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    The Neon Demon
    Note moyenne
    3,1
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    487 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 novembre 2020
    Étrange, dérangeant, esthétiquement parfait ! MWR nous sert un cocktail d'émotions savamment dosés. L'univers du mannequinat est très particulier, et ce qui est mis en évidence ici.
    Un triangle malsain se met en place peu à peu, entre la nouvel petite poupée, l'amie lesbienne et une mannequin en déclin.
    C'est très osé ! Un zoom particulier et amené sur les vices et les déviances de chacun, ça ne plaira pas à tout le monde.
    Les personnages ont une réel évolution tout au long du métrage, surtout pour Elle Fanning, comme un papillon sorti de sa chrysalide se laissant planer au dessus de tout ! Dommage, Elle n'est pas aussi belle pour interpréter ce rôle, son charme et sa naïveté fonctionne, mais son physique n'est pas parfait (notamment son nez horrible). On me dira que la beauté est subjective certes ... Mais comme le dit le recruteur, la beauté n'est pas un tout, elle est tout !! (phrase criante de vérité d'ailleurs) mais ici mal desservit donc par le personnage principal.
    La BO est très bonne, la photographie impeccable, et les plans très soignés.
    J'ai pas mis 5 car le film est un peu long, certaines scènes sont incongrues voir inutiles, dommage.
    Attention donc, on aime ou on aime pas, mais une chose est sur, ce film fera des émules ! Bravo.
    Jules W
    Jules W

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 août 2020
    Film complétement idiot comme l'était Only god forgives. Ça aurait pu être intéressant si il y avait eu une cohérence d'ensemble, ne serait ce qu'esthétique, mais non. Les dialogues sont creux, il n'y a pas de scénario. Des belles images au début mais ça ne suffit pas. Il n'y a aucun enjeu, aucune action, aucune histoire ou élément auquel se rattacher. Incompréhensible.
    Le Commandant de la Navette
    Le Commandant de la Navette

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 août 2020
    Bon là on va rentrer dans le dur et résumer à ça :
    Si je ne devais noter que l'ambiance, la photo et la musique de ce film, je serais peut-être à 5/5.
    La narration et le scénario font que cette note redescend à 3,5, faut pas se foutre du monde non plus !
    Attention c'est parti !


    Nicolas Winfind Refn nous casse les noix depuis environ 20 ans avec ses films pseudos-intellos. Only God Forgives a exactement les mêmes défauts de narration que Neon Demon, et il n'y a pas plus de réponses dans l'un que dans l'autre car...il n'y a simplement rien à comprendre selon moi.

    Je m'explique : dans un film de Lynch ou de Cronenberg par exemple, vous aurez un nombre d'indices suffisants pour établir une voire plusieurs théories sur ce qu'il se passe dans le film. Les films de NWR n'autorisent parfois même pas de théories, car nous ne pouvons nous appuyer sur rien.
    C'est le revers de la médaille de ce cinéma contemplatif : on ne peut pas interpréter quoi que ce soit grâce à la silhouette immobile de Jack McArthur alors qu'il s'apprête à shooter les mannequines, on ne peut pas interpréter quoi que ce soit grâce un dialogue artificiel a 2 à l'heure qui ne fait pas avancer l'intrigue.

    Donc navré pour ceux qui cherchent du sens...avec ce mec, le scénario est au service de l'ambiance du film, pas l'inverse.

    Pour ce qu'il a à proposer, Neon Demon est sensationnel : les angles de caméras sont toujours superbement bien pensés, la gestion des lumière est démentielle. Les parties en boite de nuit particulièrement la séance épileptique avec les projecteurs est filmée d'une main de maitre, Gaspard Noé a du apprécier.

    On retrouve des tonalités de couleur omniprésentes dans le film, le rouge renvoyant a des films d'horreur bien connus, mais aussi à quelques séquences déjà vues dans Only God Forgives.
    Le bleu le côtoie presque tout le temps : dans les reflets des miroirs à côté du rouge, sur le ciel du shooting final à côté des projecteurs ... rouges, ou encore sur la tenue finale de Gigi où elle porte les deux couleurs. Aussi, la séance d'intro où Jesse porte une robe bleue pour son 1er shooting, au dessus d'un bain de faux sang.
    Le jaune est souvent là aussi, impérial dans une séance de shooting entre l'héroïne et son photographe lui peignant le corps.

    La musique est une partie incroyable du film aussi, n'hésitant pas à coller un thème très "rétro-futuriste", utilisant de bonnes vieilles nappes de synthés parsemées de bruitages mais à la sauce 2020, avec le travail moderne de traitement du son. On sent l'influence de Vangelis chez le compositeur Cliff Martinez qui n'a pas hésité à utiliser des effets sonores pour parsemer ses mélodies lancinantes, donnant un aspect très moderne au son.
    Il colle même très bien au sujet, utilisant des sons clinquants pour rappeler cet univers artificiel pleins de strasses et de paillettes, la musique électronique colle parfaitement.
    De la scène d"intro avec ce thème synthétisé récurrent, aux sons électroniques de la boite de nuit (séquence rave du début ou "Giorgio Moroder" au milieu), en passant par la séance de shooting envoutante, ou à la reprise du thème principal lors de la macabre scène finale où la mélopée synthétique enivre l'horreur graphique après avoir martelé d'une alarme électronique pesante.

    Cette dernière séquence mérite qu'on s'y attarde :
    spoiler: Tout y est sur le film je pense : les filles avec les nattes qui leur font des cornes sur le crane symbolisent les démons qui viennent de sacrifier Jesse, les svatiskas bleus sur le papier peint lorsque Gigi rejette l'oeil pour le côté eugénique du rituel, l'aspect déshumanisé de Sarah entre son rouge à lèvres sombre + ses lunettes teintées sombres + un simple mouvement de lèvres voyant la mort de son ami, et qu'elle ingère l'oeil à son tour...



    Hormis tout ça, NWR fait un film NWR et donc le reste n'a pas grand intérêt.
    En vrac :
    spoiler: - Si tu veux me faire croire que ce sont des sorcières super puissantes qui peuvent faire de la polymorphie, va falloir faire mieux que de me montrer un animal empaillé dans une maison pour expliquer un Puma dans une chambre de Motel :D - Si le délire du sacrifice se fait sur une fille vierge, pourquoi Ruby essaie d'avoir un rapport avec elle quelques heures avant de vouloir la tuer ??? - Franchement cette scène de nécrophilie, c'était indispensable ? Utile ? Mais whaaaaat ? - Mais qu'est-ce qu'elle fout Ruby a éjecter du sang les jambes écartées devant sa fenêtre ??? - Mais pourquoi Gigi rejette l'oeil alors que Sarah non ? Rien n'a été dit pour montrer que Gigi avait une morale supérieure à ses 2 comparses, au contraire...Sarah est plus discrète dans le genre.


    Enfin bon si on omet le scénario, un peu les personnages, et quelques situations qui n'ont aucun sens, c'est une très belle expérience sensorielle, talent créatif et technique irréprochable.
    Il faut juste un scénariste a ce mec là, qu'il arrête d'écrire ses histoires...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 juin 2020
    J'ai trouvé ce film vraiment très glauque il y'a sûrement toute une signification derrière, mais ne vous attendez pas à un film semblable à au diable s'habille en Prada.Ce film dégage des gros moments plat avec aucune scène de suspens je déconseille fortement c'est un gros flop
    Mike Hetson
    Mike Hetson

    11 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2021
    le film est très intéressant dans toutes sa partie visuel et également dans sa réalisation. le jeu d'acteur est bon. Certain moment sont WTF mais ça apporte un peu d'originalité a un moment ou les films se ressemble un peu tous et ça fait du bien. le scénario reste malgré tout son point faible
    AdriBrody
    AdriBrody

    7 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2021
    Nicolas Winding Refn a vraiment un univers très particulier. Avec "The neon demon", il réalise une belle critique sur le monde cruel de la mode et surtout de la beauté. Tout le monde veut être beau, mais cela implique des conséquences.
    Et le monde de la mode est cruel où aucune pitié ne règne. Chaque place est importante et les autres sont des ennemis. Alors oui, ce n'est pas forcément simple à digérer comme film, mais l'ambiance pesante et le travail sur la lumière vraiment bluffant rendent ce film très beau visuellement.
    Philippe G.
    Philippe G.

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2020
    The Neon Demon, réalisé par : Nicolas Winding Refn (Drive, Only God forgives) Sortie en 2016.
    Ma note : 3/5 étoiles *** = Pas Mal.

    The Neon Demon, c'est un film pas mal, mais je m'attendais à encore à mieux.

    Donc la direction artistique vraiment très
    réussie comme tous les films du réalisateur, de très bonnes idées de mise en scène et la bande son électronique est parfaite !

    C'est un film psychédéliques, une critique du milieu du mannequin et le culte de la beauté, un univers vraiment superficielle qui fait froid dans le dos...

    L'actrice principale est très bien choisie, et sa personnalité intéressante.

    2 scènes vraiment dingues que je ne dévoilerais pas !

    Donc c'est pas mal comme film voilà pour le positif, le négatif par contre, c'est le récit qui est un peu vide, il y a certes pleins de bonnes Idées créatifs et on sent l'ambition du film, mais pas mal de choses manque de développement et de consistance pour convaincre vraiment.

    Mais ça reste un film à voir une fois, car c'est bien réalisé et il y a une ambiance et un univers vraiment travaillé et artistiquement très beau, et la critique de ce milieu est vraiment pertinente !

    Ma note : 3/5 étoiles *** = Pas Mal.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    484 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 avril 2020
    Après Drive, dans lequel il se réappropriait les figures chères à Walter Hill (The Driver) ou Sergio Leone (Pour une poignée de Dollars), Nicolas Winding Refn prenait une bonne partie de ses admirateurs à contre-pied avec Only God Forgives. Délaissant quelque peu le narratif pour l'expérimental, ce dernier s'envisageait comme une relecture moderne du complexe d'Œdipe, au risque de se montrer limité à son premier niveau de lecture. The Neon Demon parachève cette recherche d'abstraction. Avec tout ce que ça implique de problèmes.
    En premier lieu d'achever la mue de Winding Refn en formaliste privilégiant le style au détriment du récit. Cela pourrait passer pour un parti pris audacieux, puisque le but (selon les dires du réalisateur) était de livrer une satire du monde de la mode (pervertie par la dictature de l'artificiel et la concurrence carnassière de porte-manteaux à peaux humaines). Cela se retourne hélas contre son concepteur puisque le film est un empilage de maniérismes grossiers (esthétique pubarde, couleurs flashy, et dialogues ineptes). Tout semble trop calculé, trop construit, trop propre, trop conscient de ses effets. Une nouvelle fois, le symbolisme qui devrait être disséminé au second plan est exhibé de manière ostentatoire (la loi de la jungle chez les top-models), aveu de l'échec patent à raconter quelque chose au premier.
    Malgré lui (?), The Neon Demon achève de faire ton sur ton avec ce qu'il veut dénoncer. Même quand il dévoile son jeu dans la dernière partie, The Neon Demon n'échappe pas à sa propre suffisance. La fable acerbe et morbide qu'il aurait dû être se révèle être une démonstration de frime et de vide. De cette expérience (assez désagréable), je ressors désolé de voir un tel casting subordonné aux extravagances de Winding Refn. Notamment Abbey Lee Kershaw, joliment glaçante, ou Keanu Reeves dans un contre-emploi surprenant.
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    11 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2020
    Quelle claque ! Nicolas Winding Refn (NWR), réalisateur au grand talent mais à l’égo surdimensionné s’attèle à un problème contemporain de notre société : L’apparence. Maitresse de nos vies, nous dictant comment procéder, nous habiller, et elle ce à quoi tout le monde veut accéder. Le but ultime est la perfection. Malheureusement, elle n’existe pas. Et quoi de mieux que le monde du mannequinat pour représenter la superficialité. C’est alors que NWR nous plonge dans ce monde hypocrite (ou en tout cas c’est ce qu’il veut nous faire croire), qu’il dénonce à coup de paillettes et lumières vivement coloré, ce qui est le paradoxe du film qui nage dans la superficialité qu’il dénonce. Un moyen déroutant de faire passer le message. La photographie est sublime, les maquillages soignés, les décors sont cadrés de tel que le naturel ne ressorte pas mais seulement le faux. La performance de Elle Fanning toute en finesse et légèreté contraste dans un monde montré comme impitoyable, car cette dernière est l’incarnation symbolique de la « presque » perfection. Ses rivales mannequins sont égoïstes, sauvages et prêtes à tout pour prendre la place de la jeune fille. Et NWR ne se gêne pas pour décrire un tableau humain des pires vices existants, se servant de ses sujets pour le montrer. C’est alors que toutes ces filles mannequins commettent des atrocités sans nom, qui rendent au long-métrage ce caractère malsain et rebutant, déjà présent dans le film par le biais de cette atmosphère superficiel. The Neon Demon envoie beaucoup de signaux, de moments symboliques et métaphoriques qui nous forcent à les exploiter, les interpréter pour en ressortir quelque chose d’important. C’est aussi ce qui fait à la foi la finesse mais en même temps la complexité du film tant la chose n’est pas aisée. Néanmoins, après plusieurs visionnages, le film me révèlera surement de nouveaux éléments, dont j’ai déjà pu tirer une partie lors de mon premier visionnage. La B.O., aussi singulière que le reste de l’œuvre, m’a littéralement transporté dans un autre monde, et la musique de la boite de nuit est elle aussi splendide. Tout ça pour dire que The Neon Demon est une œuvre étrange, envoûtante, qui dérange et parfois choque, non sans un certain cynisme. Un ovni, proche de la perfection, qui me fascine toujours autant un an après.
    ferdinand75
    ferdinand75

    466 abonnés 3 660 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Bien sûr une esthétique superbe avec une image léchée , digne des plus grands photographes. Les actrices sont très belles , les cadrages , la bande -son branchée à souhait; mais le scénario est quand même trop light. Oui on comprend l'allégorie sur la fausse beauté , le 'tout paraitre " des temps modernes , le bling bling.Mais tout cela est un peu facile ,sans grande profondeur, sans humanité. on est dans du conceptuel. La 1ere moitié est encore linéaire , avec l'ascension de ce mannequin , nouvelle venue engendrant la jalousie et l'envie de ces collègues. Mais la 2eme partie bascule dans le gore,et dans l'extravagant , pour le plaisir? un peu gratuitement, La maquilleuse est folle amoureuse ( toujours excellente Jenna Malone ) , les jalouses deviennent folles , un peu de scato, de gore , et même de la nécrophilie, (très joliment filmer) . Des effets d'image un peu répétitifs et un final très long, mettant trop en évidence le manque de scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2020
    Par le réalisateur de Only god forgives d’abord, Drive ensuite, le guerrier silencieux Valhalla Rising re-en-suite, et donc un style de haute volée sur la violence en ce bas monde, du pessimisme, sinistre, le cynisme à son paroxysme étouffant, synonyme irrespirable.
    Que veut dire au final tous les sujets vagues abordés avec virulence, l’approche de l’apparence, non ce n’est pas le pays des merveilles certainement, encore pour son dernier film, Alice alias Sainte Jesse jouée par Elle Fanning, dans l’univers sacré du mannequinat.

    Les strass et paillettes sur fond de musique radio FM night-club habituel, la mode est chic et choc après avoir posé délicatement ses clichés graphiques, objectifs synthèses, Photoshop, une mise en scène immobile statuette mannequin tellement l’habitude de voir ce côté glauque révèle au fond obscur glamour.
    C’est magnifiquement mélancolique magistral, par tous les émotions passées enfouis sur ce monde impitoyable de la beauté fatale extrême, le diktat de ses conventions telle la pub égérie Lancôme, les nanas habillées en YSL Dior adoratrices, de ce scénario sont justes.

    Des meufs jalouses de la nouvelle concurrence qui monte vers l’échelon ascension sociale, les voleuses de la poésie sombre dominante, le perfectionniste comme le cinéma propre au réalisateur, prétentieux en tant que tel décrit bizarrement.
    Audacieux oh que oui, le clair message est le reflet dans cette scène narcissique, influencé par l’Allemagne voisine, c’est bien plus que génial, l’innovation d’une grande puissance crescendo intense incroyable, l’innocence pureté chez cette fille-fille réalisée son rêve à Los Angeles.

    Rencontre professionnelle avec la tordue ténébreuse scientifique scalpel décortique intimité, attention déconseillés aux moins de 12 ans, c’est peu et mérite l'avertissement pour public destiné à comprendre intelligemment, l’élitisme de la mode.
    La société va mal tellement malade, où voit sous un visage triste spectacle de folie désordonnée, une réalisation ensanglantée, l’inégalité déséquilibrée dont le but n’est pas de dénoncer, une œuvre d’art avant toute tablette au compteur or argenté, est de montrer tout simplement et divinement.

    Une belle claque pour la maladie mentale, rêve ou cauchemar au motel miteux ? Tu nous le diras pas assez Nicolas du Danemark, les violences faites aux femmes top-modèles show-business célébrités, des scandales éclaboussent ce milieu sélectif.
    Mystère mystérieux secret test préliminaire dénudé jeux de lumière éteinte colorée, sentiments et jugements partiaux sans équivoques, ni ambiguïtés, aucune gêne et limite permissive, un délire sordide sans suspense mais excellent, pour comprendre ce cinéma danois enfin.

    Il est venu se faire un lifting chirurgicale esthéticienne Botox addictif obsession perverse obscène chair fraîcheur, très choquée les filles, un crêpage de chignon sanglant mixture maquillage crème sauvageonne, produits simultanément par la France et les États-Unis.
    The Jokers est un signe entreprise de la vision 2016 internationale employée, c’était manquée comme séance zapping, rattrapons ce temps jamais contre-perdu devenu gagnant, va en faveur du chef-d’œuvre confirmé, merci cordialement monsieur le cinéaste irrévérencieux.

    Des messages irrésistibles comme quoi sortira pas de l’auberge des maux angoisses transpirations vertiges douleurs gastriques vomissements consommation horribles tarés sociaux délivrés saisies envois réussis, énormément de métaphores fascinantes digitales pointées sur l’humain.
    Clairvoyant égocentrisme élevé repli sur soi paranoïaque fixation lourde pesante tension psychose imagination instinctive animalière, aucun n’a été utilisée en fourrure à des fins vicieuses dans ce film, le soulagement satisfaisant sublime harmonisation synchronisée antenne captivante séquence finale.

    Clôturant le bal d’hémoglobine de la jeune promotion Carrie référent épouvante horreur thriller, arrêtons l'hémorragie critique élancée sereinement sublimée, le stop imposé au feu de signalisation citadine code de la route concède le passage au premier servi.
    fujitsu003
    fujitsu003

    3 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2020
    Delicieuse mecanique horrifique que ce Neon Demon qui seduit par son propos troublant, hypnotisant et terriblement actuel : la cruauté du monde de la mode.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 février 2020
    Que dire de ce film, à part qu'il trouble délicieusement l'esprit ? Dès les premières secondes du générique, le tableau se dévoile, les couleurs se mettent en place, fusionnent, disparaissent, reviennent encore plus soyeuses et langoureuses. Ce film, qui reste simple et sage au début, nous emporte rapidement dans une kaléidoscope émotionnel, où la beauté est Tout.

    Les jeux de miroirs, et surtout la manière de façonner le film avec la couleur spoiler: (je pense ici à la scène du show, avec la transition entre le bleu et le rouge qui est juste sublime, et fait radicalement changer Jesse, elle devient tout d'un coup "dangereuse" à nos yeux)
    , donnent une impression de cauchemar éveillé, dans lequel une Blanche Neige prisonnière de sa beauté subit le courroux des autres.

    On regrettera quand même un scénario plus abouti, moins flou, qui laisse peut-être trop de terrain à l'esthétisme.
    karpathakis y
    karpathakis y

    20 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 janvier 2020
    Je veux éviter à tous le monde de regarder ce NAVET superbement filmé mais d'une débilité incroyable. Même Keanu Reeves n'est pas crédible pour un sou. Dire que l'on met ce navet sous l'étiquette Horreur-Thriller, il n'en est rien passer votre chemin spectateurs. Simplement l'histoire d'une nénette qui veut être mannequin et dont on se fout complètement tellement ce film est long et prétentieux. Rien que le titre est ridicule...Pour intello en manque de films idiots. Dommage qu'il n'y est pas de note en dessous de zéro !!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    Un film que j'attendais de voir depuis bien longtemps. J'ai été plus que satisfaite par le travail sur la lumière qu'on m'avait grandement vanté. Les couleurs sont incroyables.
    La musique également est incroyable. Elle travaille le suspens en inscrivant une certaine tension.
    Cependant, j'ai trouvé les plans trop longs. Le film est certes lent, mais la longueur des plans qui -je pense- cherchent à accentuer le suspens et la tension chez le spectateur ne font que gâcher légèrement cet effet.
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