Avis : Hôtel Transylvanie 2 - Page 8

Dans "Hôtel Transylvanie 2", on retrouve ce qui nous avait plu dans le 1er, à savoir de très belles images et un côté assez décalé et enfantin.
Il faut d'ailleurs noter une amélioration puisque je pointais dans le premier des défauts de modélisation qui rendait le tout peu naturel. Ici, je n'ai pas eu ce même sentiment.

Malheureusement, si ce qui nous a plu est resté, ce qui nous a déplu n'a pas changer non plus. En effet, "Hôtel Transylvanie 2" propose à nouveau un scénario assez bateau et prévisible.
La morale du film arrive avec ses gros sabots. Si elle pourrait fonctionner sur les enfants, les adultes seront plus dubitatifs face à ce manque de finesse.

Toujours est-il qu'en dehors de ce défaut, le film est loin d'être désagréable. On ne voit d'ailleurs pas vraiment le temps passer.

Trois ans après le premier, Hôtel Transylvanie 2 arrive avec tous nos monstres préférés pour un bon film d'animation. L'histoire est à nouveau malheureusement un peut le point faible même si on passe un bon moment c'est quand même assez simple et prévisible. Les premières minutes m'ont fait un peu peur mais le film décolle rapidement. C'est toujours aussi fou voir même plus et justement parfois ça part un peut trop dans tous les sens surtout dans les les 20 dernières minutes notamment la bagarre avec les méchantes chauves souris qui est un peut trop longue. Mais bon c'est quand même agréable à suivre car on rit beaucoup grâce à de superbes personnages qu'on est heureux de retrouver. Ils sont vraiment la grande force de ce long-métrage. Ils sont nombreux et apportent chacun leur truc. Mention spécial à Blobby qui est très très drôle. L'autre point fort c'est que techniquement c'est sublime! Les animations, les couleurs et les environnements sont magnifiques. A ce niveau la c'est irréprochable et c'est un véritable régale pour les yeux. Pourtant ça parle de monstre et du coup il fait souvent nuit mais paradoxalement c'est très coloré. Par contre quelque chose ma dérangé c'est le logo Sony qui apparait beaucoup trop surtout dans un univers pareil ça n'a rien à faire la. A noter aussi une b.o. un peut décevante tout juste moyenne. Hôtel Transylvanie 2 arrive à faire aussi bien que son prédécesseur même si l'effet de surprise n'est plus la mais c'est un film d'animation plaisant qui mérite d'être vu.

D'hôtel transylvania, on gardait le souvenir d'un spectacle rafraîchissant et atypique. Un an après, la suite n'aura pas failli aux attentes du spectateur. Hôtel transylvania 2 est en effet une suite plus qu'honorable, mélange habile de ce qui a fait le succès du premier épisode (scénario un peu élaboré, quelques situations bien trouvées) mais aussi de petites nouveautés, la principale résident dans les nouvelles boucles de poils ayant émergé. Et même si l'effet de surprise n'est plus là, le succès est toujours intact...

POUR : Suite logique du précédent film spoiler: (mariage, enfant)
; les relations grand-père/petit-fils version vampire ; la mère vampire qui spoiler: surprotège son fils
; le conflit transgénérationnel avec spoiler: Vlad l’arrière-grand-père vampire très à cheval sur les principes
; les couples mixtes, spoiler: ici humain/monstre
; la perte des valeurs et des traditions chez les monstres ; l’éducation des jeunes vampires plus laxiste que par le passé.
CONTRE : Les « POUR » ne sont pas suffisamment approfondis ; trop de bons sentiments ; les gags faciles et parfois hors-sujet dans le but de satisfaire le jeune public spoiler: (les téléphones portables, les figures acrobatiques en BMX…).

CONCLUSION : De bonnes idées un peu moins bien exploitées que dans le premier volet.

J'attendais vraiment ce second volet, surtout après l'excellente surprise qu'était le premier film ! Malheureusement ce Hôtel Transylvanie 2, malgré le fait d'avoir repris la même sauce que son prédécesseur, a du mal à se trouver une place dans son concept pourtant vaste mais utilisable qu'une fois. On se retrouve donc avec un univers déformé du premier et un mythe sacrément saccagé. Et je ne parle pas non plus de la énième moralité antiracisme. Cette dernière est non pas "mal maîtrisée", juste revu encore et encore... En bref, on arrive sur un film pour enfants très simpliste avec quelques subtilités que nous offrait le premier opus.

Mieux réussi que le premier, la suite se repose sur un scénario vraiment abouti et bien pensé, à la fois pour les enfants, mais aussi pour les parents (enfin les adultes... ). C'est simple, drôle, sans excès dans les délires qui viendraient casser le déroulement de l'histoire, captivant du début à la fin. Une belle animation, séduisante (même en 3D), pour tous!

Le premier volet d’Hôtel Transylvanie nous avait présenté les célèbres monstres de toutes les générations. Dans cette suite, le réalisateur revient là où il les avait laissés, mais avec la naissance d’une progéniture entre un humain et une vampire. C’est donc autour de ses éventuels pouvoirs que tourne cette intrigue. Le problème est que celle-ci tourne justement beaucoup trop en rond. La morale finale surprend, car finalement la différence ne fait pas la force, mais c’est parce que c’est un monstre comme les autres que la famille va pouvoir rester à l’hôtel. Ce film d’animation est coloré et nous charmera avec quelques séquences assez drôles, mais le scénario est décevant et on attend mieux du troisième s’il sort.
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Pour noter un film d animation comme celui ci, le mieux est de faire confiance aux enfants. Si j en crois ma fille cette suite d Hôtel Transylvanie est une réussite. Amusant, plein de bons sentiments mais sans que cela soit trop sirupeux j ai effectivement trouvé que c était un bon film familial pouvant ravir les petits et amuser les grands. Si j avais un défaut à lui trouver ce serait un scénario un peu trop convenu, avec quelques clichés (comme le personnage du grand père Vlad); un scénario qui fait plus penser à une succession de scénettes plus qu à un film trouvant une propre identité.

Un brin moins bon que le prédécesseur, surtout à cause des personnages du bébé (dont on connaît l'issue de son "suspens" vampire/humain dès le début) et du grand-père (seul intérêt : il ajoute Nosferato à la liste des monstres), qui ne sont pas indispensables sur leur personnalité mais sont pourtant les vedettes de cet opus. Le reste de la smala monstrueuse est bien là, les enfants attendent de voir le colérique et hilarant Dracula (on les comprend bien), et les adultes veulent revoir le loup-garou en père de famille au bord de la dépression nerveuse...et on en meurt de rire, trop de vérités en un seul personnage ! L'intrigue est moins intéressante que le premier opus, et la fin ne nous surprend pas. Mais le graphisme est bon, la musique correcte, et les gags restent bien adaptés pour les enfants. La Créature de Frankenstein (Franky pour les intimes) roucoule de bonheur avec sa dame (hideuse), et c'est toujours très amusant (surtout si l'on connaît le classique La Fiancée de Frankenstein de 1932 par James Whales !). Les deux personnages sur lequel le film se base sont un peu en-deçà de l'estimation pour pouvoir supporter toute l'intrigue, et l'on se concentre alors toujours sur nos monstres chouchous, surtout le loup-garou.

"Hôtel Transylvanie 2" est un bon dessin animé. Un scénario plutôt sympa, je l'ai trouvé moins drôle que le précédent mais très divertissant et les personnages sont toujours aussi sympa.

Ils sont de retour et si cela peut en laisser certains indifférents, les enfants devraient eux se réjouir de revoir Drac et tous ses monstrueux potes d'enfance. La bande accueille pour l'occasion un tout nouveau venu dans la famille avec l'arrivée du tout mignon Dennis et sa touffe de cheveux roux. Malheureusement, Hôtel Transylvanie 2 ne se montre pas plus enthousiasmant que son prédécesseur et ce dès les premières minutes durant lesquelles on assiste à un mariage mené avec l'énergie d'un zombie. Un film d'animation qui n'a vraiment rien d'exceptionnel mais qui n'oublie pas l'essentiel à savoir amuser les jeunes spectateurs !

Je l'avais déjà écrit quand il était sorti : j'avais trouvé que le premier épisode ciblait énormément le jeune public (humour, musique supposée cool et branchée...) et qu'il ne restait pas grand-chose à se mettre sous la dent pour les gens qui payent plus de 4€ leur place. Et je peux dire exactement la même chose ici. Cette suite est donc dans la même logique que son prédécesseur, et pour le coup, cette constance ne me réjouit pas parce qu'elle répète les mêmes points qui m'avaient rebutée. Avec cela dit une histoire peut-être encore plus à dormir debout (jeu de mots volontaire). L'animation elle-même est agréable et le doublage est de très bonne facture (en VO), mais c'est tout. Je suis déçue du manque d'améliorations et de renouvellement.

J'ai préféré ce volet par rapport au premier, notamment par son ironie un peu plus recherchée et par ses personnages attachants que l'on retrouve à nouveau. Dans cet épisode il y a beaucoup de références aux technologies actuelles, ça change des dessins-animés qu'on a l'habitude de voir. Ce qui continue de me déranger c'est que l'humour et certaines scènes fassent très esprit enfantin.

En réglant les gros problèmes de rythme qui rendaient l’action du premier volet illisible et ses enjeux foutraques, Hotel Transylvania 2 (Genndy Tartakovsky, 2015) s’affirme tel le meilleur épisode de la saga, réjouissant et futé. Le choix d’un récit initiatique devant conduire le nouveau-né à son statut de vampire permet au réalisateur et à son équipe de soigner l’écriture des personnages secondaires : en tant que figures tutélaires, ils gagnent en épaisseur et en identité, notamment ce loup-garou père de famille qui ne comprend pas pourquoi retourner chasser la biche quand il peut manger des raviolis. L’humour, bon enfant, dispose néanmoins d’une couche parodique qu’apprécieront les adultes et qui font du film un divertissement agréable, porté par une animation soignée forte d’idées de mise en scène inventives et dynamiques. On ne s’ennuie pas, on rit et on s’émeut. Que demander de plus ? Une petite réussite !

Un très bon deuxième volet aussi drôle que le premier. L'humour est toujours au rendez-vous. Drôle, marrant , inventif.