Avis : Alone - Page 2

2/5 Une histoire plate qui n'a aucune cohérence. Les acteurs ne servent pas à grand chose. Si vous aimez le genre "survival", passez votre chemin car vous n'aurez aucunes informations sur le pourquoi du comment. Bref, c'est très lent (vraiment très lent).

Toutes les caractéristiques d'un bon navet sont réunit dans ce film. Le spectateur est berçé dans une histoire plate qui n'a aucune cohérence. Les acteurs ne servent pas à grand chose.
Si vous aimez le genre "survival", passez votre chemin car vous n'aurez aucunes informations sur le pourquoi du comment.
Bref, c'est très lent (vraiment très lent), alors évitez vous un mauvais moment et passez votre chemin !

Étrange fable onirique explorant les tabous de l'adolescence et le spectre aussi séduisant que néfaste du passage à l'âge adulte, "Alone" dépeint avec justesse et poésie les affres d'une génération PeterPan abîmée par un monde qui n'a déjà que trop sombré.
Film d'auteur qui a la mauvaise idée de se promotionner comme un film survivaliste zombie, passez votre chemin si vous cherchez ici du divertissement post-appocalyptique agité...Vous ne trouverez dans "Alone" que les traits d'une œuvre contemplative fantastique, à la frontière du road-movie.

La photographie est superbe, l'ambiance sonore maitrisée, le scénario propre, réservé et délicat...Si les acteurs ne sont pas toujours d'une irréprochable maitrise, leurs efforts restent appréciables et sont loin de gâcher l'ambiance de ce petit film de qualité. Cependant l'ensemble demeure un tant inné trop pudique pour réellement marquer en profondeur.

Enfin!...Installez vous confortablement, vous prendrez bien une dose d'enfants perdus non? ça vaut le coup d’œil!

Ce film se laisse regarder, quelques longueurs qui ne gênent que lorsque l on s'aperçoit qu'elles ne servent à rien.
Le scenario est frustrant car il ne va pas au bout des choses.Dommage.

oula oula, donc ... aucun intérêt, film plat, sans aucune explications et dans fin. À éviter d'urgence !

Thierry Poiraud continue d'expérimenter les genres avec ce singulier film d'infestés qui ne brille pas vraiment par son originalité mais fourmille de bonnes idées. Malheureusement, ce qui ressemblait à une bonne surprise au début compte tenu de l'atmosphère et du point d'ancrage du scénario est vite rattrapé par son manque de profondeur et de budget. Malgré seulement 1h15 de bobine, on trouve rapidement le temps long, la faute entre autre à de jeunes acteurs limités et à une intrigue qui tourne rapidement en rond. C'est bien dommage car l'idée était là mais à trop vouloir jouer sur la psychologie de personnages limités, on perd complétement la tension et le mystère du point de départ, en outre nombre d'incohérences viennent parasiter le film. Moyen dans l'ensemble.

Un film a découvrir pour son ambiance et sa réalisation très maîtrisé. Les jeunes acteurs sont très bons. Alors certes j aurais plutôt catalogué ce film autrement mais moi j ai vraiment aimé ce film.

“Alone” est un petit long-métrage situé entre le slasher et le film de pandémie. On est sur une île au nord de l’Ecosse en compagnie d’un groupe d’ados résidants dans un centre d’accueil pour enfants placés ou orphelins et ce pendant la période des vacances. Résultats, ils sont une poignée sur place (les autres ayant rejoint un membre plus ou moins éloigné de leur famille) et, plus préoccupant, l’adulte chargé de les surveiller manque aussi à l’appel. Si la mécanique du film est assez commune, sa courte durée et les péripéties qui s'enchaînent, ne laissent pas le temps de s’ennuyer, malgré leur prévisibilité. Les personnages sont eux aussi assez convenus, mais, encore une fois, la tension du film permet de passer outre. Le film essaie quand même de donner un peu de profondeur à son intrigue en interrogeant sur ce qu’est de devenir adulte et ce particulièrement quand on arrive à 17-18 ans. Alors, au milieu de cette fuite en avant, pas le temps de s’étendre trop sur cette question quand il faut éviter de se faire tuer par des adultes zombifiés ou des enfants à la gâchette facile. En somme, on a un petit film d’épouvante bien interprété, distrayant dans ses péripéties, mais qui au final ne propose pas grand-chose de vraiment novateur. Pour passer un moment de divertissement qui meuble une grosse heure, mais pas plus.

L'intrigue est quasiment inexistante... Le film paraît très long ! Il est lent et pas grand chose ne se passe... Le casting est très limité avec seulement 5 acteurs réellement présent. Un film pour ma part à éviter

Après les zombies dans Goal of the Dead (2014), place aux infectés dans Alone (2016) où l’on retrouve une bande d’adolescents seuls, sur une île quasi déserte, en proie à une sorte de virus transformant les adultes en monstres sanguinaires.

Relecture fantastique du thème de Peter Pan où des adolescents déjà abandonnés par leurs familles et privés d’une vie normale sont obligés de quitter leur foyer pour survivre à des adultes devenus déments.

On aurait juré avoir eu affaire à un DTV, mais aussi surprenant que cela puisse paraître, le film a bien bénéficié d’une exploitation en salles, on se demande bien pour quelle raison tant ce dernier est dénué d’intérêt.

Mise en scène mollassonne, entrecoupée de flashbacks ratés. La distribution (tous de jeunes acteurs inconnus) n’aide en rien à sauver le film de ce marasme ambiant & incohérent. C’est fade, mou et décevant du début à la fin.

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Il y a quelque chose de profondément frustrant avec Alone, film français tourné en anglais et clairement prévu pour tous les festivals internationaux possibles avant même sa sortie : c'est qu'il avait le potentiel d'enfin faire un bon film français de genre (on se tournera vers Dans la brume pour se contenter de notre cinéma d'auteur et de genre), et se vautre lamentablement pour plusieurs raisons.

La première, sa prétention palpable : se croyant le renouveau des films de zombies, Alone tente de s'approcher d'un 28 jours plus tard version adolescent, amenant le teen movie comme si c'était la remise à neuf d'un genre beaucoup trop abordé par des blockbusters américains ultra-violents et sans âme. Et s'il se montre particulièrement sanglant, nul doute que ses interminables dialogues marqueront une cassure avec sa volonté d'être fin dans son approche du genre.

Des dialogues d'ailleurs trop vulgaires et stéréotypés pour le faire entrer dans le cercle fermé des grands films indépendants de genre : basés sur un langage de cité peu pertinent, ils servent de développement psychologique de personnages pourtant fades et vides, clichés de ce que l'on trouve habituellement dans le genre, chacun étant programmé pour avoir son moment de gloire et sa mort prochaine.

Il y aura une volonté de surprendre par une conclusion pessimiste et pleine d'effets de style qui, sans attachement possible aux personnages présentés, ne trouve aucune autre répercussion que celle d'avoir l'impression avoir vu le film pour rien. Vite amenée, filmée bordéliquement, elle tombe comme un cheveu sur la soupe et ne brille que par son timbre terne et le décors posé, l'image étant animée par des vagues alors très bien filmées.

Un climax d'autant plus dépitant qu'il se base sur des ennemis en lesquels on ne croit jamais; erreur d'écriture ou de casting, ces enfants rebelles, doux plagiat de Mad Max (sans le punch et la justesse), jouent en y croyant sans être jamais crédibles, et font plus monter le sourire aux lèvres que descendre les larmes aux joues. Une situation d'ailleurs identique en VF comme en VO.

On tentera de se rabattre sur le héros pour trouver quelques qualités réconfortantes; là encore, c'est une des raisons de la chute du film. Ni charismatique ni talentueux, Fergus Riordan (déjà présent dans Ghost Rider : L'esprit de la vengeance) semble n'avoir été choisi que pour sa gueule atypique, lui qui mène sûrement l'une des relations amoureuses les plus maladroites que l'on ait pu voir dans le genre.

C'est Madeleine Kelly qui, chargée de lui donner la réplique en tentant de le séduire, gâche toute l'utilité du personnage de Riordan; elle qui incarne tous les clichés possibles de la femme forte du cinéma de genre, incarne plus la volonté du film d'américaniser son intrigue que ses quelques tentatives d'en faire un personnage profond, attachant et bien développé. Pourtant investie, elle incarne, malgré les apparences, la véritable héroïne, devant Riordan et le reste d'un casting sans intérêt qu'on se préservera de citer cas par cas.

Résumons les simplement en faisant un rapprochement avec la caricature des citées proférée dans Les 3 Frères : Le Retour, duquel Alone semble s'être inspiré pour organiser les personnalités de chacun des protagonistes, et écrire les dialogues navrants dont il nous fait part durant sa très courte heure vingt (et qui s'étire comme en trois heures d'ennui).

Le principal problème d'Alone, c'est donc qu'il recopie plus qu'il invente, qu'il se développe trop dans le superficiel plutôt que de nous livrer ce qu'il voulait vraiment faire; enrobé comme un film d'auteur de piètre qualité, sentant bon le réchauffé de tous les côtés (on pense donc à Mad Max, aux Romero, à La Horde, à tous les teen movie apocalyptiques, dont le ...), il ne trouve ses marques que dans sa conclusion brutale et qui, par le manque de développement de ses enjeux et de ses personnages, tombe à l'eau quand on voulait se prendre une claque. Le coche est raté, l'expérience déplaisante, et le résultat si frustrant qu'Alone pouvait enfin redorer le blason des films de genre français qui jusqu'à preuve du contraire n'a, pour l'instant, aucun fer de lance prouvant que le meilleur reste à venir. D'un côté, il paraît difficile de faire pire.

C'est juste un film d'infectés... Alors, OK, il y a des petites originalités : les personnages principaux sont des délinquants et, plutôt qu'une classique infection, nous somme en présence d'un mal qui ne touche que les adultes. Le film s'intéresse plus aux personnages qu'à l'action (tout de même présente), le problème c'est que ces personnages sont juste insupportables et développés très maladroitement. L'idée que seuls les adultes sont touchés aurait pu être intéressante et un début de réflexion semblait apparaître à un moment mais sans être plus développé, dommage... De toute façon on nous sert juste, au final, les éléments habituels de ce type de films (découverte des infectés, mort d'un/de plusieurs membres du groupe, gestion d'un membre infecté, rapports plus ou moins conflictuels avec les autres humains...).

Un teen movie futuriste dans la lignée des Divergente, labyrinthe..., sauf qu'il y a beaucoup moins de bonnes idées, moins de budget, moins de talents, et que du coup, c'est pas terrible. Les personnages et l'histoire nous sont balancés au visage sans temps d'adaptation, le film est expédié : bref un film baclé. Voilà, c'est comme si tu voulais manger le boeuf bourguignon de ta grand mère, mais que tu mangeais le boeuf bourguignon en boite marque repère...tu vois le genre?

Eh bien moi, Alone m'a plu pour son côté Thriller Dramatique. Je n'ai jamais oublié le premier rôle qui a réellement fait décoller le génialissime "Fergus Riordan" avec, selon moi, un des meilleurs film de tout les temps : "I want to be a soldier". Une fois encore il nous montre de quoi il est capable. Ce garçon crève littéralement l'écran. Dans "Alone", Bastian ne parle que très rarement, il reste enfermé, du à son passé, dans une solitude et une dépression qui le ronge, mais on découvrira plus tard, que derrière cette carapace se cache un jeune homme hyper sensible et très attachant.
Le côté horreur / thriller, je l'ai aimé, parce que tout le long du film, il reste hyper contrasté et monte crescendo. La scène de la mère et sa fille, derrière la porte, totalement glaçant...non?!
Après, oui, il nous reste malheureusement des questions en tête, comment et pourquoi tout cela à commencé? Quels ont été les éléments déclencheurs de cette infection qui fait que tout le monde s’entre-tuent?...
Est ce que le réalisateur, quelque part, ne voulait pas nous montrer, d'une façon étrange, que le rôle des parents est super important dans la vie d'un enfant, tout simplement? Je ne sais pas.
Malgré ces questions, je reste sur ma position. Je respecte les avis négatifs, mais je pense que dans le genre, on a vu largement pire ! On a là de super paysages, des jeux de rôles dans l'ensemble assez satisfaisants, une histoire nuancée, et parce que je préfère de loin ressentir les émotions d'un film, plutôt que d'y voir des explosions de sang, où très sincèrement, je n'y vois aucun intérêt, ma note est donc de : 4,5 !

Impression mitigée au final sur ce film d'horreur, dont on pouvait attendre beaucoup mieux. La première partie est tout simplement parfaite, le mystère autour de ce qui est en train de se passer est parfaitement mis en scène. Le suspense en devient insupportable avant l'apparition du premier "infecté". À partir de là, le film devient très planplan, et il ne se passe plus rien, ou presque. Dommage, car le scénario pouvait laisser augurer de grands moments de tension et de frayeur, une sorte de "28 jours plus tard" en vase clos et avec des ados. Mais ces moments-là sont trop absents, et c'est le néant qui prédomine.