Shirley, un voyage dans la peinture d'Edward Hopper : Critique presse
Shirley, un voyage dans la peinture d'Edward Hopper
Note moyenne
2,7
11 titres de presse
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Positif
Première
aVoir-aLire.com
Critikat.com
La Croix
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’illusion est parfaite et il convient, comme l’exprimait si bien Ingmar Bergman, ne pas négliger le pouvoir de l’illusion. Et se glisser dans son ombre à la faveur de la bienveillante obscurité d’une salle de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
À travers le regard de Shirley, inspirée de la femme d’Edward Hopper, treize scènes de la vie quotidienne des États-Unis, des années 30 aux années 60, dans un film qui entend restituer par les images animées l’univers d’un peintre de la fixité et du temps suspendu.
Positif
par Vincent Thabourey
C'est bluffant, fascinant, voire obsédant tant est grande la fidélité à l'esprit et à l'atmosphère des toiles.
Première
par Gérard Delorme
Hélas, en dehors du plaisir esthétique de la reconstitution, il se passe peu de choses entre le début et la fin de chaque séquence, ce qui exige de la part du spectateur une patiente remise en question de sa notion de la durée au cinéma.
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
(...) une œuvre méticuleuse et singulière qui interroge en filigrane le médium cinéma sur sa propre histoire et sur son rapport aux autres arts.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
En s’ouvrant à une forme de narration plus conventionnelle, le cinéaste habitué à un registre non-verbal et suggestif peine à masquer ses intentions. Le personnage de Shirley ne devient jamais autre chose qu’un outil.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Sabine Gignoux
Inspirée avec une minutieuse exactitude des tableaux de Hopper, cette histoire qui met en scène un personnage d'actrice engagée politiquement tombe un peu à côté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) des tableaux animés mais sans vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Une ode au minimalisme plutôt soporifique, à réserver aux fanatiques de Hooper.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) la cérébralité de cette approche assèche les visions de Hopper, qui semblent soudain de pures vues de l'esprit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
L’illusion est parfaite et il convient, comme l’exprimait si bien Ingmar Bergman, ne pas négliger le pouvoir de l’illusion. Et se glisser dans son ombre à la faveur de la bienveillante obscurité d’une salle de cinéma.
Le Dauphiné Libéré
À travers le regard de Shirley, inspirée de la femme d’Edward Hopper, treize scènes de la vie quotidienne des États-Unis, des années 30 aux années 60, dans un film qui entend restituer par les images animées l’univers d’un peintre de la fixité et du temps suspendu.
Positif
C'est bluffant, fascinant, voire obsédant tant est grande la fidélité à l'esprit et à l'atmosphère des toiles.
Première
Hélas, en dehors du plaisir esthétique de la reconstitution, il se passe peu de choses entre le début et la fin de chaque séquence, ce qui exige de la part du spectateur une patiente remise en question de sa notion de la durée au cinéma.
aVoir-aLire.com
(...) une œuvre méticuleuse et singulière qui interroge en filigrane le médium cinéma sur sa propre histoire et sur son rapport aux autres arts.
Critikat.com
En s’ouvrant à une forme de narration plus conventionnelle, le cinéaste habitué à un registre non-verbal et suggestif peine à masquer ses intentions. Le personnage de Shirley ne devient jamais autre chose qu’un outil.
La Croix
Inspirée avec une minutieuse exactitude des tableaux de Hopper, cette histoire qui met en scène un personnage d'actrice engagée politiquement tombe un peu à côté.
Le Monde
(...) des tableaux animés mais sans vie.
Les Fiches du Cinéma
Une ode au minimalisme plutôt soporifique, à réserver aux fanatiques de Hooper.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
(...) la cérébralité de cette approche assèche les visions de Hopper, qui semblent soudain de pures vues de l'esprit.