Avis : Ted 2 - Page 7

Sympa et déjanté ça on le savait et là c'est reparti de plus belle avec des scènes qui ne manquent pas de panache. Quelques invités surprises dans le film nous prouve que parfois l'humour peu avoir plusieurs figures.

Ce film possède des gags vraiment drôle et des situations assez émouvantes meme si il parait vulgaire au premier aborde. Le seul inconvénient de ce film est qu'il est un peu trop long, on aurait pu supprimer quelques passages lents de ce film. Mais il reste tout de meme bien réussi.

"Je ne voulais pas faire "Ted 2" mais c'est comme pour une série TV, on peut faire n'importe quoi avec ces personnages." - Seth MacFarlane

Sauf que tu fais un film, Seth, pas une série TV...
Hormis un fil conducteur très faible où le petit ours en peluche irrévérencieux réclame le droit au gouvernement d'être reconnu en tant que personne (on a vraiment l'impression que personne n'en a rien à faire tant les scènes de procès sont désespérément plates et ennuyeuses), "Ted 2" n'est qu'une enfilade de saynètes plutôt drôles mais qui transpirent trop souvent la facilité et le sentiment d'avoir été bouclées précipitamment (aïe, la dernière partie à la Comic-con de New York, l'apparition ratée de Liam Neeson ou le retour inutile de Giovanni Ribisi pourtant fabuleux dans le premier film).

Attention, malgré tout, on rit beaucoup devant cette suite car le plaisir de retrouver les délires de Ted et de son pote Mark Wahlberg (duo auquel vient s'ajouter une excellente Amanda "Gollum" Seyfried) l'emporte souvent tout comme certains coups de génie au niveau des dialogues où la verve hilarante de MacFarlane (définitivement bien meilleur scénariste que réalisateur) fait encore mouche.

Mais le sentiment de fainéantise qui émane de "Ted 2" gâche cruellement la fête, comme si MacFarlane était déjà en train de compter les billets verts que lui rapporteront cette suite plutôt que de s'occuper un tant soit peu de son contenu.
Dommage pour lui, "Ted 2" a connu un succès bien moindre que le premier film.

Ted 2 marque le retour de l'ours le plus drôle du moment. Même si on peut se sentir déçu par rapport au premier épisode, Ted 2 est toujours une comédie trash et amusante, ou Mark Welberg joue avec prouesse et forme avec ted le duo le plus drôle du moment.

On prend (quasiment) les mêmes et on recommence ! Ted 2, toujours réalisé par le guignolesque Seth MacFarlane, reste dans la continuation de son prédécesseur en optant une nouvelle fois pour un humour crade et puéril, sex, drug and rock'n'roll, au sein duquel l'ambiance bon enfant constitue le véritable leitmotiv. Pour dialoguer avec l'ours en peluche pervers, Mark Wahlberg abandonne sa casquette de sauveur de l'Humanité pour retrouver la très jolie Amanda Seyfried, dans un échange de bonnes paroles salaces. Bien qu'un peu moins réussie, cette suite garantit néanmoins sa dose de rire, de détente et de divertissement. Le fond qui se voulait sérieux sert finalement à amener sur un plateau d'argent de nouveaux gags, auxquels Morgan Freeman et Giovanni Ribisi plaisent à y prendre part. Un métrage à visionner entre potes.

Irrévérencieux, incorrect , grossier , mal embouché , avec un langage chatié voici Ted mon ours préféré dans ce film aux multiples trouvailles eu aux dialogues bien trouvés bref j'adore !!! à quand Ted 3

La suite de la célèbre comédie Ted assume toujours son style décalé, trash ( sexe et drole toujours au menu ) et l'assume totalement.
Plus de petite amie pour freiner les délires de ses deux copains d’enfance, maintenant Mark Walkberg et son ourson peuvent se lâcher.
On assiste à plus d'aventures, plus de rebondissements pour un résultat toujours aussi drôle et fun.
L'humour pour adulte dans un ourson tout mignon destiné aux enfants fait encore mouche et donne un décalage , un second degrès particulièrement rafraichissant dans les comédies actuelles.

Bon film pour se détendre et rire à souhait avec un ted toujours aussi grossier et fou. Une suite réussi où les amateurs du premier opus se retrouveront complètement avec en plus une capacité à nous faire rire des sujets d'actualité.

Autant le premier volet était vulgaire et trash mais m'avait parfois fait rire, autant ce second volet est vulgaire et trash, les rires en moins. Autant dire que j'ai peu apprécié. Pétri de grosses ficelles moralisatrices un peu faciles, avec un hymne à la tolérance trop appuyé, le film recèle de peu de surprises et de grosses nouveautés, tous les personnages se révélant notamment et toujours des ados attardés. Certains clins d’œil à d'autres références cinématographiques m'ont toutefois fait sourire et sauvent un peu le film du désastre complet.

Peut-être pas aussi surprenant que le premier mais n'empêche que ça fonctionne quand même. Je me suis pas du tout ennuyé. C'est toujours aussi trash et blindé de clins d'œil. Avec un message sur le droit à l'égalité pour tous. D'ailleurs c'est même parfois émouvant.

"Ted 2" est quand même le premier film à oser aborder l'attaque à Charlie Hebdo sur le ton de la comédie ! Osé, c'est le mot qui caractérise le mieux cette suite d'un film comique qui ne m'a pas accroché plus que cela.
En effet, bien que le premier Ted n'ait pas été désagréable, il n'était pas vraiment exceptionnel et s'était révélé en deçà de mes attentes. La BA de sa suite m'avait persuadé de la regarder quand même et "Albert à l'Ouest" de Seth McFarlane m'avait agréablement surpris.
C'est donc avec joie que j'ai découvert que j'accrochais complètement à ce "Ted 2" et à son humour corrosif.

C'est rare, surtout dans le monde de la comédie, qu'une suite soit meilleure que le précédent opus, perdant généralement de l'effet de surprise et risquant souvent la redite. Pourtant, ici, on reprend les mêmes personnages mais on les place dans des situations différentes et on leur fait développer une autre facette d'eux mêmes. C'est cela qui permet d'éviter une redite et de placer le film à un autre niveau : finies les blagues sur les feignants fumeurs de substances illicites (enfin pas totalement en réalité), place à des vannes plus référencées (d'excellents caméos sont au programme) et à un raillerie en règle concernant la société actuelle.

Le film perd toutefois un peu en régime au moment des procès et se fait tout à coup moralisateur. Cependant, les scénaristes décident d'y aller à la boule de démolition niveau finesse. Là où le bât blesse, on peut le situer aisément ici ...
Mis à part cette partie, le reste est un enchaînement de vannes assez osées et souvent de très mauvais goût. Mais j'aime le mauvais goût en humour, notamment quand il est bien maîtrisé par ceux qui s'en servent, ce qui est le cas ici.

Alors oui, l'humour de Ted 2 ne plaira, sans aucun doute possible, à tout le monde. Cependant, si vous avez la chance (je ne sais pas si c'en est vraiment une mais après tout, on s'en moque un peu) d'accrocher au délire de Seth McFarlane et de son équipe, alors vous passerez très certainement un bon moment.

PS : il n'y a pas à dire, la voix de Joey Starr dans la VF donne vraiment une toute autre dimension à la peluche !
PSS : spoiler: Et ces scènes tournées au Comic' Con
sont justes géniales : bourrées de références et de private jokes ...

Encore bien cru, et c’est tout ce que l’on attendait de la suite de "Ted" ! Le scénario est cependant moins entraînant que celui de son prédécesseur, sûrement dû à l'absence de découverte du projet original (c'est le problème des suites). Pas mal de guest seront au rendez-vous, apportant avec eux leur petit lot d'autodérisions. Comme le premier volume, ce petit côté cruel qui demeure dans le film fait du bien, surtout à l’heure de ce politiquement correct permanent et écœurant. Une suite marrante qui prolonge bien l'univers de l'ourson grossier par excellence. Et n’oubliez pas, «le nouveau superman pour 2016 est….. Jonah Hill !!."

A ma grande surprise, ce Ted 2 dépasse le premier opus de très loin. Avis personnel, mais le fait de ne plus avoir une Milas Kunis qui nous les a brisé tout le long du premier film, c'est déjà mieux. On a cette fois Mark Wahlberg toujours au top, accompagné d'une Amanda Seyfried qui trouve vite sa place, sans parler de l'inévitable Freeman, pour combler le tout. Humour à volonté pendant deux heures, c'est con, mais c'est drôle, le personnage de Ted est bel et bien unique. En plus d'une histoire top, que j'ai trouvé en accord avec la comédie, ce film malgré que ce soit un humour et des vannes spéciales, ne m'a pas déçu. De plus, on passe par toutes les émotions avec quelques clins d'oeils à d'autres films, vraiment sympa. Une réussite donc pour ce deuxième volet, malgré qu'on est pas dans le grand cinéma, c'est distrayant et ça fait du bien.

Que l’on soit réfractaire à l’humour de Seth MacFarlane, ça peut se comprendre, ou pas, il faut se rendre à l’évidence, son Ted numéro 2 est un divertissement de toute bonne facture. Accusé de toute la vulgarité du monde à la suite de la sortie du premier volet des aventures de ce curieux ours en peluche, le trublion américain, à la tête de plusieurs entreprises télévisuelles et filmiques, ne semblent pas avoir entendu les plus prudes, et j’ai envie de dire tant mieux. Certes, c’est parfois lourdingue, appelons un chat un chat, mais le cinéaste y investit tellement, y met tellement les formes que le spectacle, pleinement assumé, est un véritable festival d’humour gris, comprenez ni noir ni vraiment bon enfant. Le générique d’entrée, une chorégraphique somptueusement mise en scène, nous annonce le couleur. Seth MacFarlane fait dans la comédie, mais ne lésine pas sur les moyens. La preuve en est de la modélisation impeccable de ce drôle d’ourson, à la fois mignon et rustre.

Le sens de la mise en scène de MacFarlane, sur ce deuxième opus à mon sens meilleur que le premier, trouve son apothéose lors du passage des héros au Comic Con New-Yorkais. Le cinéaste nous livre, en complément de sa folle histoire, à dormir debout, un festival de référence geek, déclenchant une émeute amenant divers déguisés à se mettre sur la tronche durant une séquence euphorisante. On pourra aussi s’épancher sur une bande-son réussie qui nous renvoie aux bonnes vieilles comédies à succès des années 80 et 90, voire même aux films d’aventures, plus épiques, de cette même période. Décidément, le réalisateur semble avoir frappé plus fort que nous ne l’escomptions, surprenant son public en ne livrant pas une simple suite mais un film aux charmes divers, aux références fourmillantes et à l’imagination débordante.

C’est sans doute là le parfait exemple de la comédie vulgaire version 2010, celle qui plaît aux jeunes, aux personnes peu sensibles qui acceptent de se moquer, de rire de tout. A ce titre, MacFarlane, sans pouvoir pour autant prétendre au titre de cinéaste de légende, est sans doute le fer de lance de cette frange de cinéastes qui osent presque tout. Faire se réincarner la méchanceté, la perversion, la vulgarité en un ours en peluche qui fume de l’herbe, qui boit comme un trou, l’ours en peluche étant l’archétype du doudou pour marmots, fallait y penser. Mieux encore, Seth MacFarlane assume son concept jusqu’au bout, nous servant ici une fable sociale complètement irrationnelle mais qui tient la route du simple fait que son créateur y croit dur comme fer.

Ceux qui ont aimé l’opus initial apprécieront celui-ci, sans le moindre doute. De même, ceux qui ont rougis face à une telle débauche de grossièretés, de politiquement incorrect, n’apprécieront pas d’en reprendre une couche. Ted s’adresse clairement à ceux qui veulent bien en rire. J’en suis. 15/20

Après s’être marié avec sa compagne Tami-Lynn, Ted souhaite adopter un enfant. Son statut de personne morale va être contesté et il va devoir entreprendre une bataille juridique avec le soutien de son ami John, toujours interprété par Mark Wahlberg.
Ce film se trouve dans la continuité du premier opus, faisant preuve du même humour toujours aussi trash. Les références à la culture pop et geek sont également présentes, spoiler: surtout à travers le New York Comic Con vers la fin
. Plus centrée sur le personnage de Ted, j’ai trouvé cette suite excellente.