Derniers Avis : The Finest Hours - Page 7

Si on a déjà vu des tonnes de films sur des tempêtes et des gardes-côtes, on reste cependant bien accroché au récit de The Finest Hours. Le film de Craig Gillespie ressemble aux anciens longs métrages classique de Walt Disney dans la lignée de 20 000 Lieues Sous Les Mers. L'ambiance des années 50 est parfaitement reconstituée dans le choix des costumes et de l'image. C'est aussi un rôle étonnant pour Chris Pine qui, contrairement à d'habitude, joue ici un personnage qui manque de confiance en lui-même. C'est aussi la révélation au cinéma de la belle Holliday Grainger qu'on espère revoir très vite dans un autre grand rôle. En excluant les moments où on ne voit absolument rien à l'écran, l'histoire de The Finest Hours nous scotchera au fauteuil pour un beau moment d'émotions variées. (lire la critique complète sur le site)

Ce film de sauvetage est impressionnant. D'abord par son contexte, mais aussi par ses effets spéciaux bluffants. Rappelant, par ses images et sa musique, le magnifique - En pleine tempête de Wolfgang Petersen (2000) il n'arrive quand même pas à le supplanter. Comme dans les films de guerre des années 6O, Dans les séquences terrestres, nous sommes contraints de nous coltiner l'historiette d'amour mièvre et sans intérêt du héros pendant tout le film. D'autre part, les personnages sont esquissés et manquent parfois de reliefs. Bref, comme je l'ai dit. A part sa dramaturgie dans un océan déchaîné plus vrai que nature, ses images impressionnantes de pétrolier coupé en deux par les vagues, ce film ne vaut pas tripette.

Ah, ça ! C'est sûr que c'est du cinéma à l'ancienne comme on en fait quasiment plus ! Personnellement, j'y suis plutôt sensible, même si ce n'est pas sans quelques loupés : niveau musique pompière, Carter Burwell s'est bien lâché (non sans une certaine efficacité, d'ailleurs!), tandis qu'on échappe pas à certaines situations forcées et autres personnages stéréotypés, à l'image de dialogues pas toujours d'une grande justesse. Mais bon, moi qui ne suis pourtant pas fasciné par la mer, et malgré une grosse louche de bons sentiments, ça passe. C'est que tout cela a beau ne pas être très original, il y a néanmoins de la générosité et de la sincérité dans la démarche, d'autant que Craig Gillespie trouve le juste milieu entre noblesse du propos et divertissement spectaculaire, réalisé avec soin et monté avec précision, si bien que l'on suit cela toujours avec un minimum de plaisir. De plus, les différents héros ont donc beau ne pas être renversants d'audace, ils tiennent malgré tout leur rang, s'avérant nettement plus attachants que la moyenne, l'enjeu humain n'étant d'ailleurs jamais sacrifié aux dépens de l'« entertainment ». Pas de quoi sortir de là ébloui, mais au vu du tout-venant hollywoodien, cette production Disney fait plutôt bonne figure : c'est toujours ça de pris.

Un film d'une banalite et d'une realisation tres quelconque qui aurait merite beaucoup mieux pour cette histoire inspire de faits reels. Les acteurs sont tres moyen , l'image plutôt mediocre et la musique aux violons sirupeuse en font un petit film.

Film sympa, l'ambiance des années 50-60, les décors et les effets spéciaux sont soignés, le rythme est bon; mais il est dommage que les personnages soient aussi insipides! Seul Casey Affleck affiche un semblant de charisme; pour les autres c'est d'un lisse...Mais cela reste un film plaisant à regarder.

Un bon film catastrophe comme les Studios Disney savent nous en proposer de temps à autres. Ici, l’histoire est inspirée de faits réels (grande mode de ces dernières années, censée apporter de la crédibilité au film). Il faut une petite demi-heure pour que les choses commencent à bouger, après que l’on se soit farcit la traditionnelle présentation des personnages principaux et leur histoire personnelle dont on n’a finalement rien à cirer. Mais bon. C’est le jeu ma brave Lucette. Une fois que la catastrophe a eu lieu, c’est beaucoup plus sympa (pour le spectateur). On est en pleine mer, ça gite, ça tangue, ça crie et ça panique. Pas mal, mais une grosse réserve tout de même sur les couleurs et la luminosité qui sont extrêmement sombres...
Lire ma critique complète :

Film très impressionnant, on se met vite à la place de ces hommes et j ai été impressionné par leur courage, voire de la folie
Le seul bémol, j aurai aimé le voir en 3D

Tres peu de scenes à grand spectacle, une musique lancinante interminable, un héro au charisme d'une huitre sans perle et des personnages aux actions incohérentes... Bref, je ne me suis jamais autant ennuyé au ciné, avec une forte envie de partir avant la fin.

Le récit relatant un exploit réel d'un sauvetage miraculeux au péril de leur vie donne davantage encore d'intérêt au film et d'"angoisse" quant à leur périple.. Les effets spéciaux sont excellents... On s'y croit vraiment et on ressent toute l'angoisse, toute la peur...

Superbe film. Bon suspens. De bons acteurs. Tous est là pour une grande reussite. Il faut absolument le voir sur grand ecran pour en profiter.

J’avais espérer voir ce film au cinéma, malheureusement, même si c’est un Disney, celui-ci n’a pas eu sa chance dans mon cinéma ! J’espérais donc le voir un jour, ce qui est chose faite et j’ai vraiment bien aimé ! Les effets spéciaux sont à couper le souffle surtout au niveau de la mer. On est littéralement plonger dans ce qui arrive aux marins. On a le stresse de voir les vagues et on aimerait pas du tout être à leur place aussi bien à cause du froid, du temps que de ce qui arrive aux bateaux. C’est quand même deux miracles qui arrivent au gros bateau. En effet, il ne sombre pas avec le bateau, une partie sombre mais pas la leur et en plus un bateau de sauvetage arrive et les embarque à son bord. Sans compter qu’en plus malgré le noir, la perte du compas il arrive à trouver son chemin. On peut dire qu’ils étaient sous une bonne étoile ! Quelques passages sont absolument impressionnants surtout lorsqu’il essaye de sortir du port, entre vagues énormes et rouleaux. Chris Pine fait vraiment tout le film à lui seul, les autres rôles ne sont pas mémorables même si il n’est pas question que d’un seul homme important dans cette histoire. Ils le sont tous par leur courage mais c’est lui qui pilotait le bateau et qui a su braver tous les tourments de la mer (et dieu sait qu’ils étaient énormes) et les ramener sauf sur la terre ferme. J’ai été très heureuse de retrouver également Holliday Grainger dans ce film même si on ne la voit pas énormément. Je ne sais pas quelles ont été les conditions de tournage mais ça devait être quelque chose !

En résumé, The Finest Hours est un film impressionnant de réalisme, on s’y croirait même si on n’a vraiment pas envie d’être dans un des bateaux de ce film. Le film nous narre l’histoire, vraie, d’un bateau de secours qui brave une énorme tempête pour aller sauver des marins en mer. On ressent tout le courage qu’on eu ses hommes, pour faire leur devoir, de continuer leur chemin pour aller sauver un maximum de personnes. C’est une vraiment belle histoire de courage et de volonté !

Je manque peut être d'objectivité étant passionné par la mer et ses tempêtes mais j'ai vraiment bien aimé ce film. Les images sont impressionnantes, même si parfois un peu trop exagérées.

Casey Affleck y est très bien tout comme Holliday Gringer.

Lorsque l'on garde en tête que ce film est tiré d'une histoire vraie cela lui donne encore plus de consistance.

Adaptation d'une histoire vraie, à laquelle on peine parfois à croire. Les scènes de mer sont largement sur jouées, ça dégouline d'amour fou... mais c'est Disney et si on aime pas, bah on entre pas. Au final, c'est un bon divertissement de samedi soir, à voir si on aime les belles histoires de marins.

De l'eau à foison. Des vagues, des bourrasques, de la pluie, de la neige même. Tant d'humidité cinématographique ferait pâlir les enfants du Sahel.
Ce film d'action raconte l'histoire vraie d'un périlleux sauvetage effectué par un bateau de petite taille pour un navire de grande taille, coupé en deux accidentellement et menaçant, bien évidemment, de sombrer dans d'effrayants délais. La problématique: faire tenir une trentaine de marins remontés et dont la délicatesse n'est pas le fort, sur un frêle esquif d'une dizaine de mètres. Le tout se passant, pour corser l'affaire au début des années cinquante; oubliés donc les hélicoptères, les GPS, les moyens sophistiqués de secours qui même s'ils ne sont pas toujours efficaces à cent pour cent, ont au moins le mérite de rassurer les flippés en perdition.
Je pense, au sortir de cette salle obscure, à ma chère amie Tatiana Riegel, qui a passé des mois dans l'obscurité d'une salle de montage américaine, pour confectionner, d'un mélange d'inspiration, d'intuition, d'informatisation, ce long film d'action qui en jette. Et c'est le résultat qu'attend le spectateur, friand de ce genre de show. Le cambouis, la sueur, les cris, les odeurs d'essence, la chaleur étouffante de la salle des machines en font un film de mec, avec, il la fallait, cette petite touche de féminité en la personne de la glamour Miriam, attendant toute élégante, le retour de son héros, parti dans la tourmente pour n'en peut-être pas revenir.
Il me souvient de la Baie des Fourmis à Beaulieu-sur-Mer, où je nageais, enfant, et où je me prenais pour un héros lorsque je parvenais à atteindre la barrière de bouées orange, dans une méditerranée d'huile esthétisée par le bleu azur du ciel.
Courageux bonshommes, besogneuse Tatiana.

Un divertissement acceptable, sans toutefois sortir du lot. Un film un peu trop "déjà-vu", sans que la prestation des acteurs n'arrive à faire oublier cette impression. Moyen, quoi.