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    The Program
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    194 critiques spectateurs

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    ferdinand
    ferdinand

    12 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    l'histoire de Lance Armstrong à l'usage des nuls.. On se demande quelle mouche a piqué Stephen Frears de s'intéresser à ce sujet dont il ne fait rien. L'acteur principal non plus. Tout ça bien ennuyeux. Frears a-t-il des problèmes d'impôts?? Son plus mauvais film.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2018
    N'importe quel observateur du monde cycliste vous le dira : Lance Armstrong est le plus grand gâchis de la Grande Boucle! Au sein du peloton, il y avait les pro et anti-Armstrong! Aujourd'hui, il restera jusqu'à son dernier souffle le hèros dèchu du cyclisme! Ses sept titres perdus de vainqueur du Tour de France puis sa descente aux enfers mèritaient bien un long-mètrage! Avec "The Program", Stephen Frears nous rèvèle l'ampleur du mensonge et du dopage! Le cinèaste signe un biopic prenant et très proche de la rèalitè qui se hisse dans ses meilleurs moments au niveau des rèfèrences du genre avec de très bonnes reconstitutions de courses! Tout cela serait même bien illustratif ou caricatural si le toujours excellent Ben Foster n'y apportait pas son talent, toujours aussi habitè dans sa façon d'aborder un personnage, filant droit à l'essentiel! La ressemblance est frappante au point que le spectateur s'identifie totalement à l'ex-septuple du Tour de France accusè de dopage! A noter la superbe intro d'un Armstrong seul au milieu des montagnes alpestres...
    Incertitudes
    Incertitudes

    171 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2016
    La vie de Lance Armstrong est évidemment un sujet de choix pour le cinéma. Il y a l'ascension brisée par la maladie, la guérison, le retour vers le sommet, la chute. Qu'Armstrong soit dopé, à la limite, je dis bien à la limite, n'est pas le problème entre guillemets. Car tout le peloton l'était comme dans les années 80. Ce qui choque, c'est toute cette stratégie mise en place par Armstrong et son directeur sportif pour duper les contrôles anti-dopage. Et je me dis que si, au lieu de s'échiner à se doper, il avait consacré ce temps à s'entraîner normalement, il aurait gagné le Tour de France sans tricher. C'est un peu ironique. On peut avoir du respect pour l'homme et sa fondation venant en aide aux malades du cancer. La seule fois où il semble sincère, c'est quand il en parle. Le sportif, lui, malgré un certain charisme, se sera comporté en Parrain du vélo. Menaçant de briser la carrière, à l'époque où il courait, de tous ceux qui oseraient émettre des doutes sur ses performances. Le pire, c'est que tout le monde savait : instances du cyclisme avec qui Armstrong était complice, peloton, journalistes. Ces derniers mettront très vite en doute (dès le Tour 1999) les capacités d'Armstrong à grimper aussi facilement. Avant sa maladie, on le voyait plutôt comme un coureur de classiques. Incapable d'accompagner les meilleurs en montagne et de tenir sur une course de trois semaines. Pour finir par ridiculiser ses concurrents entre 1999 et 2005 après avoir un vaincu une maladie aussi grave qu'un cancer des testicules. Avec le recul, je m'étonne, en effet, que cette supercherie n'ait pas été découverte plus tôt. Mais avec autant d'intérêts en jeu, comment pourrait-il en être autrement ? L'affaire Armstrong provoquera un tel ravage que désormais la suspicion est inévitable quand on regarde les accélérations de Froome en haute-montagne (lui aussi déclarait à ses débuts en 2008 que les montagnes, ce n'était pas pour lui) et la domination de l'équipe Sky. The Program permet en tout cas de revenir sur la période 1993-2005 correspondant un peu aux années sombres du Tour quand on voit la liste des coureurs impliqués dans des affaires de dopage : Riis, Virenque, Ullrich, Pantani, Armstrong et son équipe : Hamilton, Hincapie, Leipheimer. Frears nous montre de l'intérieur un homme ne concevant pas sa vie sportive et ses réussites sans le dopage comme un homme a besoin d'oxygène en comparaison. Un homme arrogant, menteur mais aussi fin tacticien et au mental d'acier. Entre ombre et lumière. Il m'a volé sept tours de France et une partie de mon adolescence mais j'ai du mal à lui en vouloir car, sur un vélo, il avait la classe et que ses empoignades avec Ullrich et Beloki me manquent.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    231 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    Toujours délicat d'adapter à l'écran la vie d'une personnalité encore vivante. Le manque de recul sur une affaire trop récente empêche parfois d'y voir clair. Stephen Frears a donc décidé de s'attaquer au cas du cycliste Lance Armstrong, sportif dopé parmi les dopés. Et il s'en sort plus que bien, livrant un film passionnant sur le sujet. Le réalisateur ne montre pas seulement un système de dopage ultra perfectionné. Il met aussi en lumière la personnalité tyrannique d'un coureur qui a donné tant d'espoir, mais aussi tant déçu. Et il nous interroge sur notre perception et notre capacité à monter des héros, et à les défaire aussi vite. Reste dans notre tête cette question lancinante à l'issue du film : comment a-t-on pu se faire avoir ?
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    153 abonnés 2 753 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2020
    Ben Foster sublime ce portrait corrosif du sportif. Un thriller pour ceux qui ne connaissent pas la légende déchue, un fait majeur utilement révélé pour les autres. Un bon Stephen Frears.
    tony-76
    tony-76

    1 012 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2016
    « Il y a en chacun de nous quelque chose de plus fort, de plus puissant que n'importe quelle drogue. Ça s'appelle la volonté de survivre. » The Program traite des faits de dopage commis par le coureur cycliste américain Lance Armstrong. Un journaliste sportif irlandais est convaincu que les performances de Armstrong lors de ses victoires au Tour de France sont alimentées par des substances illicites. Avec cette conviction, il commence la chasse aux preuves. Le récit est instructif, on apprend ce qui s'est réellement passé à travers cette folie de ce personnage légendaire du Tour. On se laisse séduire, même si on est pas un fan de vélo. Un casting très intéressant. Ben Foster est méconnaissable dans la peau de ce champion au portrait noir. Son allure, son physique et son style est impressionnant ! Un personnage manipulateur, sûr de lui et complexe. L'inquiétant docteur Ferrari incarné par Guillaume Canet s'avère crédible. Le journaliste, Chris O'Dowd est aussi, bon dans sa performance. Avec, un petit rôle pour Dustin Hoffman ! La reconstitution de cette oeuvre est bien soignée, et les dialogues font mouche accompagné d'un certain humour noir. La tension est là mais cependant, il manque quelque chose en plus... Malgré quelques longueurs, The Program est un résultat divertissant.
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2016
    Un film vraiment inégal sur un des plus grand scandale de l'histoire du sport. Inégal car s'il y a des moments brillants, j'ai eu l'impression que le film empruntait des raccourcis gênants. Ce qui m'a la plus gêné c'est le portrait qui est fait de la psychologie de Lance Armstrong, j'ai le sentiment que de ce point de vue le film passait trop vite. Tour à tour héros de la lutte contre le cancer doté d une volonté hors du commun, puis manipulateur, agissant comme un parrain d'une mafia usant de la menace et de son pouvoir, puis pantin prisonnier de son propre mensonge ... J ai trouvé que le film passait trop vite d'une caractéristique à l autre pour faire un portrait plus juste, plus en nuance. Les scènes de cyclisme, vraiment rythmées réussissent à être crédibles ce qui n'est pas toujours le cas dans les films traitant de sport. Une belle mention également pour la performance de Ben Foster étonnant de mimétisme avec le coureur. Pas assez poussé à mon gout, mais The Program reste tout de même un film plus que correct.
    Benjamin A
    Benjamin A

    648 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 août 2017
    The Program est typiquement le genre de film plutôt passionnant par son sujet (selon qu'on s'y intéresse ou non évidemment) mais décevant dans sa forme, qui plaira un minimum à ceux qui sont initialement intrigué, mais qui risque de laisser sur le bord de la route tous les autres.

    Très vite, la vie de Lance Armstrong devient le parfait scénario du film hollywoodien, l'ascension puis la chute, il est d'abord le symbole du courage suite à sa guérison du cancer, puis de l’extrême réussite par le biais de ses victoires et enfin du tricheur, puis du pariât. C'est d'ailleurs fou de constater qu'il a un peu pris pour tout le monde et que beaucoup sont un peu passé à travers les mailles du filet, notamment d'autres coureurs et surtout les sponsors qui ont fini par se retourner contre lui alors qu'ils finançaient voire encourageaient tout cela... Surement le prix de la victoire...

    Stephen Frears, qui adapte le bouquin Seven Deadly Sins: My Pursuit of Lance Armstrong du journaliste David Walsh, propose une oeuvre vraiment classique et d'un style wikipedia, ce qui est vraiment décevant lui qui avait tant brillé dans un genre similaire avec The Queen, suivant dans l'ordre chronologique les faits, et en occultant aussi beaucoup d'éléments, pour mieux retenir l'essentiel, l'ascension puis la chute. C'est tout de même dommage d'oublier quelques points plutôt intéressants de la carrière de l'américain, notamment l'enquête autour de sa prise d'EPO par le journal L'Equipe en 2005.

    Enfin, là où Stephen Frears est sauvé, c'est que le sujet est pour moi passionnant, et qu'il sait mettre en scène plutôt efficacement le récit, avec quelques aspects bien trouvés, à l'image des séquences purement cyclistes avec de jolies prises de vues, sachant aussi mettre en avant le coureur face à la (et sa) nature. Il mène plutôt bien son récit, sachant faire un condensé plutôt intéressant du programme et du long destin d'Armstrong même si certaines facilités et inutilités sont un peu déconcertantes.

    J'ai aussi bien aimé la façon dont il a été présenté, certes comme un ambitieux sans pitié, mais avec quelques moments touchants (notamment face à l'enfant malade), et sans jamais occulté le rôle primordial et dangereux des médecins et entraîneurs, qui sont tout autant fautif que les coureurs. Dommage tout de même que certains autres personnages importants bénéficient d'un traitement bâclés, notamment Landis qui restera un des pires dopés, notamment après la retraite d'Armstrong, voire même traîtres, et qui passe ici pour un pauvre petit gentil innocent. C'est le genre de gaffe qui gâche un peu le film, c'était inutile et rajoute un côté un peu manichéen (idem pour le journaliste, avec sa bonne tête de gentil).

    The Program peut surprendre, positivement cette fois-ci, par la façon dont il montre ce qu'à pu être le dopage au sein d'un peloton, avec une vraie spirale où tout le monde est entraîné et surtout doit se taire, pour ne pas être banni de ce milieu. C'est là que l'oeuvre arrive à être saisissante, dans la façon dont le dopage n'est devenu que routine, dommage qu'elle soit régulièrement rattrapée par ses limites. On pourra néanmoins apprécier de bons comédiens, arrivant à se fondre dans leur rôle, malgré une absence d'un réel point de vue venant de Stephen Frears qui, décidément, se restreint à la page Wikipedia du coureur américain.

    Malgré son passionnant sujet, The Program inspire surtout un sentiment de gâchis, tant certains éléments ont été modifiés, rendant les faits plus manichéens qu'il n'y paraît, et dans un style biopic Wikipedia manquant clairement de point de vue et d'intensité, dommage....
    Shephard69
    Shephard69

    281 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 août 2016
    Sur celui qui est probablement l'un des sportifs les plus honnis et les plus controversés du monde actuel, Stephen Frears livre un portrait sans concessions mais manquant cruellement de profondeur psychologique, dépeignant seulement Lance Armstrong, suivi ici de ses débuts professionnels jusqu'au moment précis de sa chute, de façon un peu trop schématique et grossière. Quelques scènes au cadrage très réussi mais une mise en scène globalement pataude, lourde de clichés. Excepté un très bon Ben Foster, le reste du casting ne s'avère pas très convaincant à l'image de Guillaume Canet peu crédible en médecin italien. Sans surprises ni originalité, un long-métrage peu instructif, fade et décevant.
    Stephenballade
    Stephenballade

    354 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Qu’on s’intéresse ou pas au vélo, je ne pense pas me tromper en affirmant que tout le monde a entendu parler un jour ou l’autre de Lance Armstrong. D’abord sous les meilleurs termes, ensuite sous des mots moins éloquents. L’affiche mise en avant par le site préféré des internautes cinéphiles porte quatre qualificatifs du champion américain déchu : champion, menteur, héros, tricheur. Je vous laisse le soin de mettre ces quatre mots dans l’ordre. Mais il existe des variantes d’affiche où figurent d’autres mots, souvent seuls : traître, science, vérité. Eh bien je crois que tout cela résume à peu près la carrière de ce coureur cycliste. Alors que pouvait apporter ce film sur une personne tour à tour adulée et détestée ? Pas grand-chose si ce n’est de mettre en images cette immuable rage de vaincre, et les rouages de la mise en place du dopage. Une certaine façon de montrer les coulisses du Tour de France, plus centrée sur son côté obscur et peu enviable. On doit saluer les recherches qui ont été faites pour rapprocher ce biopic au plus près de la réalité, mais il existe des inexactitudes de taille. En effet, le journaliste David Walsh par qui le scandale est arrivé est présenté comme solitaire ramant contre le reste de la presse. Dans les faits, Pierre Ballester (ancien journaliste du journal L’équipe) a non seulement participé à l’enquête, mais il a écrit lui aussi les articles et partagé les ennuis avec Walsh. "The program" a beau être un film britannico-français, c’est toute la partie française de l’enquête qui a été occultée. Parmi les autres inexactitudes, l’escamotage d’un contrôle positif est bien évoqué, mais il semblerait qu’il y en ait eu un ou deux autres. Et je ne parle même pas du fait qu’on expliquait alors les performances de l’athlète par les prises de médicaments prescrits à la suite de son cancer du testicule, évocation inexistante dans ce film. Il n’empêche que l’essentiel est là, sur un rythme qu’on pourrait croire dopé pour boucler le tour de la question en 103 minutes seulement. La réalisation est propre, crédibilise le propos à l’aide d’images d’archives, et le scénario ne se perd jamais en futilités qui auraient pu servir à romancer un peu tout ça. Mais qui de mieux qu’un américain pour jouer le rôle d’un américain ? C’est Ben Foster qui s’y est collé, et de quelle manière ! Il nous livre une énorme prestation parce qu’il va jusqu’à ressembler à cet ex immense champion dans l’effort. Non, je ne confonds pas avec les images d’archives, je parle bien des courtes séquences recréées pour les scènes à vélo. La performance de Foster passe par une psychologie du personnage très compliquée (grande intelligence, ego démesuré, cynisme, manipulateur, sincérité devant les enfants atteints du cancer…), et va jusque dans l’imitation du positionnement si particulier de Lance Armstrong sur le vélo. Un travail remarquable auquel Chris O’Dowd a répondu présent de façon très convaincante dans la peau du journaliste David Walsh. Par ailleurs, notons les présences remarquées de Denis Ménochet plus que convaincant dans le rôle de Johan Bruyneel, de Dustin Hoffman (que je n’attendais pas là) et de Guillaume Canet, littéralement transformé pour ressembler au célèbre médecin (italien) d’Armstrong. "The program" est donc un film bien fait, très bien fait, même, que ce soit au niveau de la reconstitution des courses, ou que ce soit au niveau des plans embarqués (vue sur le dérailleur, sur les pédales…). Beaucoup de choses sont évoquées, mais certaines d’entre elles ne sont pas suffisamment développées ; il va ainsi de l’influence du fameux "train bleu" sur le peloton, et du cas de Floyd Landis dont le rôle au sein de l’équipe n’a pas été suffisamment exploité, bien que là n’était pas le sujet. En revanche, les séquences podiums font faux… Un film qui ne s'arrête pas seulement aux initiés.
    Agnes L.
    Agnes L.

    119 abonnés 1 463 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2016
    Le plus grand mérite de ce film est de nous donner à voir le cas le plus édifiant du dopage à grande échelle d'une vedette sportive internationale. Toute une vie sportive construite autour de la dissimulation, du mensonge et de la pression exercée sur les autres pour qu'ils se taisent. Bel héros pour l'Amérique que ce champion-là et bel ami pour George Bush ! Lance Armstrong apparaît si machiavélique que l'on est en droit de se demander si sa fondation n'a pas eu pour objectif de masquer la partie sombre du personnage, sorte de paravent pour apparaître comme un philanthrope alors qu'il trompe le public, les journalistes et les instances anti-dopage avec un énorme aplomb allant jusqu'au parjure. Quand Floyd Landis lui demande son aide après avoir eu un contrôle positif, il le lâche sans état d'âme, mais il pourra s'en mordre les doigts par la suite.
    Finalement même si tout n'est pas raconté dans ce film, en particulier l'accueil hostile de certains spectateurs sur la route du Tour, pas dupes qu'il ne pouvait que se doper pour obtenir de tels résultats, le film montre bien les grandes phases de cette histoire. A aucun moment, on ne s'ennuie, même en connaissant le dénouement final car c'est tellement énorme comme duperie. Bonne prestation aussi des acteurs qui finissent par nous faire oublier les personnages réels.
    David B.
    David B.

    39 abonnés 558 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2016
    Un biopic stupéfiant (sic) sur l'entreprise de triche du très controversé Lance Armstrong mais aussi l'histoire d'une formidable résurrection après une terrible maladie. Les acteurs choisis sont très ressemblants et très convaincants. Intéressant même si le film ne fait que survoler le sujet, résumant en 1h45 une vingtaine d'années.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 juillet 2019
    Certainement parce qu’il s’avère aussi programmatique que son titre, le film que Stephen Frears relit l’histoire par la lorgnette d’un bulldozer et se contente, à partir d’une ligne d’arrivée déjà tracée – le scandale relatif au champion –, de remonter à la source du mal à grands coups d’exagérations dramatiques et d’ironie facile. La mise en scène hésite entre le spot publicitaire pour équipement sportif et l’intimiste, caméra à l’épaule ; le résultat est en deçà du médiocre, et ce n’est pas le pauvre Guillaume Canet en parodie de docteur qui viendra sauver quoi que ce soit. La vision que délivre pourtant le cinéaste, audacieuse, rêvait de mécaniser l’humain au point d’en exhiber les rouages à la fois industriels et mythiques. Malheureusement, enfanté dans la précipitation et sans recul critique, The Program n’incarne jamais son icône et se contente de la traquer comme un chasseur harcèle sa proie jusqu’à l’épuisement. C'est épuisé justement que le spectateur ressort de ce triste spectacle où ne percent ni le sensible ni le mécanique, encore moins le mythique.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    219 abonnés 2 857 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2016
    Ce biopic m'a fichu une vraie claque !!! C'est prenant, dérangeant et vraiment parfaitement réalisé !!! Frears signe un nouveau coup de maitre et l'acteur qui joue Armstrong est épatant !! On découvre le vrai visage du ''champion'' de cyclisme et comme on le savait il est détestable et son ego surdimensionné, son ambition maladive et sa condescendance vous donnent envie de vomir !!! Sa fâcheuse tendance à se faire passer pour une victime parce qu'il a vaincu le cancer m'a révolté et vraiment devant le film on n'a qu'une hâte c'est de le voir déchu de ses titres et de voir sa chute !!! Un personnage exécrable et un biopic réussi sans hypocrisie !!! Un chef d'oeuvre !!
    orlandolove
    orlandolove

    113 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 septembre 2015
    On ne s'ennuie pas devant "The Program", toutefois à vouloir traiter l'ensemble de son sujet, le film apparait fragmenté et presque superficiel : sauf néophyte du cyclisme, vous n'apprendrez pas grand chose. Probablement que le format d'une série aurait été plus adapté. Quant au casting, si Ben Foster est bluffant, le Dr Ferrari campé par Guillaume Canet ne prend pas.
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