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    Les 39 marches
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    97 critiques spectateurs

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    Gablivildo62
    Gablivildo62

    2 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2023
    Sorti en 1935, Alfred Hitchcock réalise son meilleur film d'espionnage des années 30. Le couple Robert Donat / Madeleine Carroll fonctionne à merveille et contribue à la qualité du film. Suspense, rebondissements, poursuites et caméo d'Hitchcock sont au rendez-vous. On est captivé du début à la fin. A voir.
    Uncut Critics
    Uncut Critics

    9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Durant la second partie de sa période anglaise, le maître Hitchcock sorti ce magnifique film qui n'est certes, pas son meilleur, mais très intéressant. Le jeu d'acteur et la real sont bien sûr très bon. Mais le plus intéressant dans ce film, c'est la manière dont il est construit. Il n'ya presque pas de transitions entre les séquences. En résulte, un film rapide où le spectateur est happé par l'action. Cette méthode sacrifie malheureusement la vraisemblance de l'histoire? Mais allons nous réellement au cinéma pour découvrir une aventure/un drame ou voir un documentaire ?
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2021
    Pour le film quelques libertés ont été prises, et pas des moindres, les deux plus grandes nouveautés sont deux personnages qui enrichissent considérablement le récit. D'abord Mr. Memory dont le dernier acte saupoudré d'un besoin de reconnaissance désintéressé ne manque pas de sel, puis Pamela, qui annonce les blondes Hitchcockiennes à venir. D'ailleurs ce duo plein de charmes n'est pas sans rappeler par moment le magnifique "New-York-Miami" (1935). Il y aussi le fait que dans le livre le héros fait toujours des rencontres bienheureuses puisqu'elles l'aident quasi systématiquement, dans le film c'est un peu plus compliqué (un peu !) ; en effet sur ce point on aurait peut-être aimé plus d'anicroches, mais malgré tout ces rencontres offrent quelques passages vraiment réussis grâce entre autre aux femmes ! Si on est pas encore dans le pur chef d'oeuvre, ce film est assurément un grand film, le premier aussi universel et le premier qui comporte tous les ingrédients que Hitchcock va personnaliser de plus en plus et qu'il va améliorer encore avec les prochains films.
    Site : Selenie
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mai 2021
    J'ai aimé le personnage de Robert Donat dans le rôle principal c'est un acteur très doux et décontracté. J'ai aussi trouvé que le couple de la ferme était génial l'homme très religieux joué par John Laurie et Peggy Ashcroft dans le rôle de sa femme. Ce que j'ai préféré c'est de voir le personnage de Peggy et comment elle aspirait à en savoir plus sur la vie excitante de la ville et comment les filles avaient tellement plus de vie et de liberté je pense que beaucoup de femmes peuvent s'identifier à cela surtout celles comme elle où la religion règne à la maison. L'histoire de base est qu'un homme emmène une femme chez lui elle lui dit qu'elle est une espionne et pendant la nuit elle est tuée. Les hommes qui veulent la tuer l'attendent à l'extérieur de l'appartement et bien sûr les flics les désignent comme les principaux suspect du meurtre. Il part à la recherche des hommes qui ont fait cela et beaucoup trop de petits rebondissements inutiles en cours de route. L'histoire était lente et ennuyeuse il n'y avait rien pour émerveiller mes yeux et je ne l'ai tout simplement pas aimé ce film...
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mars 2021
    Le succès de L’Homme qui en savait trop a confirmé qu’Alfred Hitchcock n’était jamais aussi bon que dans le registre du film à suspense et d'espionnage. Pour son film suivant, le réalisateur choisit de persévérer dans cette voie en adaptant un roman de John Buchan : Les 39 Marches. Bien qu’il admirât fortement l’écrivain, Hitchcock estimait que ce roman était mineur dans son œuvre et ne s’est donc pas privé pour prendre de grandes libertés avec le livre original afin de créer un film purement cinématographique.
    En effet, Hitchcock se moque régulièrement de la logique spoiler: (le long-métrage est d’ailleurs entièrement construit sur un MacGuffin)
    mais offre au spectateur un tel plaisir que celui-ci ne lui en tient jamais rigueur. Les 39 Marches regorgent ainsi d’action et de rebondissements, le tout débordant d’idées scénaristiques spoiler: (Mr. Memory, la révélation de l’identité du chef des terroristes, le livre de prière arrêtant la balle, idée tirée des Espions de Fritz Lang, ou encore le meeting politique…)
    et cinématographiques spoiler: (le cri de la femme de ménage qui devient le bruit du train, la discussion avec le shérif où on parle du fuyard alors que Hannay est dans la pièce qui rappelle la séquence de Chantage où une femme raconte le meurtre en insistant sur le mot "couteau"…)
    , le tout associé à une excellente direction d’acteurs spoiler: comme le prouve la séquence où le fermier (qui semble sorti du cinéma muet, d’où provient Hitchcock, notamment par le maquillage) s’imagine que sa femme souhaite le tromper avec Richard Hannay
    .
    Hitchcock livre donc un film d’aventures extrêmement rythmé bourré d’humour spoiler: (les relations du couple interprété par les excellents Robert Donat et Madeleine Carroll ou une fois de plus la séquence du meeting politique)
    tout en se permettant d’évoquer certains sujets plus graves spoiler: (la thématique de la femme battue)
    . spoiler: Même si on peut juste être surpris de voir la course-poursuite à pieds avec les policiers le long de la rivière filmée en accéléré,
    Les 39 Marches constituent le sommet de la carrière anglaise du Maître du suspense (avec The Lodger et Une femme disparaît) et un pur chef-d’œuvre du film d’espionnage toujours aussi prenant 85 ans après sa sortie.
    BamboMF
    BamboMF

    76 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2020
    Sorti en juin 1936, The 39 steps (titre français : Les 39 marches) est certainement l’un des films britanniques d’Alfred Hitchcock les plus aboutis.

    Tout débute par un spectacle où un homme aux facultés mnésiques élevées répond aux questions de l’audience. Soudain, des coups de feu sont tirés, précipitant la foule à l’extérieur. Dans la rue, une jeune femme demande à l’un des spectateurs (Richard Hannay) si elle peut venir chez lui (proposition particulièrement incongrue dans la première moitié du XXe !). A son appartement, elle lui avoue être un agent secret travaillant pour le gouvernement britannique, et être filée par une organisation terroriste dont deux membres la guettent effectivement de la rue. Dans la nuit, elle surgit dans le salon où dort son hôte, et lui montre une carte où est entouré un lieu-dit en Ecosse, avant de s’effondrer, un poignard planté dans le dos. Débute alors pour Richard Hannay de nombreuses péripéties pour résoudre l’énigme : fuite pour échapper aux autorités qui le pensent déjà coupable du meurtre, recueil par un couple dissonant où il jettera le trouble, rencontre avec le chef de l’organisation terroriste, nouvelle fuite où il entraîne malgré lui une Pamela aussi convaincue de sa culpabilité, puis un retour dans une nouvelle salle de spectacle où le monsieur Mémoire intervient de nouveau, révélant le secret des 39 marches…

    Les 39 marches est incontestablement une réussite. L’intrigue est bien ficelée, alliant rebondissements et peu de longueurs. Hitchcock comme à l’accoutumée use de procédés innovants (par exemple le cri de la bonne qui découvre le corps poignardé est remplacé par le sifflement du train à vapeur, assurant la transition entre deux scènes différentes) et symboliques (telle la statue de l’appartement pointant la fenêtre ouverte où le vent s’engouffre après le meurtre de l’agent secret). Si le réalisateur se plaît à créer régulièrement à un sentiment d’inconfort ou d’insécurité chez le spectateur, ce n’est pas vraiment le cas ici, même si les effets de surprise sont bien présents (le paroxysme étant sans doute la révélation de l’identité de l’homme à l’auriculaire raccourci). L’humour se fait plus rare, et se concentre sur les scènes du train (où des vendeurs de lingerie échangent devant un religieux) et de la chambre d’hôtel où Richard Hannay est menotté à Pamela ; cette dernière scène aura d’ailleurs une dimension érotique qu’il avait assez peu exploitée auparavant (si ce n’est sur son premier film The lodger).

    Le réalisateur exploite donc de nouveau la trame de l’innocent que tout accuse et qui va devoir par ses propres moyens lever le voile sur le vrai coupable. Le film se regarde avec intérêt ; très rapidement le spectateur est pris dans l’histoire et a envie de connaître la suite des évènements. Un excellent Hitchcock donc, la tension du suspens en moins.
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2020
    Un bon thriller mené tambour battant sans temps mort, avec du suspens, une intrigue très bien menée et des rebondissements ainsi qu'une fin excellente où le maître nous surprends encore, on a beau chercher comment l'histoire va se finir et on ne trouve jamais la solution, et ça seul Alfred Hitchcock peut se le permettre a travers plusieurs de ses œuvres et celle-ci en est la première. Sinon quelques scènes d'humours viennent garnir le tout comme avec la scène où Donat intervient dans une soirée électorale, seul point négatif l'histoire d'amour trop banal entre les deux principaux protagonistes et quelques invraisemblances. Bref Hitchcock a été repéré par des producteurs américains grâce à ce film et on comprends pourquoi, même si il ne fait pas partie des meilleurs.
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Dans ce film d’espionnage d’Alfred Hitchcock, sorti en 1935, on retrouve les thématiques chères au réalisateur : le faux-coupable (Robert Donat) poursuivi par la police, la romance avec une belle femme blonde (Madeleine Carroll), du suspense et de l’humour. L’ensemble se laisse regarder avec plaisir compte tenu de son charme désuet même si l’on peut regretter un final expéditif. Bref, un long-métrage qui s’apparente à l’une des meilleures productions de la période britannique du cinéaste.
    DanielOceanAndCo
    DanielOceanAndCo

    3 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Entre "Jeune et Innocent", "Quatre de l'espionnage" ou encore "Numéro 17", "Les Trente-Neuf Marches" apparaît comme l'un des films les plus intéressants de la période anglaise d'Alfred Hitchcock tant ce petit thriller d'espionnage est aussi réjouissant dans son intrigue que dans la façon dont le maître du suspense la raconte (quelques scènes humoristiques dont Hitch était particulièrement friand). Un bon petit spectacle aussi réussi qu'efficace!!
    Jack G
    Jack G

    2 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2020
    Considéré comme l’un des meilleurs films du début de la carrière d’Alfred Hitchcock, Les 39 Marches est aussi celui qui lui offre une véritable réputation internationale, en particulier aux Etats-Unis, un an après le succès respectable mais limité à l’Europe de son dernier long-métrage, L’Homme qui en savait trop.
    Fervent lecteur de John Buchan, auteur canadien de nombreux romans d’espionnage, Hitchock adapte en 1935 son roman le plus connu, Les 39 Marches. Le scénario, adapté par Charles Bennett, connu pour avoir participé à plusieurs de ses films au cours des années 1930, s’inspire très librement de l’œuvre originelle. C’est notamment le cas avec l’organisation secrète des 39 Marches, d’obédience nazie, un choix scénaristique qui fait écho à la montée en puissance contemporaine du nazisme en Allemagne que Buchan n’a donc pas pu connaître. Le personnage de Pamela est également une invention faite pour le film.
    Bien que Les 39 Marches soit le second film parlant du maître du suspense, il s’agit avant tout du premier à mettre en œuvre les ficelles du célèbre univers hitchcockien, dont la présence de la première blonde hitchcockienne, Madeleine Carroll, souvent séduisante et parfois méprisable. De toute évidence, il est aussi un modèle pour des fictions postérieures, que ce soit des mains d’Hitchcock lui-même (Jeune et Innocent, Correspondant 17, Cinquième Colonne et La Mort aux trousses) qui reprend notamment l’intrigue de l’homme banal accusé à tort et contraint de fuir, mais également de celles d’autres cinéastes, comme Ralph Thomas et Don Sharp, qui en font chacun un remake, respectivement en 1959 et en 1978.
    L’écriture du scénario est également l’une des plus élaborées de sa période anglaise. D’entrée de jeu, l’action démarre dans un coup de feu et une panique générale, entrainant la foule vers la sortie et le spectateur dans les filets tendus par Hitchcock. Les situations invraisemblables sont récurrentes au fil du scénario, dont l’intrusion de l’espionne anglaise dans l’appartement de Richard Hannay et la présence miraculeuse d’un petit exemplaire de la Bible dans la poche d’une veste. Au sujet de ce dernier élément, l’historien du cinéma Bernard Eisenschitz souligne sa présence antérieure dans Les Espions (1928), de Fritz Lang, qui est probablement l’une des inspirations majeures du réalisateur anglais. Quoiqu’il en soit, ces situations sont appréciées par les surréalistes et ont au moins le mérite de faire rêver le spectateur et de le surprendre. Le perfectionnement du scénario s’incarne également à travers le recours à un « MacGuffin », un terme conceptualisé par Hitchcock et qui fait sa première apparition dans sa filmographie. Il définit un élément particulier de l’intrigue qui procure un levier narratif, mais qui se révèle souvent sans utilité par la suite. En fait, c’est un simple prétexte pour faire évoluer le film vers un nouveau développement. Ici, il s’agit de plans qui semblent être dérobés.
    A l’écran, Les 39 Marches profite des interprétations travaillées de Robert Donat, au flegme typiquement britannique, et de Madeleine Carroll, le premier d’une longue série de couples hitchcockiens. Peu présente mais indispensable pour l’intrigue, Lucie Mannheim interprète l’espionne Annabella Smith, traquée par des agents nazis, une situation étrangement analogue à celle de l’actrice, contrainte de quitter l’Allemagne face à la montée du nazisme.
    Les 39 Marches définit les codes hitchcockiens et présente un scénario particulièrement travaillé, avec un rythme et des éléments que l’on retrouve dans ses productions plus tardives. On trouve déjà ce souci du détail, caractéristique du cinéaste, dont l’air qui trotte dans la tête de Hanney et la phalange coupée, élément qui permet d’identifier le principal antagoniste. Les nombreuses invraisemblances du scénario sont acclamées par les uns, décriées par les autres. On peut par exemple s’étonner de « Monsieur Mémoire », qui possède d’extraordinaires facultés de mémorisation mais dont la loyauté laisse grandement à désirer, puisqu’il suffit de lui poser la question pour qu’il vous révèle tout bonnement et simplement les secrets les plus enfouis de l’organisation secrète, et ce devant une foule de spectateurs.
    Lyson
    Lyson

    37 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2020
    Une femme assassinée, un homme innocent, un autre au doigt coupé, une mémoire phénoménale, une traque et des mains sur des bas. Hitchcock se révèle.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2020
    “Les 39 marches” est l’adaptation du roman de John Buchan par Alfred Hitchcock. L’action commence à Londres où un Canadien accepte de cacher une demoiselle rencontrée lors d’un spectacle musicale. La jeune femme est assassinée. Par crainte d’être accusé, l’homme fuit alors en Ecosse, où il pensera trouver les réponses de ce mystérieux meurtre. L’écriture pointilleuse du scénario offre au film de belles séquences de rebondissements. La mise en scène sans relâche dans le rythme est prenante de bout en bout. Il faut dire que les deux comédiens y sont pour beaucoup. “Les 39 marches” est certainement le meilleur film de la période anglaise du cinéaste.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2020
    Canadien vivant à Londres, Richard Hannay escorte une jeune femme à la sortie d'un théâtre, et en quelques heures, se voit injustement accusé de meurtre et mêlé à une conspiration d'espions contre la Grande Bretagne ! Alfred Hitchock signe là un thriller efficace, sans temps mort, avec une bonne dose d'humour à l'anglaise, et quelques scènes originales. Robert Donat est par ailleurs charmant en gentleman fugitif tentant de résoudre un sinistre complot. Cependant, le scénario a par moment vieilli, présentant quelques passages enfantins ou guère plausibles ( spoiler: le premier meurtre
    notamment). Il n'empêche, "The 39 Steps" demeure tout à fait divertissant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 octobre 2019
    Les trente-neuf marches du pouvoir sont des noms de codes pour passer à travers l'espionnage policier britannique, c'est le contre-espionnage nazi.
    Intéressante mise en scène, mise à contribution propagandiste, captivant à regarder agréablement, il n'y a que des excellences filmographiques à découvrir, le temps qui court est sur courte distance en piste pour le semi-marathon, une fuite escapade réjouissante qui fait plaisir.
    Menottes aux poignets liés pour le pire et le meilleur du film, que bonheur réuni en duo pour contrecarrer les plans course contre la montre pendule à l'heure de pointe.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 février 2019
    Le premier film de poursuite où-le-héros- injustement-accusé-doit-prouver-son-innocence-parce-que-la-police-est-trop-bête. Alfred Hitchcock reprendra la formule jusqu'à la nausée. Il adopte aussi une convention qui sera usée jusqu'à la corde à Hollywood, celle des deux héros qui se chamaillent avant de tomber follement amoureux. Si le couple nous accorde quelques tirades amusantes, il n'est pas très glamour (Madeleine Caroll est un peu pâle), malgré la scène osée du retirage des bas et le frôlement des mains du héros. Tout cela a vieilli et est lassant par un total manque d'originalité et de fraîcheur. Le scénario ne tient pas la route une minute. Seules l'atmosphère de l'Ecosse et quelques scènes (les passagers du train) nous sortent un peu de la torpeur.
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