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    Ready Player One
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    1 682 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 mars 2018
    Une merveille, rythmée à souhait par une BO de fou, des images incroyables, Ready Player One ne vous laisse pas indifférent lorsque vous sortez de la salle. Qu'une envie, le revoir et chercher toutes les références que vous ne pourrez voir au premier visionnage
    missfanfan
    missfanfan

    74 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2018
    Bon autant le dire de suite je n'avais pas du tout prévu d'aller voir ce film je n'aime pas trop la science fiction
    mais l'histoire me tentait les critique presses excellentes et surtout c'est le dernier Spielberg .
    Bref je suis restée scotchée à mon siège pendant plus de 2 heure, rien à jeter les effets spéciaux sont époustouflants , la mise en scène grandiose et magique tout y est ce film est un vrai régal une réussite
    de A à Z de plus la version Française est de très bonne qualité vu dans ma salle de Cinéma préférée je recommande chaudement
    Vareche
    Vareche

    35 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 avril 2018
    Real Player one, c'est une oscillation permanente entre deux monde qui se découpent dans la seule filmographie de Steven Spielberg, le survival horror et son muséum de monstres (War of World, La list de Schindler, Duel, Les dents, Jurrasik park, Munich...) et le portrait de l'individu triomphant de la vieille morale conservatrice/dominante (AMistad, ET, The Panama Papers, The terminal, War Horse, Lincoln...). Ces deux rives n'offrent pas un pont très large aux passages d'idées neuves, alors Spielberg recycle les cartes qu'il a lui même distribué depuis si longtemps qu'on se pique devant l'épuisante litanie de refoulé que le réalisateur empile avec bien peu d'esprit. A force de mettre en scène des films magnifiquement écrits (ce n'est pas le cas de celui-ci), avec une pate d'Ours, on est en droit de comparer l'effort gigantesque et si apprent (qu'est ce qu'elle est spectaculaire Michael Bay ma poursuite en voiture!!) de ce Real Player One avec ces références. De WOrld Of Warcraft, à Final Fantasy en passant par Gon, DARRYL, ou Sword Art Online, que nous raconte ce curieux monsieur qui met en abîme un musée de la pop culture comme moteur de la psyché du vrai héro de son film, le geek blond qui fournissait des infos secrètes à Mulder dans X files (ou dans Indépendance Day) ? Et bien l'effet est triple. SPielberg pas fatigué de monumentaliser son Amérique et consorts (Panama Papers, Lincoln, Le Bon Gros ...) avait ce talent de faire surchaufffer le réel (les rapports familliaux de WoW, ET ou AI, mère hystérique je te hais, ou les scènes Dame du Vendredi d'Indianna Jones), se contente ici de le désactiver. Ici le réel ne représente rien, et là dès le début SPielberg rame pour croire à sa disotopie. Enjeux inexistants, rapports familiaux sacrifiés, et postiches d'adolescents révoltés jamais incarnés (ni peut être désirés). Prenez ET et l'identité très forte de ces jeunes héros et comparés les à ceux de celui-ci et on ne peut qu'être sidéré. Et à mesure que le réel est censé réapparaître, mollement, s'achemine les pires poncifs du cinéma de série B (sauver la princesse, se faire des potes révolutionnaires et benêts, punir le méchant et s'infilter chez lui, baiser la princesse (pas en groupe cette fois-ci), et regarder le Citizen Kane du film faire mystère de la réalité de sa disparition). Ainsi Naïvement deux héros se disputent le film sans jamais se contredire, puisqu'ils forment à peu près la même personne, il n'est pas fait mystère que ces deux être ne sont qu'un, et qu'il s'agit simplement de modifier le destin de l'un pour qu'il ne devienne pas l'autre, mais pourquoi ? Pour baiser la princesse voyons et gagner de la thune (mais pas trop) ! Les geeks, tonton Steven vous le dit de son imprenable Mur du Nord, le monde virtuel c'est cool mais James Bond riche c'est mieux qu'un Max Payne virtuel et maudit car à la fin tu tires ton coup. Cette morale formidable éclaire parfaitement les enjeux posés par l'infra monde qui est la (seule) pièce maîtresse du puzzle. Et là ça fait mal et c'est long, puisqu'on a le droit aux enigmes de Harry Potter, aux course poursuites d'Advent Children, à un remake caca pipi prout de Shining (cette oscillation entre déssaroi gêne -oulala Shining était donc un si grand film ???- et qu'est ce que fait mon voisin de salle en ce moment ? est pénible) et à des scènes de combats calqués sur FF12 ou Warcraft pimenté de guitare éléctrique. Pendant ce temps les gens réels qui incarnent ce combat d'avatars se battent dans la rue ou dans leur salle de bain ou en train de conduire, on pense aux nombres de mort que celà a du occasioner. L'articulation réel monde fantasmé est ici un gadget répétitif dont les enjeux ne sont ni claires ni cohérents (pourquoi les années 80/90 sont-elles si représentées, comme si le présent n'avait rien créer du passé que sa récupération, comme si l'imaginaire collectif était mort. Pourquoi sauver ce monde d'un entrepreneur pas très effrayant alors qu'il est déjà le monopole d'un steve job matiné de Mike Meyers plutôt effrayant ?), le récit pretexte recréer du ringard à la pelle, pire il permt à SPielberg d'en rajouter une couche (était-ce possible ?) dans le manièrisme mécanique, mal presque absolu d el'image de synthèsé qui imite le cinéma (et du cinéma qui imite le cinéma), devenu le mal du cinéma qui imite l'image de synthèse en la réintériorisant comme cinéma. Sacralisation de l'image dont le fond n'est qu'une autre image, elle même echo de l'image à laquelle elle est censée donnée sens, La subordination du monde physique par le monde numérique et les virtualités qu'elle concédent ne donnent lieu qu'à des scènes de vaudeville, ou chacun change de culotte et se cache dans celle du voisin. Désactivation, mais pas de réactivation. Real Player One aurait pu se terminer sur son pixel caché pour faire un peu le ménage et introduire son nouveau monde comme avènement du premier, où la vie ne se réinvente pas mais où elle se fait mystère. Il n'en est rien et au fond il n'en sera jamais ainsi, il faut eduquer les mauvaises ouailles à la bonne parole, et condamner ce monde à la loi et à la mémoire puisque l'éthique y est impossible. Le pragmatsime est un humanisme en somme. En Marche !!!
    Nekky Makko
    Nekky Makko

    19 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 avril 2018
    Ready Player One est vraiment de ces films qui vous entraînent et vous émerveillent, un must, une excellence, le film de 2018 tout court...
    L'histoire est immersive, les personnages attachants, l'intrigue est certes basique mais elle est vraiment captivante...
    Toutes les références plairont tant aux fans de mangas/animés que de pop culture :)
    Je le redis, clairement, LE film de 2018 et un des meilleurs films de Steven Spielberg à mes yeux!
    ianb
    ianb

    32 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2018
    Loin d'être le meilleur de SPIELBERG ce film à réussi son pari de m'évader.... Sans en dire trop, la bo je m'attendais à mieux comme rappels, mais celle de Alan Silverstri s'avère efficace, les références aux autres films que les quadras reconnaîtront pullulent de partout, au 1er comme au 2nd et 3eme plan, difficile de les repérer tous
    J'ai bien aimé et la 3D est sympa
    Vu en IMAX 3D
    dillinger75
    dillinger75

    9 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2018
    Spielberg est un grand observateur de notre monde mais aussi un grand enfant avec une imagination débordante. Et dans ce film il mêle nostalgie de la pop culture mais aussi les problèmes de société à venir (surpopulation, réalité virtuel, uberisation), c'est très subtile. Bravo monsieur Spielberg d'avoir visé aussi juste, la nostalgie ça fait du bien !
    Shelby72
    Shelby72

    2 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2018
    Rien que les 20 premieres minutes sont enormes !!!! J ai connus ca au ciné depuis tres longtemps !! J avais un peu peur du casting mais rien a en redire !! Felicitation a spelberg mon realisateur preferé depuis tt gamin qui m a encore transporté dans son univers !!! Merci
    Cc IIe X
    Cc IIe X

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2018
    Je n'ai que très rarement vu un film aussi risible. Un pur produit du cinéma américain et ce qui se fait de mieux en ce moment. Le scénario est vide avec des événements plus improbables les uns que les autres, un univers qui pourrait être sympa s'il ne décrédibilisait pas totalement le monde du jeu-vidéo. Les personnages, pour les "gentils" : Une bande de gogoles pseudo-anarchistes pas perspicaces pour un sou, qui se pensent exceptionnels parce que "gneugneu j'adore Shining, j'écoute du Joy Division et je sais provoquer un court-circuit". Quant aux méchants, pas besoin d'épiloguer dessus, même Dark Vador était plus crédible, c'est pour dire. Le seul point positif est l'aspect esthétique du film -et encore- avec de superbes images de synthèse .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 mars 2018
    Ce film est une orgie de culture pop (film, jeux-vidéo, musique et animation ext ) des année 80 & 90 sans oublié celle de 2000 à 2010. Un pure concentré d’Etoile dans les yeux et de palpitation d’un adulte qui retourne en enfance, on prend tout sa on le mets dans un mixer afin d’obtenir un roastbeef de filet de bœuf a la croute de sel et sa sauce de caviar au morille plus tous les plats qui vous fait saliver.
    Steven Spielberg a réussi a réaliser le rêve de goss ultime ou on rêve de voire les tortues ninja tarter la tronche du joker et bien d’autre. le scénar n’est pas en reste avec SS au manette ce dernier ne peux que être magnifiquement exécuter, d’un fluide sans faille du début a la fin.
    Un film qui va rentrer dans le Wall of fame du cinéma et la culture, le digne hérité de retour vers le futur, jurassic park, akira, strar wars et bien d’autres.
    Bref aller le voir il y a zéro excuse
    eleonora
    eleonora

    14 abonnés 313 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 avril 2018
    Comment douter des qualités de Steven Spielberg pour réussir un film distrayant ? Eh bien il n'en est rien , c'est ennuyeux au possible malgré un début prometteur avec la course de voitures. La migraine guette , tant les séquences virtuelles s'enchaînent à toute allure; ça ne donne pas envie de s'acheter un casque...La quête d'indices par le visionnage de scènes vidéos dignes d'un feuilleton télé où on voit le créateur du jeu James Halliday , n'a aucun intérêt. On assiste à une avalanche pesante de références cinéphiles et de jeux vidéo. Et l'histoire dans tout cela , elle est simpliste et sans surprise: trop peu de scènes dans la réalité de cette année 2045 et un happy end de rigueur.
    johnpowell
    johnpowell

    77 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2018
    Trop dans le Monde virtuel et pas assez dans le Monde réel...on dirai qu'il y a deux réalisateur, Spielberg pour le
    Monde réel et un autre pour le virtuel. Le
    Bon point est pour les musiques de Alan Silvestri ! Très belle partitions avec d'énorme clin d'œil à Retour Vers le Futur....dommage qu'il n'y en ai pas autant pour le film...à pars avoir une dolorean et de dire Marty macfly une fois....il n'y a pas bcp de clin d'œil. Les FX sont beau mais ils ont trop misé dessus alors qu'il aurai du peaufiner un peu plus le scénario...dessus par le Manque d'imagination niveau scénario et le manque de Réel ! Marre de la synthèse à Gogo !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mars 2018
    C'est un grand mélange indigeste de références aux grands classiques des jeux vidéos et du cinéma. Les décors, les costumes et les effets spéciaux sont laids. On a à faire au côté simplet de Spielberg qui fait dans la caricature racoleuse pour plaire au plus grand nombre : une intrigue inintéressante, des adolescents prépubaires sans charisme en guise de héros qui vont sauver le monde, un guru autiste stupide en guise de dieu et un message des plus simplistes et politiquement correct (vivez votre vraie vie au lieu de jouer aux jeux vidéos). Je ne suis même pas sûr que les geeks et amateurs de pop culture y trouveront un quelconque intérêt.
    Prenez le message du film au pied de la lettre : allez prendre l'air au lieu de vous enfermer dans une salle sombre en regardant ce nanar.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    666 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 octobre 2018
    Steven Spielberg est vraiment un réalisateur de génie et il le prouve une fois de plus avec ce film de science-fiction qui est amener à devenir très rapidement un classique du genre. L'histoire est particulièrement prenante à suivre, les effets spéciaux d'une grande modernité en mettent plein les yeux et la mise en scène de Spielberg est virtuose surtout en ce qui concerne les excellentes scènes d'actions. A noter que ce long-métrage possède de nombreux clins d'œil à des classiques du cinéma, comme le prouve notamment les présences du T-Rex de "Jurassic Park", du Robot du "Géant de Fer", du gorille de "King Kong", de la DeLorean de "Retour vers le futur" ou encore toute la partie qui concerne le fameux "Shining" de Stanley Kubrick. Une oeuvre d'une grande richesse visuelle et scénaristique que l'on prend un grand plaisir à visionner.
    Sildenafil
    Sildenafil

    63 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2018
    Un gentil geek fan de culture pop essaie de sauver le virtuel des griffes d’un méchant patron de multinationale, le tout dans une ambiance teenage movie poussé à l'extrême qui ferait passer Hunger Games pour un film d'auteur cannois. Dès le début du film, le ton est donné, la voix off annonce "moi, c'est Wane, et lui, là, c'est H, mon meilleur ami, etc". On pensait pourtant avoir tirer la chasse plusieurs fois pour ne plus avoir droit à ce genre de clichés fétides. Il faut croire que Spielberg a le bras assez long pour remonter des étrons directement de la fosse septique. Et malheureusement le film n'en est qu'une accumulation. Deux scènes sortent cependant (légèrement) du lot : King Kong et Shining. À 0,5 chacune, ça nous fait 1 sur 5.
    Florian Malnoe
    Florian Malnoe

    103 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 avril 2020
    Le premier terme qui me vient à l'esprit au moment de définir ce "Ready Player One" c'est ampoulé. J'ai trouvé ça tellement surfait que je ne suis jamais parvenu à m'immerger dans ce film. On a droit à d'innombrables poncifs notoires du JV et au jargon vidéoludique qui va bien histoire de bien nous rappeler ce à quoi c'est censé faire hommage mais au final ça dessert plus ce média qu'autre chose au niveau de l'image qui en est retiré. J'aurais apprécié un tantinet de maturité mais bon faut plus trop en attendre de notre chère Steevy je crois. "PAN ! PAN ! BOUM ! BOUM !", voilà comment ça essentialise les jeux vidéo, un art qui ne doit jamais rien faire d'intelligent ni de réfléchi peut-être... Sérieusement, quand on y connait rien dans un domaine je crois bien qu'il faille s'abstenir. Des clins-d'oeils et autres références ad nauseam, une trame de fond insignifiante au possible, des personnages creux, un background niveau zéro… Non, pour moi ça ne marche pas quand on force le trait à ce point là. De la subtilité et de la profondeur est-ce trop demander aussi ? Là ça atteint un stade de complaisance record je crois. Tellement complaisant que ce film devient une caricature de lui-même. Je ne qualifierait même pas ça de bon fast-food tant je n'ai rien retenu au niveau de l'idée et de la mise en scène si ce n'est toute la séquence "Shining" qui a bien suscité mon intérêt. Le pire c'est que ça se veut au final plus premier degré qu'il n'y parait. Le numérique se prête bien au propos mais au niveau des combats les changements de plan toutes les 3 secondes c'est encore non ! Laissez nous le temps de bien nous imprégner des scènes non de dieu ! On dirait avoir affaire à un gigantesque prétexte à placements de produits superficiel. Et puis parlons de la morale de fin : "la vraie vie c'est finalement mieux que le virtuel" Waaw ! Mais c'est ultra-profond ça dites-moi... C'est du Spielberg qui n'a rien à dire et qui ne maitrise même pas son sujet, voilà comment je conclurais la critique de cet exercice de style bête et simpliste.
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