Avis : Creed - L'Héritage de Rocky Balboa - Page 7

Moi qui suis un grand fan des Rocky, de tous (si, si), je m'attendais à du très bon et je me retrouve face à un film plus proche du téléfilm larmoyant que d'un vrai film. Les clins d'oeil à peine voilés à Rocky premier du nom, l'introduction du drame par la maladie de Rocky (c'est même das la bande annonce!) totalement inutile, la romance à deux francs six sous, les racailles autour du jeune Creed plein aux as. Bref, un spin-off de très mauvaise qualité à éviter absolument. Moi je retourne à mes Blu-Ray.

Magnifique film, magnifique histoire! Je n'avais pas vu les autres Rocky mais celui-là est vraiment incroyable et différent, j'espère qu'il y aura une suite!! Vous pouvez aller voir ce film avec votre famille, c'est un film vraiment tous public, à absolument aller voir ce film, Absolument!!❌⭕💋

Des frissons. Ce n'est pas une expression, ce film donne des frissons, tout est génial. Deja fan de la série de Rocky, j'ai apprécié grandement ce spin off, qui apporte une touche d'actualité et de réalisme. Un grand film

On pensait que Stallone avait tout écrit sur son personnage de Rocky, que la saga s'était terminée sur un piètre épisode 5 et que jamais Stallone ne reviendrait nous émouvoir. Et bien si, il revient. Et de quelle manière ! Stallone livre un film simple, comme le personnage principal. Mais qu'est-ce que c'est beau et émouvant, beau à en pleurer. Rocky Balboa est une vraie leçon de vie et d'humilité. Le film prend son temps pour nous adresser le coup de grâce avec un combat final d'anthologie. La boucle est bouclée, Rocky prend sa retraite après 25 ans de carrière. Une saga hors-norme ! Merci Monsieur Stallone.

Nul archi nul ! Je n'arrive pas à comprendre comment ce film a pu être qualifié de "chef d'oeuvre". C'est cousu de fil blanc, j'en arrivais même à prévoir quand la musique allait changer de rythme tant c'était prévisible. Nul nul archi nul !

Rocky Balboa avait rangé ses gants depuis près d'une décennie, suite à la brutalité des combats et la difficulté psychologique qu'engendre la célébrité. La venue de Adonis Johnson, fils d'Apollo Creed, est l'élément perturbateur qui va le rappeler sur le ring. Michael B. Jordan (Chronicle) dans le rôle titre, et le vieux Sly face à lui (qui gagne au passage une nomination à l'Oscar du meilleur second rôle masculin), le film s'inscrit dans une bonne dynamique : scénario relativement solide, BO choc et belles compositions. Trop de fan service et des scènes clés au final empruntées au premier Rocky ne décrédibilise en rien la qualité du film qui, s'il aurait pu s'avérer meilleur en s'abstenant de petites maladresses, gagne toutefois le cœur du public, sonné par le gong du générique.

Une vraie belle surprise, bien plus intelligente que le simple combat de boxe pour les bourrins (ce que l'affiche laissait envisager), dont l'intrigue est (étonnamment) touchante et émouvante, les scènes bien mises en scène et une musique inspirée. Sylvester Stallone vieillissant est impeccable dans la figure paternelle de Michael B. Jordan également très convaincant dans le rôle du loubard défavorisé qui veut créer son propre nom. Respect, honneur, famille, et tendresse (inattendue !) sont les maître-mots de Creed, et la réalisation est bien soignée (le meilleur Ryan Coogler ? Pour ma part : oui !). La séquence "course dans la rue avec les motos" est vraiment esthétique et étonnante dans un film comme celui-ci, on se prend à rêver de film d'auteur dans un blockbuster de boxe...alors chapeau. Le final est sous tension, impossible de quitter l'écran des yeux, chaque coup nous fait mal, la violence est palpable et débouche sur un moment de tendresse émouvant pour conclure en beauté ce film, décidément très étonnant (on se répète, mais c'est vrai !). Le démarrage est un peu mou jusqu'à la rencontre des deux mastodontes de muscles, puis le film prend une direction très touchante et dynamique jusqu'à un final des plus réussis. Le duo "pseudo-père et fils" est émouvant et viscéral.

Creed est le nouveau film de la saga Rocky. le Casting est là, Michael B. Jordan impressionne sur le ring, avec la caméra au cœur de l'action, on boxe presque à ses côtés! L'histoire n'est pas des plus originale, mais elle fait le job, bref, pas de défaut, Ce film est vraiment réussi. Il n'est pourtant peut-être pas aussi bon en soi que La rage au ventre (Sortie en juillet 2015, avec Jake Gyllenhaal). D'ailleurs, le même film sans le lien avec Rocky, ça aurait été un film de boxe de bonne facture, mais pas inoubliable. Il a pour lui le symbole d'une génération, Sylvester Stallone, qui lui confère l'aura nécessaire pour être un incontournable dans le genre. En résumé, un bon film de boxe, mais surtout un très bel hommage à Rocky, à voir absolument pour les fans.

10 ans après "Rocky Balboa"(Rocky 6) qui a vu le célèbre étalon italien reprendre les gants pour un combat entre générations, voici Stallone de retour pour, cette fois, définitivement passer le flambeau à un petit jeune à l'enfance chaotique, j'ai nommé le fils d'Apollo Creed.
L'intelligence du scénario, la justesse des situations et le réalisme des personnages m'ont bluffé, papy Rocky et ce jeune poulain font des étincelles sur le ring mais aussi et surtout dans leurs vies d'hommes et c'est presque ça le plus fort.
La bande-son est également excellente.
Emotionnellement puissant, ce Rocky 7 a réussi à me toucher et à me mettre KO assis ! C'est finalement ça que l'on recherche au cinéma...

C'est dans les vieux pots... qu'on fait un revival réussi. Intense émotionnellement et dans les combats, le film joue également la carte de la nostalgie tout en étant très actuel. On a droit aux mythiques scènes d'entrainement sur fond musical, à quelques clins d'oeil, à un Stallone en vieux briscard. Que du bon !

Qui aurait cru que la saga "Rocky" connaîtrait un nouvel épisode après le très réussi "Rocky Balboa" (qui ressemblait à un magnifique adieu un personnage) et, surtout, que ce nouvel épisode se ferait sous la forme d’un spin-off se concentrant sur le personnage du fils d’Appolo Creed dont on n’avait jamais entendu parler jusque-là ?! Cet improbable pitch ressemblait fortement à une tentative opportune (et maladroite) de producteurs en mal d’inspiration pour engranger quelques dollars supplémentaires sur le (vieux) dos de l’Etalon Italien… Et ces craintes rendent la surprise d’autant plus belle car "Creed" est une formidable réussite ! Tout d’abord, et c’est trop rare pour le souligner, le metteur en scène Ryan Coogler fait montre d’un extraordinaire talent et se pose comme l’artisan principal de la réussite de "Creed". Dès les premières secondes de son film, il impose le respect par un plan carcéral (qui s’avère être une prison d’enfants !) et qui situe immédiatement le personnage d’Adonis dans son mal-être. Inutile, dès lors, d’en faire des tonnes par la suite pour expliquer ses motivations. Coogler va, alors, constamment prendre le spectateur à revers en lui proposant des personnages échappant à la caricature grâce à leur épaisseur scénaristique spoiler: (Adonis, gamin des rues ayant grandi dans le luxe sans pour autant refréner ses instincts de combattant, sa petite amie chanteuse atteinte d’une trouble de l’audition qui la rendra prochainement sourde, la veuve Creed qui s’amourache d’un gamin qui est pourtant le symbole de l’infidélité de son défunt mari…)
. Le talent du réalisateur est, également, formel puisqu’il a su soigner son rythme, sa BO et, surtout, ses scènes de ring, au point de mettre à l’écran le combat le plus immersif de toute la saga spoiler: (le premier combat pro d’Adonis)
grâce à un fantastique plan-séquence (visiblement pipeauté mais passons…) qui nous plonge dans l’arène comme jamais. Avec un tel style, Coogler aurait pu faire de l’ombre à l’héritage de la saga "Rocky" mais il a l’intelligence de faire montre d’un véritable respect pour l’œuvre, qu’il a, si on en croit ce qu’on voit à l’écran, étudié sous toutes ses coutures. Ce respect ne se matérialise pas seulement par les multiples clins d’œil faits aux fans (évocation des illustres disparus, retour dans des lieux cultes, référence en pagaille…) puisqu’il sert carrément de moteur au scénario (déjà formidable en soi avec son questionnement sur le poids de l’héritage paternel et l’importance de la transmission), tant sur le plan de sa structure (on retrouve beaucoup du premier "Rocky" dans ce "Creed", mais avec beaucoup moins d'austérité) que de sa puissance méta, le statut d'icone de Rocky auprès des habitants de Philadelphie (et des jeunes boxeurs) faisant terriblement écho à la place de la saga dans l’inconscient collectif. C’est, d’ailleurs, là que la présence de Sylvester Stallone (qui rempile dans le rôle pour la 7e fois), prend tout son sens… au point de transcender le film. J’ai toujours été un très grand admirateur de l’acteur (souvent décrié, pourtant) qui, avec le personnage de Rocky, tenait une de ses plus belles prestations, mi naïf mi-brute. Il parvient, ici, à nous épater une fois encore par sa présence merveilleuse de candeur... et, ô miracle, est parvenu à mettre la profession d’accord puisqu’il a (scandaleusement) loupé de très peu l’Oscar du meilleur second rôle ! Pour autant, Stallone n’est pas le seul intérêt du casting… loin de là ! Outre la multitude de seconds rôles solides (Phylicia Rashad, Richie Coster, Graham MacTavish…) et de pro de la boxe conviés pour l’occasion et offrant une véritable crédibilité à l’entreprise (Tony Bellew en adversaire principal plutôt bien écrit avec son épée de Damoclès au-dessus de la tête mais aussi Andre Ward, Gabe Rosado, Ricardo Padman Mcgill…), on ne peut que saluer les prestations de la belle Tessa Thompson qui évite le piège de la nunuche et, surtout, du très surprenant Michael B. Jordan, qui fait mieux que confirmer tout le bien qu’on pense de lui et s’impose, avec son jeu tout en nervosité et son charisme tranquille, comme un prétendant à la A-list d’Hollywood. Les deux acteurs forment, avec le taulier Stallone, un trio formidable auquel on s’attache immédiatement spoiler: (il faut dire que le "tonton" asséné par adonis à l’ancien rival de son père y est pour beaucoup).
Enfin, "Creed" s’achève par spoiler: l’attendu combat final (passage obligé de tous les épisodes de la saga "Rocky") qui se transforme rapidement en véritable plaisir coupable où on se prend à sourire béatement lorsque retentit le légendaire thème "Going the distance"
. Là encore, Ryan Coogler respecte la légende tout en s’appropriant totalement la scène par le biais spoiler: du formidable réveil d’Adonis après avoir été sonné, qui révèle, mine de rien, sa motivation profonde
. "Creed" est, donc, mieux qu’une réussite, c’est une véritable démonstration que la saga "Rocky" est définitivement une petite merveille d’émotion pure (qu’elles soient dramatiques ou jouissives) qui ne s’est pas encore asséchée sur un plan scénaristique après 7 épisodes. Peu de saga peuvent s’en vanter, surtout avec un tel sujet…

Ce qu'il y a de bien avec les "Rocky", plus le temps passe depuis quarante ans, on attend pas grand chose puis le sursaut s'éveille et on marche !! "Creed l'héritage de Rocky Balboa" septième du nom a du sang neuf puisqu' il est co-écrit et réalisé par Ryan Coogler et non Sylvester Stallone auparavant mais il accepte de reprendre son role mythique qui prend de l'age et qui accepte d'entrainer le fils d'Apollo Creed, Donnie, qui veut faire comme son père malgré son niveau d'étude et son poste a promotion, il est décidé. Le film est plus sociale avec les séances d'entrainement, de footing, des salles de boxe avec des noms d'anciennes gloires comme Mickey, Apollo Creed. Le jeune héros a aussi un penchant pour sa voisine du dessous qui aspire a ètre chanteuse. Malgré comment ça va se finir, j'ai bien aimé ce film qui offre deux roles forts au jeune Michael B. Jordan et surtout Sylvester Stallone qui accepte un role de vieux et l'assume avec brio. Un long métrage plaisant.

Certes la structure de ce nouvel épisode n'a rien de surprenant, mais Ryan Coogler reprend la trame bien connue à son compte pour en faire un bon film sur la transmission. En abordant des thématiques assez différentes (les personnages n'évoluant pas dans le même milieu), il limite l'impression de déjà-vu.

Rocky est une franchise du cinéma américain qui a maintenant plus de trente ans, mais je dois dire que si je la regarde avec la tendresse de la nostalgie (après tout j'étais un minot quand les premiers opus sont sortis), je dois avouer que je n'ai jamais été un grand fan. Néanmoins, les deux derniers volets m'ont vraiment beaucoup plu, peut-être parce que comme Sylvester Stallone - et Rocky donc - je vieillis et que je trouve que l'acteur se bonifie avec le temps et qu'il est bien meilleur acteur que dans les premiers volets. Dans cette dernière mouture de la saga, Rocky passe le flambeau, maintenant il entraîne. Et pas n'importe qui : Adonis Creed, le fils de son défunt adversaire, puis ami : Apollo Creed. C'est donc quelque part entre une nouvelle suite et un reboot que “Creed” offre au spectateur, avec une prise de relais par un jeune acteur (Michael B. Jordan) qui contrairement à Stallone, qui était nanti d'un physique impressionnant est devenu acteur, est un excellent interprète qui s'est construit un physique de boxeur pour entrer dans le rôle. L'intrigue est assez classique : celle d'un jeune boxeur impétueux qui a tout à apprendre d'un vieux champion avec lequel il développe un début de relation filiale. Le vrai plus du film c'est donc ce duo d'acteurs : Stallone/Jordan qui chacun dans leur partition offrent une interprétation très puissante et très touchante. La polémique des Oscars sur la trop grande blancheur des nommés a jeté une certaine suspicion sur celle de Stallone, ombre qui n'a pas lieu d'être tant l'acteur offre sûrement la plus belle prestation de sa carrière. Un long-métrage plein de nostalgie, mais qui offre une nouvelle suite et surtout une nouvelle destinée qui peu à peu s'affranchit de son acteur/créateur. Un beau film qui mérite vraiment d'être vu, autant de la part de ceux qui sont des aficionados de la saga, que de ceux qui veulent découvrir le mythe sans forcément passer par les vieux opus. Je le recommande, quant à moi, chaudement.

Alors ma petite critique (sans spoiler) : j'ai trouvé le film intéressant. J'ai eu l'occasion de le voir en VO pure, juste un peu de mal à comprendre ce que dit Stallone, sa voix n'est plus comme avant^^

Contrairement à ce que certains disent, non c'est pas un remake de Rocky 5, rien à voir. Dans Rocky 5, Rocky revivait sa gloire passé via Tommy Gunn, c'était un film social, qui revenait au style du 1 et montrait la déchéance de Rocky après avoir montré son ascension, On le voyait s'éloigner de son fils à cause de Tommy qui en plus fini par le trahir...

Ici rien de tel, ça suit Rocky 6, il a définitivement tiré un trait sur la boxe et Adonis le persuade devenir son entraineur, Rocky accepte en hommage à Appollo. Et le film est vraiment centré sur Adonis, Rocky n'apparaissant qu'au bout d'une vingtaine de minutes et ayant un rôle comme Mickey dans les 2 premiers. C'est quasiment un remake de Rocky 1 sur pas mal de points, Adonis rappelant le Rocky des débuts, à peu près le même âge aussi, mais avec un background totalement différent. Y'a moyen de prolonger la saga avec lui.

J'avais peur que le cliché du "fils caché" gâche le film, mais en fait ça fonctionne pas mal.