Avis : Le Retour de Chucky - Page 3

Moins réussi que son prédécesseur, ce septième opus de la saga souffre d'un scénario très brouillon et d'une mise en scène qui manque clairement de rythme. Reste que "Le retour de Chucky" n'est pas non plus totalement raté comme le prouve ses quelques bonnes séquences gores, la très bonne performance de Fiona Dourif et aussi le fait que l'on retrouve la quasi intégralité des personnages principaux de la saga, ce qui était en soit un choix scénaristique plutôt pertinent et audacieux.

Destiné avant tout aux fans, Le Retour De Chucky réunit tous les ingrédients qui ont fait le succès de la franchise depuis près de trente ans de ses acteurs cultes aux effets spéciaux à l’ancienne privilégiant l’animatronique aux effets digitaux sans oublier des scènes gores à souhait déconseillées aux âmes sensibles. Le film réserve aussi des surprises dans son scénario plein de pirouettes plus ou moins bien amenées qui risquent en tout cas de diviser les fans mais laissent de nouvelles opportunités pour une suite que l’on attend déjà avec impatience. [lire la critique complète sur Freakin' Geek.com]

Pour commencer, j'adore la série de film de Chucky et j'avais moins apprécié que sa tourne au vinaigre avec la fiancé et le fils (d'ailleurs où est il passé?) de Chucky.
J'avais beaucoup aimé La malédiction de Chucky (2013) qui retournait aux sources soit épouvante/thriller.

Cette suite reste sur la même longueur d'onde que ce dernier et heureusement. L'histoire prends un tout autre tournant, j'ai été assez surpris, le scénario part un peu en cacahuète.

Mise à part sa, le film est bien réalisé et si vous avez aimé les précédents volets vous prendrez plaisir à regarder celui ci aussi.

La fin laisse présager une suite, j'espère qu'ils mettront les moyens pour sortir une suite de folie ! J'aimerais voir Chucky être aussi populaire qu'Annabelle !

À quoi bon l’esthétisation outrancière à grand renfort de split screens, de demi-bonnettes, de plans désaxés, de décors minimalistes, si elle ne se subordonne pas à une mise en scène ? si sa seule finalité est d’occuper le spectateur entre deux scènes de boucherie ? Avec ce Retour – et déjà avec La Malédiction, le précédent volet –, Chucky cesse d’être une saga horrifique teintée de comique pour tomber dans le grand-guignolesque sordide qui investit le cinéma comme un support marketing écoulé directement en vidéo. L’épouvante n’est pas pensée, le suspense n’est pas travaillé, les acteurs ne sont pas dirigés, si bien que nous assistons à une succession d’images choc composées uniquement pour nous faire réagir et sursauter, pour nous écœurer. Le film de Don Mancini est l’incarnation de cette société de la réaction dans laquelle nous vivons aujourd’hui, une société des émotions faciles et exagérées qui révèlent, en creux, l’artificialité des relations humaines : les personnages se débattent telles des poupées, et ainsi privés de profondeur, ils n’ont aucun mal à rompre avec leur caractérisation initiale pour renaître, muter, se transformer à l’infini suivant une logique du caméléon qui nie aussitôt leur intériorité. Un sourire menaçant, une paire d’yeux écarquillés, le tour est joué. Le making-of confirme la chose : acteurs et techniciens annoncent devant la caméra le meurtre qu’ils préfèrent. C’est du chic pour du choc, de la dégueulasserie sans art, un reflet aseptisé de cinéma. Tom Holland, le cinéaste et réalisateur de Jeu d’Enfant, semble bien loin…

Scénariste sur tous les volets de la franchise dont il en est le créateur, Don Mancini passe derrière la caméra pour la troisième fois après "Seed of Chucky" et "Curse of Chucky" donc il s'occupe lui-même de la suite du film sorti il y a maintenant quatre ans. "Cult of Chucky" se déroule des années après le précédent film, mais on retrouve les mêmes personnages comme Nica ou encore Andy qui a un rôle plus important, mais pas forcément majeur après avoir simplement fait un caméo remarqué dans le dernier. Aucune prise de risque pour le réalisateur qui met en scène un nouveau huis clos très classique qui ne surprend jamais. On retrouve les ficelles habituelles avec Chucky qui prend un malin plaisir à torturer physiquement et mentalement des personnes qui ici sont instables sur le plan psychologique. Il y n'ya que vers la fin qu'il y a un élément nouveau, une capacité, mais je n'en suis pas sûr, car je n'ai pas de souvenirs précis de tous les précédents films donc ça a déjà pu arriver. Il y a également quelques clins d'œil à la franchise et des retours. Le plus plaisant dans le film reste l'humour, l'aspect sadique de Chucky et les meurtres qui sont pour la plupart réussis et bien sanglants même si quelques effets numériques viennent parfois en gâcher d'autres. En somme, un film classique et suffisant, mais qui est quand même sympathique et divertissant.

on commence à ne plus savoir quel épisode vient avant ou après, 1 fois que l on a vu les 3 premier opus après les autres ayant majoritairement eu DTV, . Ici, où chucky refait une apparition de façon bizarre comme à l accoutumé. Celui ci se montre plus soft. Côté mise en scène, rythme et démonstration moins 2nd degré où on apprécié l approche du meurtre et de la façon dont chucky le faisait... La c est un petit mix mais en même temps redondant et sans surprise alors que pour son retour, le summum aurait dû être de mise. Il fait partie des épisodes qui m ont le plus déçu..Le style si je puis dire sur le fond se différe... Un épisode de plus qui décevra plus (ce qui est le cas depuis plusieurs opus vu en DTtV ou l on était déjà pas dans le début de la saga même si le 2nd degré était parfois sympatique. La cela ne suit pas et manque cruellement un je ne sais quoi... Sans parler de la fin du film qui pourrait être le moment où quelque chose se trame. Mais la cela reste ouvert et donc on ' est pas à l abri d 1 8eme opus... Le plus tard sera le mieux**

Septième volet de la franchise, une nouvelle fois écrit et réalisé par Don Mancini, Le Retour De Chucky ne parvient pas à faire redécoller la franchise en s'approchant du sixième volet en terme de qualité, autrement dit, en étant pas terrible à l'image de son prédécesseur. L'histoire se déroule quatre années après les derniers événements, et nous fait suivre Nica, qui se retrouve enfermée dans un asile psychiatrique après avoir été condamnée à tort pour le meurtre des membres de sa famille. Quand une nouvelle poupée Brave Gars fait son apparition dans un but thérapeutique, une série de meurtres se produit aussitôt. Andy Barclay est alors le seul à pouvoir venir en aide à la jeune femme afin de vaincre son meilleur ami pour la vie une bonne fois pour toute. Ce scénario nous embarque pendant une heure et demie, dans une intrigue malheureusement peu emballante. La faute en grande partie à une ambiance ni effrayante, ni drôle, même si elle s'améliore légèrement dans sa dernière partie. L'autre problème majeur se trouve dans le récit bancal avec sa poupée qui se démultiplie sans cohérence. De plus, le retour d'Andy est raté, son personnage étant mal exploité. Résultat, aucune scène n'est marquante, pas même les mises à mort qui sont gores mais peu originales. Difficile également de s'attacher à ces personnages sans charisme et très clichés, ne servant pas à grand chose. Ils sont interprétés par des acteurs pas vraiment convaincants entre Fiona Dourif, Alex Vincent, Jennifer Tilly, Michael Therriault, Zak Santiago, Grace Lynn Kung, Elisabeth Rosen ou encore Adam Hurtig. Ce ne sont clairement pas ces visages servants de faire-valoir qui vont voler la vedette à la poupée rousse. En conséquence, les relations entretenues par tous ces patients sont creuses, la faute également à des dialogues peu inspirés. Même les remarques acerbes sortant de la bouche de Chucky ne parviennent pas à amuser et marquer les esprits. Sur la forme, l'ensemble n'est pas très bien réalisé par le créateur de la saga. La mise en scène de Don Mancini déçoit et est même coupable de quelques fautes de goût dans ses effets. Il en va de même pour les animatroniques et les effets spéciaux beaucoup moins réussis et crédibles que chez ses nombreux prédécesseurs. Même le lieu ou se déroule l'action ne fonctionne pas. Pourtant, l'idée de base est bonne, mais ce gigantesque bâtiment inquiétant parait étrangement vide et mal exploité. Ce visuel à l'allure clinique est accompagné par une b.o. signée Joseph LoDuca trop peu présente et en grande partie responsable du manque d'atmosphère par son absence. Cette thérapie de groupe s'achève sur une fin insatisfaisante, suivi d'une scène post-générique au goût de réchauffée qui n'apporte rien, hormis vouloir faire plaisir aux fans de la licence. En conclusion, Le Retour De Chucky s'avère perdant tant il n'apporte rien de plus à son univers.

Après un sixième épisode jouissif, rien à retenir de ce nouvel épisode qui passe son temps à nous rappeler ses vieux fais d 'arme au lieu d'en inventer des nouveaux. On s'ennuie vraiment malgré le bonheur de retrouver la poupée...
Dégouté en fait...

Même si notre ami pour vie Chucky est toujours aussi drôle, cruel, moche et démoniaque ce nouvel opus pourtant réalisé par Don Mancini, créateur de la saga, est une déception totale. Le scenar m'a plongé dans une torpeur similaire à une overdose d'anxiolytiques, les meurtres sont extrêmement peu inventifs et aucun personnage ne génére un quart de poil de début d'empathie. Nul ! 1 / 5

Chucky est un personnage attachant! Une icône à la rage fèroce qui a survècu trente ans! Soit vous le dètestez, soit il vous fait rire, soit il vous fiche la trouille! il ètait donc normal que cette sacrèe personnalitè enfermèe dans un petit corps signe son retour! Malheureusement, "Cult of Chucky" s'avère abracadabrantesque et finalement dècevant! On imagine le gros travail mental d'avoir plusieurs Chucky sur le plateau car on ne peut pas faire un film de marionnettes sans tout prèvoir plan par plan! Les fans s'attendent à voir plein de têtes connues dans ce septième volet! C'est amusant de faire revenir par exemple Tiffany car les aficionados du genre la connaissent comme une poupèe vengeresse avec cet esprit qui hantent Jennifer Tilly! Beaucoup moins quand Chucky passe par tous les corps avec un metteur en scène qui abuse de split screens et d'incohèrences! C'est vraiment regrettable car l'asile psychiatrique ètait le dècor parfait pour une nouvelle mouture de Chucky avec une esthètique moderne et minimaliste! Dèsaturer la couleur en faisant ressortir le sang ètait aussi une excellente idèe...

Après un sixième film sympathique mais qui manquait de piment, Don Mancini dynamite à nouveau son personnage de Chucky en lui offrant un septième opus sacrément inventif. Accusée du meurtre de toute sa famille, Nica Pierce séjourne dans un hôpital psychiatrique tandis que Andy Barclay, désormais adulte, ne s'est toujours pas remis de sa rencontre avec la poupée. Celle-ci, plus vivante que jamais, décide de venir hanter Nica dans son asile et semble désormais posséder de nouvelles capacités. Difficile de résister au charme brut de Chucky, poupée féroce doublée par le génial Brad Dourif qui s'offre ici une septième aventure témoignant de l'inventivité constante de Mancini, l'homme n'aimant pas se reposer sur ses acquis, orientant la saga vers de nouveaux territoires à quasiment chaque nouveau film. Celui-ci marque par ses partis pris esthétiques (mise en scène froide et épurée) et ses audaces narratives, parfois à la limite de l'absurde mais souvent sacrément réjouissantes. Se réinventant à travers son personnage, ce "Retour de Chucky" se montre audacieux et pourrait laisser augurer une suite bien alléchante. Dommage qu'un reboot soit prévu, ça risquerait fort de nuire à l'inventivité d'une saga d'horreur maniant le second degré et l'humour noir comme personne !

Je m'attendais tellement à un navet à deux balles qu'en fait je trouve cette suite pas si mal, surtout vu comment la promo a été passé sous silence et où les quelques infos ne paraissaient pas sérieuses pour un sou, j'ai vraiment lancé le film comme ça, en en ayant un peu rien à foutre. Pourtant j'aime beaucoup le personnage de Chucky mais vu comment le cinéma d'horreur navigue dans le mauvais sens c'était relativement perdu d'avance, même si le précédent opus sorti il y a déjà 4 ans n'avait rien d'infamant, quoi qu'assez bordélique, là franchement ça puait l'ennui à plein nez...
Sauf que non, enfin au niveau d'un DTV, l'intrigue n'invente pas grand chose mais l'univers psychiatrique ouvert à la schizophrénie réussi à instaurer un climat à la fois nauséeux, clinique et suspicieux, à de nombreux moments je restais sur mes gardes vis à vis d'un possible twist à venir, là où la folie a clairement sa place, au point où tout serait possible. D'ailleurs je trouve que la réalisation montre quelques sympathiques fulgurances, même si globalement Mancini ne va pas aussi loin qu'il devrait aller, parce que l'identité Chucky, enfin ce qu'elle est devenue au fil des années, c'est du fun, du gore, du glauque, de la tension, et ici le contrat est certes rempli correctement mais ça reste timide. La dernière demi heure promet tellement un joyeux bordel qu'on reste sur notre faim, en plus de certains détails qui me chiffonnent, comme si Mancini avait limite balancé le script en l'air. Parce que mine de rien certains éléments restent en suspens alors que d'autres résonnent comme un conclusion (où on boucle la boucle), pour le coup c'est décevant, mais étrangement surprenant d'un sens, car de mémoire on n'a jamais vu ça dans la saga.
Sinon j'ai trouvé Fiona Dourif vraiment excellente, allant même jusqu'à rendre le dernier acte crédible alors qu'il avait tout pour être profondément ridicule, comme réellement possédée par son paternel. Et je trouve aussi le personnage de Andy plutôt mal utilisé dans la deuxième partie du film, alors que le voir dialoguer avec la tête torturée de Chucky dans une sorte de fil rouge était vachement cool, encore une fois le décalage ne va pas au bout malgré le matos et les idées de bases.
Bref un DTV qui passe le contrôle technique, circulez.

Un énième film sur la poupée, qui s'enfonce encore plus dans le ridicule et qui perd tout son charme. Ce dernier opus est mauvais, au niveau scénaristique et au niveau des effets, rien ne sauve cette malheureuse suite.

Don mancini continue à faire vivre la poupée culte chucky.
Mais hélas on continue dans le très médiocre.
Pas étonnant de ne plus voir poupée au grand écran au vu de la qualité des dernières réalisation.

Franchement j'avais vu aucun des autres Chucky et je dois avouer que celui là m'a bien fait marrer. J'arrête pas de voir des films d'horreur à ch... depuis quelques temps et c'est l'un des meilleurs (pour vous dire le niveau des autres) que j'ai vu ces derniers mois. Le film met une plombe à démarrer et est rempli d'incohérences ( spoiler: 3 membres de personnel et 6 patients dans un HP d'apparence immense
pour ne citer que ça..). C'est mal joué, ça fait pas peur, le scenario, la mise en scène... tout est bidon, mais ça se regarde sans prise de tête puisque le parti pris du film est d'être du n'importe quoi. A voir une fois ;)