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    Les Grandes Ondes (à l'ouest)
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    95 critiques spectateurs

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    Zoé B.
    Zoé B.

    441 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2014
    Foncez voir "Les Grandes Ondes". C’est la très bonne surprise de cette semaine, malheureusement éclipsée par les sorties tonitruantes des "3 Frères, le retour" et autres "La Belle et la Bête". Une comédie désopilante et formidablement originale. Ni adaptation de bd, ni festival de vannes, ni exercice parodique, juste un drôle de petit film qui trace sa route tout seul, avec son mélange détonnant d’ironie, de liberté et d’invention. Sur un argument plutôt saugrenu (une équipe de la radio suisse, envoyée au Portugal pour mener un improbable reportage commandité par sa tutelle, tombe en pleine révolution des œillets) Lionel Baier signe une reconstitution savoureuse et stylée, moins tapageuse qu’un OSS 117 par exemple, mais tout aussi inspirée. Les cadres, les couleurs, les costumes, le grain même du film… tout, l’air de rien, est travaillé pour donner à ces "Grandes Ondes" un look d’époque assez remarquable, réjouissant sans être jamais tape-à-l’œil. Cette élégante légèreté, c’est la marque de Baier. On la retrouve dans ses dialogues, dans sa mise en scène. Dans le jeu des acteurs aussi : Michel Vuillermoz, aussi hilarant que bouleversant en ancienne gloire du nagra dont la mémoire se débobine peu à peu, et Valerie Donzelli, bluffante en héroïne du féminisme, avec son abattage et son sens du tempo. Ensemble, ils se permettent tout, même une échappée burslesque dans la comédie musicale. Portée par la belle musique de Gershwin, leur épopée hédoniste est un vrai bijou.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 février 2014
    Le cinéma hélvète, j'en vois assez peu, finalement (je n'ai pas vu, par exemple "Home" d'Ursula Maier, qui fait d'ailleurs une petite apparition sympa dans ce film, en compagnie d'autres metteurs en scène), et de ce cinéaste, Lionel Baier, je savais tout juste qu'il avait réalisé quelques autofictions ("Un Garcon Fragile", Un autre homme", des films bien notés par la critique intello mais très peu vus) , mais j'ignorais qu'il avait commencé un projet de tétralogie liée aux points cardinaux Nord, Sud, Est et Ouest.

    Après Comme des voleurs (à l’Est) tourné en 2007 et dont la sortie en salles fut restée très confidentie, du moins en France, voici le volet centré sur l'Est puisque le film se déroule non pas en Suisse, à part le tout début, mais au Portugal, dans les années 70, en pleine révolution des oeillets.

    Visiblement, et je l'ignorais totalement avant de voir ce film, il y a une vraie relation qui lient la Suisse et le Portugal (et d'ailleurs, la majorité des étrangers vivants en Suisse sont Portugais), et le film commence lorsque le directeur des programmes de la Radio suisse romande est chargé par le gouvernement suisse d' envoyer une équipe au Portugal, afin de raconter les grandes réalisations de la coopération suisse.

    Evidemment, comme on est dans une comédie et que le directeur des programmes ne croit pas des masses à ce projet, l'équipe est quand même composée d'une belle bande de bras cassés qui amène pas mal de situations et de dialogues très drôles : un ancien grand reporter devenu amnésique, une animatrice d'émissions spécialisé sur les préoccupations féminines et un technicien pas bien motivé, car proche de la retraite, et évidemment, le voyage ne va pas du tout se passer comme prévu, l'équipe étant prise en pleine révolution des Oeillets, et plus exactement ce jour du 25 avril 1974 qui voit la rebellion dans la rue contre le régime dictatorial de Salazar.

    De cette virée dans la démocratie naissante portugaise (on connait mal cette période de l'histoire que le cinéma a peu exploité, et c'est tout à l'honneur du réalisateur de mettre un zoom sur cette époque), émane donc un parfum un peu nostalgique absolument délicieux, un parfum qui permet à Lionel Baier d'insuffler à sa comédie une bonne dose poésie, et également une petite dose de profondeur, le film nous rappelant, en toute subtilité, à quel point la démocratie est une valeur essentielle et fragile à la fois.

    Et on apprécie également dans Les grandes Ondes (à' l'Ouest) la douce folie des personnages, particulièrement bien dessinés : si on se régale de voir que l'alchimie du duo Vuillermoz/ Donzelli fonctionne parfaitement, que dire de Pelé, le jeune commis portugais qui a appris le français en regardant les films de Pagnol et qui met des peuchères à toutes ses phrases, qui est assurément une très belle trouvaille de scénario.

    Bref, Lionel Baier a réalisé un très joli feel good movie intelligent et original, que je vous recommande sans hésiter une seule seconde!!
    VILLE.G
    VILLE.G

    48 abonnés 624 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 mars 2014
    Un film pas terrible du tout. Pas dramatique car je suis resté jusqu'au bout.
    Mais un sentiment de médiocrité générale: pas vraiment intéressant, pas vraiment bien joué ni bien filmé.
    Heureusement que c'était avec une carte "illimitée" car je n'ai eu que le sentiment de perdre mon temps. Si j'avais du payer, je pense que je leur en aurais voulu.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2014
    La Suisse.... Son couteau homonyme, son horlogerie, son chocolat, ses banques....
    Le réalisateur Lionel Baier, 38 ans, lui-même helvète (d'origine polonaise), n'évoque ici ni la confiserie, ni les solides établissements financiers de son pays, mais le jeune Pelé aura l'occasion de découvrir cette petite merveille d'ingéniosité qu'est le couteau multi-fonctions, et les 3 "héros" verront que l'entraide suisse à un pays "ami" se limite quasiment (à un mélangeur eau chaude/eau froide près), en matière scolaire, à un don horloger.
    Nous sommes au printemps 1974 (mille neuf cent septante quatre, évidemment). Une ambitieuse journaliste trentenaire (qui voudrait vite évoluer au-delà de sa chronique "féministe"), Julie, et un ancien correspondant de guerre glorieux et vieillissant, Cauvin, s'envolent de Lausanne pour le Portugal en vue d'un reportage-radio pour la SSR. Ils vont s'engager dans le pays "profond", à bord du combi de Bob, le technicien qui les a précédés, à la recherche des signes de la coopération lusitano-helvète. Le portugais de Cauvin étant étonnant, Julie décide d'embarquer dans l'aventure Pelé,18 ans, rencontré lors d'une halte. Le garçon a appris le français en visionnant à maintes reprises les films de Pagnol avec son père projectionniste, "peuchère". Cauvin qui perd la mémoire, Julie qui affole l'autochtone en se baignant en tenue d'Eve dans les ruisseaux, Bob qui dort dans son véhicule : 3 Pieds nickelés, et des pros très inhabituels, à la poursuite d'un sujet fumeux. Quand l'actualité s'invite dans la balade. C'est la Révolution des oeillets !
    Baier (que je découvre) a une façon très personnelle (et savoureuse) de raconter l'Histoire - ici, la fin du très long régime autoritaire salazariste, l'Estado Novo, qui avait survécu de 4 ans à son initiateur, mort en 1970. C'est l'armée qui dépose le successeur du très atypique Salazar, Caetano. Une vision géopolitique originale au travers d'un trio de "neutres", des Suisses romands, improbables témoins, et même acteurs (à la marge) du changement de régime. C'est vif, percutant et très amusant. Bonne surprise que cette chronique drolatique - à quelques facilités et surcharges près, côté liesse populaire et révolution tous azimuts, sexuelle comprise. Gershwin s'avère un excellent choix pour rythmer les péripéties - et pour improviser un bout de "musical" dans les rues de Lisbonne (sur "Porgy & Bess"). La reconstitution d'époque est bluffante, "grain" de la pellicule compris.
    Michel Vuillermoz, parfait en Cauvin, se détache du reste de la distribution.
    momo M.
    momo M.

    35 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 février 2014
    Je n'ai pas du tout accroché à ce film. Heureusement que la révolution arrive dans la deuxième partie, parce qu'avant on s'ennuie ferme. Film un peu déjanté, original certes, mais en fait sans grand intérêt.
    funpav
    funpav

    13 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 février 2014
    mais je n'ai pas vu le même film que les spectateurs et critiques? moi j'ai vu un film creux, vide, lent, poussif, qui n'est pas drôle, qui mélange les genres (que vient faire cette scène de "comédie musicale" qui vient comme un cheveu sur la soupe?). Les acteurs font ce qu'ils peuvent mais que j'ai trouvé le temps long... alors que le film dure 1h30: au bout de 20 minutes je regardais déjà ma montre. Dans la salle quasi vide (7 personnes...) je n'ai pas entendu un éclat de rire, ce qui est le comble pour un film qui se prétend être une comédie. Bref c'est totalement indigent, mal construit, insipide, et on peut passer à côté sans problème.
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2014
    Que cela fait plaisir de rencontrer des films , où l'humour est fin et souvent avisé, sans extravagance....
    Le ton du film est authentique et feutré....
    L'histoire est simple et révélatrice de toute une époque, les années 73, 74.....
    Une équipe de radio suisse se rend au Portugal pour un reportage, cela lui vaut quelques rencontres inattendues, un admirateur de Pagnol, une équipe de radio belge, la révolution des œillets ....
    Les paysages sont beaux, le rythme est retenu et la caméra conviviale....
    les acteurs Valérie Donzelli , Michel Vuillermoz sont si ordinaires et attachants qu'on les croiraient réels et leur humanité est souvent drôle.....
    Film d'humour, d'histoire, d'émancipation sexuelle, les sujets abordés par le film sont parfaitement traités, quant aux décors et véhicules d'époque, il est étonnant que le réalisateur en est trouvé autant...
    A ne pas rater....
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    19 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2014
    Sous prétexte d'un reportage sur la collaboration dans de projets "éducatifs" au Portugal, une équipe de reporteurs suisses se déplace dans ce pays sans savoir qu'ils tombent juste au moment de la révolution d'avril en 1974.... Ça c'est le "décor", après il y a la forme, la parodie, les clichés à tout va, le guignolesque....la méthode qui est mise en place pour construire cette comédie frôle le ridicule. Franchement et malgré quelques rigolades que j'ai entendues dans la salle où j'étais, je n'ai même pas pu sourire. Nul...vraiment je ne sais pas que ce qu'ils ont vu les critiques dans ce film qui prétend être original et ouvrir une nouvelle voie dans la filmographie francophone....
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 087 abonnés 4 214 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2016
    Bon, ben une petite comédie suisse bien sympathique que Les Grandes ondes. Quelques coups de mou, mais un ensemble qui s’avère vraiment agréable !
    Ce qui est agréable en premier lieu c’est l’impression de fraicheur que dégage le film. Joyeux, coloré, avec parfois un propos engagé mais toujours discret, Les Grandes ondes s’avère léger, optimiste, et ça fait clairement du bien. C’est de la bonne comédie, avec quelques gags bien vus, un humour qui frôle parfois le burlesque, et une tonalité années 70 babacool et gentiment délurée bien saisie. L’histoire est décalée, mais elle se tient finalement, et malgré quelques baisses de régime comme indiquait en introduction, le film est suffisamment court et suffisamment divertissant par ailleurs pour que cela ne se ressente pas trop.
    Côté casting c’est très sympa. Il y avait visiblement une franche complicité entre les acteurs, tous s’amusent comme de petits fous, et livrent des prestations enthousiasmantes. C’est particulièrement le cas d’un Michel Vuillermoz assez énorme dans son rôle, et de Valérie Donzelli, qui crève l’écran. Pétillante, drôle, maladroite, engagée, elle est aussi redoutablement séduisante, n’hésitant pas d’ailleurs à exposer ses charmes à plusieurs reprises ! Très bon choix d’acteurs, tous bien vus pour leurs rôles, et vraiment investis dans le projet.
    Sur la forme peu de choses à dire. Sur une bande son non inédite aux sonorités gerschwinienne, le film se déroule, porté par une photographie colorée du meilleur aloi, une reconstitution soignée même si on sent parfois le poids du studio et d’un budget un peu restreint, et la mise en scène est dynamique, pimpante, à l’image du film en fait !
    Les Grandes ondes est franchement une bonne découverte. Quelques aspérités certes, mais le résultat est bien plaisant, original, et comme je l’ai déjà dit la bonne humeur du film est vraiment communicative. On a envie de faire partie de cette équipe de bras cassés ! 4
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 février 2014
    Difficile de connaitre le point de vue exact de ce film, dans lequel on ne s'est livré-fort heureusement à mon avis- ni à un exercice de reconstitution des seventies, pas plus qu'à un moindre début d'étude de la révolution des œillets.
    Bien sur le combi VW reste un emblème fort de ces années et le véhicule idéal pour un road movie mais ni la mode vestimentaire, ni le port des favoris (sauf chez l assistant de de Roulet tout au début du film), ni les façons de parler de l époque ne transpirent chez nos 4 personnages. et même si l on a ressorti une collection des mini postes de radio de l époque, le parfum n'y est pas vraiment.
    Un plan très révélateur , plus exactement un arrière plan, est celui où l on tente - semble t'il en pure perte - de recouvrir un fauteuil en forme de main d'une couleur épouvantablement criarde, lui très 70's et qui n'y a pas survécu. Sans aucun rapport avec l histoire, cette image semble témoigner de l impossible disparition du passé.
    Putain 74, c'est l année: Salazar foutu au panier, Franco alité, l'avortement - palier incontournable pour toute démocratie- permis aux Etats Unis depuis l année précédente, et en janvier 75, chez nous, la campagne électorale de Royer avec les filles qui montrent leurs seins et les gens qui scandent une seule solution , la masturbation dont j 'étais un tout nouveau abonné. La montée du mouvement gay et lesbien, le droit à la différence, tout ce terreau de générosité et d empathie dans lequel pétrissait ma génération, pas encore gangrenée par la fausse trans-frontalité de l union européenne, cheval de troie du libéralisme porté par la trahison ingénue des deloristes et des rocardiens qui ont fossoyé l'idéal social.
    Le film montre la volonté de partage, un peu appuyée chez certain-e-s :), ce ressort fabuleux de toute évolution sociale positive et la spontanéité de Donzelli est rafraîchissante, même si elle va jusqu’à' affronter par simple dogmatisme un char qui est justement en train de construire la révolution, puisque ce sont eux qui ont fait le 26 Avril.
    Peut être Pagnol est il un symbole du vivre ensemble, en perte de vitesse , et qui transparaît tant dans ces comédies provençales, que certains voudraient qualifier de ringardes et de réactionnaires.
    merci d'avoir montré le beau tableau du Bloc Izquierdo, à la fin du film ,lui qui tente de maintenir du lien dans un Portugal dévasté par le FMI et l'austérité et dans lequel remontent les idées xénophobes.
    Bref un excellent moment , et Vuillermoz reste ce qu il est , soit le meilleur acteur français de sa génèration (Poelvoerde est belge)
    Marguerite2
    Marguerite2

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2014
    Un super moment de cinéma, à goûter sans modération. Mais pourquoi est-il distribué dans si peu de salles ? alors que des navets circulent à grande échelle. Tout est bon dans ce film : les dialogues, la mise en scène, les acteurs (merveilleux Patrick Lapp que je ne connaissais pas). On passe par toutes les émotions et l'on rit........... que c'est bon de nos jours.!! Allez le voir et parlez en autour de vous.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 mars 2014
    Espèce de colifichet mal fichu tout en artifices et falbalas tristounets qui se fiche du monde. La cinéaste qui s'est fait piqué son sujet par les producteurs à qui elle l'avait confié doit être ravie!
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2014
    Cauvin, journaliste suisse, est un lointain cousin d'OSS 117, macho occidental et imbu de lui-même. Vous l'aurez compris, Les Grandes Ondes est une comédie, sur un sujet pourtant grave. Le rythme, le ton, et le talent des acteurs en font une des très bonnes surprises de ce début d'année.
    ffred
    ffred

    1 499 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2014
    Coup de cœur !
    ...Les grandes ondes (à l'ouest) est une comédie épatante. Le genre de comédie légère qui malgré un thème sérieux (la révolution des Oeillets au Portugal en 1974) vous met du baume au cœur. Si l'histoire est assez classique (inspirée de faits réelles) et attendue, elle est très bien traitée. Les dialogues sont savoureux. C'est plein d'...
    Claude DL
    Claude DL

    75 abonnés 1 590 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2014
    Un OVNI cinématographique délicieux : une équipe de la SSR (suisse) se rend au Portugal pour un reportage sur ce qu'ont financé des capitaux suisses. Ils débarquent en pleine révolution des oeillets (le dictateur Salazar mis à la porte). Si on s'arrête là, on n'a pas envie de voir le film. On se dit : encore un truc politique. Grosse erreur ! C'est plein d'humour, de bonne humeur et on rit beaucoup. Les acteurs ont un naturel super, bref, on passe un très bon moment. Quelques sorties vraient désopilantes (ex : "ces Portugais, ils sont moins développés que nous mais ils sont sympathiques", surtout quand on voit les Suisses dans leur combi VW) des situations hilarantes (une équipe concurrente de la radio belge se branchant sur une ligne téléphonique en haut d'un poteau leur annonce la révolution des oeillets). Bref, on s'amuse beaucoup et des comme ça on en redemande !
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