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    La fille du 14 juillet
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    122 critiques spectateurs

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    lionelb30
    lionelb30

    384 abonnés 2 496 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 juin 2013
    Les premieres minutes donnent le ton. C'est original , decale et bien pendant cinq minutes. Les comédiens ont l'air de s'etre bien amuse . Pas nous. Un court metrage aurait était tres bien. Mais tout un long metrage pour ne rien dire...
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 804 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2014
    Vous reprendrez bien un peu d'été ?

    Ce film je le voyais comme un mélange de Rohmer et de Rozier, un film de vacances, j'adore ça, un truc beau et pur qui dit des choses sur la vie, l'amour, les filles, les vacances. Un film qui se regarde en sirotant une boisson fraîche en écoutant les grillons !

    Sauf qu'en fait non ! On a un film foutraque au possible qui reprend les codes justement de Rohmer voir Godard, enfin la Nouvelle Vague en général dans sa première partie (jusqu'à même finir sur une partie qui ressemblerait à du Kusturica), mais en beaucoup plus léger et décalé. Le film n'en a rien à foutre de rien, il ose tout, n'a peur de rien et ça c'est bon.

    C'est sans doute le film le plus drôle de 2013, mais tout simplement l'un des meilleurs tout court. Le film qui nous sort des dialogues qui pourraient sortir d'un mauvais Godard (oxymore) sur un ton what the fuckesque… raconte des anecdotes débiles au souhait face caméra… et pourtant, il y a quelque chose dans ce film survolté. Il y a du beau.

    Ces scènes dans la neige, c'est tendre, c'est beau, ça tranche avec le reste et ça donne du coeur à l'amourette, ça aide à le faire paraître comme une évidence. Et puis on a cette scène que je trouve sublime qui m'a profondément émue, cette scène où le docteur Placenta devient tout à coup sérieux et parle de cette date où chaque année il repense à cette fille et au fait qu'une année de plus le sépare d'elle. C'est horrible comme concept et pourtant tellement vrai et sincère. C'est vraiment troublant. Et encore une fois la scène d'avant est très drôle et là, un petit moment de douceur avant de repartir sur le train effréné !

    Et il y a ces fesses… Et le plus beau c'est qu'à la fin Vimala Pons a un petit air d'Anna Karina !

    Film fout, étonnant, percutant, drôle, beau, triste ! C'est foutrement cool !
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mars 2014
    Un film décalé qui ne m'a pas emballé du tout. c'est Original, on ne pourra pas le nier mais justement c'est ce qui déplaira à beaucoup et qui plaira à quelques autres qui le verront comme un film non conventionnel et différent de ce qu'on nous pond tout le temps, surtout en ce qui concerne les comédies. Alors ça plaît ou pas, moi, j'ai pas adhéré.....
    labellejardinière
    labellejardinière

    71 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juin 2013
    La "Fille" est jolie - en brune (sa copine blonde aussi). Les garçons sont eux plutôt très moches. C'est l'été, le farniente - départ à 5 pour la côte atlantique (dont 1 en "incruste"), à petite vitesse. Road movie original dans la forme : "n'importe-quoi", en x tableaux. Dans le fond, de quoi est-il question ? D'une romance à peine éclose et déjà contrariée. D'un pays à vau-l'eau. Le "mix" des 2 ne tient pas ses promesses, hélas, en termes d'inventivité autre que potache. Un quintette de potes qui s'amusent comme des petits fous. Communicatif ? Pas vraiment.1 h 30 en fait qui passe très lentement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Après toutes ces comédies françaises semblables et sans ressort ,surgit sur nos écrans enfin une nouvelle forme de comédie atypique, loufoque ,hilarante, rocambolesque et à la fois tendre . L'enchaînement des gags et les réparties décalées cachent souvent la lucidité des personnages confrontés à la crise actuelle ,et à cette chère liberté perdue des années 68.
    On rit beaucoup , c'est réjouissant, inédit,anticonformiste . On a envie de tout plaquer et de rejoindre cette bande de copains attachants.
    Courrez-y vite .
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2013
    J'avoue être éberlué par la teneur générale des critiques professionnelles dans une unanimité particulièrement louangeuse pour un film qui ne m'a jamais fait rire, que j'ai trouvé laborieux et sans rythme, mettant en scène des gags nuls et répétitifs qui se veulent décalés et m'ont surtout apparu ringards et lourdingues. Pas la moindre once de poésie, au contraire une sorte de vulgarité enfouie sous le vernis du grand n'importe quoi. Affligeant, consternant avec des acteurs qui en font des tonnes.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 juin 2013
    Nul! franchement nul...... d'autant plus nul qu'il y a sans doute une prétention de folie et de liberté. Quelques ingrédients de base c'est sûr mais aucun n'est développé proprement. N'est pas absurde qui veut... Rien de tel que la fausse impro soutenue par une scénario inexistant. En plus, pas drôle, terriblement ennuyeux. En voyant ce film nous avons pensé aux Profs qui nous ont affligés récemment. Et bien la Fille du 14 Juillet c'est du Profs pour intellos, un grand n'importe quoi sans aucun talent
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juin 2013
    N'est pas (bon) iconoclaste qui veut. Au cinéma, on attend dans cette direction-là autre chose qu'une suite "foutraque" de situations foutraques pour personnages du même tonneau ! Le foutraque comme moyen et comme fin : vraiment beaucoup trop court ! Burlesque, cocasse, absurde : oui, mais avec du sens, un projet, un dessein, une histoire qui se tienne sur le fond, le burlesque etc. ne valant que pour la forme. Pour que cela "fonctionne". Une étoile et demie quand même parce que cela commençait bien (habile détournement d'images d'actualité persos) - mais sans jamais pouvoir tenir la distance, et qu'il y a quelques idées, y compris poétiques (par exemple quand "Truquette" complète pour un instant un antique acéphale au Louvre, ou quand le faux Dr "Placenta" et son rejeton revisitent "La Métamorphose"). L'interprétation très inégale des acteurs en (anti)héros et le peu de soin apporté aux dialogues font que le "grand-n'importe-quoi" n'arrive jamais à gagner opportunément en épaisseur, ou seulement en cohérence (le faussement improvisé requiert beaucoup de soins !). Antonin Peretjatko le metteur en scène devra être à l'avenir mieux secondé par Antonin Perrjako l'auteur ! "La Fille du 14 juillet" : au mieux un brouillon..... brouillon.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 février 2014
    Le cinéma français, trop formaté et trop convenu ? La fille du 14 Juillet est l'exemple éclatant du contraire, avec sa créativité de tous les instants et son second degré incessant. Un bonheur pour les cinéphiles, regorgeant de scènes loufoques, pleines de détails rigolos, hors du réel, à l'image d'une France imaginaire, à la fois rétro, actuelle et anarchique, une ambiance déjantée mais agréable qui s'accorde bien avec une photographie granuleuse d'un autre âge. Car entre deux facéties, le réalisateur Antonin Peretjatko joue avec la technique, avec le récit, incorporant parfois avec habilité des procédés tout droit sortis de chez Jean-Luc Godard (voix-off et dialogues atmosphériques), et parvient parfaitement à produire un effet bordélique qui déstabilisera bien des spectateurs en prenant le contre-pied parfait des comédies romantiques classiques, prévisibles et liftées. Malgré les inévitables petits ratés, la prise de risque est totale et débouche sur une véritable réussite : tout simplement, du vrai cinéma. Avis aux amateurs !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 juillet 2013
    Fan de cinéma, je suis partie une demi-heure avant la fin : cela ne m est arrivé que très rarement en 30 ans ! Cela aurait pu être super sympa, mais l'humour devient de plus en plus lourd et insupportable. Dommage !
    brunetol
    brunetol

    172 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juin 2013
    Cette immonde daube qui concourt pour le film le plus laid et le plus vide de l'année mérite en effet sa place à côté de "Pizzaiolo et Mozzarel" et "On se calme et on boit frais à St Tropez" des immenses Christian Gion et Max Pécas. Personne a l'époque n'aurait eu l'idée de parler de "Nouvelle Vague" en évoquant les bouses de ces deux illustres cultivateurs de navets. Mais, la crise aidant, Antonin Peretjatko parait tomber à pic et réjouir quelques zélateurs de ce cinéma de fond de poubelle écrit avec les pieds et tourné avec les fesses. C'est moche, stupide, affreusement ennuyeux voire carrément antipathique, ça donne envie de quitter son siège en le claquant fort, mais je ne vois pas pourquoi il faudrait à tout prix gâcher le plaisir de ceux qui en prennent devant ça, puisqu'il y en a... Mais autant de vulgarité débraillée, assumée, revendiquée, devient forcément arrogante, comme un type qui chie sur votre moquette et vous regarde en disant : "Bah quoi, c'est pour rigoler !"
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Nombre de critiques ont voulu recenser les influence supposées, c'est que le film fonctionne comme un miroir. Le spectateur y retrouvera ses propres moments de libertés. Les cinéphiles y retrouverons le cinéma ; les situationnistes, y retrouverons la vie-même. La Fille du 14 juillet n'est pas tant brouillon qu'il est une esquisse. Et pour l'anecdote, le Tshirt MacMerde porté par le méchant n'a pas été réalisé pour le film. Ce détournement est l'oeuvre des grévistes du Mac Donald de Strrabourg-Saint Denis, il y a quelques années. Enfin le faux redevient un moment du vrai !
    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juin 2013
    Outre une fin d'année très occupée, ma présence en pointillé ces derniers temps s'explique aussi par le peu d'attrait devant les sorties post-cannoises : la moyenne d'étoiles des critiques sur Allociné ne dépasse que très rarement un petit 2,5, et le film allemand ou tunisien qui pourrait être intéressant se donne dans des cinémas bien éloignés. C'est donc presque par hasard, voire par élimination que je suis allé voir ce premier film présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, et dont il faut bien dire je ne savais pas grand-chose. Le film s'ouvre avec des images prises lors des défilés du 14 juillet 2011 et 2012, le changement de président étant assez visible. Passées en accéléré avec un musique à la Benny Hill, les images de la tribune présidentielle se levant, s'asseyant, ou applaudissant sont assez savoureuses en ce qu'elles révèlent le ridicule compassé de ce protocole.

    Puis apparaît l'héroïne, la fille du 14 juillet, robe bleu et bottines marrons, qui vend "Le Communard", des pavés en mousse et des guillotines miniatures dans un panier comme en avaient les ouvreuses il y a un demi-siècle. Les dialogues sont décalés, le ton doinelien, et on se demande quand même où on a mis les pieds, entre "Zazie dans le Métro", "Week-end" et "Céline et Julie vont en bateau". Puis au fur et à mesure on s'habitue à ces raccords mal foutus, à cette impression de décalage entre l'image et le son, et à l'alternance de jeu atone et d'explosion de surjeu des acteurs. Des situations burlesques, des répliques absurdes commencent à faire sourire, puis franchement rire : "Quel âge à cette statue ?" "3000 ans et 2 mois" "Comment pouvez-vous être aussi précis ?" "Quand je suis arrivé ici il y a 2 mois, on m'a dit qu'elle avait 3000 ans".

    Régulièrement, un personnage déclare "J'ai un truc à vous raconter", puis se tourne vers la caméra, et on ouvre un flashback au milieu d'un autre flashback. Parfois une voix off à la Truffaut déclame un texte littéraire : "En partant de Paris, Truquette pensait à la Seine. Elle allait vers la mer, et soufflait un vent de liberté...". Ce goût littéraire ce retrouve dans un flashback où deux filles demandent à Pator de choisir entre Racine et Camus, mais celui-ci répond Tchékhov : et hop, on se retrouve à faire de la luge dans la campagne russe enneigée... Cette impression d'improvisation, de pensée par flot est démentie par Antonin Peretjatko : "Il n’y a rien de plus faux. C’est écrit à la virgule près. Comme le plan de travail est très lourd, je ne pars jamais en tournage sans un découpage précis, avec un repérage des décors, un plan au sol pour la position de la caméra, parce que sinon je sais que je vais perdre énormément de temps".

    De même, l'impression de décalage n'est pas fortuite : le réalisateur a choisi de tourner en 16 mm, et à un rythme de 22,5 images-secondes, ce qui donne un son plus aigu et un effet de postsynchro. Mieux, les faux raccords évoqués plus haut sont intentionnels : "Je cherche à ce que ça ripe un peu à chaque fois qu’on passe d’un plan à l’autre, à éviter le raccord parfait. Il ne s’agit pas de bâcler mais de poser des postulats esthétiques, ça donne un effet "débraillé" ou "foutraque" totalement assumé. Ma hantise est de perdre cette malfaçon aux finitions du film en lissant tout." Qu'il se rassure, cette malfaçon reste bien visible, et elle participe à l'effet d'étrangeté poétique et à la drôlerie surréaliste qui baignent tout ce premier film atypique et attachant.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Tiens, du vent nouveau dans la comédie "à la française"avec La fille du 14 juillet Un truc débraillé, anarchiste et dégingandé. Avec l'influence de Tati, Rohmer, Rozier, Godard, Podalydès. On n'a rien contre, au contraire. Du point de vue des intentions, sur fond de crise économique et de vacances avortées (la rentrée a été avancée d'un mois), c'est tout bon. Mais côté réalisation, c'est tout mauvais. Passons sur l'interprétation, approximative, et la mise en scène mollassonne alors qu'elle devrait être pétaradante. Le scénario est loufoque mais il s'englue dans l'à-peu-près et le n'importe quoi. Tout cela devrait être tordant, ce n'est que charmant, par endroits, et hélas, navrant, assez souvent. Avec la mine défaite du 14 juillet !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 juin 2013
    Vivre ! La vie vaut la peine d'être partagé avec ces personnages le temps d'un film... Notre jeunesse est devant nous, au bout de la route, à l'horizon... C'est peut-être là l'idée révolutionnaire qui se dégage de ce film.
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