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    Green Room
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    3,1
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    177 critiques spectateurs

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    kleun
    kleun

    10 abonnés 664 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2016
    Un film qu'il faut absolument voir !
    Il est ultra stressant, un peu gore et totalement imprévisible. On est stressé du début jusqu'à la fin
    Cinemaniakmontreal
    Cinemaniakmontreal

    16 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mai 2016
    Avec Green Room, Jeremy Saulnier nous livre un survival enragé subtilement écrit et porté par un jeune casting talentueux. Le film confirme que le cinéaste américain est un auteur à suivre de très près. ♥♥♥♥♥

    Précédé par une excellente réputation suite à la projection du film dans de nombreux festivals spécialisés, Green Room était attendu de pied ferme par tous les fans de cinéma d’horreur. Et le film de Jeremy Saulnier ne déçoit pas et se révèle être un véritable électrochoc. Violent et subversif, le film se distingue par son écriture ciselée et sa galerie de personnages parfaitement caractérisés. Green Room porte également la patte d’un auteur qui, film après film, impose un cinéma personnel et réflexif loin de toute forme de standardisation.

    Si le film se caractérise par le style de Jeremy Saulnier notamment au niveau de son rythme et de l’attention qu’il porte à ses personnages, il est permis de distinguer quelques influences qui ont pu marquer le cinéaste. Green Room semble s’inscrire dans la droite lignée du cinéma de John Carpenter des années 70-80. Le lieu unique dans lequel se déroule l’action, l’alliance entre des personnages que tout oppose et la radicalité dans le traitement du sujet et de l’action renvoient par exemple à Assaut sur le Central 13, classique du survival urbain réalisé par Carpenter en 1976. On pourrait également citer Les Guerriers de la nuit de Walter Hill, autre survival urbain culte où l’on assistait là aussi à des affrontements entre bandes. Comme pour les films de ces deux cinéastes, Green Room met en scène des personnages imparfaits mais directement attachants quand ils se retrouvent dos au mur. Au niveau de la distribution, Patrick Stewart excelle dans un rôle à contre-emploi et les retrouvailles des deux jeunes talents Anton Yelchin et Imogen Poots cinq ans après Fright Night font des étincelles.

    Green Room est donc à ne manquer sans aucun prétexte et confirme que Jeremy Saulnier se place aisément aux côtés de Ben Wheatley et David Robert Mitchell comme les auteurs les plus singuliers et intéressants du cinéma d’horreur actuel.
    pitch22
    pitch22

    147 abonnés 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2016
    Ce survival en semi huit-clos part d'une situation relativement inattendue. En réalité, il s'agit plus d'un thriller qui se veut palpitant et le jeune réalisateur Jeremy Saulnier y est plutôt bien parvenu. La montée en adrénaline est très progressive. C'est tout de même stressant, prenant mais ni horrifique ni réellement angoissant. Là où le bât blesse, c'est que les effets spéciaux (les maquillages en particulier) sont à la ramasse: ça cloche spoiler: , les chiens ne font pas assez peur, le sang et tout a l'air fake
    ... quant au twist, c'est tellement gros qu'il nous amène directo en situation post-climaxique et on n'attend plus que la fin, qui s'achève péniblement et sans éclat. Le personnage de Gabe (Macon Blair) spoiler: , dont on fait un type manipulé,
    est peu crédible. Là où ça craint, c'est le choix de Patrick Stewart en facho pourri : même si c'est un rôle à contre-emploi, l'acteur est bien trop lié à son image dans Star Trek, X-Men et autres figures de «sage» et sa voix est trop connue pour nous faire oublier le regard qu'on porte sur lui. Bref, ça passe mal. Imogen Poots y est formidable, Anton Yelchin moyen (on perçoit la simulation) et Alia Shawkat écope d'un rôle mal exploité, complètement gâché. Pour les autres, la fadeur l'emporte. L'histoire est quand même complètement improbable et tirée par les cheveux. On a du mal à y croire à un tel scénario et la caricature est trop grosse (bande de skins nazis vs groupe punk) pour susciter un réel étonnement.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 mai 2016
    "nazi-punks fuk-off !" tout est dit dans ce classique des Dead Kennedy's et tout est dit dans Green Room. Rare sont les films qui prennent place dans la sub-culture white-trash-white noise. Rare sont les films violents ou la violence n'est pas esthétisée, mais maladroite, gauche, stupide déconnectée de la réalité. Ce qui la rend encore plus insoutenable car elle semble bien réelle, tout à fait possible et hautement inflammable. Jeremy Saulnier avait déjà réussi un excellent Blue ruin, plein de fausses pistes et d'indie-pop, là il met les mains dans la graisse et en sort un film affûté, un college-movie à base de doc-martens et de machettes
    Ricco92
    Ricco92

    178 abonnés 2 088 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2016
    Un film de suspense assez classique mais tout de même efficace. Cependant, Jeremy Saulnier n'arrive pas totalement à bien caractériser chaque personnage, ce qui fait qu'on arrive pas toujours à se rappeler quels sont les personnages encore en vie. De plus, on peut regretter que l'univers des punks nazis, peu utiliser au cinéma (ce qui s'explique par le fait que les néo-nazis sont peu nombreux aux Etats-Unis), ne soit pas plus développé (on n'est pas dans American history X mais ce thème aurait pu être plus traité. Ces petits points faibles font que Green room est un assez bon thriller mais n'est pas marquant.
    TchoSensei97
    TchoSensei97

    37 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2016
    Thriller efficace dans une atmosphère glauque et angoissante. C'est haletant et totalement prenant ! La survie y est réduit à un jeu de stratégie et de patience où, pour se concentrer, il est nécessaire de vaincre sa panique (que l'on ressent d'ailleurs parfaitement grâce à la construction des dialogues et aux performances d'acteurs). Mais comme c'est une question de vie ou de mort, le match est beaucoup intense qu'une simple partie de paintball. Qui survivra ? Et qui se fera surprendre par l'adversaire ? Le spectateur prendra plaisir à le découvrir, même si on est obligé de reconnaître que le camp des nazis ont atrocement mal joué. Le groupe punk a été avantagé grâce à quelques facilités de scénario.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    187 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2016
    Jeremy Saulnier avait bluffé son monde avec son premier film, "Blue Ruin" qui témoignait d'un sens de la mise en scène étonnant tout en traitant intelligemment du thème un peu rebattu de la violence comme fondement et mal de la société américaine. "Green Room" (à quand "Red Rain" ou "Yellow Rage" ?) joue exactement la même partition, avec la même remarquable virtuosité, mais cette fois dans le cadre plus convenu du film de genre - ici le survival movie. Et déçoit un peu, justement dans sa seconde partie, quand on réalise que les choix visuels et narratifs "intelligents" de Saulnier jouent finalement contre les règles du genre, en le privant de la brutalité et de la sauvagerie qui en ont constitué historiquement le meilleur. Un scénario paradoxalement trop complexe mais maladroit, une micro dose d'humour assez mal venue, et des acteurs pas très convaincants finissent d'empêcher le film d'être aussi réussi que son prédécesseur. Finalement, le meilleur et de loin, de "Green Room", c'est bien sa première partie, chronique élégante et hommage fraternel aux touchants galériens du punk rock, qui ravira tous ceux qui, comme moi, ont chevillé au corps le regret de l'époque des Dead Kennedys ou de Fugazi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Rien de très original dans le scénario, mais ce thriller est poisseux, glauque et très bien filmé. La réalisation est vraiment de qualité, on passe un bon moment et on sort un peu lessivé de la bonne tension vécue pendant tout le film.
    mik81
    mik81

    11 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2016
    Un film sous tension et sanguinolent qui commence comme un huis clos et enclenche le mode survival pour le dernier tiers Patrick Stewart, méconnaissable de sang froid et cruauté, réussit à faire oublier son rôle de gentil professeur X. Les jeunes acteurs sont toujours aussi doués ou juste bien choisis en bonne viande fraîche pour se faire trucider dans ce genre cinématographique dont les codes sont respectés. Quelques pointes d'humour noir agrémentent le tout, assorti d'une bonne bande son hard et punk. Une bonne surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mai 2016
    Une plongée dans le monde des nazis punks US; c'est glauque, violent et stressant, mais franchement jouissif! Si la trame des survival est toujours un peu convenue (hostel, etc), ici les réactions des protagonistes ne sont pas caricaturales, et c'est ce qui fait de ce film une réussite totale! On est en plein dedans, immersion et stress garanti!
    Yves G.
    Yves G.

    1 294 abonnés 3 296 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2016
    « Green Room » est un survival. En français, on dit « film de survie ». Mais en anglais, ça sonne nettement mieux, n’est-ce pas ?
    Qu’est-ce qu’un survival ? Un film dont les héros survivent. Quels héros ? Parfois seul (le héros de « Into the Wild » ou de « 127 heures »), souvent en groupe (« Delivrance », « Massacre à la tronçonneuse »). A quoi survivent-ils ? Aux éléments déchaînés (« Le Jour d’après »), à la fin du monde (« La Route »), à des zombies (« World War Z »), à des extra-terrestres (« Alien »)…

    Le survival est un genre hobbesien. Qui dépeint une situation anarchique, où la violence se déchaîne contre des victimes innocentes, abandonnées à elles-mêmes. Mais qui illustre la nécessité de re-construire un ordre sur des valeurs : le héros survivra à force de volonté et d’inventivité, le groupe se défendra en apprenant à coopérer. Le survival est aussi un genre genré : a priori plus fragiles, les filles y survivent mieux, soit que leur intelligence les préserve… soit que leur T-shirt mouillé constitue un argument impossible à sacrifier en cours de route.

    « Green Room » est donc un film de genre qui suit des règles bien connues : unité d’action (un groupe de punk rock lutte contre des skinheads), unité de lieu (l’action se déroule dans un rade miteux, au cœur d’une forêt menaçante), unité de temps (le film dure jusqu’à épuisement de ses personnages).

    Rien de nouveau sous le soleil – ou plutôt sous la pluie triste de l’Oregon. Entre les quatre sympathiques membres du groupe de punk et les skinheads aux lacets rouges s’engage une lutte à mort. Un huis clos oppressant et gore où tous les coups sont permis : poignard, gros calibre, pitbull…

    Trop convenu pour ne pas rapidement sombrer dans l’oubli ? Mais suffisamment original pour retenir l’attention ? Un peu les deux…
    Marvelll
    Marvelll

    81 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2016
    Après Blue Ruin, je n’avais pas spécialement envie de voir le nouveau travail de Jeremy Saulnier, mais je me suis laissé tenter. Au final, j’ai bien fait. Green Room étant un survival nerveux et efficace ayant été capable de me crisper avec une tension palpable. Le tout sans personnages au comportement incohérent. Pas forcément novateur dans son approche mais appliquant la recette du genre à la perfection. Comme on dit, c’est dans les vieux pots…
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 mai 2016
    Je n'ai qu'un mot après avoir vu ce film : dommage.
    Oui, dommage car le potentiel de ce film est énorme, le scénario est bien senti et les acteurs jouent bien.
    Malheureusement, il manque pour moi la "patte" réelle du réalisateur, j'ai eu vraiment l'impression d'une retenue, d'une frustration de sa part (ou un simple manque de moyens ?...) lors de la mise en scène.
    J'aurais, pour un film de ce genre, apprécié "plus de", oui, plus de folie, plus d'hémoglobine, plus d'adrénaline, plus d'angoisse, plus de suspense, plus de glauque, en un mot : de la PEUR !
    Une ambiance angoissante, telle que l'on aurait pu l'imaginer dans Green Room, est quasi-totalement absente du film, ne laissant que des prises de vues et instants d'action ultra-prévisibles, bref : ce film est désespérément plat, un plat sans saveur.
    Dommage....
    Guiciné
    Guiciné

    130 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2016
    Un film d'une efficacité redoutable, menée tambour battant et d'une violence rare, mais hélas j'ai mis un peu de temps à m'insérer au début pour que la sauce prenne réellement. Du bon boulot !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 mai 2016
    Un survival un peu mollasson qui a du mal à passionner en raison d'une mise en scène quelconque et de personnages auxquels on a du mal à s'attacher. Pas le choc qu'on nous avait vendu.
    Mention spéciale à Patrick Stewart, méconnaissable.
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