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    Sils Maria
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    267 critiques spectateurs

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    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    117 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 décembre 2016
    La majesté des paysages fait d'autant plus ressortir l'inanité de l'histoire en un désolant contrepoint.
    Nous avons là le film d'auteur français typique : vacuité et prétention en sont les maîtres-mots.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    118 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2014
    "Sils Maria", c'est d'abord un témoignage de respect envers ces actrices époustouflantes, belles, désirables, qui ont percées un jour le ciel étoilé et franchi une ligne de front. Assayas filme sa passion tout comme il libère, d'un geste, un trio d'interprètes toutes désignées. Au programme : des plans montagneux appréciables mais trop longs, une Juliette Binoche qui exagère son interprétation (certes ce serait un plus de rire d'une caricature, mais on n'est pas là pour ça) et une Chloë Grace Moretz sous-exploitée. Sincèrement, il est regrettable que cette oeuvre, librement adapté pour faire "(re)jaillir" les talents confirmés mais oubliés d'actrices, ne s'intéresse pas plus à ces dernières et improvise ainsi une critique (avisée mais déjà-vue) sur le milieu des stars et de l'exigence du métier. Poussif!
    nicolas t.
    nicolas t.

    54 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 août 2014
    Très beau film d'actrices, profond et intense.Kirsten Stewart surtout est géniale. Binocheparfaite en diva qu'on veut claquer.Très belle mise en scène avec quelques longueurs dansles dialogues, parfois un peu théâtraux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 août 2014
    Remarquablement interprétée par Juliette Binoche, "Sils Maria" est une plongée dans les eaux profondes et sinueuses de la création artistique où le travail de comédien s’entremêle et se mélange insidieusement à la vie intime et personnelle de l’artiste, à son utilité, ses doutes et ses propres interrogations.
    moket
    moket

    434 abonnés 4 202 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2019
    Pas désagréable à regarder grâce au talent de ses actrices, mais un film finalement assez anecdotique et longuet. La mise en place est très longue, le film est bavard, tourne un peu en rond et n'a pas vraiment de fin...
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2014
    Le temps qui passe et nous fait chavirer irrémédiablement est un sujet de cinéma souvent traité. Olivier Assayas apporte sa pierre à l'édifice. 3 actrices en grâce (on attendait depuis longtemps de voir Kristen Stewart interpréter vraiment un rôle) donnent vie à un puissant jeu de séduction, de trahison, voire de haine. La pièce de théâtre répétée par les comédiennes se confond avec leur vie et les relations qu'elles entretiennent. Le serpent vénimeux de la vieillesse se répand inexorablement dans une Juliette Binoche qui réalise à peine que le monde n'est plus et ne sera plus son monde, mais celui de la génération suivante (Chloë Grace Moretz, en grâce, sans jeu de mots). Poignant, malgré des longueurs.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    228 abonnés 881 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 août 2014
    Comme son ancien partenaire Robert Pattinson, Kristen Stewart tente de faire oublier l'étiquette Twilight via des films d'auteurs. On a bien cru ne plus voir l'actrice perdue dans une traversée du désert d'un an après les remous d'adultère avec le réalisateur de Blanche Neige Et Le Chasseur mais cela semble maintenant du passé et l'actrice revient à un cinéma plus exigent dans lequel elle s'était fait remarquée avant de flirter avec les vampires et les loup garous.Même si Kristen Stewart tient un rôle très important dans le film, ce n'est pas elle l'actrice principale mais Juliette Binoche. C'est elle qui joue l'actrice connue qui a du mal à se remettre en question dans une histoire qui fait écho à la véritable relation entre Juliette Binoche et le réalisateur et scénariste Olivier Assayas. Il était en effet scénariste d'un des premiers films de l'actrice et la retrouve vingt ans plus tard pour ce nouveau projet.En réalité tout ce film semble inspiré de la carrière et des ragots autour des trois actrices. Chloë Grace Moretz, célèbre pour son rôle d'Hit-Girl dans Kick-Ass, est présentée comme une actrice sortant d'un film de super héros. On y a parle aussi d'adultère dans une histoire rappelant l'affaire autour du tournage de Blanche Neige Et Le Chasseur et il se moque aussi d'une histoire avec des loup-garous, clin d’œil appuyé à Twilight. Il est aussi amusant de voir Juliette Binoche jouer maintenant avec Kristen Stewart après avoir partagé l'affiche de Cosmopolis avec Robert Pattinson. spoiler: Le film est composé de deux actes et un épilogue. Le premier est encore intéressant puisque l'on y découvre les personnages et leurs relations. Kristen Stewart joue Valentine l'assistante de l'actrice Maria Enders, répond à toutes ses exigences, se bat avec ses deux téléphones, joue les conductrices et les porte-bagages tout en étant aussi une source de conseils pour la comédienne. Celle ci n'a pourtant pas vraiment de considération pour elle, oubliant bien souvent sa présence. Dans le deuxième acte on rentre dans les répétitions de la pièce et on commence à s'ennuyer ferme. La relation entre l'actrice et son assistante est pollué par le texte de cette pièce qui fait réaliser à Valentine sa condition. L'épilogue fait basculer l'histoire à nouveau mais n'apporte pas toutes les réponses souhaitées.
    En compétition à Cannes comme Maps To The Stars, les deux films traitent d'un sujet très similaire. Celui de ces actrices qui n'acceptent pas de vieillir. Alors que David Cronenberg mêlait ses personnages à de vrais acteurs dans leurs propres rôles, dans Sils Maria, Olivier Asayas n'hésite pas à inventer des rôles dans X-Men ou dans un film avec Harrisson Ford à cette actrice sortie de son imagination. C'est assez étrange comme choix artistique. Olivier Assayas semble aussi avoir très peu d'estime pour les blockbusters avec le faux film de science fiction dans lequel jouait le personnage de Chloë Grace Moretz totalement ridicule et peu crédible.Olivier Assayas filme ses actrices au naturel. Kristen Stewart a un look plutôt rock et décontracté comme on a l'habitude de la voir en dehors des plateaux tandis que Juliette Binoche ne semble pas porter de maquillage dans la majorité des scènes. En tant qu'actrice montante seule Chloë Grace Moretz apparaît toujours à son avantage bien habillée et maquillée. Elle n'a cependant qu'un petit rôle de vers dans le fruit qui va bousculer la vie du personnage de Juliette Binoche.Très bavard, Sils Maria ne raconte cependant pas grand chose. De longues discussions autour de la pièce que s’apprête à reprendre Maria et des scènes banales de la vie d'une actrice accompagnée de son assistante. Le film manque sincèrement d'émotion et on a du mal à s'attacher aux personnages. Kristen Stewart vole la vedette à Juliette Binoche mais son rôle manque de présence et de background. Elle est là comme une sorte de fantôme attaché à Maria alors qu'on aimerait la voir au premier plan tout le temps.
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2021
    Une brillante réflexion sur le métier d'actrice et sur le temps qui passe, portée par l'excellente interprétation du duo Juliette Binoche et Kristen Stewart qui gagna un César.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 263 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2014
    Admirable portrait d’un actrice vieillissante, très beau film dont trois femmes sont le sujet, femmes magistralement interprétées – Juliette Binoche au sommet. Très beau film, inspiré, sur la création théâtrale et sur le temps qui passe, et empreint de sensibilité, de finesse psychologique, de mélancolie, d’émotion. Les dialogues sont des bijoux, ciselés mais très naturels, et les balancements entre le jeu et la réalité sont du grand art. Olivier Assayas nous promène avec un brio et une élégance rares entre complicités de femmes et introspection, classicisme et modernité, romantisme des décors et médiocrité de l’univers people (défendu efficacement par une Kristen Stewart éméchée, grand moment). Un grand film qui fait penser à Bergman !
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2018
    Un film riche d'interrogations multiples sur le travail de comédien à travers une mise en abyme plurielle mais aussi sur l'appropriation d'un texte par ses lecteurs et sur le rapport au temps qui passe - sans verbiage creux ni réflexion dogmatique. Malgré quelques choix discutables, la mise en scène, épurée, met en valeur les paysages et le jeu des acteurs. Un long-métrage élégamment ciselé.
    Gwen R
    Gwen R

    39 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 décembre 2016
    Un film dans un film: une actrice prend conscience de la vieillesse via le rôle qu'elle joue...Un peu trop cérebral et plat. Le film aurait pu être plus féroce avec ces deux jeunes actrices qui ringardisent la Binoche mais non cela reste de la masturbation d'artiste d'où le spectateur est exclu.
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 911 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Après le très kitch et très raté « Irma Vep », la lecture du synopsis faisait craindre le pire. Une actrice est à nouveau castée dans la pièce qui la lança vingt ans plus tôt. Mais cette fois elle n’est plus Sigrid l’incendiaire qui détruit son amante, Helena, femme mûre qui est aussi sa patronne, mais justement la victime Et pourtant, jamais le cinéma d’Assayas n’a atteint une telle hauteur (si j’ose dire, vu le cadre). Etude et double mise en abîme de la scène et du réel, et d’une carrière de star, accompagnée de son miroir objectif (formidable Kristen Stewart). Avec une précision et une justesse impressionnante, les répétitions avec son assistante, vont dévoiler à la fois la complexité de Maria Anders (Juliette Binoche), ses troubles et doutes qui, parfois, deviennent peurs. Ce huit clos rappelle bien sur le « Persona » de Bergman mais avec un visuel d’une beauté qui frôle l’extase (évidemment, la Suisse est plus photogénique que la Baltique). La scène du serpent, à la fois magnifique et symbolique, est un immense moment de cinéma. Le réalisateur, passionné par les femmes (Virginie Ledoyen, Maggy Cheung, Connie Nielsen, Asia Argento) offre au trio Juliette Binoche - Kristen Stewart - Chloë Grace Moretz un écrin sur mesure, habillé d’une pellicule somptueuse et d’un choix musical aussi élégant et juste que la mise en scène. Malheureusement, que le début est laborieux (les scènes autour de la mort de Wilhelm sont longues et inutilement bavardes), le film débutant véritablement à Sills Maria. C’est donc un prologue de quarante minutes, un peu plus pesant à chaque nouvelle vision du film, source d’un ennui qui se prolonge a peu près jusqu’à la moitié du film, empêchant « Clouds of Sills Maria » d’être un chef d’œuvre à part entière.
    Caine78
    Caine78

    6 009 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mai 2017
    Sincèrement, je crois que c'est l'un des films que j'ai eu le plus de mal à terminer depuis des mois, et ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour en arriver à bout. Et pourtant, je mets deux étoiles. Parce que malgré tout, et bien que l'ennui fut pesant et régulier à de très nombreuses reprises (notamment dans la première heure), « Sils Maria » est une œuvre cohérente, exploitant avec grandeur son cadre idyllique et pouvant compter sur un trio Juliette Binoche - Kristen Stewart - Chloë Grace Moretz absolument remarquable (notamment la seconde), donnant vie et incarnation à leurs personnages avec beaucoup de talent. Reste que même si toutes ces discussions et réflexions sont souvent intelligentes, au bout d'un moment... Ça parle TOUT le temps, on se regarde pas mal le nombril, on sait qu'on est intelligent alors on passe son temps à s'en convaincre à travers telle ou telle réflexion, telle ou telle référence, telle ou telle inquiétude existentielle... Je ne suis pas contre me prendre un peu la tête de temps en temps, mais là, j'ai quand même du mal à imaginer beaucoup de spectateurs réussir à prendre du plaisir devant une approche aussi intellectuelle, intégrant certes une forme de mise en abyme interrogeant la frontière entre théâtre et réalité, mais bon, deux heures quand même... Non, je ne peux pas descendre une œuvre disposant de réelles qualités formelles et tenant en haute estime l'intelligence de ses spectateurs, mais je ne peux vraiment pas l'encenser non plus tant l'ennui et la lassitude auront été souvent les maîtres mots me concernant. Pour les inconditionnels d'Olivier Assayas, et sans doute uniquement pour eux...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2015
    Olivier Assayas est un intellectuel du cinéma qui s'intéresse aux autres cinéastes (Bergman, Cassavetes) et à l'évolution de son art, n'hésitant pas à coucher par écrit ses pensées sur le sujet (Pensées en 2009). Juliette Binoche de son côté montre par l'éclectisme de sa carrière internationale guidée par l'exigence qualitative une même soif de curiosité. Ils avaient déjà travaillé deux fois ensemble, sur "Rendez-vous" de Téchiné en 1985 où Assayas officiait au scénario puis sur "L'heure d'été" en 2008 qui leur avait sans doute laissé une impression d'inachevé. Cette réflexion introspective sur le métier de l'actrice confrontée au passage du temps ne pouvait laisser indifférente Juliette Binoche qui a du sans doute traverser quelques-uns des tourments de Maria Enders, actrice de renommée internationale à la croisée des chemins qui doit admettre que le temps lui est venu pour la reprise d'une pièce qui avait fait le succès de ses débuts, d'accepter le rôle d'Helena une femme d'âge mur poussée au suicide par son amour impossible pour une jeune Rastignac en jupons nommée Sigrid. On pense bien sûr à "Eve" de Joseph Mankiewicz qui abordait de manière beaucoup brutale le déclin des étoiles d'Hollywood poussées vers la sortie par de jeunes pousses ambitieuses. Le métier de l'actrice est certes construit sur le jeu mais aussi sur le lent façonnage de son image auprès du public. spoiler: Maria aidée de Valentine sa jeune assistante (Kristen Stewart) mesure tout d'un coup l'évolution de son métier dans un petit cinéma de Sils-Maria (village suisse où elle répète) en découvrant sa future jeune partenaire qui doit tout à la fois l'accompagner et lui succéder sur scène. Les répétitions avec Valentine qui alternent entre la chambre d'hôtel et les sorties alpestres, exsudent une résistance sourde de l'actrice encore imprégnée du rôle de sa jeunesse qui prend conscience douloureusement que vingt ans ont passé
    . Olivier Assayas procède tout en nuance pour nous dresser le portrait d'une femme que le succès a petit à petit isolée tant au niveau culturel que sentimental (elle est en instance de divorce) mais qui possède en elle les ressorts suffisants pour ne pas se laisser aller aux débordements que pourraient lui suggérer les tourments intérieurs qui l'agitent en cette période délicate de sa carrière et de sa vie tout court. Tout en nuance on l'a dit, le film procède un peu du documentaire, nous faisant pénétrer sans tintamarre dans la vie hors du temps de ces stars ne voyant le monde réel qu'à travers ceux qui sont en charge de leur quotidien : assistantes, imprésarios, avocats, réalisateurs, photographes, maquilleuses ou édiles locaux. Toujours accompagnées mais en réalité assez seules on comprend vite que perdre pied avec la réalité soit un jeu d'enfant dans un tel contexte où le luxe fait office de quotidien. Mais Assayas s'il nous invite à une certaine compassion pour une Maria Enders un peu à la dérive, nous rappelle que l'égocentrisme demeure malgré tout le moteur de la vie d'artiste. La preuve nous en est administrée quand spoiler: Valentine démissionnaire que l'on pensait indispensable à l'équilibre affectif de Maria est aussitôt remplacée par une sorte de clone sans doute soigneusement choisie par le fidèle imprésario que Maria contacte à partir de sa tablette dès qu'un petit caillou lui encombre la chaussure
    . Cette courte scène fait froid dans le dos, montrant à quel point les autres n'ont qu'une utilité fonctionnelle pour Maria toute tendue vers son accomplissement sans doute plus cher que tout. Assayas conclut son joli film magnifiquement photographié par Yorick Le Saux avec l'image spoiler: d'une Maria dans la plénitude, enfin devenue Helena alors que le rideau va s'ouvrir pour cette pièce à l'accouchement difficile
    . Kristen Stewart qui est la très bonne surprise du film a remporté un César du second rôle en 2015 mais il faut aussi saluer la performance très accomplie d'une Juliette Binoche particulièrement concernée par ce rôle qui ne pouvait lui échapper. Notons enfin pour l'anecdote que toutes les scènes d'hôtel ont été tournées au célèbre Waldhaus de Sils-Maria.
    Acidus
    Acidus

    617 abonnés 3 647 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2017
    De « Sils Maria », on retiendra la bonne performance des actrices et la beauté des décors naturels. Le reste n'est qu'un océan de vide. Pour un film bavard, les dialogues rebutent à cause d'une écriture redondante et peu inspirée. Le scénario tourne en rond, n'offre pas d'intérêt à cette histoire qui méritait un meilleur traitement. L'intrigue ne décolle jamais. Les thèmes et propos sont mal amenés et la psychologie des personnages peu creusé, laissant passé aucune émotion. On ne peut compter Olivier Assayas pour rehausser avec sa mise en scène, bien trop classique et académique pour nous époustoufler. Finalement, ce long métrage ne nous procure qu'un ennui profond.
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