Derniers Avis : Spider-Man: Far From Home - Page 10

un film qui met un peu de temps à démarrer, mais à part cela les scènes d'actions sont très bien faites, et le film est également bien fait visuellement. un bon film !

Tom Holland est indéniablement fait pour le rôle de Spiderman. Far from Home est un film drôle et dynamique. Le scénario est original, s'éloignant assez du scénario traditionnel des films de super-héros. Les rebondissements sont nombreux et l'on ne s'ennuie pas une seule seconde. Certains plans sont magnifiques et pleins de sens ( spoiler: Spiderman devant le mur recouvert de l'affiche représentant Iron Man par exemple
). Bref, un film fidèle à l'univers Marvel !

Situé juste après les évènements "d'Avengers endgame", c'est peu de le dire que la tension dramatique n'est pas à la même hauteur. Pas désagréable à suivre mais impossible d'être totalement happé à cause des enjeux très faiblards. Toutes les cases du bon teen-movie sont cochées, mais ce film n'est malheureusement rien d'autre et si vous avez plus de 20 ans il gonflera plus qu'autre chose. C'est dommage car les acteurs sont bons. Rien de révolutionnaire non plus dans les scènes d'action, c'est très vite oublié.

Il était beaucoup mieux que le un déjà beaucoup plus surprenant et captivant néanmoins l'histoire d'amour n'est toujours pas attachante à améliorer mais mon préféré restera the Amazing Spider-Man avec Andrew

Un teen-movie rythmé qui se regarde sans déplaisir, mais pour autant sans génie et au scénario assez confus.

J’avais vraiment bien aimé le 1er, pour une fois qu’un reboot est de qualité et peut relancer une franchise qui, à mon sens, n’a pas été bien abordée je suis preneur, surtout sur Spider-Man. Du coup, une fois n’est pas coutume, la suite m’intéresse, surtout avec Mystério, un méchant charismatique (enfin si on élude son aquarium sur la tête). Le début est sympa, on retrouve tout de suite le ton et la dérision qui ont fait la marque du héros, ainsi que le succès du 1er opus. Ajoutons à cela divers clins d’œil tels : les différentes Terres, les armures de Spidey, un bon vieux J. Jonah Jameson et Betty Brant (habituellement collègue journaliste de Peter mais camarade de classe ici), le côté décalé général même lors des actes héroïques, ainsi que les références pop désirées et on est sur de bonnes bases. La musique reste bonne, les acteurs posent leurs persos, la trame est classique mais ne souffre pas d’ennui, le rythme est soutenu, l’histoire pas mal (bonne transition après Endgame), les FX sont au top, les dialogues ne versent pas dans la jeunesse exacerbée mais gardent un niveau haut entre jeu de mots et quiproquos (la petite antenne)… Bref sans quelques longueurs évitables et des décors trop carton-pâte ou clichés (la Hollande avec vélos, tulipes et moulins c’était le triptyque complet) c’était du limite parfait. Ce qui me plait également c’est qu’on n’est pas face à une suite classique. Certes il y a des éléments qu’on retrouve avec plus ou moins d’envie : ambiance scolaire avec le voyage de classe, poursuite de l’être aimé, considérations de collégiens, maladresses et malchance coutumière de Peter, mais la surenchère en est presque absente (car les capacités d’EDITH et le nombre de drones, surtout à la fin, c’est abusé). Du coup on a droit au twist avec le méchant mais c’est un peu moins bien car moins inattendu qu’avec le Vautour (et moins nouveau). Par contre je craignais qu’on ne dénature le méchant, et à l’instar du 1er le renouveau a du bon. Déjà niveau casting Jake Gyllenghal c’est tout bon, mais ses « pouvoirs », son histoire, la façon de l’introduire, la fin qu’il amène (post générique) et même le costume, rien à redire. En somme la saga Spider-Man est bien lancée : la formule fonctionne, l’acteur aussi, les histoires s’enchainent sans lasser, la relecture du héros passe et aurait même tendance à intéresser les anciens lecteurs (la surprise a du bon). Si Marvel arrive à éviter les erreurs du passé on risque de voir l’élève dépasser le maître, même niveau popularité…

Spider-Man : Far From Home est une suite divertissant, décontracté et même plutôt drôle par moment. Très dynamique et prenant avec des effets spéciaux à couper le souffle. Une suite très aboutie.

Il y a donc bel et bien une vie après l’apothéose finale des Avengers, et c’est Spider-man, dont le second reboot tutoie aujourd’hui les versions de Sam Raimi en terme de qualité, qui est chargé d’ouvrir les hostilités. Coincé entre dieux, surhommes et voyageurs galactiques, l’homme-araignée ne pratique guère la surenchère : en dépit des acrobaties et des effets pyrotechniques sans lesquels une production Marvel ne serait pas ce qu’elle est, les menaces qu’il affronte sont généralement plus modestes que celles de ses confrères, et c’est la plus grande force de cette franchise à l’écran. Il n’est d’ailleurs pas question de révéler ici le fin mot d’un scénario un peu plus finaud que la moyenne des autres productions Marvel, même s’il ne fait au fond que recycler indirectement le concept de ‘Iron man 3’, adapté à une réalité qui a sacrément eu le temps d’évoluer (en mal) en dix ans. En tout cas, même s’il voyage cette fois en Europe - Venise, Prague, Berlin et Londres - pour proposer un peu d’exotisme au spectateur américain, Peter Parker reste “La petite araignée sympa du quartier” et ses préoccupations d’adolescent sont toujours aussi terre-à-terre : Comment parvenir à être soi-même quand on est aussi Spiderman. Comment assumer le fardeau d’être l’héritier pressenti de Tony Stark. Et puis, comment séduire Mary-Jane évidemment ! Si le charme opère forcément un peu moins qu’au moment où on avait eu la surprise de constater que ce reboot auquel personne ne croyait réussisait là où les deux opus avec Andrew Garfield avaient échoué, cette franchise Mark III a d’autres arguments à faire valoir, notamment le fait que foncièrement, la franchise Spider-man n’est que pour moitié une franchise de Super Héros, avec les caractéristiques des films à Super Héros : en ce qui concerne l’autre moitié, il s’agit d’un teenage-movie rafraîchissant, souvent drôle et raisonnablement inventif, dont les personnages secondaires ne sont pas écrasés par des contingences visuelles et technologiques qui n’ont rien à voir avec le fait de raconter une bonne histoire. A présent que la pression eschatologie liée à la sorte de ‘Infinity wars’ et ‘Endgame’ n’est plus de mise et qu’une partie des héros n’ont plus besoin d’être présentés, on se réjouit de voir Marvel diversifier un peu les choses, dans les sous-genre auxquels appartiennent les nouveaux films comme dans le ton qu’ils emploient, et l’épisode 3-2 de Spiderman s’avère plutôt de bon augure pour la suite.

Ça fait un moment que je n’attend plus rien du Mcu. J’avais trouvé le premier SpiderMan solo avec Tom Holland très anecdotique preuve en est trois ans après sa sortie le seul souvenir que j’en ai c’est qu’il y avait Michael Keaton Du coup je me suis lancé sans grande conviction dans ce Far From Home surtout après le dernier Avengers qui était le sommet de ce qui m’énerve dans le Mcu. L’avantage quand on attend rien c’est qu’on peut être surpris ce qui fut le cas avec cette aventure de Spidey en Europe, qui si elle n’évite pas certains écueils est plutôt réussie. Si la surabondance de scènes très vilaines sur fond vert gâche toujours le spectacle et la suspension d’incrédulité, la scène de la première apparition de Mysterio en est d’ailleurs un parfait exemple ça pique carrément les yeux et ça donne l’impression d’une cinématique moyenne de jeux vidéo. Ce qui fait qu’il est réussi c’est qu’il développe plus son méchant, il bénéficie en plus de la présence de Jake Gyllenhall qui s’amuse avec son personnage en ne le jouant pas trop premier degrés. Le personnage de Peter Parker lui aussi est bien développé, maladroit dans tous le sens du terme dans sa vie de tous les jours, Tom Holland tient vraiment bien le rôle rend les scènes de vie courantes finalement plus intéressantes que les scènes d’action de l’homme araignée qui n’ont pour le coup rien d’extraordinaires. C’est toujours très loin de la qualité des films de Sam Raimi ou de la petite bombe d’animation Spiderverse mais c’est une réussite dans un Mcu qui tourne en rond depuis déjà un bon moment.

Personnellement j'ai aimé le film mais le problème c'est l'évolution de péter parker (Tom Holland) a mon goût trop enfantin, je préfère même Andrew Garfield car au moin il fais le gamin des fois mais dans des moments épiques il est sérieux il passe du gamin au mec badass comme Tobey Maguire et ce se règle car quand on regarde bien le film le personnage depuis les événements de civil war il n'évolue pas malgré la mort de son mentor j'ai comme l'impression qu'il est un gamin de 12 ans en costume moulant ceux qui disent peter (Tom Holland ) est le meilleur spider-man se trompe complètement car il est es loin de la , peut-être ultimate spider-man . pour faire cour on ne ressent pas les traits de héros dans les derniers spider-man dans ceux de sam rami t'avait comme l'impression que spidey était un vrai héros par exemple la scène du train ou les habitants de new York le porte tu vois un peu le réel poids qu'ils sortent sur ses épaules mais je pense qu'au prochain film ils rattraperont le coup.

Je pense ne pas réussi pleinement à être client de ce spider man, à cause de Tom Holland. Non ce n'est pas un mauvais acteur, loi de là. Mais je trouve bien prématuré de le présenter comme le futur iron man. L'action est là, le scénario est simple, mais passable pour un marvel, les acteurs ont les bases. C'est pourquoi ce film n'est pas médiocre, comme d'autres marvel, mais dans une bonne moyenne. En revanche, il n'est pas à la hauteur d'un infinity war par exemple. Peu de commentaires sont à faire car il est un film comme d'innombrable d'autre, divertissant mais sans plus.La vraie question est: combien de temps la recette va tenir, sachant que les plus grands ne sont plus de la partie. Bref, ça vous occupera.

Honnêtement, je trouve ce Peter Parker très proche des comics, par rapport à ceux d'avant. Le glissement de personnalité, est très bien fait par Tom Holland, et puis ça permettra de voir vraiment l'évolution du personnage au sein du MCU.

Une avalanche d'effets spéciaux mais un scénario pour touristes américains du niveau d'un téléfilm de Gulli... Quel dommage !

Du début du film jusqu'à son générique, la cible est claire : les adolescents. Le voyage à Londres avec ses amis étudiants, plus intéressés par le fait de filmer le combat entre Mysterio et Spiderman que de survivre (mais c'est en même temps assez révélateur de l'époque), les effets spéciaux en mode poudre aux yeux. Alors oui, ils sont plus beaux que ceux de la trilogie de Sam Raimi, notamment le monde holographique et fantastique créé par Mysterio, mais c'est sûrement la seule idée réussie du film. A ça on peut quand même rajouter Jon Favreau, seul personnage rafraîchissant qui arrive à maintenir l'ambiance Marvel spoiler: et le retour de JK Simmons dans la scène post-générique qui met vraiment du baume au cœur
. Pour le reste, je trouve que le casting encore une fois est révélateur de la volonté clairement affichée : viser un public jeune. C'était aussi le cas dans la trilogie de Raimi mais les adultes pouvaient s'y retrouver et ce n'est pas que la nostalgie qui parle. Je trouve que ce qui manque le plus au film, c'est une âme, une identité. J'ai trouvé que Jake Gyllenhaal en Mysterio n'était pas très convaincant non plus, tout comme les retours de Nick Fury et Maria Hill, très dispensables.

Film assez agréable à regarder, il a le mérite d'enfin nous donner mystério qui rend bien au grand écran, après je ne comprend pas pourquoi Mary Jane s'appelle Michel et pourquoi Flash ne fait pas de football américain comme dans l'oeuvre original. Alors c'est un bon film mais qui s'éloigne parfois trop de l'oeuvre original.