence déjà à guetter notre montre au bout que quelques minutes. Car rappelons-le, ce film dure deux heures, et deux heures de vide absolu c’est terriblement long.
Il est évident que Cinquante Nuances est un phénomène, une aubaine commerciale sur laquelle surfent volontiers les réalisateurs pour nous pondre sans trop se fouler, un film qui de toute manière générera un petit pactole compte tenu de l’élan d’enthousiasme de bon nombre de ménagères autour de cette histoire d’amour.

Cette romance à l’eau de rose finit par nous noyer tant elle est nunuche. Outre l’arrière train effarouché d’Anastasia, c’est le scénario tout entier qui mérite un bon coup de fouet !

http://septiemecritique.fr/cinquante-nuances-plus-sombres

Comme je le pressentais, le film est ultra plat et totalement dénué d'intérêt. Il n'y a même aucune réelle histoire...
Comme au premier, le doublage français est nul, les dialogues pas inspirés et le film est lent. On insère à cela quelques scènes érotiques pas vraiment érotiques, et encore moins SM.
Je me suis clairement emmerdé devant ce film. Mais tout n'est pas non plus à jeter. Dans tout cet amas de nullité, le teaser du troisième volet laisse présager quelque-chose de plus sympa et j'en suis curieux.

Scènes pas aboutis... On s'attend à chaque fois à plus et on est déçu... Le sexe est inutile dans ce film (juste la barre magique qui est intéressante mdr). Conclusion l'histoire n'est pas mauvaise, il y avait du potentiel, mais évidemment cest toujours délicat de retranscrire un livre en film.

Je précise que je n'ai pas lu les livres en question.
Comme j'ai été voir le premier volet au cinéma il y a 2 ans, j'ai donc souhaité voir la suite.
J'ai trouvé cette suite encore mieux.
C'est plus psychologique, plus dans les sentiments amoureux.
J'ai beaucoup apprécié.

Les 2 fois j'ai accompagné mes potes pour aller voir ces films .. ET ... baaah c'est vraiment pas terrible. Le premier était assez mauvais mais le deuxième... c'est pire. Au pire si on aime vraiment les 50 nuances, lisez les livres déjà ça sera mieux que ça.

difficile de tenir durant ces deux heures de poncifs qui s'enchainent dans une niaiserie confondante. Le billard, la douche bien sûr, l’ascenseur, les petits joujoux indispensables, la panoplie de luxe du yacht à l'hélicoptère pour montrer ne possède pas que madame mais aussi tout plein de sous, bref vous croyez qu'on ne peut réunir autant d'éléments navrants en un seul film, et bien celui-ci l'a fait. Une overdose grotesque de scènes prétendant explorer la coquinerie du SM et qui ne pourra faire rougir que les lectrices les plus courageuses de la collection "Harlequin". On a beau cherché, rien mais alors rien ne peut sauver cet immense gâchis cinématographique...

Plus qu’une maladresse, après ce mal accueilli des critiques « Cinquante Nuances de Grey », la suite adaptée du roman d’E. L. James ne vole pas plus haut et sombre totalement en accord avec son titre si significatif en un sens…
James Foley recevra ainsi, à juste titre, tous les blâmes utiles et nécessaires dans la suite de cet article, pour une faute professionnelle. Il est pourtant à l’aise avec la mise en scène de la série « House of Cards (US) ». Cependant, la formule ne peut s’appliquer à toute une structure d’adaptation qui se veut essentiellement sensorielle. Or, ici il n’en est rien. Où se cache l’émotion ? Nulle part du fait qu’elle ne présente pas de traces suffisantes pour la définir ainsi. Le manque de rigueur dans le travail de mixage aurait dû mieux convaincre afin de rattrapper ce petit défaut. Et bien non, on passe outre ce détail musical qui est amené n’importe comment. L’effet aléatoire est ainsi à l’œuvre pour de multiples raisons, tristes à constater et à déplorer.
Les incohérences s’enchainent, soit par manque de background, soit par manque de rigueur sachant que le premier opus ait posé des éléments contradictoires. Le film se veut plus sombre mais il passe à côté de sa promesse. Tout vient de là, du concept qui ne s’assume pas jusqu’au bout. De ce fait, des personnages sont sacrifiés au détriment d’une histoire pseudo-romantique le plus lambda du moment. On pourrait comprendre que l’esthétique se perd dans l’adaptation. Les protagonistes héritent d’un développement grotesque et vide de sens par moment. On bâcle par la même occasion les transitions vers le dernier volet de la trilogie.
Dévoiler de futurs conflits et de nouveaux éléments perturbateurs s’est résumé à un temps d’apparition « moins » que minime. La tension n’existe donc pas, la dramaturgie non plus. Le fil conducteur se noie alors rapidement dans un tourbillon de bêtises, tant techniques que morales. La narration prend également un coup sur la tête. Les dialogues se perdent dans le descriptif et n’apportent rien d’autre que ce que l’image apporte déjà…
« Cinquante Nuances Plus Sombres » est donc tout le contraire de ce que les fans espéraient, sans doute. Il serait alors osé de vendre des éloges sur une œuvre si inaboutie et niaise. A passer son chemin sous peine d’être abruti par une ignoble réalisation !

Ce deuxième volet est beaucoup mieux que le premier. On ressent nettement le changement de réalisateur qui a su adapter le livre même s'il est impossible de tout retranscrire à l'écran. L'histoire est racontée avec plus de rythme et on ne s'ennuie pas durant les 2 heures de film qui allient les scènes coquines, celles plus romantiques et l'intrigue. L'alchimie entre les deux acteurs opère bien. La bande son est sympa également. Vivement l'année prochaine pour la suite.

Le concept de premier opus était intéressant (voir ma critique) et la réalisation était correcte. Et surtout le film se suffisait à lui-même. Cette suite n'a rien à nous dire et nous narre une improbable guimauve où tout est raté. Il est sidérant de voir autant de scènes absurdes et inintéressante dans un même film : On fait durer 5 minutes une partie de billard (quel suspense !), on fait joujou cinq minutes à la barre d'un bateau, (ça meuble). La scène du harcèlement sexuel est risible tellement elle est maladroite, on nous inflige un bal masqué où tout le monde se reconnaît, et le sommet étant la scène de l'hélicoptère, véritable négation de la narration cinématographique. Quant à la fin, c'est l'overdose de guimauve et de débilité. Jamie Dorman nous la joue bourrin, et dans les second rôles, la mémère qui incarne sa mère est un véritable repoussoir. Les scènes de sexe ne sont pas terribles, mais Dakota Johnson reste agréable à regarder.