Last Knights (ce film existe aussi sous le titre français de L'Honneur des guerriers) débute assez bien par une scène de combat puis se termine aussi par une bataille pas trop mal malgré tout c'est un film raté qui se perd dans une histoire de complot, de lutte de pouvoir, de vengeance, d'honneur, etc... donnant lieu à un résultat lourd et indigeste sombrant dans des passages bavards inutiles. Dommage pour les acteurs qui semblent s'investir dans leurs personnages, la mise en scène n'est pas vilaine mais il est difficile d'aller jusqu'au bout du film sans jamais s'ennuyer.
Kazuaki Kiriya signe une réalisation à première vue intéressante mais dans laquelle le scénario est scandé par des lenteurs répétitives. Pour ma part, la trame est assez simple à deviner dès la première moitié du film: on sait pertinemment qu'une histoire de vengeance personnelle anime les personnages, suite à l'exécution sommaire du seigneur Bartok, chef du clan Bartok. Suite à cet événement, le scénario prend une tournure assez linéaire où les personnages suivent un tracé marqué par un manque cruel d'action et d’intérêt. La dernière moitié du long-métrage est animé par un esprit de vengeance envers un ministre corrompu et sans grand charisme. Dans celle-ci, les actions s'enchaînent et l'on devine assez aisément le dénouement. Celui-ci manque de profondeur et le spectateur reste sur sa fin. En définitive, un long-métrage au casting intéressant mais où la trame générale manque de profondeur et d'intérêt.
Le film est réalisé en 3 parties. La première est un peu longue et pose les bases de l'intrigue. Les détracteurs du films vont sûrement critiqués le film en s'inspirant de la deuxième partie. C'est pour moi la partie la plus importante du film. C'est à ce moment que l'intrigue se met en place. La troisième partie laisse place à l'action. Très souvent quand on regarde un film de chevalier dans un temps médiéval on est déçu du manque d'action et c'est bien dommage parce que ce nest pas ce qu'il y a de plus important. Le film prend le contre pied de ce qu'on s'attend et ça en fait l'originalité. Côté plus : les plans du palais sont magnifiques, les costumes somptueux et une distribution multiethnique qui colle à l'ambiance du film. Côté moins : le méchant est caricatural (Mais à la limite je ne sais pas s'il y avait une autre façon de le jouer), la musique n'est pas magique et les acteurs n'y croient pas trop. spoiler: La fin en happy end (sauf pour le heros principal) ne colle pas, j'aurais vu dans l'attaque du château une mission suicide.
Habituellement ce n’est pas trop mon genre de film, mais celui ci était vraiment prenant, je le conseil car ce film montre certaines valeurs qui sont vraiment belles.
Ce film est excellent avec une bonne idée comportant des éléments original . Ce qui fait l'histoire est assez dramatique mais nécessaire; l'histoire comporte beaucoup de rebondissements et d' inattendu jusqu'au bout . Le scénario est recherché. Les acteurs sont très bien et Freeman en fait partie . Un excellent film très cohérent .
Très inspirée de la légende médiévale japonaise de La vendetta, ou Les 47 samouraïs, cette fiction de cape et d’épée se passe dans un pays imaginaire aux mille visages ethniques, et gouverné par un Empereur légitime. Mal inspiré par un ministre corrompu et ambitieux, il condamne à mort un seigneur qui refuse le servage et la décadence. Dépouillés de leurs terres, déchus de leurs biens et honneur, les chevaliers désavoués se recyclent en hors-la-loi et, seule alternative pour ne pas devenir fou de honte, préparent le juste redressement de cette faute tragique et légale, par le complot, l’assaut et malgré la condamnation anticipée. Ce film grand spectacle, et évident remake de 47 Rônin, endosse cette fois le style chevaleresque moyenâgeux plutôt que celui de l’heroic fantasy. Sa panoplie d’acteurs hétéroclites de toutes origines, avec en tête Morgan Freeman et Clive Owen, sa violence sombre, la schizophrénie du bad guy comme du good guy, ses combats à l’ancienne, ses liens fraternels, et surtout le dépassement laborieux du héros sur son déshonneur, ses démons et ses faiblesses privilégient les enjeux de ce film sur ceux du conte classique.
Un film boudé par la critique....... On se demande bien pourquoi ! Quand on voit les vrais nanars qui sortent au cinéma..... Soit dit en passant, il s'agit de mon opinion et la plupart du temps, je ne suis pas de l'avis des critiques.
Plongé dans un univers médiéval, multiethnique, aux influences asiatiques, rongé par la corruption, un seigneur (un afro-américain) refuse de payer un pot de vin à un ministre aux dents longues (un blanc). Pour s'être défendu contre l'odieux personnage, il est condamné à mort par l'empereur (un iranien) et la sentence est exécuté par son propre capitaine (un britannique). Le clan est certes dissous mais le capitaine et ses hommes préparent une terrible vengeance.
Une adaptation à l'atmosphère sombre et glauque de la vendetta des 47 ronins à l'encontre de Kira Yoshinaka. J'ai beaucoup apprécié le concept de ce Moyen-âge multiethnique qui brise les codes de la suprématie raciale de confession Judeo-arabo-chrétienne, tout y intégrant avec réussite le code d'honneur des samouraïs de l'ère d'Edo (1603-1868). Il faut le dire... l'Europe médiévale n'a pas le monopole de l'honneur, de l'abnégation et du sacrifice.
Un très bon film bien un peu long, concernant la descente aux enfers du capitaine... Mais un mal nécessaire pour endormir la paranoïa du ministre... La bataille finale est très réussi. Comme quoi il n'est pas nécessaire d'user à outrance des effets spéciaux et de l'hémoglobine, devenu une véritable habitude dans ce genre de films.
« Last Knights » est un excellent film d’aventures, remake de l’histoire des 47 Ronin, transposé à l’époque des chevaliers de la table ronde. L’histoire est excellente et met en avant la notion de fidélité et de respect au-delà de la mort, tout en valorisant la volonté d’assouvir une vengeance par rapport à une injustice. Le scénario est très bien écrit, reprenant les composantes de l’histoire originelle. La mise en scène est soyeuse, et laisse une grande place à la préparation du plan. Les acteurs sont très bons dans leur rôle respectif et Clive Owen est somptueux en vassal fidèle à son seigneur. La photographie est magnifique, les décors et les costumes sont remarquables. L’intrigue est excellente, au point qu’on ne sent pas les quasis deux heures que dure le film. Un film boudé par la critique, mais que nous avons jugé digne de recevoir notre note maximum.
Film de cape et d'épée au scénario vu et revu, succession de clichés et intrigue téléphonée comme pas possible parsemé de longueurs, espérons que cela soir vraiment les derniers chevaliers....
Sympathique mais sans Un casting honnete quelques beaux décors et un scénario simple mais prenant ... c'est à peu pres tout , le film manque de rythme au point qu'on finit par s'ennuier un peu , musicalement rien d'inoubliable , un méchant ultra caricatural
Les chevaliers de la table ronde ne sont pas loin. Décidément, Clive Owen a le don de s’investir dans des épopées modernes assez savoureuses, tel qu'il pu le faire en 2004. Mais Kazuaki Kiriya n'est pas Antoine Fuqua, et c'est tant mieux car chacun appréciera un style différent. En effet Last Knights rend hommage aux codes des Samuraï et au statut de Rōnin; on sourira devant une mise en place de l'intrigue assez décousue mais prendrons un plaisir certains, jusqu'au dernier plan exaltant. Une honnête production multinationale qui semble avoir laisser libre cours à toute inspiration.
Un film dans le meme genre que 47 ronin a la difference du contexte. Les deux etant pour moi des reussites. Clive owen joue un role qui lui va a merveille. Peut etre un peu plus de confrontations et manigances et ce film aurait eu mon 5 etoiles :)