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    La Ruée vers l'or
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    188 critiques spectateurs

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    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 avril 2016
    Un très bon classique de Charlie Chaplin, pas forcément le plus connu (par rapport au Kid ou au Dictateur) mais clairement un des plus drôles. La force de Chaplin est de faire des gags que l'on voit venir à des kilomètres mais qui nous font toujours rire lorsqu'ils arrivent. La scène de la cabanon dans la tempête de neige en est la quintessence. On retrouve également dans ce film la très célèbre danse que fait Chaplin avec deux fourchettes et deux petits pains.
    L'histoire est très agréable à suivre et les gags sont très bien écrits.
    Chaplin est toujours parfait en Charlot. Son acolyte féminine (Georgia Hale) et Big Jim (Mack Swain) sont également bon dans leurs rôles. Un excellent Chaplin comme on les aime.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mai 2012
    Un film très amusant qui se tient bien. Le maître du genre dans toute sa splendeur. On pourrait écrire des lignes sur ce film le plus simple étant de le voir.
    Photo-cineaste
    Photo-cineaste

    41 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2009
    Un grand classique que j'ai eu le plaisir de découvrir cette après-midi au reflet Médicis. C'est un super film. De la grosse rigolade, Chaplin est tout simplement énorme, hors norme et hors du commun.
    Par contre la voix off qu'ils sont rajouté et vraiment mal faite, cela casse en plus le charme du film muet, mais c'est sur cela attire peut-être un peu plus la jeunesse à qui la simple idée de voir un film muet, répugne...
    Je n'ai rien d'autre a ajouter. Un film à voir. Tout est dit ci dessus. Peut-être une déception quand même, le film n'a pas très bien vieillit. A voir et à revoir quand même.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 février 2012
    L'un des films les plus célèbres du monde, résultat d'un an et demi de travail (on est loin des courts métrages de 1915), énorme succès financier, « La Ruée vers l'or » est assurément un chef-d'oeuvre, même si l'on peut regretter les violons et le ton emphatique du commentaire de la version sonorisée. Tout le monde a en mémoire les principaux gags du film, qui fourmille d'effets comiques. Les uns relèvent du mime et perpétue l'image du Charlot vagabond, en particulier dans les scènes du saloon, où ils disent sa maladresse face à son rival; mais le mime prend une dimension exceptionnelle quand il se transforme aux yeux d'un Big Jim rendu fou par la faim en poulet appétissant. D'autres renvoient à de précédentes réussites, ainsi le tangage de la cabane en équilibre sur le rocher, d'un comique aussi efficace que le repas de l' « Emigrant » sur le bateau. Et puis, il y a des inventions fabuleuses: Charlot dégustant comme un vrai plat une semelle, des lacets enroulés comme des spaghettis et les clous qu'il termine comme des os de poulet (la figure de style de la syllepse n'a jamais été aussi bien orchestrée); la danse des petits pains, moment de pure poésie dans ce réveillon rêvé, qu'il anime avec une virtuosité absolue au bout de deux fourchettes. Mais, si drôle que soit le film, le terme de comédie ne lui convient pas vraiment toutes les oeuvres de Chaplin portent désormais un tout autre message. Bien des scènes reposent essentiellement sur l'émotion, par l'expression de sentiments fort éloignés du comique, et si une pichenette du « hasard » ne venait tout changer, les conflits s'achèveraient dramatiquement, qu'il s'agisse des luttes pour la vie en situation extrême (misère, famine, recherche de l'or) ou de la relation amoureuse, définitivement au centre de l'oeuvre. Il n'est qu'à voir la mise en scène du personnage, longuement changé en statue quand il découvre son inexistence aux yeux de Georgia, et même le choix des cadrages, si souvent en plan très rapproché sur le visage et le regard, poignant, de celui qui n'est plus Charlot, mais un simple homme en proie aux sentiments universels. Derrière le rire, il y a la gravité, comme il y aura toujours, même si c'est pour une photo, le vagabond derrière le milliardaire.
    Jean G.
    Jean G.

    28 abonnés 478 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 août 2012
    Drôle, intelligent, cocasse, étonnant, révolutionnaire. Un petit bijou de la comédie, avec un Charlie Chaplin excellent ! Des situations burlesques, hilarantes, un excellent film.
    Alasky
    Alasky

    284 abonnés 3 081 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2008
    4 étoiles c'est vraiment pas assez....
    ce film est un joyau sans pareil...
    le petit Charlot en Alaska, il ne faut surtout pas manquer ça! Merci Monsieur Chaplin vous avez tant apporté au cinéma. Le cinéma, c'est vous.
    war m
    war m

    21 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juillet 2019
    "La ruée vers l'or", la simplicité la plus muette à la perfection comique. Un chef d'oeuvre intergénérationnel
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 septembre 2011
    A mon goût, le meilleur film de Chaplin, riche en émotions de tout type. Chacune des scènes est à jamais gravée dans l'histoire du cinéma.
    vivaBFG
    vivaBFG

    10 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2022
    Voilà un film qui se veut être une comédie. Mais l'impression que j'en retire est plutôt que cela tend plus vers le drame que la comédie, même si certaines scènes sont hilarantes, mais bien d'autre dramatiques voire empreintes de pitié en regard des débuts laborieux de ce pauvre chercheur d'or . Bien sûr, déjà à l'époque, les fins heureuses existaient! Rassurez-vous!
    A voir par tous, pour un belle exemple de ce qu'était le génie d'acteur de ce Chaplin.
    Death_Metallus
    Death_Metallus

    11 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2012
    Une histoire très positive (ce qui ne veut pas dire niaise), un Charlie Chaplin au sommet de son talent d'acteur, un humour à la fois très fin et universel et une belle histoire d'amour pour saupoudrer le tout. À déguster sans hésitation.
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    12 abonnés 496 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2024
    Bon alors mitigé car toutes les scènes dans la cabane sont vraiment excellente cela représente bien la ruée vers l'or avec une touche d'humour et d'absurdité mais la partie histoire d'amour en Chaplin et Georgia je la trouve très chiante cela avait de bonnes idées mais sa traine trop et ce n'est pas assez touchant ! Donc Assez bien dans l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 février 2008
    Un Chaplin à ne pas manquer. Très drôle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 septembre 2009
    Cette réalisation met de bonnes humeur.
    Pour l'époque les gags sont bien trouvés (surtout la danse des petits pains).
    Ce film est très court et pourtant on rit presque tout le temps.
    Charlie Chaplin est autant bon en acteur qu'en réalisateur.
    Là il ressemble a un moustachu malpropre et pourtant
    il était reconnu comme un bel homme autrefois.
    Il eut sept femmes et pourtant dans chacune de ses oeuvres il a bon goût.
    Jack G
    Jack G

    2 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 avril 2020
    « Ce prochain film doit être une épopée ! La plus grande ! ». Par ses propos tenus après la sortie de sa dernière réalisation, L’Opinion publique (1923), Charlie Chaplin annonce son ambition pour son deuxième film de l’ère United Artists.
    Contrarié par l’échec de L’Opinion publique, par un public qui l’a jugé trop sérieux et a regretté l’absence du cinéaste dans la distribution, Chaplin décide de revenir à son genre de prédilection, la comédie burlesque, après avoir été inspiré par une photographie de la ruée vers l’or du Klondike (1898) et du récit de l’expédition Donner (1846-1847).
    En février 1924, le tournage de La ruée vers l’or débute dans la Sierra Nevada. Avec plus de 600 figurants et la construction conséquente du village des prospecteurs, le budget de production frôle le million de dollars et démontre toute l’ambition et le perfectionnement acquis par Chaplin. Le tournage connaît plusieurs problèmes techniques et doit être terminé en studio, pour se terminer après 15 mois de labeurs, en mai 1925.
    Dans cette nouvelle production, Charlot fait son grand retour après sa dernière apparition dans le Kid, 4 ans plus tôt. Cette fois, le vagabond solitaire part dans l’Alaska et participe à la ruée vers l’or du Klondike en 1896/7. Fort de son expérience avec le Kid, Charlie Chaplin renouvelle sa maîtrise dans l’art de mélanger les genres, en offrant un bijou à la fois comique et tragique, un long-métrage poétique et mélancolique mais qui respire aussi l’amour et l’espoir.
    Une première partie du film déroule plusieurs ressorts comiques dans une petite cabane perdue dans la neige et battue par les vents. Dans cet espace clos et restreint, Charlot excelle dans une multitude de gags burlesques qui a fait son succès et qui le confirme encore. Mais parce que le comique exclusif ne suffit plus à Charlie Chaplin, cette partie recèle également une critique sociale caractéristique de l’œuvre du cinéaste et compréhensible au regard de ses origines. A travers la célèbre scène de la dégustation de la chaussure, c’est aussi la dénonciation de la misère et de la faim, que Chaplin a bien connu. Perfectionniste, il n’a pas hésité à réaliser une soixantaine de prises pour obtenir le meilleur résultat possible, au grand dam de l’intestin de Mark Swain, contraint d’avaler autant de réglisse que son personnage n’ingurgite de cuir de chaussure. Ce rapport à la faim, qui est aussi probablement influencé par l’histoire tragique de l’expédition Donner, est essentiel dans La ruée vers l’or, comme le montre l’autre scène la plus connue du film : « la danse des petits pains ».
    Dans une deuxième partie, Charlot retourne à la civilisation et tombe sous le charme d’une danseuse de saloon à la fois charmeuse et sulfureuse : Georgia. Au sujet de ce personnage, il est intéressant de mentionner une anecdote. Alors que Charlie Chaplin avait commencé avec Lita Gray (contraint de l’épouser pendant le tournage car elle était enceinte), il recommença les prises avec Georgia Hale. Ce choix de la dernière minute mérite tout de même d’être salué, la jeune actrice offrant une prestation qui reflète tout le charme et l’élégance de son personnage raffiné.
    Quoiqu’il en soit, bien que Georgia soit initialement inaccessible, le mendiant déploie une énergie colossale pour conquérir le cœur de sa belle et finit par y parvenir au terme d’un épilogue émouvant où le couple se retrouve dans un contexte diamétralement différent. Devenu multimillionnaire, Charlot obtient définitivement les faveurs de Georgia dans un magnifique baiser. Cette conclusion sur la touche du bonheur et de l’espoir préfigure déjà celle des Temps Modernes, 11 ans plus tard.
    A sa sortie au cours de l’été 1925, La ruée vers l’or est un triomphe. Avec 5 millions de dollars de recettes, il devient l’un des plus gros succès de l’histoire du cinéma muet, un honneur qui vient confirmer l’avis du cinéaste selon lequel ce film est le meilleur qu’il ait réalisé jusque-là.
    En 1942, Charlie Chaplin offre une nouvelle version de son chef d’œuvre, qu’il sonorise partiellement en supprimant les intertitres pour les commenter lui-même et en composant une nouvelle musique, nominée à l’Oscar de la meilleure musique de film en 1943. Certaines scènes sont modifiées, dont l’épilogue, où Charlot n’embrasse pas Georgia mais quitte le champ avec sa bien-aimée, main dans la main. Une conclusion plus pudique mais qui enlève le charme de la version originale, dont la poésie, en grande partie due au muet, est inaltérable encore plusieurs décennies plus tard. En 1958, un jury de l’exposition universelle de Bruxelles consacre La ruée vers l’or comme étant le deuxième meilleur film de tous les temps, derrière Le cuirassé Potemkine. En 1992, le film intègre la collection prestigieuse et historique du National Film Registry.
    A la fin de sa vie, Charlie Chaplin déclare qu’il espère qu’on se souvienne de lui pour ce film. Vœu exaucé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2008
    Magistralement interprété, incroyablement burlesque, profondément humaniste, savoureusement drôle, brillamment mis en musique, le tout savamment orchestré par Chaplin... Réellement indispensable...
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