Avis : La Face cachée de Margo - Page 8

Bon film feel good, pas inoubliable mais qui se laisse suivre de manière sympathique. Plutôt destiné à un public adolescent.

Bon film quoique un peu mollasson, les acteurs sont pas mauvais mis à par Cara Delevigne que je ne trouve vraiment pas charismatique!
La BO est vraiment sympa!
Un peu déçu par la fin mais un film qui se laisse regarder à la télé

Film d'ados ou qui nous ramène à nos jeunes années. Un mélange entre volonté de liberté, la jeunesse rebelle, désirer la fille inaccessible, et au final...une fin qu'on aura pu connaître ou non. La jeunesse quoi.
Sympa, et gentiment drôle.

Après avoir été surpris par "Nos étoiles Contraires" , on découvre une nouvelle adaptation d'un roman de John Green est une agréable suprise, bien qu'on regrette la perte de souflle vers la fin et la morale du film quelque peu compliqué à comprendre (le réalisateur s'est d'ailleur senti obligé de rajouter des voix off). Il n'enpêche que le film nous permet de découvrir l'univers d'un auteur qui offrira certainement de nouvelles adaptations sur les écrans, des acteurs qui jouent bien et qui promettent de jolies carrières devant eux, de découvrir (en tout cas pour moi) qu'il existait vraiment une ville de papier.
Teen movie qui changera de ceux habituels mais comme tous les autres ne marquera pas nos esprits. Mieux vaut se rabattre sur le livre

J'aime bien parfois me replonger dans ces films d'ados et retrouver un peu de cette saveur de l'adolescence (un peu de naïveté, de candeur, ça a parfois du bon dans un monde axé sur le matérialisme). En général, j'accroche plutôt bien (voir "Nos étoiles contraires" du même auteur) mais bizarrement, ici, je n'ai pas été particulièrement convaincu par la bande annonce, un sentiment qui s'est malheureusement confirmé lors de la projection : malgré la prestation honorable de Clara Delevingne (perso, c'est pas trop mon style mais bon ...), cette fausse romcom n'avait effectivement pas l'étoffe attendue. Déçu ...

Je ne savais pas vraiment quoi attendre de ce Paper Towns. John Green nous a tellement habitué à des films ultra cheesy et convenus - je ne critique pas, c'est totalement mon genre de film -, mais les premières images du film laissait présager autre chose.
Et en effet, ce cher John a essayé de faire quelque chose d'autre. Et bien lui en a pris. Parce que ce Paper Towns est une énorme réussite.
On pourrait donc croire que le film est une banale romance entre deux ados, la populaire et le timide, et pourtant, le film s'éloigne trés vite de ce genre de choses pour passer à une merveilleuse histoire d'amitié, à une réflexion sur la vie, et sur l'amour, pas toujours subtile certes, mais terriblement bien menée.
Autre point fort du film, les personnages : si certains sont clichés - Jase, et, dans une moindre mesure, Margo - , la plupart m'ont paru authentiques. Authentiques dans leur façon de se parler, dans leur façon d'être aussi. Et parce qu'ils sonnent vrais, ils sont toujours touchants. On vit cette histoire à leur côté, et on y croit vraiment. C'est la vraie force de Paper Towns : une énorme authenticité qui ne nous lâche presque jamais.
D'autres éléments me font dire que le film est sûrement un des plus grandes réussites d'adaptation de Roman pour ados : spoiler: la désacralisation du personnage de Margo, mise en place vers la fin du film, ou encore cette romance qui finalement n'a jamais eu lieu. Le simple fait que Margo na jamais voulu que Quentin la retrouve est brillant. Parce que tout s'est joué sur un malentendu, mais que dans le fond, on s'en fout pas mal, parce que le voyage a été plus enrichissant que la destination. Et cette proximité que l'on ressent, tout le long du film, ne nous quitte pas plus à la fin : ce sont justes des ados qui vont rentrer à l'Université et se séparer. Personne ne prétend aimer l'autre à la folie, personne ne fait de discours mélo sur leur volonté de rester ensemble, par tous les moyens. Et tout cela, encore une fois, sonne merveilleusement vrai.

La liste des acteurs de talent est longue, mais évidemment, Nat Wolff est un cran au-dessus. J'adore cet acteur depuis sa prestation brillante dans un Stuck In Love tout aussi brillant, et j'ai été vraiment enervé de voir qu'à la sortie du film, dans les médias, on ne parlait que de Delavingne. Elle a du talent, c'est indéniable, mais elle n'efface jamais Nat Wolff.
En quelques mots, si vous ne deviez voir qu'une seule adaptation de Greene, et de bouquins pour ados, c'est vers celle-ci qu'il faut se tourner. Paper Towns est une magnifique - et à laquelle on croit - leçon sur la vie et l'amitié. Et même si j'aime les romances du type The Fault in our Stars, je ne peux m'empêcher de ne pas être satisfait quand je compare les notes des deux films. Une dose d'authenticité que je n'avais plus ressentie depuis The First Time - même si Paper Towns en reste loin - . Et ça, c'est un sacré compliment.

Il y a au final beaucoup de similitudes entre les perks offre being à wallflower, jolie surprise de l'année 2013 et payer town, déception de cette année: une tête d'affiche discrète (Clara Delevigne, mannequin en manque de gloire et de talents), une histoire d'émancipation sur fond de BO mélangée.... Pourtant, la sauce ici ne prend pas... La faute à une réalisation qui manque dans paper town d'une vision claire, d'une touche d'originalité et de créativité unique comme seul Stephen Chbosky, le réalisateur de perks... avait su l’insuffler. Dommage, le film ne dispose pas au final du coup de mordant et de l'originalité nécessaire pour le faire sortir du lot...

Je m'attendais à mieux. Tout ce trajet pour en fin de compte, spoiler: ben pas de happy end !
. Ça semble bien partie au début, on est pris dans le suspense, on s'attend vraiment à un final "so kind". Le film est plus là, pour nous apprendre quelque chose. De partager chaque instant avec ses potes, de faire des conneries, des choses exceptionnelles, des souvenirs marqués à jamais. Et ce avant que chacun prenne des routes différentes dans ses choix, parcours professionnels. Jolie film, mais ne vous attendez pas à quelque chose de surprenant. C'est ce qui lui vaut ces étoiles.

Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé le film. C'est pas décousu, on sait d'où tous les détails sortent (je tiens à préciser que je n'ai jamais lu le livre donc aucune comparaison possible pour moi), les personnages sont plutôt sympas voir attachants pour certains. Certains méritent cependant plus de développement mais à nouveau c'est souvent la difficulté lors d'une adaptation avec les contraintes de temps et le besoin d'aller droit à l'essentiel pour intégrer tous les moments forts du livre.

Après je peux pas dire non plus que ça a été la révélation du siècle. Je pense que pour réellement apprécié le film et sa morale il faut lire le livre. Par expérience, John Green est un excellent écrivain qui a beaucoup de suite dans les idées et qui mérite qu'on s'intéresse à ses livres au delà de l'adaptation cinématographique qui en a été faite.

Adaptation du roman de John Gree qui a aussi écrit Nos étoiles contraires, La Face cachée de Margo vogue sur exactement la même vague. L’histoire est donc contée pour des adolescentes où l’histoire suit un schéma classique et sans surprise, englobé par des musiques visant à les attendrir. Bien qu’envisagé, ce n’est pas la formidable Shailene Woodley qui interprète la mystérieuse Margo mais l’inconnue Cara Delevingue qui manque sacrément de prestance. Son collègue Jake Schreier s’en sort un peu mieux et parvient à rendre le drame un peu moins soporifique
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44

Un film "jeu de piste" pour adolescents, car les adultes qui ont passé l'âge du parler "d'jeunes", des gags enfantins et de la fin complètement bâclée auront du mal à suivre La Face cachée de Margo, qui ressemble beaucoup à son prédécesseur Nos Étoiles Contraires (du même auteur) sans arriver à sa cheville. L'interprétation des jeunes acteurs laisse à désirer, et leur façon de parler puérile (exagérée car aucune phrase ne semble pouvoir se passer de mots "qui font cool" en argot "d'jeuns") devient vite soit ridicule soit agaçante, et l'enquête en elle-même se veut mature avec sa philosophie bienpensante (dont les leçons de vie sont aussi profondes que les blagues Carambar) mais a davantage la maturité d'une enquête de Scooby-Doo. La fin déçoit complètement les plus de quinze ans qui y sont arrivés, car la révélation finale nous fait s'exclamer : "Tout ça pour ça ?!"... Heureusement que le film reste assez dynamique, et assez bien mis en image, car autrement les parents qui l'auront mis pour faire plaisir à leur(s) ado(s) vont trouver le récit vide. Une morale enfantine et pas profonde pour deux sous, un film très ancré dans le public-cible ado, et dont la fin décevante souligne un scénario creux...

Ce film réalisé par Jake Schreier et sorti en 2015 est assez moyen. Le scénario, qui est adapté du roman homonyme de John Green que je n'ai d'ailleurs pas lu, est assez inégal. Effectivement, lors de la première partie du film, on tient et on se prend vraiment dans cette mystérieuse enquête et puis la deuxième partie se transforme vite en un vulgaire teen movie. Je n'ai pas vu "Nos étoiles contraires", je ne peux donc pas non plus dire si c'est vraiment le style des scénaristes ou du romancier qui est comme ça ou si cela vient vraiment du film en lui-même. C'est donc l'histoire de Margo qui disparaît mystérieusement après une nuit mouvementée mais elle laisse des indices à son ami d'enfance qui va essayer de la retrouver. Sur le papier, c'est franchement pas mal et le synopsis me donnait d'ailleurs envie de le voir mais je m'attendais à quelque chose de plus sérieux. Bien-sûr, le film aborde des sujets sérieux et plus que des teen movie banals comme on a l'habitude d'en voir mais malheureusement, les blagues lourdes sont beaucoup trop présentes et ça en devient vraiment long. De plus, le film possède un ventre mou en son milieu et on décroche assez facilement. Il y a des gags et des scènes assez inutiles et bien lourdes en humour graveleux qui viennent complètement casser le rythme et c'est durant ces moments là que l'on décroche, ce qui est dommage car le final et plutôt intéressant. Effectivement, je m’attendais à une happy end très facile et clichée mais nous avons une fin assez réaliste et bien trouvée, spoiler: pas dramatique mais pas spécialement heureuse non plus
. Pour ce qui est de la réalisation, il n'y a rien d’exceptionnel mais le réalisateur nous offre tout de même de temps en temps de très beaux plans et la B.O. est très bonne. Du côté des acteurs, nous avons principalement Nat Wolff et Cara Delevingne qui jouent très bien. "La face cachée de Margo" est donc un film qui aurait pu être plus intéressant s'il avait eu plus de profondeur et il déçoit un peu de par ses gags puérils.

Une aventure romantique ennuyeuse que j’ai assisté jusqu’au bout du chemin ne réservant aucune surprise, dans la face cachée de Margo, il y a une facette inintéressante, des personnages fades sans âme, une histoire classique qui se termine pour les amoureux en fin de route.

" La Face cachée de Margo " est une adaptation d'un best-seller écrit par John Gleen. C'est une des curiositées que je voulais absolument voir cette année. Je n’ai jamais lu le livre de l'auteur en revanche, je dois dire que je suis un peu déçu par le résultat. Tout est bon dans son ensemble, l'introduction est belle avec voix-over du personnage principal très bien mené qui nous plonge au cœur du récit. Nous sommes surpris par la mise en scène qui assure avec efficacité , la distribution qui s'en sort bien et les dialogues bien écrient ainsi que, le suspense qui nous maintiens en haleine jusqu'à ce que le film se plonge dans l'absurdité. Tout est bien sauf la conclusion du film. Dans laquelle le suspense vole en éclat est n'apporte plus rien au récit. C'est le trou noir totale. Toutefois , le film reste assez bon dans l'ensemble. Le scénario correct, apporte quelques petites touchent de sensibilités, d'humours et de subtiles jeux de pistes. On se laisse envouté par cette histoire ou le vrai sens d'amitié et Amour avec un grand A sont au cœur des débats. Un bon film d'aventure , décevant par sa fin simpliste mais qui s'est retenir notre attention. Quelques bons moments sympathiques. Distrayant.

Le sentimentalisme devient fréquent dans les récents films américains, celui-ci visant principalement les ados, joue sur la corde sensible des souvenirs de fin de lycée, des copains et copines qu'on ne reverra plus, et des filles qu'on a eues ou pas.
Cet apitoiement sur soi-même est masqué par une histoire à suspens en carton-pâte, pour tenir le jeune spectateur attentif entre deux larmichettes.