Avis : Resurrection - Page 2

Méchamment original, dégoulinant de rebondissements surprenants, avec un impressionnant acteur phare, vous l'aurez compris, ce film est une tuerie! La filmographie de Sir Lambert est décidément immensément scotchante, on est véritablement dans la crème du dessus du panier! Vivement la sortie de l'intégrale DVD...

un film pas mal du tout je trouve un bon moment un genre de seven

J'ai vraiment aprécié l'un des meuilleur film de policier de cet année (comme beaucoup de personne le dis ) gore,fun; et le tueur un vrai ppsycopathe lol :)

Si le "marché" des serial killers a été depuis bouffé par les séries TV, dans les années 90 il était très présent au cinéma. Grâce notamment à "Silence of the Lambs" et "Seven", qui ont marqué en leur temps, et généré nombre de succédanés. Ceux-ci allant du polar sympatoche... au plagiat éhonté.
"Resurrection" tombe clairement dans la deuxième extrémité du spectre. Russel Mulcahy s'en cache à peine, il repompe "Seven" à foison. Un tueur en série s'active dans une ville pluvieuse, la police est prise de cours, le tueur laisse des indices et des motifs religieux, et j'en passe. On nous ressort même le coup du méchant identifié tôt dans le dernier acte, et qui en a encore sous le capot.
Evidemment, la comparaison avec le classique de Fincher fait très mal. Non seulement Russel Mulcahy n'a pas le talent de Fincher, mais son film est grossier.
Je ne vais pas mentir : le film se donne une petite identité visuelle, avec une photographie ocre et des scènes sanglantes. Quelqu'un qui n'a jamais vu "Seven" peut tomber dans le panneau et le trouver relativement divertissant.
Néanmoins il faut quand même accepter une palette de défauts. Une réalisation balourde, qui tente des effets de styles vite ridicule. Des acteurs affreux. D'un côté, Christophe Lambert dans le rôle du flic, au mieux pas convaincant, au pire totalement risible. Pourtant l'acteur s'est impliqué à fond, présent au scénario et à la production ! De l'autre, un tueur que l'on crame dès sa première apparition.
Et surtout, un scénario d'une effroyable stupidité. Entre l'armada de la police, et le tueur soi-disant super intelligent, tous font preuve d'un niveau de bêtise qui laisse pantois.
David Fincher peut dormir tranquille.

"Resurrection" aurait vraiment mèritè de s'appeler "Seven 2"...ou plutôt "Se2en". Le film se dèroule à Chicago où le soleil est exclu! Christophe Lambert est John Prudhomme, un inspecteur traquant avec acharnement un tueur en sèrie qui mutile ses victimes chaque fois d'un organe diffèrent! Aucune emprunte aucune trace de preuves! Nous sommes en face d'un tueur en sèrie très intelligent! spoiler: Ce dingue veut en fait reformer le corps du Christ! D'où le titre "Resurrection" avec convictions morales et religieuses! Le Christ a souffert le martyr sur la croix! Le tueur veut donc que ces victimes souffrent autant qu'il a souffert!
Rèalisè à l'aube des annèes 2000, Russell Mulcahy n'est plus le rèalisateur culte attendu! Plus intèressè par le côtè dèjà vu du film de David Fincher que par l'originalitè à tout prix! Pourtant son film est est un thriller de sèrie qui tire fièrement son chapeau avec deux, voire trois scènes choc rèussies! Lambert fait le job et la scène du toit avec le nourrisson est particulièrement tendue du slip! On notera la participation de David Cronenberg qui porte mal la soutane...

On est tellement habitués à un désastre lorsque ce bon Christophe est présent que ce "Resurrection" pourrait (presque) passer pour une satisfaction. En effet, même si le film cumule de nombreux poncifs et a une régulière tendance à tomber dans la facilité, on peut toutefois lui reconnaître un certain sens dy rythme et de la mise en scène, Russell Mulcahy s'en sortant honorablement malgré quelques fautes de goût particulièrement évidente. De plus, Christophe Lambert, sans signer une grande prestation, s'avère plutôt crédible dans le rôle principal, tandis que la personnalité du serial-killer réussit à tenir la route, sans transcender par ailleurs le genre... En somme, ni bon ni vraiment mauvais, "Resurrection" n'apporte rien de bien nouveau au genre, mais se laisse tout de même regarder sans déplaisir... Passable.

Une étoile parce que Cronenberg est bon. Mais sinon, un véritable calvaire pour ceux qui ont déjà vu Seven. Russel Mulcahy pompe littéralement l'esthétique du film de Fincher, et substitue à son message subversif une sorte de gore mystique couillon, incapable un seul instant de faire passer le film pour autre chose qu'une opération économique. Christophe Lambert est inexpressif (sauf quand sa femme est en danger, mais sinon, ça craint...), le film tente d'instaurer le malsain non pas avec le message mais en filmant du gore (ce qui foire lamentablement), les indices forment une sorte de chasse au trésor des plus artificielles... Bref, on tient là un navet assez peu marquant voué à boucher les trous du fond des bacs DVD promo. A éviter, même si on aime Totof Lambert (Beowulf fait largement mieux que ça)

Résurrection est un produit dérivé de Seven de David Fincher qu'il dépasse haut la main. Tout ce que l'on ne voyait pas dans Seven (Les meurtres,...) est montré de façon bien violente dans Résurrection (Bras arraché, jambe arrachée, décapitation,...). En plus, Christophe Lambert offre une interprétation plus que convenable et donne une certaine sensibilité à ce père qui a perdu son enfant.
L'histoire sur fond de Bible est prenante et le scénario réserve son lot de surprises parfois inattendues.
Quant à Russel Mulcahy, sa mise en scène est bonne sans pour autant éviter les clichés mais en se rattrapant avec de très beaux mouvements de caméra, notamment la caméra portée lors des courses poursuites.
L'apparition du réalisateur culte David Cronenberg dans le rôle d'un prêtre est excellente pour tous les cinéphiles qui aiment son cinéma.
Résurrection, sans être parfait, est une bonne surprise qui nous fait passer un bon moment sans qu'on est à se prendre la tête...

Non ce film n'est pas un nanar. Il s'agit d'un navet certes mais Christophe Lambert a fait bien pire. Evidemment la comparaison avec Se7en est inévitable tant le scénario en est inspiré. Lambert arrive donc après la bataille et co-écrit le scénario, le produit et l'interprète. Le film surfe alors sur la vague des thrillers à serial-killer masqué aux images jaunes et floues, ambiance religieuse, flashs, acteurs sous la pluie, ruelles sombres et crades, accélérés et ralentis. Lambert retrouve son réalisateur et ami Russel Mulcahy, y'avait donc à espérer un bon film. Malheureusement tout est ici frustrant, laid et lourd. La réalisation est risible et bourrés de tics inutiles. Le réalisateur en fait des tonnes en montrant des scènes sanglantes du plus mauvais gout. Comme si rester longtemps sur les corps amputés et giclant de sang étaient synonyme d'efficacité et de ce fait marquant le spectateur. Le film par son interprétation risible ne parvient jamais à faire peur ou instaurer une ambiance angoissante. Christophe Lambert visiblement impliqué dans ce film montre encore une fois ses limites d'acteurs et ne se montre pas une fois convaincant. On se demande ce que David Cronenberg vient faire dans cette histoire dans le role du Père Rousell. Pour Lambert sa participation au film était un cautionnement de la qualité du scénario. Quand on voit le film il s'agirait plutot d'une caution pour les impots du cher David. On rit malgré l'histoire sombre du film : les personnages qui visiblement marchent sous un nuage noir et qui sont les euls trempés par la pluie, les flics découvrant le corps démembré du Christ et qui sont pris de nausée, Christophe Lambert courant devant la caméra mais pas trop vite pour ne pas la dépasser ou alors la scène du bébé final. Resurrection est donc une définition du mot cliché, un film indispensable pour tous néo-réalisateurs pour voir ce qu'il ne faut absolument pas faire dans le genre, un film assemblé de scènes coupées d'autres films.

ce film est exelent et il tient un suspense enorme. je conseille ce film au amateur de film policier du genre seven. Il y a beaucoup de sang dans ce film.

La majeure partie du film ressemble à Seven de David Fincher à tel point qu'il frise le plagiat. Remplacez les
sept péchés par les sept parties du corps du Christ Morgan Freeman par Christopher Lambert et Brad Pitt par un acteur inconnu et vous obtenez Resurrection du moins sa copie extrêmement pauvre. Il y a même une scène presque identique à une scène de Seven où le partenaire de Lambert plaisante sur le fait que le tueur en série est un fou furieux et Lambert le corrige et admire personnellement l'intelligence du tueur. Christopher Lambert n'a jamais été mon acteur préféré mais c'est sans aucun doute sa pire performance à ce jour. L'intrigue est complètement recyclée sans suspense et elle ni effrayante ni même drôle à aucun moment...

Du sous-seven qui frôle à plusieurs reprises le nanar. La faute, principalement, à Christophe Lambert à qui l'on doit cette histoire pompant sans vergogne le chef d'œuvre de Fincher que ce soit dans l'ambiance, le modus operandi biblique du serial-killer ou la découverte des scènes de crime. Mais notre Cricri national ne se contente pas de torcher un script en dessous de tout, il livre aussi une prestation au diapason, c'est simple, à chaque fois qu'il est censé simuler une émotion (lors des nombreux flash-back sur son fils crevé ou quand on s'en prend à sa femme et son Coéquipier) on est mort de rire, Lambert peut à lui seul faire sombrer un film dans les limbes du nanar par son jeux outrancier et, de ce fait, rejoint Steven Seagale et autre Chuck Norris au panthéon des acteurs qui nous assurent, minimum, une bonne tranche de rire (à défaut d'autre chose) à chacun de leurs méfaits. Le plus drôle reste encore le sort réservé au coéquipier de Lambert, montré comme un personnage important dans l'histoire pour l'évolution du personnage de Christophe Lambert, il est tout simplement abandonné en cours de route pour réapparaitre dans un épilogue foireux l'air de dire : "Non mais on l'avait pas oublié ce personnage, on vous jure...". Le plus triste dans ce spectacle désolant, c'est Russell Mulcahy qui ne sait pas comment s'en sortir entre le script miteux de Cricri et l'ombre colossal de "Seven" qui semble inévitable, alors le pauvre fait un peu n'importe quoi avec sa caméra pour essayer de livrer quelque chose d'innovant. Peine perdu, le film a l'air d'avoir 20 ans de retards avec ses effets stroboscopiques sensés suggérer le malaise, la caméra à l'épaule pour filmer les dialogues, lens flare à gogo, photographie d'amateur (ce qu'était le chef op lors du tournage) singeant l'ambiance de "Seven". Cerise sur le gâteau, le film est parfois chiant (je ne vous rappel pas qui a torché le script ?). Je met quand même une étoile, parceque c'est parfois très gore et bien gol.

Résurrection bénéficie d’une critique pas terrible, mais je trouve que c’est exagéré. Certes Lambert a fait de très mauvais films (de très bons aussi), certes Mulcahy marche sur les traces d’un certain Seven (mais il n’est pas le seul à sa décharge), mais soyons honnête, le résultat est loin d’être si nul. Le scénario clairement n’est pas original, ni dans son début, ni dans son déroulement, ni dans sa fin. C’est globalement très classique, et les habitués du genre n’auront aucune surprise. C’est certes un peu frustrant. Coté acteurs, ce n’est pas transcendant. Dans l’ensemble il n’y en a pas un qui m’a laissé un souvenir impérissable. Le tueur n’est pas sensationnel de charisme, et seul Rick Fox (plutôt juste et crédible) et Lambert finalement m’ont paru sortir du tout venant. Lambert est un peu monolithique c’est vrai, et peine à insuffler de l’émotion à son personnage (un poil éprouvé tout de même !), mais il traverse le film sans être franchement à coté. Disons qu’il est juste correct, mais a une réelle présence par rapport à un casting fadasse. Résurrection coté ambiance, nous renvoie aux classiques du film de seria-killer, et la comparaison avec Seven est inévitable. Malgré tout il s’inspire intelligemment du modèle, le copiant avec qualité et certaines séquences, notamment lors des découvertes de cadavres sont dotées d’une excellente atmosphère bien poisseuse, bien glauque. C’est très solide, et si la fin verse un peu dans le grand guignolesque (un peu style Hannibal dans le coté excessif pas terrible), on pardonnera car Mulcahy filme l’ensemble avec un certain talent. La mise en scène dans Résurrection est d’ailleurs de qualité, et l’on retrouve le style caractéristique du réalisateur plus en forme indéniablement ici que dans La Momie, dans lequel il avait eu du mal à faire passer le sérieux à chaque fois. Il y a ce travail précis sur les éclairages, avec plein d’effets de styles même si Mulcahy se montre plus sobre ici que dans ses autres métrages. La photographie dans Résurrection est d’ailleurs soignée, même si là encore c’est inégal, certaines scènes étant sur ce point d’une rare banalité (dès lors que l’on sort un peu de l’enquête). Je relève une musique trop attendues dans ce type de film, un peu d’audace n’aurait pas été nuisible.
Dans l’ensemble Résurrection est satisfaisant. Il y a de bonnes scènes horrifiques, des meurtres assez nombreux, c’est cru et morbide, et même si ca manque d’originalité et que ce n’est pas parfait sur la forme, c’est rythmé et suffisamment solide pour donner une série B sans prétention. Pour ma part j’ai été plutôt agréablement surpris m’attendant à un navet en boîte, ce qui n’est pas le cas de Résurrection, qui plaira sans doute à ceux qui ont aimé Messiah. Pour ceux qui ont aimé Seven, ils seront peut-être insatisfaits de par la comparaison. Bref, distrayant mais réservé à un public averti tout de même.

On nous promet un mix entre se7en et le silence des agneaux . Et bien nom . Mais ce. Est pas grave car bien que ce sois en dessous des ces film culte . Sa ce suit avec plaisir bien que le film sois complètement con

Dans la lignée de "Seven", ce film policier nous propose de découvrir un serial-killer particulièrement malsain et assez mystique, puisqu’il tue des hommes de trente-trois ans et leur enlève une partie du corps afin de reconstituer celui du Christ pour Pâques, jour qui est connu comme étant celui de sa "Resurrection". Le scénario est très habile – et n’a d’ailleurs pas à rougir de celui du chef-d’œuvre de David Fincher – et Christophe Lambert campe avec une certaine conviction le rôle de l’inspecteur John Prudhomme chargé de l’affaire. A partir de là tout est donc réunis pour visionner un très grand film, mais malheureusement la photographie est très médiocre et la mise en scène de Russell Mulcahy (Highlander, Razorback) laisse quelque peu à désirer. Dommage donc pour ce film qui a d’évidentes qualités scénaristiques et un casting tout à fait à la hauteur.