Avis : Just married (ou presque) - Page 2

Le couple de Pretty Woman réuni dans une nouvelle comédie romantique, ça méritait le déplacement !

un peu déçue au final, car j'ai pas vraiment accroché à l'histoire de cette femme-marieuse qui s'enfuie systématique le jour des noces...

Sympathique sans plus...

Enfin le retour de Julia Roberts et Richard Gere ensemble à l'écran. Certes ce film ne remplacera jamais Pretty Woman mais il n'en est pas moins un film magnifique et émouvant que l'on peut regarder sans se lasser. De +, les acteurs sont, comme toujours, géniaux !

Cette petite romance de Garry MARSHALL vaut surtout pour la réunion du couple emblématique de "Pretty Woman". Dix ans après, Julia ROBERTS et Richard GERE se retrouvent dans une histoire bien trop prévisible pour être convaincante. "Just married (ou presque)" n'évite pas l'écueil de la mièvrerie. Tout est pétri de bons sentiments. Ce n'est ni bon ni mauvais. Juste banal et prévisible.

Pour ces retrouvailles entre Julia Roberts et Richard Gere, on s'attendait à mieux.

Gary Marshal réunit à nouveau Richard Gere et Julia Roberts et tente de retrouver le succès de "Pretty woman". Malheureusement ça ne marche pas cette fois. Le scénario est fade et même un peu grotesque. Les dialogues sonnent creux. Il ne reste finalement que le plaisir de retrouver Gere et Roberts qui restent assez charismatiques. Trop peu ...

Une très bonne comédie romantique américaine avec Richard Gere et Julia Roberts très marrante et délirante. Une belle romance.

Après avoir redécouvert "Pretty Woman" que j’apprécie beaucoup, je retombe ici sur du Garry Marshall que je n'aime pas. Sorti en 1999, le film réuni de nouveau Julia Roberts et Richard Gere dans une comédie romantique qui raconte l'histoire d'une homme qui écrit un article sur une femme qui fuit à tous ses mariages. Mélange donc entre "Pretty Woman" évidemment (on retrouve les deux acteurs mais également la confrontation de deux mondes différents, ici l'urbain contre le rural) et le très kitch "Perfect" (comédie romantique sur un mec qui écrit un article sur une femme qui donne des cours de fitness), nous sommes dans du Garry Marshall que je n'aime pas dans le sens où c'est très conventionnel, niais et long. Alors, "Pretty Woman" avait un peu les mêmes défauts mais le film a su tirer son épingle du jeu avec des personnages très attachants et puis surtout une situation plutôt originale : la rencontre entre une prostitué et un homme d'affaire. Et si ces deux personnages sortaient d'un monde que tout oppose, ils étaient néanmoins complices durant tout le film, rendant certes ce dernier prévisible, mais prenant un peu moins ses spectateurs pour des idiots. Ici, nous avons la caricature parfaite du téléfilm de Noël : un journaliste va dans une petite ville américaine pour écrire un article, tombe sur une femme à l'opposé de lui, ne peuvent pas se saquer durant les trois quarts du film, tout en se dragouillant, rendant le film éminemment prévisible. Et ce ne sont malheureusement pas les deux têtes d'affiche qui rattraperont l'ensemble, ne semblant jamais vraiment impliqués dans leur personnage. Et on les comprends, ce sont des personnages plats et sans saveur qui peuvent être interprétés par n'importe quel acteur tant ils sont interchangeables. "Just Married (ou presque)" est donc en somme une comédie sans saveur, bien longue et ennuyante.

Une comédie gentillette et romantique et un peu cucul ,et plat dans l'ensemble pas terrible au final

Comèdie romantique du siècle dernier, le "Runaway Bride" de Garry Marshall permet de retrouver le couple gagnant Richard Gere-Julia Roberts qui cassa la baraque au dèbut des annèes 90! Quand il s'agit d'interprèter la mesure, l'èlègance, l'expèrience de la vie, Hector Elizondo, qu'on a plaisir à revoir, rèpond ègalement prèsent dans la distribution même si on ne le voit que finalement très peu! La nouvelle comèdie pensèe pour Richard Gere en journaliste misogyne et de Julia Roberts en quincaillère d'un bled qui annule ses mariages au dernier moment tient sans trop de mal ses modestes promesses avec une dèconcertante facilitè! Leur duo rèserve quelques passages cocasses: Roberts galopant à cheval et en robe de marièe, Gere arborant une coiffure multicolore ou faisant la danse du serpent! Rien de neuf à l'horizon mais ça marche à tous les coups même s'il faut vraiment être aussi candide que les deux hèros pour s'attendrir sur leur rencontre! Monologues passionnès, multiples rebondissements et B.O efficace (« I Still Haven't Found What I'm Looking For » de U2, « You Can't Hurry Love » de Dixie Chicks, le gènial « Maneater » de Daryl Hall & John Oates...) s'ajoutent au menu....

Aïe... Décidément, cela devient impossible au XXIème siècle de trouver un film potable réalisé par Garry Marshall. Ce dernier a sans doute pensé qu'en réunissant le duo de « Pretty Woman », le succès et la réussite reviendrait comme par magie : on en est loin. Au-delà du fait que la belle Julia Roberts et Richard Gere soient dans une petite forme, c'est surtout le rythme qui nous interpelle. Que c'est mollasson, poussif, quasiment dénué de charme... Quelques seconds rôles (Joan Cusack en tête) ont beau faire de leur mieux, cela ne prend quasiment jamais, si ce n'est lors de rares scènes nous décrochant un sourire. Ainsi, ce qui aurait pu être un sympathique divertissement devient rapidement d'un ennui terrifiant tant le metteur en scène n'a rien à dire et ne sait absolument pas quoi faire de son amusante idée de départ, comme en témoigne un nombre de conventions que l'on renonce rapidement à compter. J'aurais presque envie d'utiliser le terme « nul », mais je ne vais pas le faire par charité et parce que « Just Married », malgré sa terrifiante médiocrité, se situe nettement au-dessus des désastreux « Valentine's Day » et « Happy New Year », les deux derniers « chefs-d'œuvre » de l'ami Garry. Triste constat...

Cette comédie romantique ultra-prévisible et stéréotypée fut mise en chantier et vendue,uniquement sur les retrouvailles du duo vedette Julia Roberts/Richard Gere.C'est pourtant loin d'être un Pretty Woman 2,le charme innocent ayant laissé place aux convenances sentimentales et à la guimauce nauséeuse."Just married(ou presque)"(1999)replaçait aussi Garry Marshall derrière la caméra,et son fidèle acolyte Hector Elizondo pour un second rôle toujours bien senti.Une fille de l'Amérique profonde a pris pour habitude de larguer tous ses fiancés devant l'autel,au point de s'attirer la curiosité d'un journaliste new-yorkais narquois.Evidemment,que tout est prévu d'avançe,y compris la fausse première fin.Julia Roberts a beau esquisser ses plus éclatants sourires,elle n'a aucun os à ronger pour rendre son personnage de fille indécise,intéressant.Pour Richard Gere,c'est encore pire,puisqu'il ne prend même pas la peine de faire semblant.Il cachetonne l'oeil las et le charisme en berne.Mais je crois que le pire,c'est ce ton hystérique propre à séduire les midinettes (très)peu regardantes sur la marchandise et les abominables personnages périphériques.Catastrophique et cacophonique.

Près de dix années se sont écoulées depuis "Pretty woman", et voilà que le metteur en scène Garry Marshall vient nous proposer une nouvelle romance avec son duo fétiche. Cherchant certainement à retrouver le succès de son film emblématique de 1990, le cinéaste refait donc appel au couple Richard Gere/Julia Roberts, et ne s'arrête pas là, puisqu'il reprend également l'acteur Hector Elizondo (incarnant le manager de l'hôtel dans "Pretty woman"). Le cinéaste espère donc retrouver le public admirateur du couple mythique qu'il a su faire briller aux débuts des années 90, et ce sera d'ailleurs tout simplement sur cet aspect que "Just married (ou presque)" sera construit. En effet, ce film qui ne sera qu'une simple comédie romantique banale, niaise, et terriblement épuisante, se ressentira comme une grossière facilité lucrative, misant sur la nostalgie des spectateurs. Même s'il n'y aura rien à voir dans le scénario et les personnages (ici on suivra une femme effrayée à l'idée de se marier et prenant pour habitude de s'enfuir devant l'autel), on ne pourra s'empêcher de faire un comparatif avec "Pretty woman" (c'est de toute façon là-dessus qu'il s'est appuyé pour se vendre). "Just married (ou presque)" sera bien loin de son objectif principal, et à contrario, vexera son public, pris à cette occasion pour une vache à lait.

La volonté de surfer sur la vague "pretty Woman", mais le scénario est bien faible, peu crédible. Les personnages sont mal campés. Même les acteurs n'ont pas l'air de vraiment y croire . C'est poussif, on sourit parfois, mais très modestement . On s'ennuie souvent aussi.

Il y a eu quelques bons film dans les années 90 et celui-ci n'en fait pas partie. Un navet de plus.

La volonté de faire un Pretty Woman 2 est bien là, le même producteur qui embauche bien évidemment les deux vedettes de la comédie romantique culte de cette décennie. La recette reste la même pour commencer puisque l'on présente Julia Roberts et Richard Gere en deux êtres diamétralement opposés que l'évidence va rapprocher. Enfin, là ou Pretty Woman a fonctionné à merveille avec beaucoup d'élégance et une romance menée de façon naturelle, ici on pêche plus côté standard de la comédie romantique. Pourtant malgré ce constat je dois quand même avouer que je m'attendais à pire. Gere n'est pas terrible, mais Robert est vraiment radieuse et son expérience a rendu son jeu plus assuré. On se doute bien évidemment du dénouement, mais l'histoire réserve quelques surprises et les dialogues sont parfois plus intelligents que ce que l'on attend (j'ai bien dis parfois). Car dans le fond, cette obsession du mariage pour l’Amérique de base est peut-être plus ou moins toujours vrai aujourd'hui, mais alors pour nous européens, cette histoire de mœurs à d'autant plus mal vieillis comparé au propos plus universel de Pretty Woman malgré la chronologie des deux films. Enfin une mariée qui fuit ça à de quoi intriguer (surtout quand on sait combien coûte un mariage bordel), c'est donc plutôt amusé que l'on se laisse bien avoir par cette romance ciné anecdotique.