Avis : The Predator - Page 2

Ennuyeux, sans intérêt, avec force blagues de beaufs en supplément. Et pourtant je suis un aficionado du Predator originel et j'avais même réussi à trouver un certain plaisir coupable au pourtant peu glorieux AVP...A éviter.

Ce Predator là est relativement moyen dans l'ensemble.
Rien de bien nouveau, c'est du vu et revu.
Ce n'est pas désagréable à regarder cela dit.
spoiler: J'ai largement préféré "Venom" qui se classe bien au-dessus.

Je pense sincèrement que le scénario du film a dû être écrit rapidement sur un coin de bureau en 30 minutes, je ne vois pas comment il en est possible autrement !
Beaucoup de choses ne vont pas dans ce nouvel épisode des aventures de cet alien prédateur venu sur Terre nous combattre en mode sportif : la biologiste maladroite qui devient à la fin une vraie guerrière, l'enfant autiste geek de 12 ans plus intelligent que le meilleur ingénieur de la NASA, les chiens de l'espace ridicules, l'équipe militaire de bras cassés complètement loufoque et j'en passe...
A la limite, nous sommes plutôt en face d'une comédie d'action sanguinolente mal fichue avec deux ou trois effets spéciaux corrects... Vraiment léger !
Qu'elle est loin la puissance dégagée par le major Dutch (Arnold Schwarzenegger) en 1987 !
A fuir.
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Je m'attendais à une nouvelle franchise et je suis tombé sur un navet de série B. Je me suis ennuyé du début à la fin. Le casting vole pas trés haut et les dialogues sont chiants. spoiler: On suit un mercenaire du début à la fin avec un prédator qui débarque sur terre traqué par un autre super prédator pour avoir volé un vaisseau.
Rien de surprenant, rien d'innovant et vu son résultat au box office je suis pas surpris car il en vaut pas la peine. Si vous l'avez pas vu y'a aucune perte. L'original est meilleur.

Comment massacrer une légende en quelques minutes, voyez ici :
spoiler: 1°) Le Predator (ou ses clebs) intuable(s) par balle(s) (sont-ce des paintball?). 2°) Malgré que les flingues ne servent à rien, ils tirent tout le film et ce, de front, sans se déplacer ou quoique ce soit -_- (Ça me fait penser au psycho en chemise de contention se tapant la tête contre le mur inlassablement) 3°) La scientifique qui vient de nulle part et on ne sait quelle est son importance dans l'histoire, se transforme en rambo girl en 45 secondes top chrono. 4°) Le Predator qui se ballade au sol en forêt en ne bougeant pas face aux tirs 5°) Le "super" Predator entièrement (mal) fait numériquement, bidon 6°) Le gosse qui devine tout en un clin d’œil ...

Bref, tout est mauvais jusqu'à la musique pour ascenseur (hormis les passages connus depuis 30 ans).
Des millions ont été dépensés pour ça... SHAME ! (comme disait l'autre)
Je vais tenter d'oublier ce cauchemar dorénavant et méditer comment je peux devenir réalisateur/scénariste vu qu'il n'y en plus outre-mer...

« Predator » est une licence culte du cinéma de science-fiction américain. Il y eu deux films, deux cross-overs marrants mais idiots avec la saga « Alien » et un mélange de remake/reboot/suite il y a sept ans avec Adrian Brody (« Predators ») efficace mais anonyme. Bref, la saga n’était pas au meilleur de sa forme quand Shane Black, acteur du premier, décida de mettre en chantier une suite aux deux premiers épisodes. Un réalisateur rare mais apprécié avec une promesse de classement R et un renouvellement en forme d’hommage à la série. Malheureusement, soit on n’attendait pas un tel résultat, soit la production houleuse a fait perdre l’essence de ce que devait être ce « The Predator », mais le produit fini est quelque peu en deça des attentes énormes placées en lui. La mythologie du personnage part dans tous les sens, le scénario est plein de trous et n’est pas la qualité première du film et on a l’impression parfois d’être dans une parodie du genre.

Mais, et c’est le plus étonnant, hormis les vingt premières minutes catastrophiques entre un prologue illisible et un scénario à la détente très laborieuse, c’est plaisant, drôle et jouissif comme une bonne série B du samedi soir. A 100 M$ certes, mais plaisante quand même ! « The Predator » prend véritablement son envol quand les différents groupes en place se rejoignent et finit par devenir, certainement involontairement, plus réussi que la précédente version, trop sérieuse et pas assez mal polie. Car ici ce qui frappe, c’est vraiment le côté ma élevé et décomplexé qu’on retrouve dans le gore et l’humour. Et ce n’est pas si souvent dans ce genre de blockbuster (on pense aux « Deadpool » pour la tonalité qui mélange les deux) que l’on peut voir des éviscérations, décapitations ou encore des personnages empalés en gros plans assortis de dialogues où la vulgarité le dispute aux bons mots qui claquent et font rire. Cette violence est tout à fait justifiée et bien mise en scène tandis que les répliques et l’humour font la plupart du temps mouche. Une liberté de ton qui détonne dans le paysage formaté des grosses productions américaines et ça fait un bien fou, on était plus habitué. On a l’impression de retrouver un bon serial des années 80/90 dont ce « Predator » semble parfois se faire l’écho.

Mais tout n’est pas parfait non plus, il faut donc modérer tout de même cette bonne surprise. Les personnages sont presque tous bêtes, méchants, vulgaires ou originaux, ce qui est assez cool mais leur psychologie est très sommaire, proche du néant, quand bien même leur comportement est jouissif. Les scènes d’action sont bien mises en boîte et les mises à mort sont vraiment la valeur ajoutée du film, fidèles à l’original, mais le montage et des effets spéciaux numériques parfois un peu cheap en atténuent la portée. En revanche, rien à redire sur les excellents maquillages de la créature et des scènes gores. Enfin, le côté frisson est quant à lui totalement absent ce qui risque de faire crier au scandale les puristes. Le fan service est cependant assuré et les scènes aberrantes et imprévisibles (dans le bon sens du terme) se succèdent à bonne cadence. On sent les problèmes de production (plein d’idées sur le monde des Prédateurs reste en suspens) mais le côté mal élevé l’emporte haut la main. Il faut prendre tout cela au second degré (les chiens extraterrestres par exemple) et ça se transforme en bon gros plaisir coupable qui fait du bien si on est d’humeur. Mais sans être sûr que c’était réellement le but de la production, des scénaristes et du réalisateur.

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Les prédateurs sont de retour sur Terre. Venus d'une autre galaxie grâce à leur technologie de pointe, dotés d'une force prodigieuse et d'un instinct meurtrier, ils semblent n'avoir pour seul but que de faire de l'humanité leur proie.
Sur leur route se dressent deux hommes : un sniper coriace et son fils autiste et surdoué.

La série continue. Après "Predator" (1987), "Predator 2" (1990) et "Predators" (2010), voici "The Predator", en attendant peut-être "A Predator" ou "Predator !" ou "Predator.com".

Le film de Shane Black est un naufrage quasi-complet, en dépit (ou à cause ?) de son budget de 88 millions de dollars. Tout y est frelaté. Le scénario qui démarre au ralenti, ne décolle jamais et s'achève mollement. Si les acteurs - dont la seule qualité est d'avoir fait du mannequinat avant de passer derrière la caméra - sont agréables à regarder, cela ne garantit pas qu'ils sachent jouer. Quant au gamin autiste et surdoué, caché derrière ses cheveux mal coupés, il mériterait l'Oscar intergalactique du môme le plus caricatural.

Seul élément qui rachète de justesse ce film dispensable : la bande de frappadingues qui accompagnent les héros dans leur résistance à l'envahisseur et leurs dialogues déjantés qui entraînent tout d'un coup "The Predator" hors des sentiers battus.

Le côté positif avec ce film c'est que l'on ne passe pas un mauvais moments du tout, au contraire on rigole et on s'amuse tellement le ridicule et le cliché sont à leur paroxysme.
Si on analyse un peu, on peut avouer que d'une part la réalisation est vraiment impersonnelle; le scénario relève plus d'une farce qu'autre chose; les acteurs se demandent ce qu'ils font dans cette affaire et l'humour ne fonctionne pas toujours...
Le film est une sorte de nanard décomplexé qui sur le moment fait sourire, mais qui sera oublié le lendemain.

Quelle honte, Shane Black arrive à prostituer une icône vieille de 30 ans en pondant un navet infâme ou rien n'a de goût. Le script nullissime rend l'entreprise caduque des les 10 premières minutes, et pourtant il y a quelques bonnes idées, mais qui s'évanouissent bien vite devant cette montagne d'amateurisme et cette absence de direction artistique... Shane Black tu sors.

Il y a pas un acteur qui tient la route. Shane Black se mélange les pinceaux et s'embourbe dans une histoire familiale poursuivi par un Predator et 1 super Predator et des chiens Predator ! C'est n'importe quoi ! Certains clichés aux 2 premiers enfoncent des portes ouvertes et en sont grotesques... Grand fan des 2 premiers, j'étais enthousiaste quant à la prise en main par Shane B de ce nouvel opus (ancien acteur et scénariste du premier, chef d'œuvre de la sf ) c'était rassurant... C'était.....

Mais que McTiernan doit être triste de voir son personnage se délabrer dans cette suite infâme. JE suis bien triste de voir un tel gâchis. Shane Black qui a joué dans le 1er Predator, film cultissime à jamais, n'a rien compris au cinéma : que des clichés, des dialogues débiles, des acteurs incompétents, un scénario affligeant sur la venue d'un Predator qui cherche à aider l'humanité et qui se fait pourchasser par un autre Predator encore plus balèze. Évidemment, il va y avoir un soldat et un ado (oui fallait y penser) encore plus fort que toutes les bestioles réunis.
Bref : un film à oublier à jamais.

Que dire...? Très très déçu de ce film, je m'attendais à du grand exploit cinématographique surtout quand on est amoureux de cette "série" depuis Alien vs Predator. Depuis les derniers opus je note que je ne suis plus en concordance avec ce que j'aimais des précédents films.
The Predator est mou, sans aucune véritable action, dépourvu de sens, dépourvu de véritable histoire, dépourvu de rebondissement. Il n'y a ni suspens, ni moments drôles, ni moments de surprises et encore moins de temps où nous sommes éblouis par certaines scènes. Certaines scènes sont ultra "futuristes" et on nous amène ça comme un cheveux sur la soupe, additionnés de mauvais graphismes et de jeux d'acteurs vraiment moyens. J'ai pu échanger à la sortie de la salle avec d'autres spectateurs, tous ont été déçus même s'ils avouent qu'il y a de beaux paysages dans le film (ce qui est vrai partiellement). Honnêtement j'ai perdu mon temps.
Il s'agit ici de ma première critique laissé sur ce site, j'aurai aimé une première expérience positive!

Un film qui démarrait bien, avant de subitement sombrer entre médiocrité, changement de registre et montage discutable.

Fan du premier Predator, et selon moi, le meilleur donc unique, je me suis retrouvé avec cette "chose" qui aurait pu être drôle, si elle avait versé dans le nanar jouissif ....même pas. C'est un produit bien actuel, sorte de cocktail bien appliqué ou des scènes se succèdent sans logique ni fluidité. Aucun suspense, aucune empathie pour des personnages insupportables de clichés , stéréotypes en tous genres.
Je lance donc un appel: pour ceux qui ont eu la chance d’éviter cette bouse, voulant préserver dans leur esprit la virginale émotion du premier, surtout ne changez rien! Et si un hasard malheureux vous fait vous retrouver devant un rayon de grande surface affichant ce DVD en promo, évitez le comme la peste! Pour les autres qui comme moi, ont mis un pied dans la crotte et rentrant chez eux n'ont plus qu'un seul choix gratter la semelle et laver à grande eau: hé bien tâchez d'oublier cet "accident de parcours" qu'est ce " The Predator", ce qui je pense, ne va pas être trop dur quand même!

Quelle déception !!! Déjà, la bande-annonce donnait un bon indice sur la qualité de ce "film", et, malheureusement, il n'y a pas eu la moindre bonne surprise. Au bout de 15 minutes, j'ai senti que ça allait être difficile d'aller au bout de ce navet : le scénario est affligeant, les acteurs totalement perdus dans une suite de scènes toujours aussi plus absurdes les unes que les autres. Autant j'avais adoré le 1er opus, autant les 2 suivants ont été à des années lumière de pouvoir jouer crédiblement la comparaison. A voir uniquement si on a du temps à perdre ... ou après une soirée alcoolisée ;)