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    Every Thing Will Be Fine
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    89 critiques spectateurs

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    nico550m
    nico550m

    38 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 septembre 2015
    Pas mal, mais le rythme est lent, l'histoire est triste, et l'on ne comprend pas toujours ce qu'a voulut nous transmettre le réalisateur. Notamment, la fin du film et différents passages.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 178 abonnés 3 982 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    C’est avec une pudeur certaine que le grand Win Wenders fait se rencontrer quatre acteurs extravagants pour des rôles de discrétion. Après un accident, James Franco se doit de vivre avec cette épreuve. Autour de lui trois femmes aux personnalités différentes, Charlotte Gainsbourg toujours formidable, Marie-Josée Croze toujours surprenante et Rachel McAdams qui pourrait bien remonter dans l’estime de tout le monde. Si le cinéaste raconte une histoire finalement très simple et dans un rythme lent, sa caméra s’immisce au plus près de ce drame touchant. On aurait cependant apprécié davantage de souffrance dans les discours, car si le moment est apaisant il pourrait bien s’estomper rapidement.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Patricemarie
    Patricemarie

    40 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2015
    C'est un film qui ne décolle pas vraiment, on s'attend à un rebondissement vu qu'il y a un non-dit plus ou moins malsain dans la relation entre CG et JF, mais chacun reste sur son personnage mono-expressif, donc l'histoire n'a pas beaucoup d'intérêt, les acteurs on dû se faire plaisir en jouant ces rôles, mais le spectateur doit rester contemplatif devant cet immobilisme.
    Steven O.
    Steven O.

    23 abonnés 667 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Alors tout d'abord mon plus gros point noir à évacuer d'entrée pour noter ce film c'est la VF tout bonnement horrible.
    J'adore les VF d'habitude et en suis un premier admirateur mais la ce n'est juste pas bon Macadams et franco ont d'autres doubleurs normalement.
    Sinon à part cela le film est très intéressant.
    De part son approche et sa réalisation très pudique très lente et très psychologique on aime ou on aime pas personnellement j'ai adoré.

    Les acteurs sont bons surtout le duo franco gainsbourg.
    Le film flirte avec pas mal de genre ma comédie romantique comédie dramatique et un côté thriller sur la fin très intéressant.

    C'est une histoire simple sans fioriture d'un homme à qui il arrive une chose horrible et qui en ressort finalement en perdant ses sentiments et en devenant insensible sauf pour la famille touchée par son accident.

    C'est sensible lent presque poétique attention ce film ne plaira pas à tout le monde
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    586 abonnés 2 758 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2020
    Wim Wenders aborde la 3D comme un support plastique apte à explorer la spatialité de l’humain, à travailler la profondeur de champ de la douleur, du remords et de la création, si bien qu’en faisant sienne une technique aujourd’hui massivement employée à des fins commerciales – elle est l’apanage du blockbuster –, il met en relief l’écriture, part du blanc de la page comme étendue encore intacte et recouverte de neige pour y imprimer des traces de vie, des corps qui s’agitent et qui gravent malgré eux dans le blanc de l’espace une mémoire qui, une fois l’hiver passé, reste vivace. Porté par la sublime partition d’Alexandre Desplat, le long métrage devient le conservatoire d’un mystère opaque qui ne se résout jamais : lorsque Tomas réemprunte le chemin de l’accident – littéralement, « ce qui arrive » –, de façon mentale ou physique, des nuées orangées s’emparent de lui, le plaçant devant le spectacle d’un crépuscule auquel nous, spectateurs, n’avons pas accès ; crépuscule de la création, naissance de l’inspiration, tentation impossible d’une famille recomposée qui tire de son impossibilité sa puissance créatrice. Le film se construit sur une architecture complexe faite de lignes horizontales et de barres verticales qui séparent les personnages, organisent l’espace intime, structurent les relations entre les protagonistes : l’écrivain est constamment à l’écart, coupé des siens par un mur, un pilier, une baie vitrée ; il regarde en arrière, à l’image du rétroviseur ou de la vitre dans laquelle se réfléchit l’image de Christopher, adolescent devenu personnage de fiction et qui amène le long métrage à basculer du côté du romanesque le plus paranoïaque. Ann ne comprend pas, dit qu’il est difficile à vivre : pourquoi ne pas réagir ? extérioriser ses émotions ? ses mains ne tremblent pas… C’est que Tomas navigue entre deux rives qui le raccordent chacune à un domicile particulier : le domicile conjugal, lieu défini par la stérilité et l’ennui ; le domicile meurtri de Kate et la fascination morbide qu’il déclenche dans l’esprit du romancier, un intérieur sans cloison véritable qui lui donne accès aux concrétisations physiques – la douleur éprouvée par la mère et le fils – et matérielles – le dessin réalisé par Christopher – du drame à l’origine de son inspiration. Ou comment la création convertit la douleur en source vive d’inspiration. Résurrection. Wim Wenders conçoit la 3D comme un moyen de faire surgir la profondeur de ce qui est absent, à l’image de la maison enfouie sous la neige dont le trajet pour y parvenir et ramener l’enfant en état de choc paraît interminable, trajet qui s’effectue pourtant en quelques secondes dans le sens inverse. Les lieux communs se chargent d’une valeur symbolique forte à mesure que s’y engouffre une histoire ; et cet adage qui revient sans cesse et qui donne son titre au film, cet « Every Thing Will Be Fine » qui ne vaut guère mieux que les « quoi » répétés à tout bout de champ par les jeunes, et dont se moque Mina, apparaît telle la promesse à chaque mot renouvelée d’un happy end, le dénouement « nul » par excellence (selon Mina une fois encore) des œuvres littéraires grand public mais qui pourtant resplendit quand s’enlacent un fils et son père de substitution, réunis par l’accident, c’est-à-dire par la vie. Une œuvre lumineuse, bouleversante, immense.
    Julie Charlotte F.
    Julie Charlotte F.

    21 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mai 2015
    Quel est le projet ? Nous passons 2h à attendre ce qui n arrivera jamais , le tout dans une mise en
    Scène qui se veut aboutie. La crédibilité du personnage principal et la richesse du scénario contribuent a l ennui et au sentiment d'avoir perdu son temps. Ce n'est pourtant pas un film ou tout est négatif :
    Il manquait un retournement et quelques clés afin de créer un dénouement .
    montecristo59
    montecristo59

    34 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2015
    A propos de ce film je n'avais quasiment rien lu avant d'entrer en salle, contrairement à mes habitudes. Par contre, j'avais entendu Wenders en parler à la radio, notamment dire ce qu'apportait pour lui la 3D. Ca m'avait intrigué, parce que je ne suis pas sûr d'adhérer à cet engouement pour la surenchère technologique. Quoi qu'il en soit, en entrant dans la salle je me disais "quand même, Wenders c'est sûrement du bon"...
    Je n'ai pas vu une version "à lunettes spéciales", je ne peux donc apprécier cet opus en vraie grandeur tridimensionnelle mais ça ne me tente pas. Certes, le traitement de l'image, du cadre et de la couleur sont au dessus du lot commun, même en 2D. Mais ça n'a pas suffi pour m'arracher à l'ennui. J'ai bien compris le propos : spoiler: un écrivain en panne d'inspiration, dépressif chronique plutôt égocentré, ne réussit à s'exprimer jusqu'au succès public qu'à partir du moment où un accident fortuit l'implique dans la mort d'un enfant. S'ensuit d'abord en effet une plongée plus profonde encore vers la mésestime de soi avant une plage de résilience, oasis vers la réussite.
    L'ennui c'est que les thèmes porteurs du scénario, à savoir la culpabilité fondamentale, le pardon et ses conséquences, les sources de la créativité et l'égoïsme foncier des grands créateurs ne sont ici pour moi que des prétextes à faire de la belle imagerie. Ils ne donnent même pas lieu à un développement des relations entre les personnages, ici évoquées par touches impressionnistes prélevées de loin en loin dans le parcours de leur vie. Rien qui m' accroche, m'apporte des clés. D'autant moins d'ailleurs que le bel écrivain (James Franco, photogénique comme une figure animée du musée Grévin) s'applique à ne rien laisser filtrer de ses émotions, qu'on ne sait même pas de quoi il est question dans ses bouquins, qu'on en sait juste qu'ils sont des livres "plutôt pour adultes"...La beauté formelle ne remplit pas le vide existentiel. Mes deux étoiles saluent l'esthétique à la Hooper de cet ennuyeux tableau de maître, mais c'est bien parce que c'est Wenders ...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 avril 2015
    Un film sympa quand on a le temps, vraiment le temps, et pas trop le choix. En effet, le dernier Wim Wenders est lent, ou plus exactement arythmique (quelques bonds dans le temps viennent au secours du du récit). Il ne s'y passe pas non plus énormément de choses (à peu près tout est dans le pitch, c'est regrettable).

    On en saluera la photographie soignée, la musique (même si elle peut devenir envahissante dans la seconde partie du film) ainsi que la prestation de Charlotte Gainsbourg dont le personnage atteint une certaine épaisseur (même si l'on soupçonne une transposition de la belle ermite endeuillée de l'Arbre de Julie Bertuccelli).

    Si on aimerait voir mieux de Charlotte, elle semble néanmoins réaliser là un exploit. Celui d'exister dans un film dont les personnages restent tous à l'état d'esquisse, à commencer par l'écrivain planté par le lisse James Franco. Son interprétation donne une idée assez précise de ce que l'on verrait si Benoît Magimel avalait Jean Réno au petit déjeuner. Il n'exprime rien sauf quand il surjoue la placidité. La scène dans laquelle son ex petite amie le gifle est de ce fait jubilatoire, une petite oasis.

    Il manque un peu de neige et beaucoup d'autres choses pour atteindre les sommets de Fargo.
    Cart2on
    Cart2on

    4 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mai 2015
    Je suis atterré par le loupage de la grande partie des critiques sur allociné. Qu'est-ce que c'est que ces discours sur la forme, l'image, Ed. Hopper, les travelling, etc? L'intérêt du film -- bien desservi par la forme, j'en contreviens pas-- c'est la révélation lente et parfaite de la psychologie du personnage principal (l'écrivain) qui n'est pas banale. J'ai entendu Wenders dans une interview à la radio quelques jours après avoir vu le film, et il considérait qu'il avait choisi une belle fin, alors que je trouvais qu'elle enfonçait encore plus l'écrivain. Je me suis dit que je n'avais rien compris, ou que je n'ai qu'à comprendre ce que je veux puisqu'on est dans l'art, gnagnagna. Mais Wenders a aussi ajouté qu'il détestait son personnage ce qui est juste!
    zoupeurman
    zoupeurman

    13 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mai 2015
    C'est une histoire de deuil et de rédemption. Les personnages semblent coincés successivement dans deux bulles temporelles alors que les années passent explicitement mais le réalisateur met en scène ces sentiments de déprime et de culpabilité d'une manière poétique. C'est bien la seule qualité de ce film: la poésie visuelle. Le scénario est creux, le film est long, on ne croit ni à la performance de James Franco, ni à celle de Charlotte Gainsbourg. Le finale n'évoque même pas un frisson après 2h d'ambiance grise et mélancolique.
    SociN
    SociN

    9 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2019
    Un film un peu fourre-tout où Wenders mêle du mélo, du thriller, de la succès story, du drame... On peine à voir où le film va. Et on reste sur un gout d'inachevé.
    Lunettes noires
    Lunettes noires

    32 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2015
    Ce film traite des vertus potentielles qui peuvent naitre après un traumatisme. En l'occurrence, le traumatisme prend la forme d'un accident mortel provoqué par James Franco. Sa vie professionnelle, tout comme privée va petit à petit en "bénéficier": sujet passionnant.
    Malheureusement, il ne s'intéresse pas assez à ses personnages. C'est d'autant plus frustrant avec un tel casting…du coup, j'ai l'impression qu'il est un peu passé à côté de son sujet : il se contente de montrer l'extrême solitude de James Franco ou Charlotte Gainsbourg en les filmant souvent de loin (il abuse de longs et lents travellings).
    Par contre, au niveau de sa forme, "Every Thing Will Be fine" est très réussi : il bénéficie d'une photo remarquable… due principalement à l'extrême beauté des paysages québécois. Mais en aucun cas, grâce à l'utilisation de la 3D, au contraire même (son utilisation rend l'image assombrie et grisée). Encore une fois, on peut légitimement se demander si cette technologie est vraiment utile à quelque chose… Et ce ne sont pas les scènes très belles et prenantes qui surgissent par moment qui vont suffire à faire de ce film un nouveau chef d'oeuvre comme l'a été "Paris-Texas"(rappelons-nous que c'était le siècle dernier…concluez-en ce que vous voulez !
    Dikkenek666
    Dikkenek666

    9 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2015
    un film beau sur le fond et la forme, avec une bande son sympa et des décors magnifiques. les personnages jouent juste, le seul soucis est... le dynamisme. au final c'est long, long, long.... puis d'un coup on passe à "2 ans plus tard" (?) puis long, long, puis "4 ans plus tard"..... concept assez etrange mais au final il faut prendre le temps pour apprecier cette tragedie assez subtile.
    Brigitte B.
    Brigitte B.

    5 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2015
    superbe film émouvant
    très belles images
    a voir absolument
    Audace26
    Audace26

    6 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 avril 2020
    Drame intimiste enneigé qui souffre d'une improbable bande son horropilante à la longue... Mais en même temps, Wenders nous livre une fresque imparfaite sur la cruauté du destin et les affres de la rédemption qui paraît finalement assez indigeste... Alors pourquoi pas ?
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