AlloCiné
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Votre avis sur Connasse, Princesse des coeurs ?
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J'abandonne. Ce film rediffusé sur Netflix n'est non seulement pas drole mais en plus ennuyeux, lourd.
Pas de scenario qui tient la route.
Pas de scenario qui tient la route.
Camille Cotin a de la répartie (même si on imagine les répliques préparées à l'avance) mais cela ne suffit pas à tenir 1H20 d'autant qu'à l'heure de Tiktok et Snapchat le principe de caméra cachée semble bien fade et désuet.
On rit, on hallucine, on est gêné (souvent) ! Ce n'est pas le film du siècle mais il se laisse regarder jusqu'à la fin.
C’est très sympa mais ça aurait pu être mieux si c’était pas gênant. Et Camille Cottin porte complètement le film.
J'ai regardé ce film par curiosité. Je n'attendais rien donc je ne peux être déçu par contre ne pas être convaincu ça oui. Pas fan, sketch répétitifs et manquant de rythme, on tourne un peu en rond, me suis vite lassée. Je salue toute de même l'audace de Camille Cottin qui m'a fait esquisser quelques sourires.
Caméra cachée avec Camille Cottin, "Connasse, princesse des cœurs" est divertissant, on suit les idées folles que peut avoir Cottin, et parfois elle va vraiment loin ce qui m'a paru moins drôle que si elle n'avait pas franchi la limite à avoir. Quelques scènes restent tout de même réussies et drôles. Égocentrique, un vrai personnage. Elle s'est procuré de meilleurs rôles quand même.
Film à voir absolument !!!!!
J'ai adoré le concept de ce film!!!!!
J'ai eut de nombreux fous rires!!
J'ai adoré le concept de ce film!!!!!
J'ai eut de nombreux fous rires!!
Oui il faut aimer ce genre d humour un peu trash mais si on marche c est assez jubilatoire.
Successions de scènes très réussies filmées à Londres . Le but est de voir jusqu où elle capable d aller et parfois ça va loin .
Drolissime.
Successions de scènes très réussies filmées à Londres . Le but est de voir jusqu où elle capable d aller et parfois ça va loin .
Drolissime.
ned123
J'ai vu un film... qui est exceptionnel !!! Que j'ai ri... Mais que j'ai ri !!! Mais quel culot cette Camille Cottin ! On se dit "mais non, elle va pas le faire"... et elle le fait... "Elle va pas le dire".. Et... C'est foutraque, une réussite hors-norme... Qu'est-ce qu'on s'amuse... Et quelle intrigue... Va-t-elle épouser le Prince Harry ? C'est très bien écrit, il y a une intrigue, un drama et une volonté de raconter une histoire... Certaines séquences sont époustouflantes. A pleurer de rire... (bon, après, il y a qq moments un peu à côté... mais on passe un excellent moment)..
Ni dirigé, ni écrit, ni joué, "Connasse, Princesse des cœurs" tient en premier (et dernier) lieu du canular régressif de potaches. Le principe de télé-réalité, qui est finalement la seule justification de ce bout à bout absurde et peu drôle, ne résiste pas à l'épreuve du cinéma, où c'est encore du rêve que l'on vient chercher. Camille COTTIN se révèle pathétique à force d'insister sur la stupidité de son personnage, dans une succession de sketches sans effet comique.
bof ,au final c'est drôle au debu avec le premier acte ,mais dessue elle se met en tête d'épouser Harry c'est long et lourd . casi plus drôle on sennui . aurait pu être mieux
Vraiment tres drole !
Je conseille pour passer le temps avec vos copines pour rire un peu.
Franchement adoré
Je conseille pour passer le temps avec vos copines pour rire un peu.
Franchement adoré
Véritable film à sketches signé par Eloïse Lang et Noémie Saglio en 2015. Entièrement réalisé en caméra cachée, il reprend le concept de la série du même nom, dans laquelle Camille Cottin interprétait déjà cette femme ubuesque et pédante. Cette fois-ci l’actrice se déplace à Londres pour épouser le prince Harry. L’enchainement de ces gags plus ou moins réussis n’est pas sans rappeler les micros-trottoirs de Jean-Yves Lafesse. Même s’il convient de reconnaitre le talent de Camille Cottin qui use d’improvisation irrévérencieuse et parfois drôle, le rythme reste inégal. Bref, une comédie barrée dont l’excès d’absurdité finit par user l’esprit.
Je n'ai pas trop vu les caméras cachés en version courte.
Bon côté scénario c'est assez léger et un peu dommage qu'elle n'ait pas poussé le vice plus loin pour vraiment essayer de rencontrer le prince Harry mais les caméras cachées sont vraiment excellentes!
C'est vraiment le cliché de la connasse parisienne hautaine avec le mauvais accent :D
On frole la vulgarité mais comme quoi les femmes ne sont pas que féminines et classes et Camille Cottin sait très bien en jouer! ça doit pas être simple de toujours rester sérieuse dans toutes les scènes!
Bon côté scénario c'est assez léger et un peu dommage qu'elle n'ait pas poussé le vice plus loin pour vraiment essayer de rencontrer le prince Harry mais les caméras cachées sont vraiment excellentes!
C'est vraiment le cliché de la connasse parisienne hautaine avec le mauvais accent :D
On frole la vulgarité mais comme quoi les femmes ne sont pas que féminines et classes et Camille Cottin sait très bien en jouer! ça doit pas être simple de toujours rester sérieuse dans toutes les scènes!
Yves G.
Egocentrique et prétentieuse, Camille, la trentaine, a une (très) haute d'idée d'elle-même, de sa beauté, de son intelligence et de la vie merveilleuse qu'elle pourrait avoir loin de la France qu'elle juge trop médiocre pour elle. Aussi décide-t-elle de partir au Royaume-Uni pour y épouser le prince Harry.
Pendant deux ans, Camille Cottin a été l'héroïne d'une série shortcom diffusée à une heure de grande écoute sur Canal. Elle y interprétait le rôle d'une pétasse imbue d'elle-même. Les mini-épisodes de deux minutes à peine, tournés en caméra cachée, la plaçaient dans des situations hilarantes. Son humour irrévérencieux y faisait souvent mouche.
Le succès de la série a immanquablement conduit ses réalisatrices, Eloïse Lang et Noémie Saglio, à passer au long. Le film a attiré près de 1,2 millions de spectateurs en salles au printemps 2015.
Pourtant, "Connasse" est doublement décevant. Son scénario poussif peine à s'assumer pour ce qu'il est : un prétexte à aller tourner outre-Manche des scènes en caméra cachée que la notoriété de Camille Cottin ne permettait plus de tourner en France. Il devient la trame sans grand intérêt d'une succession de saynètes plus ou moins réussies. Prises isolément, elles nous faisaient sourire au beau milieu du Grand journal de Canal dont elles partageaient l'humour potache. Mais mises bout à bout, elles deviennent vite répétitives et l'héroïne, dont les outrances nous avaient d'abord fait sourire, finit bientôt par nous sortir des yeux.
Il y a de mon point de vue plus grave : le tournage en caméra cachée. Il repose sur un pacte implicite avec le spectateur : ce que nous allons vous montrer est drôle parce que vrai, spontané, non joué. Ce pacte me semble être la négation du cinéma, de ce qu'il autorise, de ce qu'il permet : la recréation, poussée à la perfection, de moments de vérité. La caméra cachée qui court après une chimère - l'émotion que créerait la réalité - se condamne irrémédiablement, aussi virtuose soit le montage, à une mauvaise lumière, un mauvais son, un mauvais jeu d'acteurs...
L'humour suscité par ces saynètes tournées en caméra cachée, qu'il s'agisse de celles, innocentes, qu'on nous passe en boucle dans les vols low cost quand ils ont plus d'une heure de retard, ou celles jouées par Sacha Baron Cohen, François Damiens ou Camille Cottin, repose sur un ressort qui me met énormément mal à l'aise : le Rhooooo qui nous échappe face à une situation choquante. Pourquoi rit-on ? De quoi rit-on ? De l'abattage, du culot des acteurs dont on reconnaît le talent à se mettre en danger spoiler: ; par exemple, dans Connasse, ceux de Camille Cottin pour escalader les grilles de Kensington Palace ou pour aller perturber la Relève de la garde
? Ou bien de la réaction des passants, filmés à leur insu, qui manifestent face aux situations dans lesquelles on les place un mélange d'abasourdissement et de désapprobation muette ?
Je me souviens de la gêne que j'avais éprouvée en regardant "Borat", entre deux éclats de rire. C'est la même gêne que j'ai éprouvée face à "Connasse", les éclats de rire en moins.
Pendant deux ans, Camille Cottin a été l'héroïne d'une série shortcom diffusée à une heure de grande écoute sur Canal. Elle y interprétait le rôle d'une pétasse imbue d'elle-même. Les mini-épisodes de deux minutes à peine, tournés en caméra cachée, la plaçaient dans des situations hilarantes. Son humour irrévérencieux y faisait souvent mouche.
Le succès de la série a immanquablement conduit ses réalisatrices, Eloïse Lang et Noémie Saglio, à passer au long. Le film a attiré près de 1,2 millions de spectateurs en salles au printemps 2015.
Pourtant, "Connasse" est doublement décevant. Son scénario poussif peine à s'assumer pour ce qu'il est : un prétexte à aller tourner outre-Manche des scènes en caméra cachée que la notoriété de Camille Cottin ne permettait plus de tourner en France. Il devient la trame sans grand intérêt d'une succession de saynètes plus ou moins réussies. Prises isolément, elles nous faisaient sourire au beau milieu du Grand journal de Canal dont elles partageaient l'humour potache. Mais mises bout à bout, elles deviennent vite répétitives et l'héroïne, dont les outrances nous avaient d'abord fait sourire, finit bientôt par nous sortir des yeux.
Il y a de mon point de vue plus grave : le tournage en caméra cachée. Il repose sur un pacte implicite avec le spectateur : ce que nous allons vous montrer est drôle parce que vrai, spontané, non joué. Ce pacte me semble être la négation du cinéma, de ce qu'il autorise, de ce qu'il permet : la recréation, poussée à la perfection, de moments de vérité. La caméra cachée qui court après une chimère - l'émotion que créerait la réalité - se condamne irrémédiablement, aussi virtuose soit le montage, à une mauvaise lumière, un mauvais son, un mauvais jeu d'acteurs...
L'humour suscité par ces saynètes tournées en caméra cachée, qu'il s'agisse de celles, innocentes, qu'on nous passe en boucle dans les vols low cost quand ils ont plus d'une heure de retard, ou celles jouées par Sacha Baron Cohen, François Damiens ou Camille Cottin, repose sur un ressort qui me met énormément mal à l'aise : le Rhooooo qui nous échappe face à une situation choquante. Pourquoi rit-on ? De quoi rit-on ? De l'abattage, du culot des acteurs dont on reconnaît le talent à se mettre en danger spoiler: ; par exemple, dans Connasse, ceux de Camille Cottin pour escalader les grilles de Kensington Palace ou pour aller perturber la Relève de la garde
? Ou bien de la réaction des passants, filmés à leur insu, qui manifestent face aux situations dans lesquelles on les place un mélange d'abasourdissement et de désapprobation muette ?
Je me souviens de la gêne que j'avais éprouvée en regardant "Borat", entre deux éclats de rire. C'est la même gêne que j'ai éprouvée face à "Connasse", les éclats de rire en moins.
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