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    Au-delà des montagnes
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    ffred
    ffred

    1 499 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2016
    Après le glaçant A touch of sin il y a pile deux ans Zhang-ke Jia revient déjà (de nouveau à Cannes, mais bredouille) avec sans doute le plus beau mélo de cette année qui s'achève. C'est simple, il y a peu de choses à dire : c'est splendide d'un bout à l'autre. Sur près de trente ans, il nous conte l’histoire déchirante d'un trio amoureux se transformant en drame familial. C'est subtilement écrit, brillamment mis en scène, magistralement interprété (femme et donc habituée du réalisateur, Zhao Tao est formidable, à voir aussi dans le très beau La petite Venise). Telle l’image qui s’élargie au fur et à mesure d'un récit qui prend de l'ampleur, notre émotion grandit. Une histoire de temps qui passe, d'erreurs, de choix, de regrets. Au-delà des montagnes est aussi beau que mélancolique, aussi réussi sur la forme que sur le fond. Il ne faut pas le rater, c'est l'un des rares chefs d'oeuvres de 2015. Magnifique.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2016
    Jia Zhang-Ke interroge depuis ses premiers films la vie en Chine à travers des histoires tragiques tour à tour axées sur la vie professionnelle, violente ou romanesque de ses personnages, métaphores évidentes. Le cinéaste, à travers trois histoires se déroulant dans des temps différents, réussit par la force de sa mise en scène et une grande qualité d'écriture des personnages, très bien interprétés, un film époustouflant et prenant. Pris dans le tourbillon de l'histoire et des bouleversements du pays, le trio de personnage, un triangle stable, est merveilleux. La jeune femme représente l'utopie morale, une forme d'idéologue naïve dont le coeur hésite d'où son idée de "triangle stable". L'ouvrier mineur, lui, est la Chine ancienne, vite dépassée et le chef d'entreprise, peut être perçu comme la capitalisme naissant qui enfantera un jeune homme dont le manque d'assise morale est prégnant (la Chine actuelle, en pleine contradiction). La taille de l'image s'agrandit au fur et à mesure de l'histoire qui passe du plus intime (amoureux puis familial) à la désincarnation. La beauté des plans et de l'image sont stupéfiantes. La musique, belle et pudique marque l'oreille comme la chanson Go West. L'émotion jaillit au centre du film, tout en gardant une forme d'ironie (le train, vide au départ, se remplit, la mort du père...) La troisième partie, plus superficielle, déçoit parfois mais elle porte de très beaux moments de grâce telle la relation plus ou moins trouble du jeune homme avec la femme mûre. L'ultime scène est d'une beauté plastique époustouflante. Notons la superbe interprétation de Zhao Tao, toute en douceur et faiblesse. Un film puissant d'une grande force romanesque injustement oublié du dernier festival de Cannes
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    46 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2019
    Zhang-ke nous avait subjugué début 2014 avec l'explosif A touch of sin. Film jamais montré en Chine à ce jour...Il récidive en moins violent, mais avec une réussite autant convaincante dans le genre romance.

    Il tourne en partie dans sa ville natale, un petit village de 350.000 habitants, du coup, on peut trouver des endroits qui ne sont pas bourrés d'une foule compacte! Il fait tourner sa femme, Zhao Tao, insouciante, libérée à l'image de son pays dans les années 90, héroïne involontaire d'un triangle amoureux à trois qui ne peut tourner rond...par définition.

    Zhangke a écrit le scénario et parle probablement un peu de lui, des tensions énormes qui traversent une Chine en plein mutation, et qui ne font que commencer: migrations internes ou émigration vers l'Australie, réussite capitaliste ou vie campagnarde, populations qui ne parlent pas la même langue (les sous-titres peuvent nous faire oublier que si nous on comprend tout, ce n'est obligatoirement le cas entre certains des protagonistes!). Ses acteurs sont épatants, il les cajole et leur fait donner le meilleur d'eux-mêmes.

    Film sur l'amour filial, sur l'amour tout court, sur le temps qui passe. Les thèmes sont universels, et par certain coté, la vie quotidienne des chinois ne nous parait plus si mystérieuse.

    Zhangke est un créateur, ose des oppositions fortes entre musiques discos et ritournelles traditionnelles, et nous change le format de la pellicule durant le film (pour élargir notre vision?), insère des extraits de films qu'il a tourné il y a quinze ans en Chine.

    Derrière l'histoire, il y a des signaux à découvrir, des interrogations restées en suspens, une vraie mine ( pas de charbon celle là!) qui donne au film une solide structure et on comprend mal qu'il soit passé à coté du palmarès à Cannes cette année. A l'inverse de Dheepan, je lui souhaite de survivre à l'épreuve du temps, il le mérite largement.

    "Vérité en-deçà des Pyrénées, erreur au-delà" disait Pascal, voilà qui s'applique aux montagnes de la province du Shanxi. Allez voir ce qui se passe de l'autre coté de la muraille, vous ne le regretterez pas.
    Décembre 15
    Deuxième vision en petit écran. je ne retire rien à la première impression, sauf à souligner la grande palette d'expression de Tao Zhao: décidement une très grande actrice, qui crève l'écran durant la première partie. Un film de garde, décidément.- TV2 septembre 2019
    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2016
    "Au delà des montagnes", dernier film de Zhang Ke Ja, réalisateur de "A touch of sin", est un film relatant l'histoire d'une jeune fille et de 2 amis d'enfance entre 1999 et 2025. Tao (la jeune fille) choisira finalement Zhang Jinsheng, ambitieux entrepreneur plutôt que Liangzi, mineur de fond.
    15 ans plus tard, le couple est divorcé, l'enfant unique du couple est confié au père en partance pour l'Australie.
    A défaut d'être aussi violent et percutant que son précédent film, Le réalisateur signe cette fois une histoire désenchantée et universelle, portrait de l'évolution du monde d'aujourd'hui, des trajectoires individuelles et du déracinement. Le film est une série de photos instantanées, prisées sur une durée de 26 ans des principaux protagonistes de cette histoire. On perçoit parfaitement la sensibilité du réalisateur et son recul. Il déclarait lui même dans une interview récente que les années passant, la maturité le conduisait à avoir une approche plus en recul et nostalgique des sujets concernant la Chine d'aujourd'hui; c'est le cas dans "Au delà des montagnes".

    A noter coté bande originale, la reprise du duo électronique Pet shop boys: Go west...tout un symbole!
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2016
    Zhang-ke Jia nous avait épaté avec ses films précédents comme A touch of sin. Avec Au delà des montagnes, il est plus ambitieux, moins "chinois" peut être (il y a des moments, je vous jure, on se croirait dans Antonioni...) et, peut être aussi, moins directement convainquant.

    C'est l'évolution de la Chine sur un quart de siècle, vue à travers le destin d'une jeune femme, Tao (Zhao Tao), d'abord jeune fille insouciante courtisée par deux amoureux. L'un, Jinsheng (Zhang Yi) est gardien dans une mine. L'autre, Liangzi (Jing Dong Liang) commence à faire fortune et...rachète la mine. Tao choisit le riche.... même si son cœur, peut être la porterait plus vers le pauvre.

    La Chine qui gagne, la Chine qui perd. Liangzi est une caricature du nouveau riche: odieux. Après un divorce, il partira vivre en Australie (sans doutes quelques histoires de corruption aux basques...) en emmenant leur fils, qu'il a eu la très élégante idée d'appeler Dollar.... Tandis que Jinsheng a les poumons pourris par l'insalubrité de la mine.

    Ambitieux car c'est tout un panorama de la Chine que Zhang-ke nous présente. Le pays intérieur, minier, pelé, désolé. Ce n'est pas la première fois qu'un cinéaste chinois s'intéresse à ces petites exploitations privées où le charbon était arraché au sol au mépris de toutes les règles de sécurité et d'hygiène. Mais la tristesse de ces paysages serre le cœur.

    Et à côté des pauvres toujours aussi pauvres, cette nouvelle classe de petits malins sans scrupules qui se constitue des fortunes, classe de corrompus à laquelle le Président Xi Jinping semble vouloir s'attaquer.

    Et puis le mythe de la réussite à l'occidentale. Le résultat: Dollar (Dong Zijian), qui a oublié jusqu'au prénom de sa mère est un déraciné, qui ne sait plus d'où il est; insolent mais en fait paumé, il ne peut même pas communiquer avec son père qui n'a jamais réussi à parler anglais alors que Dollar ne parle pas un mot de chinois...

    Le monde de Zhang-ke est sombre. Ce que je lui reproche ici, c'est le côté assez hétéroclite de l'assemblage de ces trois épisodes (2000, 2015 et... 2025) au cours duquel on perd des personnages, pour en retrouver d'autres. Le lien est fait par cette chanson sirupeuse à la mode cantonaise des années 90, que chantait Tao, qui ouvre et clôture le film.

    Mais c'est incontestablement un grand cinéaste. A voir!
    missfanfan
    missfanfan

    74 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Moi qui ne suis pas une grande adepte du cinéma asiatique celui-ci m'a emballé l'histoire toute simple d'une jeune femme qui choisi le mauvais numéro les comédiens sont aussi très justes et la jeune femme est très émouvante sur ses vieux jours une belle réussite qui s'étale sur plusieurs années
    Stéphane C
    Stéphane C

    53 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2016
    Zhang-ke Jia, dans ce joli mélo, met de nouveau en évidence l'altération du lien humain à travers un tissu sociétal très contrasté (...) ***
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    165 abonnés 1 855 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2016
    Cet interminable mélo déçoit après A touch of sin du même réalisateur. Certains passages sont certes touchants. En toile de fond, on retrouve le tableau de l'évolution de la Chine qui passe du rang de pays sous-développé à celui de puissance mondiale de premier plan. La brutalité et l'inégalité sociale qui accompagnent cette explosion économique apparaissent en filigrane, mais l'ensemble est décousu. La dernière partie est loin d'être la meilleure, ce qui contribue à laisser le spectateur sur une impression mitigée.
    Cine vu
    Cine vu

    123 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    la vie n’est-elle que triangle?

    14e long-métrage de Jia Zhang-ke, 10 à ma connaissance sont sortis en salle et c’est le 6e que je vois.

    Le cinéaste chinois construit une véritable histoire de la Chine moderne avec ses films. Il montre très souvent une Chine en construction que ce soit dans « The World » « 24City », « I wish I knew » ou encore ici avec son joli et quelque peu austère « au-delà des montagnes ». Et construction dit mutation.

    Alors visuellement cela nous embarque dans des paysages souvent surprenants, d’une Chine industrieuse ou parfois les Hommes apparaissent désorientés…

    Le départ de de l’histoire ici est celle d’un triangle amoureux; Tao plait à deux hommes Liangzi et Zang. Tao fera un choix dont on ne sait la motivation tant elle parait attendre.

    L’histoire se déroule sur trois époques: 1999-2014-2025, un autre triangle! Celui du temps où les choses peuvent (ou pas) se répondre via les années. Et donc -choix du cinéaste- 3 formats d’images!

    Le triangle donc, puisque lorsqu’on est deux (couple, amis) on forme un triangle: 1 1=1. Comme une sainte Trinité sans religion -elle est absente du film- à l’exception d’une courte scène humoristique ou trois moines(?) constatent une mort; la Religion ne sert à rien puisqu’elle « arrive » trop tard.

    Jia Zhang-ke est un malin. Car ce pays -pour cause de loi- est condamné au triangle; un enfant par couple! Et même décomposée le triangle persiste puisque l’absence revêt les atours du 3e angle.

    Donc le réalisateur met avant tout l’Humain en avant, même la tradition est absente du film, tout au plus gadget dans une rue perdue, comme s’il en était fini de s’accrocher perpétuellement à ça.

    Alors l’Humain, l’humain comme il peut.
    Pauline_R
    Pauline_R

    172 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2016
    J'avais déjà beaucoup aimé A Touch of Sin du même réalisateur et ce film, dans un tout autre genre, confirme les talents de Zhang-ke Jia pour décrypter la société chinoise avec précision et intensité sur 26 ans. Mais Au-delà des montagnes est surtout un magnifique portrait de femme, à la fois moderne, solaire et victime malgré elle d'un pays en pleine mutation, où s'opposent capitalisme et traditions. Le film explore plusieurs genres, avec un triangle amoureux dans sa première partie puis une seconde partie plus dramatique, emmenée sur un ton mélancolique, sans toutefois verser dans le pathos. J'ai trouvé les deux actrices du film magnifiques, jouant respectivement la mère et le professeur du jeune garçon. Un film à la fois émouvant, ambitieux et clairvoyant.
    Jean-Patrick Lerendu
    Jean-Patrick Lerendu

    13 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Un très beau film qui nous emmène à la suite d'une jeune femme qui va préférer épouserun jeune chinois plein d'ambtion et qu'elle quittera ensuite en lui laissant la garde de leur fils. Celui-ci l'oubliera dans sa nouvelle vie jusqu'à ce qu'une professeure de chinois le rappelle àce qui doit être essentiel pour lui. Un beau film
    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2016
    Le film se déroule sur trois époques, de 1999 à 2025, d’abord en Chine, pour finir dans une province australienne aseptisée.

    Il raconte les destins croisés de trois personnes, un triangle amoureux, une femme, deux hommes, il raconte un choix peut-être mauvais, la naissance et l »histoire d’un enfant, des relations qui se délitent.

    Le héros de ce film est surtout le temps qui passe, dans une Chine à l’industrie déclinante prise dans la finance, avec une conclusion magnifique.

    Je n’ai pas vu le temps passer, le film est pourtant long. Il reste une saveur de nostalgie, relayée par la chanson récurrente en cantonais qui accompagnait le passage en l’an 2000 au départ.
    Poupée zoom
    Poupée zoom

    10 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2016
    De magnifiques images , film sensible , profond et juste , une comédienne incarnée.Une belle histoire de femme universelle.
    Cinemaniakmontreal
    Cinemaniakmontreal

    16 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2015
    Mountains may depart – Un cinéaste entre deux chaises – ♥♥♥

    Chine, fin 1999. Tao,est courtisée par ses deux amis d’enfance, Zang, propriétaire d’une station-service, et Lianzi, qui travaille dans une mine de charbon. Tao va devoir faire un choix qui scellera le reste de sa vie et de celle de son futur fils, sur un quart de siècle, entre une Chine en profonde mutation et l’Australie comme promesse d’une vie meilleure.
    Dès les premières scènes, on retrouve les mêmes thèmes que dans son dernier film, A touch of sin : la collision frontale entre tradition et modernité, la paupérisation ouvrière, l’avènement brutal de l’économie de marché et l’enrichissement obscène des capitalistes sans foi ni loi. Mais cela sera ici vu par l’angle d’un triangle amoureux entre Tao (jeune fille plein de vie), Zang (capitaliste en devenir) et Lianzi (le mineur).

    La première partie de son film est parfaitement maîtrisée, Jia Zhang-Ke joue en terrain connu et il excelle à filmer la transition économique et ses effets dans sa ville de naissance (Fenyang). Les mines, les quartiers ouvriers, les fêtes traditionnelles, les défilés ou les marges industrielles, tout prend sens sous la caméra du maître, qui arrive même à distiller des moments d’humour particulièrement piquants en ces temps-ci, comme après un accident de voiture, quand le propriétaire du véhicule, frimeur, rassure ses amis en leur lançant d’un air assuré: « Tout va bien ! On peut faire confiance à la technologie allemande! ».
    Changement d’époque, changement de lieu et dissémination de l’identité

    Puis de 1989, on passe à 2014, où l’on suivra la génération suivante, en Australie. On voit bien ce que le cinéaste veut traiter avec insistance: le déracinement, la perte de repères, la quête des origines, la rupture familiale. Tous sont des thèmes très lourds et qui mériteraient d’être développés. Mais on sent Jia Zhangke un peu empêtré dans une Australie qu’il ne connaît pas et dont il ne dit rien et dans un futur un peu hésitant et tragiquement nostalgique…

    Certes des scènes sont très tendues et réussies et encore une fois, drôles, comme la discussion père-fils sur la liberté, mais la transition entre les deux parties est trop abruptes et l’on a du mal à les lier et sur la forme et sur le fond et l’on regrette, nous aussi, les villes chinoises qu’il dépeint si originalement.
    RENEE D.
    RENEE D.

    11 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2016
    Ce film est une bonne surprise. Il nous attrape dès le début et ne nous lâche pas avec l'histoire d'une femme chinoise, de ses amours, de son fils. Le titre du film apparaît curieusement au milieu et on a peur que le film soit fini. Mais c'est une façon de lancer une autre période et on voit le fils qui vit en Australie. On découvre son caractère, sa vie de jeune nanti, ses conflits avec son père. Entre un nouveau personnage d'une chinoise plus âgée que lui et ensemble, ils semblent faire un voyage intérieur qui les mènera peut être à leurs sources, leur pays d'origine.
    Le tout est touchant, troublant et la meilleure partie est bien la fin, la quête d'un fils vers sa mère dont il a peu de souvenir mais qu'il pressent être la clé de son bonheur.
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