Avis : Red Sparrow - Page 3

Beaucoup de blondes de Michelle Pfeiffer dans Scarface (1983) à Charlize Theron dans Atomic Blonde (2017). Jennifer Lawrence est dans cette lignée avec Red Sparrow (Moineau rouge). Mais ni elle ni le film ne sont oscarisables. Trop de clichés, que ce soit dans le magnifique visage de l’actrice (dont les expressions ne varient pas beaucoup) ou que ce soit dans l’histoire avec les américains qui sont les gentils et les russes qui sont les méchants. Mais le film tient en haleine. Du début à la fin, on ne sait pas trop qui cache quoi à qui, et il vaut mieux rester très attentif. Toutefois, ceux dont le QI est un peu défaillant pourraient bénéficier de quelques minutes en plus à la fin après 2h20 de film –quelques secondes d’inattention après 2h19, et on est perdu. Mais ce n’est pas grave ; c’est étrange comme on n’a pas besoin de tout comprendre (pourtant il s’agit de démasquer une taupe). L’intérêt du film est ailleurs. Il n’est pas avec un épluche-légumes électrique qui entre en scène ici sur la cuisse d’une femme ou là sur l’épaule d’un homme, ni quand on égorge un monsieur en train d’avoir son affaire avec le moineau (ceci pour informer au passage que l’on ne suggère pas dans ce film, on rentre dedans). L’intérêt n’est pas non plus dans cet accent russe du doublage qui finit par énerver. L’intérêt est peut-être bien dans la brochette d’acteurs secondaires, et ce qu’ils disent. En premier lieu Charlotte Rampling –elle ressemble de plus en plus à John Noble (Walter Bishop de la série Fringe), ou c’est lui avec l’âge qui ressemble de plus en plus à Charlotte Rampling –bref, on rêve de les voir ensemble dans un film de genre. L’intérêt du film est donc peut-être de laisser réflexion et imagination caracoler, comme avec Charlotte Rampling –qui en l’occurrence joue la matrone éleveuse de moineaux rouges, en leur apprenant la manipulation, le sadisme, etc. On imprime également des phrases dès le début, qui occupent bien le cerveau (au point de lâcher un peu l’histoire ?), par exemple quand on entend « les accidents n’existent pas, nous façonnons notre destin », ou plus loin « le hasard n’existe pas ». Car ces réflexions illustrent bien l’intrigue et les intrigues du début à la fin, mais aussi l’espionnage d’une façon plus générale.

Très bon film mais toujours les américains les Sauveurs et les russes les méchants. Trop vu déjà vu. Toujours le même histoire, le même histoire.

Red Sparrow ... Critique compliquée ... Comme le scénario du film, ou plutôt devrais-je dire, comme sa construction.
Rapidement : une danseuse étoile voit sa vie brisée suite à une vilaine blessure sur scène au Bolchoi. Suite à sa convalescence, elle se retrouve confrontée à un choix dantesque : obéir à son oncle (qui n'est rien de moins de l'un des plus grands pontes des services secrets russes) et ainsi conserver son appartement et les soins prodigués à sa mère, ou abandonner le dit appartement qui lui est gracieusement offert par le Bolchoi, ainsi que les soins apportés à sa mère.
Le spectateur se retrouve donc rapidement embarqué dans une histoire d'espionnage, avec un schéma assez classique : l'héroïne vit sous une épée de Damoclès, avec une très nette envie de revanche, elle suit une initiation à sa nouvelle vie dans un Poudlard lugubre et anxiogène au possible avant d'être lâchée dans la nature sans tambour ni trompette. On passe donc sur la phase "montée en compétence" ainsi que celle de "contrôle des compétences". On va dire qu'elle est naturellement excellente, et comme tonton est l'un des grands patrons du bouzin, elle est forcément fiable, en tout cas dans un premier temps.
L'objectif est donc d'identifier une taupe qui passe des informations à l'ouest et qui parvient à conserver son identité parfaitement secrète. Cette taupe n'a confiance qu'en un seul et unique agent de la CIA et refuse de travailler avec qui que ce soit d'autre. Mission pour Jennifer Lawrence : approcher l'agent de la CIA, le convaincre, voire le séduire de sa volonté de passer elle-même à l'ouest et lui soutirer le nom de la taupe en question.
On enchaîne les situations de crises extrêmes, avec parfois une violence énorme et les twists toujours plus tordus et parfois ... inexplicable.
Exemple : je n'ai toujours pas compris pourquoi la ta

Le réalisateur Francis Lawrence retrouve Jennifer du même nom mais pas de la même famille après leur collaboration sur la franchise « Hunger games ». Il la connaît donc par cœur mais réussit la prouesse de nous la montrer sous un autre angle, celui de Dominika Egorova, une jeune ballerine à la carrière brisée, recrutée contre sa volonté par les services secrets russes et qui va être entraînée à utiliser ses charmes et son corps comme des armes. Vous l’aurez donc compris, on va la voir dénudée et il faut dire qu’elle est sublime mais pas que. Elle arrive à incarner à merveille cette moscovite aux expressions faciales froides et donc ce que l’on reproche habituellement à l’actrice (ce jeu un peu terne manquant d’expressivité) va être ici être sublimé et justifiera alors l’Oscar de la donzelle. Côté scénario, rien de très surprenant avec des espions, des agents doubles, des hommes de main impassibles et un final somme toute prévisible. Et puis le casting est très bon avec des acteurs en pleine bourre actuellement (Lawrence, Edgerton) et d’autres confirmés (Jeremy Irons, Charlotte Rampling). Au final, on passera un très bon moment pour un film d’espionnage de 2h20 !

Le thème de l'espionnage est bien travaillé mais avec des scènes sadiques et choquants qu'on ne s'y attend pas trop. Jennifer Lawrence est chic dans la peau de son personnage. Il faut bien suivre le long-métrage car c'est assez compliqué. Le dénouement est marqué par un twist.

Adapté d'un roman,"Red Sparrow" est un film d'espionnage alliant violence,double jeu,mais surtout un grand sens du détail.Tout ce qui semble anodin est utile dans le dénouement final,qui est réussi.Jennifer Lawrence est incroyable dans ce rôle de "moineau",prête à tout pour arriver à ses fins.Le scénario est bien ficelé,quelques scènes d'actions et un peu de sang pimentent le tout mais ça traine un peu en longueur.

Le film le plus glauque que j'ai pu voir en cette année 2018. (Pour l'instant, en attendant le reste des films qui sortira...) Après nous avoir réalisé les trois derniers volets de la saga "Hunger Games", Francis Lawrence revient en nous offrant un moment aussi palpitant que passionnant : "Red Sparrow", toujours en tête d'affiche, son actrice fétiche, Jennifer Lawrence (qui n'a aucun lien de parenté avec lui !!). Même si le film est loin d'être une grosse tuerie, je l'ai quand même trouvé bien, intéressant et surtout assez marquant pour certaines de ses scènes (je reviendrai là-dessus plus tard.) Déjà, le scénario est plutôt bon, c'est pas le meilleurs scénario qu'on nous a pondu en 30 ans, mais l'histoire reste prenante. La mise en scène est vraiment bonne, pour moi, c'est le point fort du film. Les acteurs jouent vraiment très bien et le côté dramatique est vraiment fort et intense. Maintenant on va venir aux scènes marquantes, parce que oui, y'a des scènes vraiment glauques dans le film, comme des scènes violentes qui mettent mal à l'aise, des scènes de torture, ou encore des scènes de viol qui sont vraiment choquantes majoritairement, mais qui sont quand même bien maîtrisées au niveau de la mise en scène. Le vrai soucis du film, c'est son rythme varié. Le film démarre plutôt bien, il nous fait bien développer le personnage de Jennifer Lawrence et nous fait bien attaché à elle, parce qu'elle a un parcours fort en émotion et en drame. Mais après, vers le dernier tiers du film, le film a tendance à ralentir, malgré quelques rebondissements prenants. Au niveau des acteurs, Jennifer Lawrence est toujours aussi excellente. Son personnage est très bien développé, elle évolue au fil du temps et continue de gagner en profondeur. Le personnage de Jennifer Lawrence est de loin le plus touchant et le plus attachant du film, même si des fois elle se sexualise un peu trop. Joel Edgerton est très bon aussi, Charlotte Rampling correspond totalement à son personnage de femme autoritaire, Matthias Schoenaerts fait aussi parfaitement le taf. Mary-Louise Parker a un rôle assez touchante et sympa et Jeremy Irons joue bien même s'il est assez mis en retrait. Le reste du casting, Ciaràn Hinds, Joely Richardson, Bill Camp... fonctionne très bien aussi. En conclusion, je vous recommande bien "Red Sparrow", malgré son soucis de rythme et ses scènes vraiment choquantes, et même si c'est pas un grand film, ça vaut quand même le coup d'être maté. Je vous préviens en tout cas qu'il y a des scènes qui risquent de vous mettre mal à l'aise !

A part pour quelques saga à succès, les films d'espionnage sont à mon sens rarement réussis et c'est en ce sens que l'on peut considérer "Red Sparrow" comme une très bonne surprise. Très bien écris, ce long-métrage a le mérite de proposer une intrigue qui tient la route et surtout qui maintient le spectateur dans un état de tension constante. Bien que le film soit assez lent, je ne me suis jamais ennuyé tant le rythme est merveilleusement bien géré et le mystère entourant l'oeuvre maintient le spectateur en haleine jusqu'au retournement final. En plus de cela, le film est esthétiquement agréable, Francis Lawrence mettant en scène son film avec beaucoup de froideur ce qui permet de créer une atmosphère très prenante. Ajouter à cela un casting cinq étoiles, que ce soit au niveau des acteurs secondaires mais surtout de l'actrice principale, la fabuleuse Jennifer Lawrence qui est une nouvelle fois étincelante.Je regrette que le film n'ai pas été plus ambitieux dans sa dimension politique qui est finalement presque inexistante. Le long-métrage emprunte également pas mal de clichés et reste très manichéen dans son traitement avec d'un côté les méchants Russes et de l'autres les gentils Américains. Ce sont ces petits défauts qui m'empêchent d'être plus généreux avec "Red Sparrow" bien que j'ai pris beaucoup de plaisir à visionner ce thriller d'espionnage.

Excellente histoire d’espionnage, ce film est, en tant qu’histoire, très bien foutu :
Le scénario est parfaitement ficelé, les acteurs tiennent leurs personnages à la perfection, l’ensemble des situations respirent la réalité psychologique du milieu, ce film se focalisant davantage sur cet aspect-là que sur l’action pure, il reste cependant très graphique et très noirs dans ce qu’il montre à l’écran.
Très bonne immersion, très difficile de se repérer dans le vrai du faux, spectateur constamment trompé, imprévisible et accrochant.
Mais :
"Tient, un film Américain où les gentils sont les Russes et les méchants les Américains "… "Ha bha non "
De plus, si le film maintient la performance dans tous les domaines, il reste pour beaucoup de scènes peu divertissant; Je n’ai personnellement pas su m’impliquer à 100% tout le long du film et ai décroché à plusieurs reprises du fait de la mollesse de certaines scènes. Le manque de sons y a fait pour beaucoup.
Enfin: le personnage principal possède des capacités de guérison totalement loufoques.

Jennifer Laurence excelle dans ce film comme d habitude. Un suspense à en perdre la tête jusqu'à la fin.

Film nerveux et intéressant. Sympa de voir Jennifer Lawrence dans un rôle où la douleur tant physique que morale l’oblige à pousser son talent de comédienne sans hésiter à s’exposer, dans tous les sens du terme.
Point noir : vu en VO où les russes parlent entre eux en anglais avec un accent slave... la bonne blague

Film plutot bon.
Pour les points positifs:
Un casting de rêve. Avec joel edgerton et mathias shoenaerts tout en subtilité d’une grande justesse.
Jen lawrence egale a elle meme: tres belle et jouant tres bien.
Cela dit je ne la voyait pas du tout ds ce role:
Physiquement et je vais choquer certain , je ne l’ai pas du tout trouvé « russe » trop grosse et trop agée pour le role a mon gout, meme si elle a du enormement bosser pour son role de danseuse jsutement des le debut je l’ai trouve vraiment lourde à l’ecran, pas du tout credible.

Quand on sait la pression que l’on met aujourd’hui sur les petites russes pour: briller ds la gym la danse ou le mannequinat pour moi Jen etait ici pas l’actrice ideal.car pas assez « parfaite » j’y aurait mis a la place une Amber Heard (mais helas elle est tellement nul que impossible).
Pourtant dieux sait que j’adore Jennifer Lawrence.
Je parle objectiveemnt parlant sur ce film.

J’ai trouvé que le scenario etait long a démarrer avec des longueurs inutiles et au final l’histoire est assez superficiel on s’attendait a un vrai truk d’espion la ca reste la gentille petite russe qui doit faire une mission et puis voila.
C’est pas tres credible.
Encore moins credible lorsqu’on nous montre dans un commando de futurs infiltrees russes une Jen nue tte les 5 min, dans des situations presque semblable a du bdsm, devant faire une gaterie a un soldat, puis se faisant violer , puis rebelote.c’est lourd!!!
Du coup le rythme et l’action en pâtissent et a la fin du film on se dit que l’on a passe un bon moment puis 1 min apres on se dit mouais non en faite c’etait un peu une arnaque.

J’avais bien plus prefere Jen dans Serena niveau manipulation mental et histoire d’amour complexe.
Bref j’ai adoré voir le trio jouer admirablement mais pour ce qui en est du scenario et des repliques ca se casse un peu la gueule .

Dommage

La définition même de brouillon.
Un potentiel infini qui tombe a plat, même si le film brille par quelques aspect.

les acteurs sont top, très bon scénario. cependant un peu déçu car je m'attendais à plus d'action en vu de la bande annonce, du coup je l'ai trouvé un peu long ...

J'aime plutôt ce genre de films à plusieurs couches (Inception=rêve, rêve dans le rêve ou réalité et ici agent retourné ou qui le fait croire).
Malheureusement l'histoire n'est pas spécialement intéressante et du coup il est difficile de se passionner pour le personnage principal.