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    Bodybuilder
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    126 critiques spectateurs

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    Ricco92
    Ricco92

    176 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    Une intéressante plongée dans le monde du bodybuilding mêlée à une intrigue qui n'est pas très originale mais qui est bien menée. De plus, en tant que comédien, Roschdy Zem sait parfaitement mettre en valeur ses acteurs. Il faut d'ailleurs noter la justesse de la direction des quelques comédiens non professionnels et particulièrement celle du culturiste François Yolin Gauvin. On se demande d'ailleurs ce qu'aurait pu être le film si, à sa place, le rôle de Vincent avait été tenu par le beaucoup plus chétif Antoine de Caunes qui était le premier choix et qui ne pu tenir le rôle car l'allongement nécessaire de sa préparation provoqua son indisponibilité. Après Mauvaise foi et Omar m'a tuer, Roschdy Zem continue une carrière de réalisateur discrète mais pleine de justesse.
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    14 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    un très bon film sur le culturisme avec une histoire autour , le quotidien d'un culturiste est bien retranscrit .
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 novembre 2014
    j'ai envie de dire "tout ça pour ça" voir des mec soulever de la fonte avaler des saloperies et s'exiber en slip pour monter leurs biscotos argument assez mince pour un film!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 octobre 2014
    Excellent film français comme on en voit peu!
    Très bon scénario et mises en scènes .
    Acteurs principaux qui transpirent l'émotion.
    Même si on est pas sensible à la pratique sportive, le sujet est bien traité, sans trop en faire.
    On rentre facilement dans ce film à l'esprit documentaire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 octobre 2014
    Poignant, très bien ficelé. de l'humour, de l'émotion mais aussi de la violence, on entre dans ce monde si particulier du bodybuilding
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Remarquable double performance du culturiste Yolin François Gauvin, puisque vrai Champion dans sa catégorie, et sérieux dans son rôle. Un père qui a quitté les enfants très petits après un divorce, il y a là déjà une rencontre délicate, très bien filmée. j'ai apprécié Marina Fois (Léa) Nicolas Duvauchelle, Dominique Reymond et le jeune Vincent Rottiers, et découvert ce monde un peu à part composé de sacrifices et de travail que nous propose Roschdy Zem. Mais je vous recommande particulièrement la descente des Bodybuildés dans la laverie, là où ces racailles (la bande à Luigi) ont élu domicile et font régner leur petite terreur ---- Quel plaisir .!! C'est ce qui manque partout dans les quartiers chauds... afin de remettre les choses en perspective !! **
    this is my movies
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    620 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2017
    Un drame familial assez bon signé par R. Zem qui, s'il ne se distingue pas par une mise en scène exceptionnelle, a le mérite de s'attaquer à un sujet bateau via un angle assez original, en tout cas au niveau de son contexte. Si beaucoup s'extasient sur la performance de Y.F Gauvin, je reste plus circonspect vu que le bonhomme, qui bouffe l'écran avec beaucoup de magnétisme, ne déploie pas une palette de jeu hallucinante et il se révèle surtout bien mis en valeur par les cadrages de Zem. V. Rottiers nous rejoue pour la énième fois son rôle de jeune garçon turbulent qui s'enfance dans les problèmes et le film a du mal à sortir de certains carcans. Pour le reste, c'est un bon petit film qui se laisse voir sans déplaisir et c'est déjà pas mal. Bon scénario, bons acteurs, mise en scène solide, beaucoup de productions françaises ne cochent même pas la plupart de ses critères. D'autres critiques sur
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Roschdy Zem comédien à la filmographie assez impressionnante (67 films en 28 ans de carrière) a toujours montré une vivifiante rigueur intellectuelle dans ses choix artistiques. Le Roschdy Zem réalisateur (3 films à son actif) s'inscrit dans la même démarche, prônant le rapprochement entre les hommes au-delà du fossé creusé par les différences. Son cinéma engagé sans être militant puise ses sources dans celui d'un Ken Loach ou d'un Lucas Belvaux. Le culturisme source autant de fascination que de moquerie demeure un univers méconnu, porteur de tous les fantasmes et de toutes les suspicions. En ces temps où tous les sports exhibent leurs stars aux revenus mirobolants, le culturisme pris dans ses contradictions reste comme enfermé dans un ghetto. Seul Arnold Schwarzenegger a réussi à se hisser par son sport au firmament de la gloire devenant pour toujours l'unique totem de tous ceux qui rêvent de sommets en soulevant de la fonte dans ces salles où les miroirs sont aussi nombreux que les engins de tortures destinés à façonner les corps selon les critères esthétiques de ce sport si particulier et si exigeant. Zem ne s'y est pas trompé qui entame son film avec une interview de Schwarzenegger quand il était encore Monsieur Univers. Vincent Morel (François Gauvin Yolin) qui a découvert le culturisme sur le tard avec une réussite exemplaire s'est dévoué corps et âme à cette passion exclusive et dévorante qui forcément l'a coupé de sa vie d'avant avec sa femme et ses deux fils abandonnés depuis près de vingt ans. Quand son fils cadet Antoine (Vincent Rottiers) petit délinquant de banlieue en fuite de ses créanciers débarque chez lui, c'est tout son passé et ses manques qui remontent à la surface alors que devant lutter contre un corps vieillissant, il aborde dans la douleur la préparation d'un championnat. C'est tout l'enjeu du film de Zem que de montrer comment le narcissisme du colosse va se lézarder sous les coups de boutoir conjugués de l'âge et d'un fils réclamant sa part d'amour à un père qui l'a laissé sans armes pour affronter la vie. Scrutant sans concession mais avec bienveillance les rites d'un sport (vie monacale, surenchère entre pratiquants, produits dopants) qui laisse à la marge tous ceux qui entourent l'athlète (prestation remarquable de Marina Fois en compagne compréhensive mais lucide de Vincent), Zem ne juge jamais, se contentant d'observer intrigué cette souffrance dûment acceptée pour atteindre une perfection du corps sans doute destinée à masquer une difficulté à s'accepter, communiquer et partager. Sans beaucoup de mots les deux hommes vont apprendre à se connaître, Vincent offrant par sa rigueur comportementale un modèle à un Antoine s'étant construit sur la débrouille et le mensonge. La marginalité des deux hommes va les amener à se comprendre en franchissant chacun une nouvelle étape de sa vie. P spoiler: our Vincent la distraction de son objectif par les frasques de son fils ne lui permettra pas de remporter ce championnat de la revanche, signe pour lui qu'il est temps de raccrocher. Antoine quant à lui comprendra que mentir aux autres s'est se mentir à soi-même
    . Toujours pudique et jamais dans le démonstratif, Zem dépeint parfaitement les cheminements mentaux qui s'opèrent, montrant qu'aucune situation n'est jamais définitivement figée, les choses et les caractères étant évolutifs. Les acteurs sont remarquablement dirigés avec une mention spéciale pour François Gauvin Yolin dont la prestation en tout point remarquable de sobriété et de véracité rappelle toute proportion gardée l'éclosion d'un ancien lutteur professionnel dans les années 1950 devenu un des plus grands acteurs du cinéma français. On frémit à l'idée qu'Antoine De Caunes était prévu initialement pour jouer le rôle de Vincent. autant demander à Marthe Villalonga d'interpréter un biopic sur Marylin Monroe. Son film étant un des rares sur le sujet et toujours en hommage à l'icône du culturisme, Zem n'a pas résisté au plaisir de reproduire la scène désopilante de "Stay Hungry" le film de Bob Rafelson sorti en 1986 avec justement Arnold Schwarzenegger dans son premier rôle significatif où une brochette de culturistes en tenues d'apparat quittaient leur salle d'entraînement pour aller jouer les justiciers au milieu de badauds ébahis. C'est avec gourmandise que l'on attendra le prochain travail de réalisateur de Roschdy Zem.
    rogerwaters
    rogerwaters

    127 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2016
    A partir d’un sujet apparemment peu intéressant (en tout cas pour moi qui n’aime pas le bodybuilding), Roschdy Zem est parvenu à signer une œuvre cohérente qui nous fait pénétrer dans un milieu bien particulier, avec ses codes, ses usages et comme pour tout univers, ses qualités et ses défauts. Il prend régulièrement le risque de lâcher le spectateur en s’attachant aux pas de personnages antipathiques et apparemment tous désagréables. Toutefois, on apprend peu à peu à les connaître et à comprendre leurs défauts. Finalement, le film est davantage un drame familial qui voit le rapprochement d’un père et de son fils, à travers le monde de la compétition. C’est filmé avec talent, joué de manière convaincante, et même si la fin paraît quelque peu irréaliste, on préfère croire en ce happy end qu’à une issue tragique. A noter aussi que le film critique certains aspects du bodybuilding tout en restant à mon avis respectueux des gens qui s’investissent là-dedans. L’échec commercial du film n’est donc pas mérité.
    Alain D.
    Alain D.

    494 abonnés 3 206 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2015
    Antoine a 22 Ans, il vit à Lyon de petites arnaques. A force de trafics multiples et de plans foireux, il doit de l'argent à beaucoup trop de monde. Sa mère Léa et son frère Fred l'obligent à changer d'air. Ils l'expédient à Saint-Etienne chez son père Vincent, qu'il na pas vu depuis longtemps. Vincent dirige une salle de musculation. Adepte de bodybuilding, il prépare le prochain championnat de culturisme,
    dans la catégorie 50/60 ans, moins de 90 Kg. Pour Antoine, Saint-Etienne est un trou perdu ou il ne connait personne. Les rapports avec son père sont tendus, il va pourtant tenter de le connaitre et de comprendre les motivations de ce bodybuilder forcené...

    Les acteurs sont convaincants : Le rôle principal d'Antoine est joué par un excellent Vincent Rottiers.
    Culturiste médaillé dans la vie, Yolin François Gauvin est forcément crédible dans le rôle du père. Marina Foïs est tout aussi brillante (comme toujours) dans le rôle de Léa, la mère d'Antoine. Il serait injuste de ne pas citer les présences appréciées de Nicolas Duvauchelle et de Roschdy Zem.
    Egalement Réalisateur, Roschdy Zem nous montre l'entrainement quotidien (4 heures par jour) et l'alimentation (8 repas par jour) d'un bodybuilder de haut niveau. En marge de ce coté technique le scénario nous dépeint parfaitement les difficultés relationnelles du père solitaire et maladroit comme son fils, jeune déboussolé...

    Une bonne comédie qui ne s'adresse pas uniquement aux amateurs de culturisme.
    GreatMo
    GreatMo

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2014
    Plutot allergique au films et aux acteurs français en général, j'ai été charmé par cette comédie parfaitement dosée. On passe un excellent moment, je conseil ce film.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    123 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2014
    Ce qui intéresse Roschdy Zem dans ce film est de pénétrer l'univers du culturisme où il oppose la perte de repères d'un fils à la culture du travail et de l'effort de son père et de son milieu. En se glissant dans le rôle du coach, Roschdy Zem affiche clairement son intérêt pour cet univers où tout se mérite : cette maîtrise du corps, de son mouvement et de son alimentation passent nécessairement par d'importants sacrifices et des entraînements éprouvants.

    Et il faut reconnaître qu'il y réussit. Bodybuilder nous fait pénétrer les coulisses d'un univers peu médiatisé et Roschdy Zem en tire une comédie familiale réussie, conclue par un amusant et cocasse climax en forme de clin d’œil aux Expendables de Sylvester Stallone. On en redemande.
    lionelb30
    lionelb30

    386 abonnés 2 496 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 octobre 2014
    Les acteurs sont pas mal du tout mais le milieu du bodybuilding est forcement clivant bien qu'interressant et l'histoire de ce jeune homme tete a claque est un peu irritante.
    vidalger
    vidalger

    292 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Beaucoup de bonne volonté de la part des acteurs et du réalisateur, une grande empathie envers le petit monde du bodybuilding ne suffisent pas à intéresser le spectateur pendant une heure et demi. Pour faire un film, il faut aussi un scénario et une histoire à raconter, du rythme et un peu de rêve ou de suspens. Ici, l'éternelle histoire des retrouvailles du père et du fils s'enroule autour d'un documentaire assez vite répétitif et rasoir sur la vie d'un bodybuilder. Seule, Marina Foïs arrive à nous convaincre dans une composition d'épouse mi-lasse, mi-admirative d'un roi du muscle sinistre et déclinant. Quelques passages totalement ratés donnent envie de fuir, notamment la scène du rassemblement de bodybuildés chez le caïd lyonnais. Au secours!
    MC4815162342
    MC4815162342

    367 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Roschdy Zem réalise avec Bodybuilder son troisième film après "Mauvaise foi" et le très bon "Omar m'a tuer", je ne savais pas trop à quoi m'attendre, j'imaginais tomber sur un film "français classique", par là j'entend l'histoire cul cul où les personnages ont des problèmes mais au final tout va bien et tout le monde il est beau et gentil. Je m'attendais à ce genre de chose sans bien évidement l’espérer, et puis je me suis laissé porter sans penser au pire, j'ai suivi cette histoire très intéressante qui à ma grande joie au final ne tombe pas dans cette niaiserie franchouillarde qu'on nous sert si souvent.

    Nous suivons Antoine, un petit branleur qui s'est empêtré dans des dettes qu'il ne peut rembourser, et ceux à qui il doit pas mal d'argent sont loin d'êtres des enfants de cœur, pour avoir le temps de se retourner son frère l’emmène chez son père qu'il n'a pas vu depuis longtemps. Les retrouvailles sont plutôt tendues car son père a entre temps accompli son rêve, devenir bodybuilder, et il est à ce moment là en pleine concentration et en plein travail car la compétition approche. Grace à ces retrouvailles Antoine va changer, avec du temps bien sur car les conneries ne se terminent pas de suite pour lui, mais il apprendra au fur et à mesure la vie et le respect.

    Je ne pensais vraiment pas trouver ce film si bon, sincèrement, je trouve l'histoire vraiment bien écrite et de plus très agréable à suivre, la relation certes pas des plus originale est tout de même très bien traitée et le milieu du bodybuilding est montré avec un certain respect pour ce sport.
    Roschdy Zem signe une comédie dramatique vraiment attachante, ça fait plaisir de ne pas le voir tomber dans le pathos ridicule, il s'entoure en plus d'un très bon casting, en tête le jeune Vincent Rottiers, très belle prestation, face à celui qui est son père dans le film Yolin François Gauvin, un véritable bodybuilder qui n'avait jamais joué la comédie avant, le premier choix de Zem se portait sur Antoine de Caunes, surprenant n'est-ce pas, mais le travail pour devenir assez musclé pour le film n'a pas réussi, donc Zem s'est tourné vers un vrai professionnel de l'activité. Et je trouve qu'il a bien fait, non seulement pour le physique mais aussi car ce Gauvin se révèle franchement bon et naturel.
    Les rôles secondaires sont portés par Zem en personne mais aussi Marina Foïs et Nicolas Duvauchelle avec qui il a joué dans Happy Few en 2010.

    En bref, ce Bodybuilder est vraiment une très surprenante et agréable surprise, l'histoire est vraiment prenante et intéressante, Zem gère très bien sa mise en scène et sa réalisation, et puis le casting est efficace.
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