Avis : Night Run - Page 9

Ed Harris toujours aussi bon ... J aime bien comme c est filmé ..New York ... La nuit une certaine atmosphère se dégage digne des vieux polards des années 50 mais sinon l intrigue et l histoire sont bien faibles pour nous tenir en haleine tout le long du film ... A voir un dimanche soir de pluie tranquillement sous la couette ....

Un seul objectif en tête en entrant dans la salle, voir un film en coupant un peu son cerveau. Pari réussi, même si le cerveau est tout de même nécessaire par moments dans les films de Jaume Collet-Serra.

Troisième collaboration entre le réalisateur et l'acteur, on suit les relations père-fils de deux hommes, amenés à devenir des antagonistes, à savoir Liam Neeson et Ed Harris, du très lourd donc.

Premier constat, le film est superbe. Les plans sont tous très léchés, illustrant un New York nocturne très angoissant avec des lumières superbes. Même la mise en scène, avec cette idée de travelling dans toute la ville pour montrer la distance qui sépare les héros et ainsi montrer la présence du danger ou non, a son petit effet et le long-métrage est donc très plaisant à voir.

Evidemment, même si certains thèmes sont un peu neufs, l'idée de base ne va pas trop dans la nouveauté, on est donc plus captivés par les performances des acteurs, tous excellents dans leurs rôles, que par le scénario. Liam Neeson est comme d'habitude très juste dans ce registre qui lui colle à la peau depuis quelques années, Ed Harris est juste génial en tant que parrain de la mafia rongé par la haine et la vengeance et Joël Kinnaman se révèle beaucoup plus intéressant et humain que dans le Robocop sorti l'an passé.

Petit bémol, ça fait trois films où Liam Neeson jour le rôle d'un homme un peu perdu qui a des choses à se reprocher dans son passé, sans compter les Taken, Balade entre les tombes et autre. On sait que le monsieur est bon, car le monsieur sait à peu près tout jouer. Mais justement, lâchez-le un peu avec les films d'action, même s'il est prêt à en faire encore quelques uns pour s'amuser, et donnez lui des interprétations un peu plus innovantes, nom de Dieu.

Bien sûr, l'histoire est très prenante, quelques longueurs sont présentes en milieu de projection et malheureusement, le parti-pris de la scène d'introduction gâche certaines choses, mais on suit néanmoins le long-métrage avec intérêt quand au fait de découvrir son issue, et l'idée de la relation père-fils vis à vis de la gâchette est presque aussi intéressante que la relation entre les deux anciens elle-même.

J'ai donc passé un bon moment devant Night Run, qui ne rentrera pas dans les annales, mais qui, tout comme Non Stop, mérite d'être découvert rien que pour la tension qui se dégage de tout ça par moments.

totale réussite de plus. acteur de talent, histoire d'un bandit en fuite est totalement réussi, un tueur a gage pour pimenter les choses, flic corrompu, le patron du crime, action et explosions. mais la famille a protéger compte plus que tout au bout du compte.

Night Run réalisé par Jaume Collet-Serra en 2015.
*Les points que j'ai appréciés →
• Le face à face Neeson - Harris
• L'histoire de vengeance malgré l'amitié

*Les points que je n'ai pas appréciés →
• Le rythme assez mou du film
• Les combats (rien d'innovant

*Conclusion →
J'ai aimé, c'est efficace mais classique. 6/10.

Il serait temps que Liam Neeson change un peu de rôle.... L'ancien fatigué et usé par les épreuves de la vie qui en a encore masse sous le pied si on viens l’embêter... C'est du vu et revu 100 fois, même avec la petite variante du fils, sans crédibilité aucune d'ailleurs. Ed harris apporte heureusement un petit quelque chose mais c'est bien fade. Pour se détendre ça passe mais 1 heure aprés tout est oublié à juste titre.

Pas terribe, c'est le moijns qu'on puisse dire... Fan de la saga Taken avec Liam Neeson et des films comme Abyss avec Ed Harris, je m'attendais à autre chose qu'à de la violence et des réparties sur la longueur d'un certain appendice toutes les 5 minutes... Adepte de la violence gratuite et des scenari basés sur ça, foncez. Si vous aimez les films avec un peu plus de consistance que celle offerte par un coup de poing. Passez à autre chose...

"Night Run" est l'après "Non-Stop", et Collet-Serra reprend Liam Neeson pour un rôle qui, psychologiquement, ne change en rien. C'est triste de voir aussi peu de différence entre deux personnages, mince ça pourrait être le même, ce film pourrait juste être sa suite! Et donc, bien sûr, la mécanique du film noir est reprise, avec ses acteurs fétiches, ses mafieux, son tueur à gages, son père qui tente de reprendre confiance dans l'esprit de son fils... La mise en scène, pour donner l'impression que l'oeuvre avance, use de plans rapides et pour la plupart efficaces, même si ce n'est pas bien mené côté scénario. Car Collet-Serra, comme à son habitude, en fait trop : il enfile les situations grotesques (la scène d'action dans l'immeuble, grandiloquente pour un rien car trop répétitive) et les "explications" inutiles, dont une par rapport à la tête de lit dans la chambre d'enfant de Danny, fils d'un Ed Harris vieillissant mais toujours aussi classe. C'est clair il sait mettre en scène ses acteurs et imprégner de la tension à ses scènes, jusqu'à l'explosion finale. Mais toute la phase mental est envolée, dépassée, ou si un peu branchée à la réalisation, vite partie en fumée... Ne parlons pas de ces véritables caricatures qui sur-jouent et traversent l'écran pour se faire oublier, deux secondes plus tard. Comme ce tueur à gages superflu et toujours grossier dans sa constitution, qui n'est juste qu'un accessoire en plus dans l'univers aucunement varié du chef de ce projet. Petite surprise pour le jeune Joel Kinnaman (le fils de Neeson dans le long), étonnant de par son assez bon jeu d'acteur, à travers sa sobriété et vitalité qui lui colle si bien à la peau. Il devrait prendre la place d'un Liam Neeson fatigué et esseulé, et qui n'a sûrement plus la tête à ça. Ce dernier, en tout cas, ça serait un acteur qui pourrait revoir ses plans de carrière à la baisse, et ce assez vite. Un film au même niveau que "Non-Stop", pas assez original et à l'action pas assez dense pour plaire complètement.

Très bon film, quand on regarde les films avec Liam Neeson on ne le regrette jamais... Une histoire où l'on retrouve maintenant systématiquement un Liam Neeson artiste du combat et du meurtre mais on ne s'en lasse pas.

Jaume Collet-Serra remonte enfin dans mon estime ! Après les prometteurs mais décevants Sans identité et Non Stop, le réalisateur retrouve Liam Neeson pour un thriller noir bien agréable.
Le défaut majeur des 2 films sus-cités était leur scénario qui ne tenait pas jusqu'au bout avec leur final très décevant. Ici, on ne cherche pas de twist final foireux. Le scénario est plus classique mais se tient de bout en bout. Le réalisation rythmée de Collet-Sera sied parfaitement à ce thriller noir et met en valeur les jeux d'acteur de ses têtes d'affiche : Liam Neeson toujours aussi charismatique et bien mieux utilisé que dans les derniers Taken et Ed Harris bien à son aise dans ce rôle de mafieu fatigué. L'originalité de leur relation et de leur opposition malgré eux rajoute de l'émotion à leur face à face efficace.
Une bonne surprise !

Un thriller assez classique, liam nesson fait le job, et laisse ressortir de lui une petite part d'humanité. La tram est plutot basique, mais le tout reste assez convainquant. 3/5

Arfff sa se regarde sans plus heureusement que Liam porte son film car l'histoire aurait pu être un peu plus travailler il y a eu minimum syndical sur ce coup la

Déçue par Taken 3, je suis quand même allée voir Night run parce qu'il y avait Ed Harris et je n'ai pas été déçue. Night run est un thriller palpitant, sans temps mort, Liam Neeson et Ed Harris sont excellents.

Je vais être directe, je n’aime pas trop les films avec Liam Neeson, mais je dois reconnaitre que j’ai trouvé celui-ci très bon. Je n’apprécie pas que d’habitude avec lui ça parte un peu dans tous les sens, l’action prenant le pas sur la cohérence. Là, ce n’est pas du tout le cas. Tout se tient bien et c’est agréable. C’est un de ces scénarios habituel où Liam Neeson doit jouer le grand sauveur, invincible à la Chuck Norris. Cela va nous permettre de voir beaucoup de scènes d’action. Elles apportent beaucoup de dynamique mais n’écrasent pas l’histoire. Certes, celle-ci est basique mais elle a le mérite d’exister et de se développer. Un fil rouge qui donne de l’intérêt aux séquences action. Au passage on aura quelques faux raccords mais ce n’est pas trop choquant. J’ai trouvé une certaine tension plus on avance dans le film. Un suspense qui est prenant. Liam Neeson est donc l’acteur idéal pour ce rôle. Il est sobre et efficace. Connu pour sa prestation dans des séries (HOUSE OF CARDS / ALTERED CARBON), Joel Kinnaman est un parfait accompagnement. Cette année, vous pouvez le voir dans THE INFORMER. Même le casting secondaire est d’un beau niveau avec Ed Harris et Vincent D'Onofrio. J’aime beaucoup ces deux acteurs. Par contre, le petit excès du film vient d’un autre personnage secondaire joué par Common. Il va alourdir le contenu.

« Night run » est un film d'action pur et dur qui ravira à coup sûr les amateurs du genre. L'inébranlable Liam Neeson y campe une nouvelle fois un homme, seul contre tous, qui doit se battre jusqu'à la mort pour protéger sa progéniture... Autant dire qu'il connaît la musique par cœur ! Pour autant, s'il n'y a aucune surprise à attendre de sa prestation, il faut bien reconnaître qu'elle est parfaitement maîtrisée et fonctionne parfaitement. Les coups de feu pleuvent à gogo et, comme le veut la tradition, ils font mouche à chaque fois (pour le plus grand plaisir des aficionados). Autre bonne surprise du casting, Ed Harris se régale visiblement dans un rôle plus ambiguë qui lui permet d'exprimer toute la dimension de son immense talent. L'affrontement entre ces deux grands acteurs est d'ailleurs un des atouts principaux du film. Techniquement, la réalisation de Jaume Collet-Serra (« Esther ») est très propre, l'action est omniprésente et il est impossible de s'ennuyer malgré un scénario vu et revu des dizaines de fois... Les cascades sont impressionnantes et le suspense présent jusqu'à la toute dernière image. Bref, tous les ingrédients sont réunis pour passer un très bon moment de cinéma policier. Je conseille vivement !

Night Run, le troisième film consécutif de Jaume Collet-Serra conjointement avec la star sexagénaire de l’action, Liam Neeson, ne surprendra personne. Dans un premier temps, il s’agit tout bonnement d’un polar d’action comme l’industrie du cinéma en produit par douzaines, quand bien même quelques-uns, dont celui-ci, nous gratifient de quelques innovations mineures. Mais par-dessus tout, il s’agit d’un énième pamphlet axé sur la maîtrise de toutes les catastrophes et causes perdues par un personnage joué par Liam Neeson, incarnant perpétuellement un dur à cuire rangé des voitures, au passé lourd de remords mais aux talents meurtriers d’une rare vivacité. En gros, nous connaissons la musique sur le bout des doigts, au même titre que les expressions ravagées mais préconçues de la star, dans son nouveau costume de héros dans la tempête, bravant les aléas de l’âge et toutes formes de déprédations physiques. Oui, malgré des années d’alcoolisme notoire, il s’agit par définition d’un ivrogne peu ragoûtant, la force, l’endurance et la musculature ne font pas défaut lorsqu’il s’agit de sauver le fiston.

Dans son genre, Night Run, accessoirement un succès plus ou moins notable au Box-Office francophone en ce début d’année, n’est guère très emballant. Pour autant, Liam Neeson n’étant pas seul au front, les apparitions d’Ed Harris, en plein cabotinage, ou encore de Joel Kinnaman, amène un peu de variété, offrant des personnalités en mesure de rivaliser un tant soit peu avec le grand et ténébreux irlandais. Les personnages secondaires ne sont pour autant jamais mis sur un quelconque pied d’égalité avec le héros, lui servant simplement de motifs à ses actions, toutes plus ou moins improbables vu de personnage décrit au début du récit. Polar, certes, mais film d’action avant tout, comme le fussent Sans identité et Non-Stop, deux films dans la même veine, les séquences de bastonnade, de poursuite et de fusillades s’enchaînent. Alors que le final s’avère le moins bon morceau de bravoure du vieux héros, une poursuite motorisée dans les rues New-Yorkaises ou encore la séquence de descente de police dans la cité nous font entrevoir le fait que Jaume Collet-Serra n’est pas forcément maladroit.

Filmant New-York avec une certaine grâce passagère, la nuit, sous la pluie, le réalisateur n’est pas mauvais lorsqu’il s’agit de dynamiser ses séquences d’action. Imprégnée d’une violence d’apparence authentique, les règlements de comptes entre les protagonistes sont correctes, certes, mais font montre, pourtant, d’un défaut. Le directeur de la photographie, pour l’occasion, ne semble pas à la hauteur, accentuant inutilement les contrastes, ne maîtrisant que partiellement les éclairages et commettant par-ci par-là quelques bourdes au niveau des reflets lumineux. Qu’importe donc la haute définition d’usage aujourd’hui, Night Run semble ne pas s’adapter à cette technologie indispensable, se voulant un film d’une autre époque sur le plan artistique comme d’inspiration, soit les années 80 et l’école du justicier dans la ville.

Sans surprise, sans audace, le cinéaste latin nous livre une troisième partition attendue, saupoudrée de quelques bonnes idées qui ne suffisent pourtant pas à sortir son film du stéréotype. Enchaînant les poncifs du genre, chez toutes sortes de metteurs en scène, le pire étant Olivier Mégaton, Liam Neeson est la seule constante dans toute cette affaire, le pilier inébranlable d’une série de film qui tournent en rond depuis maintenant quelque temps. Les amateurs apprécieront, les autres en resteront froids. Avis aux intéressés, s’il y en a encore qui visionnent ce type de film pour tout autre chose que par dépit ou curiosité. 07/20