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    White God
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    3,5
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    122 critiques spectateurs

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    ocelot
    ocelot

    19 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 janvier 2015
    Excellente surprise que ce White God ! Critique et réflexion très contemporaine d'une partie de notre mode de vie. Le dernier plan du plan est tout simplement somptueux ! A voir !
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    108 abonnés 2 331 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2017
    Une meute de chien terrorise une ville... On n'y croit pas un seul instant et l'héroïne n'est pas convaincante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    Une émotion forte. Un film qui dénonce. La métaphore des chiens. Une actrice qui promet. Une musique de film extra. Une mise en scène excellente. Deux mémorables chiens. Un soulèvement. Une vengeance. Touchant. Bouleversant. Une des plus belles scènes de fin.
    Un film brillant. Un chef-d'oeuvre.
    janus72
    janus72

    44 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2017
    White GOD, où le batard se Rebiffe . . .
    Un pays (ici la Hongrie) ou seuls les Pures Races seraient admises à déambuler en toute quiétude.
    Un pays ou les métissages seraient bannis - les contrevenants parqués aussitôt en camps, voire fatalement éradiqués.
    Évidente métaphore qui trouvera sa suite naturelle dans "La Lune de Jupiter" récemment sortie ( Film EXTRA qui m'a carrément donné l'envie de voir absolument celui-ci ).
    C'est donc logiquement difficile sur la grande majorité de scènes qui restent toutes nécessaires à la structure de cette lente allégorie.
    White GOD, c'est aussi techniquement très fort, sur un rythme qui ne lâche jamais rien, avec évidemment des chiens assez extraordinaires.
    Et ce final remarquable . . .
    Film marquant à voir désormais en Vidéo.
    dominique L.
    dominique L.

    13 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2014
    Un film très sensible, beau et original sur la relation entre les hommes et leurs animaux domestiques. La mise en scène sans presque aucuns effets spéciaux basée sur un dressage exceptionnel de chiens vaut à elle seule le détour.
    Benito G
    Benito G

    587 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2014
    Quelle claque! JE m'attendais à un ènième film sur les animaux comme on a pu en voir il y des années ou les vilaines vètes étaient des tueurs nés... Mais pour le coup, pas d'effet numérique et un ensemble maitrisé de bout en bout (je n'évoquerais pas le plan final qui vous soctch à votre fauteil^^). Un film bouleversant qui nous mais vite dedans et dont on a du mal à décrocher avant la dernière partie totalement bluffante. Dommage que le film soit si peu distribué. Une fois le générique de fin arrivant, le public arrive quasiement à prendre partie pour les animaux... Alors qu'au départ ; c'était totalement le contraire... Mais l'ensemble réserve dess surprises, des rebondissements et un final digne d'un grand maître! LA deuxième partie du film prend un autre tournant tout aussi poignant, ne laissant également pas indifférent... Surprise, surprise..^^. On peut saluer les dresseurs qui ont du aoir un gros travail pour arriver à leur fin:! Bref, un sujet original ; loin des films "monster movie" (on va dire ainsi), qui va bien au delà et qui mène ) réfléchir sur la relation que les personnes ont avec les animaux. Une excellente surprise que je recommande à tout le monde! En espérant qu'il passe près de chez vous... Sinon, foncez:! Un film unique en son genre, qui vaut son pesant d'or et qui boulerverse autant qu'il ému.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    229 abonnés 881 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2014
    Présenté à Cannes cette année, White God est reparti avec le prix de la sélection Un Certain Regard. Le cinquième film de Kornel Mundruczo a étonné la croisette pour son mélange de style audacieux. Un film politique qui se transforme en thriller horrifique très inspiré voir peut être même un peu trop inspiré par de nombreux classiques du cinéma de ces cinquante dernières années.

    Obligé de s'installer chez son père pendant que sa mère est partie en voyage, la jeune Lili est contrainte d'abandonner son chien Hagen, un batard pour lequel son père refuse de payer la taxe. Livré à lui même, le chien va passer de mains en mains et subir de nombreuses maltraitances. Alors que la jeune fille se met en quête de le retrouver, Hagen est devenue une véritable machine à tuer bien décidé à se venger des hommes.

    Comparer White God aux Oiseaux d'Alfred Hitchcock est en réalité trompeur et ceux qui s'attendait à une grande histoire effrayante confirmée par l'interdiction aux moins de 12 ans risquent rapidement d'être déçus de s'être aventuré devant le film de Kornel Mundriczo. Si la première scène du film, qui est celle choisi comme bande d'annonce du film, nous laisse croire à un espèce de 28 Jours Plus Tard dans un monde déserté par les humains et envahi de chiens, la suite va rapidement nous faire déchanter.

    Sur les deux heures que durent le film de Kornel Mundruczo, seul les vingt dernières minutes se montreront violente à partir du moment où nous aurons à nouveau atteint les événement liant à la première scène. En remontant quelques jours auparavant, White Dog ressemble pendant longtemps plus à un film Disney sur des chiens en vadrouille du genre L'Incroyable Voyage qu'à un drame. Par la suite on tombe carrément dans le plagiat du reboot de La Planète Des Singes avec ces animaux maltraités qui décident de se venger.

    Toute l'intelligentsia Cannoise a vu en White God un formidable film politique qui dénonce les problèmes d'immigration par le biais d'un traitement animal. Là encore rien de très nouveau puisque le film White Dog (Dressé pour Tuer) de Samuel Fuller traitait déjà de ségrégation. L'évident anagramme du titre du film de Kornel Mundruczo ne cherche d'ailleurs même pas à cacher cette parentée.

    Deux chiens ont étés utilisé pour jouer Hagen, le héros de cette histoire. Un gentil chien tout mignon qui a d'ailleurs remporté la Palm Dog à Cannes pour la première partie du film et un second plus méchant pour la seconde partie. Si il sait grogner et montrer les dents, il n'est pas pour autant aussi effrayant qu'un Cujo ou autres chien du cinéma horrifique déjà vu auparavant. La soi-disant spectaculaire scène de rébellion de ses chiens n'est pas vraiment une réussite, les chiens donnent plus l'impression de s'amuser que de donner une réelle impression de danger.

    Kornel Mundruczo a choisi pour héroïne de son film Zsofia Psotta. Une jeune actrice vraiment mignonne mais encore trop jeune pour certains plans à la limite de la pédophilie qu'il nous impose. Jupe plissé et soquettes blanches pour un petit coté Lolita dans un film qui n'a pourtant rien à voir. Le réalisateur tente de faire un parallèle entre l'abandon du chien et la dérive de cette jeune ado tiraillé entre ses parents divorcés. Cela aussi est guère convaincant et on ne voit pas trop ce qu'il veut nous raconter.

    A nous vanter une sorte de thriller dans la lignée des Oiseaux, on attend forcement impatiemment que les premières scènes d'attaque commence. Il faudra cependant supporter avant cela plus d'une heure de scènes animalières très gentillette digne d'un film de Disney. Faute d'avoir voulu utiliser des chiens en image de synthèse, Kornel Mundruczo n'effrayera que les plus sensibles avec sa grande scène d'attaque. White Dog est définitivement un film pour intello bien pensant et les amoureux des bêtes plus que pour amateurs de thrillers angoissants.
    Fritz L
    Fritz L

    162 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2014
    « White god » est un film tout à la fois étonnant, agaçant et captivant. Etonnant par le sujet et sa mise en forme retenue pour le traiter. Des les premières scènes on pense au « Dresser pour tuer » de Samuel Fuller. Ce n’est pas innocent puisque le titre ici est l’anagramme de ce film de 1982 (« White dog »). On y retrouve ce lien indéfectible, au risque de tous les dangers, entre l’humain et le chien sans que l’on puisse réellement le définir. Certains plans se juxtaposent également. Mais Mundruczo se fait plus virtuose au niveau mise en scène en faisant passer son sujet de simple film noir à une espèce de fable métaphysique d’anticipation autant que métaphorique, même si sur ce choix, il y a beaucoup à dire. Reste une direction animale extraordinaire renforcée par un montage de haute voltige. Par son niveau réaliste et la crédibilité des images, il y a de quoi être bluffé. Les scènes de poursuite, la meute, les combats sont saisissants. Ce qui vient par contre plomber un peu ce « White god », c’est le manque d’unité narrative. Une première demi-heure dans le genre « Lassie » est délaissée, puis un enchainement féroce à la Fuller (justement), violence et nervosité à l’appui et enfin, le règlement de compte à OK pénal où sonne le glas de la vengeance (la partie la plus aboutie, quoique contestable). Ce découpage, particulier, nous interroge. Certes on comprend la parabole (simpliste) sur l’exclusion (la traque, la concentration de l’espèce derrière des grilles, la révolte, la solidarité…) mais au final, on a un peu l’impression d’être pris en otage face à la prouesse du traitement irréprochable de l’histoire au détriment d’un hypothétique fond, sorte de prétexte à justifier le tout. Et si tout cela n’était qu’un exercice de style formel ? La fin venant un peu abonder dans ce sens… Et quelque part, à force de s’interroger, on perd un peu de l’intérêt pour le film au point que c’en est agaçant. Seulement voilà, on ne peut occulter la tension quasi permanente qui nous saisit, la beauté technique qui titille et fait s’extasier l’œil, notre empathie envers Hagen et sa meute… Mundruczo, se révèle être avec ce film un réalisateur en devenir et son « White god » par son originalité, son mystère et sa maitrise est une œuvre captivante.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2014
    Le mérite de Kornel Mundruczo est de se soustraire aux clichés du film animalier ou de jeunesse tout en métaphorisant son propos et en filmant de manière remarquable les animaux en mouvement. Inspiré par plusieurs films de John Carpenter (They live, New York 1997) ou du Survivant (pour la ville abandonnée), des Oiseaux (pour les scènes de massacre et la musique) et de White dog de Samuel Fuller pour le propos du poids du passé sur le comportement présent, White god marque par la force des ses scènes de poursuite dans une ville de Budapest, joliment filmée et abandonnée en humains. De plus, le cinéaste a d'autant plus de mérite d'éviter le champ contre champ, souvent simple facilité de mise en scène. Le film fonctionne sur la relation entre deux "paumés" : une jeune préadolescente, superbe Zsófia Psotta, victime du divorce de ses parents avec un père au départ médiocre mais dont les qualités se dévoileront à la fin, et un chien dont le douloureux trajet initiatique marquera longtemps. Comme le dit un dresseur, il n'est pas un vrai chien ! Le cinéphile pourra voir ce qu'il souhaite dans cette métaphore (l'intégration d'autres populations (Roms ?, la Shoah...) mais il n'en oublie pas l'émotion. Le film utilise bien le registre du suspens. Ainsi, la caméra dont dont reprochera un temps les tremblements, se place en position subjective. A place du chien, un temps. Puis, tel un thriller, nous ne voyons que les pattes du chien! Reste la problématique de la musique (bel habillage sonore du film). La musique adoucit-elle les moeurs ? personne ne pourra oublier cette ultime scène, troublante et très humaine. Moralité du propos : pour la compréhension réciproque entre les être humains ne faut-il pas être capable de se mettre au niveau de chacun, de prendre leur place ? Commencé à 100 à l'heure par la meute de chien, le film a ensuite ses lenteurs et quelques scènes inutiles qui nuisent au récit (le passage de la teuf, raté, personnage du grand jeune homme...) Commencé en mélo triste (la fillette couchant dans la salle de bain avec son chien, l'abandon sur la route qui évoque AI de Spielberg, les deux vaches), le dernier 1/3 est vraiment sublime : tension, suspense, sens du rythme... Une oeuvre imparfaite qui se prête à l'intertextualité mais très troublante qui ne se laissera pas facilement oubliée.
    cinono1
    cinono1

    256 abonnés 1 987 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2018
    critique d'une société intolérante ou les chiens se rebellent contre les hommes et leurs idéologies purificatrices, White God possède une vraie ambiance, contient des scènes rarement vues au cinéma (des hordes de chiens), croit davantage en la bonté comme solution pérenne que la violence... Dommage que la narration avance par à-coups et qu'il y a quelques erreurs techniques qui nuisent au plaisir de la vision.
    Coxwell 51
    Coxwell 51

    22 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 août 2017
    Vous avez toujours rêvé de voir le petit cochon Babe avec des poils ? Une course poursuite où Paul Greengrass filme parkinsoniennement le chien de Jason Bourne pris en chasse à Budapest plutôt qu'à Casablanca ? Ouf. Le "Dieu Blanc" hongrois est là pour exaucer vos vœux les plus fous. Grâce à lui, vous pourrez maintenant parler d'un film à chiens sans avoir la honte de citer Rox et Rouky (ouais en plus, c'était trop la lose de citer jusque là l'époque Disney d'un Burton n'ayant pas encore reçu l'imprimatur "art et essai"). Plus de plaisir coupable, plus de trahison de votre cinéphilie sélective et durement élaborée. Kornél Mundruczó vient de vous offrir le meilleur moyen de briller en société du bon goût : vous pourrez désormais expliquer (je compte sur la beauté de votre verbe) à quel point les chiens et les "autres" dans la société vivent une vie de ... chien. Alors bien sûr, ce serait profondément injuste de résumer ça en 5 mn, car ce serait vraiment trop expéditif pour un si beau film de festivals indés du monde entier ; alors autant étaler tout ça sur 2h. Peu importe si tout le monde dort entre temps, car en fin de compte, au détour de la lecture d'une belle critique de cinéphile, vous trouverez une analyse lumineuse sur la métaphore de la méchante Hongrie de Viktor Orban n'aimant pas tous les types de pédigrée. Vous n'avez pas besoin de voir le film en fait car je suis sûr que vous avez déjà vu un chien, et même peut-être, lu un article sur le sort des migrants qui fuient la misère. Ah oui, au fait, il y a une petite fille toute mimi et même une scène d'introduction bien phéromonée. Sinon, si vous aimez vraiment les chiens (pas torturés), les gens et même le cinéma hein, vous pouvez regarder un truc plus frisé qui s'appelle Didier (1997). A moins que vous ne préféreriez vraiment les déferlements de trucs à quatre pattes plein de poils un peu fous, alors optez pour Black Sheep (2006). Sachez néanmoins que c'est moins canin et impossible à placer en soirée mondaine parisienne. Zut.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 décembre 2014
    Un très bon film...étrange au premier abord mais c'est ça qui fait son originalité un film troublant...une belle métaphore de la société actuel...à voir!!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 décembre 2014
    Rien de transcendant; a mi chemin entre la Planete des Singes et les Oiseaux, avec meme une reference aux freres Grimm et leur Joueur de Flute de Hamelin.
    Et c'est filme "camera au poing" donc j'ai eu envie de vomir des la 5ieme minute. Sensation qui perdure jusqu'a la fin du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 décembre 2014
    Ce film est choquant et dérangeant ! J'aurais préféré des scènes suggérées au lieu de cet étalage de violence qui m'a mis très mal à l'aise. A plusieurs reprises, j'ai dû détourner le regard ou fermer les yeux tant les images étaient insupportables. Pour ma part, ce film ne devrait pas être interdit au moins de 12 ans mais au moins de 16. Les combats de chiens et toute la boucherie qui les accompagnent n'étaient, à mon avis, pas nécessaire. Je déconseille ce film à toutes les âmes sensibles et à tous ceux qui aiment trop les animaux pour les voir victimes de la cruauté des hommes.
    brunetol
    brunetol

    173 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2014
    La bande-annonce laissait espérer un grand film lyrique, une allégorie, peut-être dans la lignée des films du cinéaste hongrois en dédicace : Miklós Jancsó. Mais l'auteur de "Psaume Rouge", disparu en janvier dernier, aurait eu bien du mal à retrouver dans ce "White God" la puissance visuelle de ses plans-séquences affolants que seul le grand Bela Tarr a su égaler voire transcender. Tourné la plupart du temps caméra cahotante à l'épaule, ce "White God" prometteur ne tient pas la route. Malgré de stupéfiantes séquences de chiens déchainés lâchés dans un Budapest désert, le film reste plaqué au sol par le manque d'ambition romanesque ou poétique de son auteur, qui semble hésiter constamment entre plusieurs registres mineurs : film d'horreur ? téléfilm allemand ? série Z à la lisière du gore ? initiation adolescente ? On est bien loin des "Oiseaux" d'Hitchcock mentionnés sur l'affiche. Desservi par un casting particulièrement foireux où l'on côtoie une future miss Hongrie renfrognée, un père célibataire grisâtre et déprimé, un prof de musique névrotique et autres figures humaines déplorables illustrant la misanthropie du réalisateur, le film n'a d'intérêt que pour la virtuosité de certaines séquences animalières, quand elles ne sombrent pas dans la complaisance barbare (les combats de chiens). On frise parfois la franchise Disney (quand le "héros" Hagen est accompagné d'un petit terrier poilu adorable qui lui sert d'ange-gardien), mais dans l'ensemble, les scènes canines sont assez bien menées, troublantes parfois. Tout était là pour faire de ce film un ovni passionnant. Mais la poésie, la fantaisie, l'humour, l'inspiration en sont tellement absents que rien ne subsiste au final. Ça vole très bas du début à la fin, on se moque des préoccupations prosaïques des ternes protagonistes (même les chiens finissent par être décevants et prévisibles), jamais l'intrigue ne décolle d'un littéralisme navrant qui ne laisse pas de place à l'imagination et au hors-champ, et l'on se prend à rêver de ce qu'un Nicholas Winding Refn aurait fait d'un argument pareil.
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