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    The Neon Demon
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    487 critiques spectateurs

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    nadège P.
    nadège P.

    125 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juin 2016
    Il y a beaucoup d'adjectifs pour qualifier ce film, les voici : superficiel, creux, vide, pervers, glauque, malsain, horrible, nul, désagréable, aberrant, inintéressant au possible, détestable, abrutissant etc....
    Le pire film de ces derniers mois.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2016
    The Neon Demon, oscille entre conte horrifique et satire de l’univers de la mode. Ce véritable poème cinématographique à la mise en scène exceptionnelle est une claque visuelle.

    LA SUITE :
    Guillaume p
    Guillaume p

    23 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2018
    Un winding refn pur jus. C'est beau et froid à la fois,la b.o sublime les images. La fashion week revue et corrigée par un réalisateur qui n'a déjà plus grand chose à prouver.
    Juliano
    Juliano

    12 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    Nicolas Winding Refn réinvente le cinéma, couleurs électrisantes, notes électroniques, visuel éminent mais scénario minimaliste à mon goût.
    Spe64
    Spe64

    24 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juin 2016
    Une sublime allégorie du monde du mannequinat, dans toute sa cruauté... tout en métaphore, un film à ambiance, naviguant du bleu clair au rouge sang...
    Une critique de cet univers, de cette recherche de la perfection et de ces moyens pour y parvenir... à n'importe quel prix, les acteurs sont bien dans leurs rôles mais il manque quand même une vraie histoire.
    Une expérience cinématographique magnifique mais aussi, étrange,envoutante et dérangeante...
    Matthias T.
    Matthias T.

    39 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2016
    Un conte cruel sur la beauté, mis en scène avec maestria. Le travail sur la lenteur est hypnotique, la chute magistrale. Abandonnant les mâles qu'il filme d'habitude (Mads Mikkelsen, Ryan Gosling ou encore Tom Hardy) pour un univers résolument féminin, Winding Refn n'a pourtant en rien abandonné ses obsessions habituelles. Déjà réalisateur de l'excellente trilogie "Pusher" ainsi que de l'iconique "Drive", Refn confirme qu'il est définitivement un des metteurs en scène contemporains les plus passionnants. Reste qu'Elle Fanning, aussi talentueuse comédienne qu'elle soit, n'est pas aussi belle qu'elle est censée être.
    Jorik V
    Jorik V

    1 206 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Nicolas Winding Refn serait-il en réelle dégringolade depuis sa pluie d’éloges mérités pour « Drive ». Son film suivant, « Only god forgives », était déjà beaucoup moins percutant mais ici c’est ce que l’on serait tenté de croire à la vue de cet objet cinématographique étrange, poseur et vain. En effet, comment ne pas rester dubitatif devant « The Neon Demon ». A se demander si le metteur en scène sait vraiment ce qu’il a voulu nous dire tant tout cela est abscons et semble sans fond. Cette plongée dans le monde du mannequinat au symbolisme opaque n’est ni plus ni moins qu’un coup d’épée dans l’eau. Le long-métrage se veut troublant, peut-être à la manière du « Mulholland Drive » de Lynch, il n’est qu’hermétique voire parfois ridicule.

    Ni vraiment une satire du monde de la mode, ni un thriller et encore moins un film d’horreur, ce nouveau long-métrage de l’esthète danois n’a pour lui que sa beauté froide et guindée. Un tableau criard se pensant à la mode mais qui ne sert aucun propos. Il est vrai que les images sont belles, mais elles ne sont au service de rien. On a la très désagréable impression de regarder une longue publicité pour des cosmétiques ou des parfums. Le cinéaste recycle à n’en plus finir son imagerie pseudo-chic au service d’un semblant de scénario écrit par ses propres mains et approchant le néant. Du cinéma égoïste et auto-centré sur lui-même qui ne ravira que les cinéphiles pseudo-intellos pensant dénicher quelque chose dans ce salmigondis sans queue ni tête.

    Heureusement, le dernier quart relève un peu le niveau convoquant une esthétique baroque que Dario Argento n’aurait pas renié et quelques scènes qui marqueront l’année cinéma par leur côté extrême. Mais à quoi bon ? A part choquer les ménagères, c’est encore une fois un déballage esthétique certes jouissif pour la rétine mais totalement dénué de sens. Le réalisateur danois, peut-être conscient de sa propre supercherie, n’explique rien, préférant laisser le spectateur se démener avec ce qu’il voit. C’est lent, long, parfois hypnotique mais ça ne tient pas le temps d’un long-métrage de presque deux heures. Las, on quitte la salle en ayant le sentiment de s’être fait avoir après une belle promesse non tenue. Un film arty déjà démodé ayant plus sa place dans une galerie d’art moderne (éphémère) que dans une salle de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Un film très esthétique, qui agite les sens. Quelques scènes gores, voire obscènes. Mais l'ennuie s'installe rapidement. Certaines scènes, très artistiques, mélangent les genres mais finissent par lasser le spectateur.
    Amaury F
    Amaury F

    25 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2016
    N'y allons pas par quatre chemins, Nicolas Winding Refn est un plasticien de génie et ce film est un immense choc pour nos yeux et nos oreilles. La lumière, les cadrages, les travellings, les costumes, le sang, la musique électrisante de Cliff Martinez... Tout est beau dans The Neon Demon et lorsque la mise en scène tend vers l'abstraction pour nous offrir de véritables trips expérimentaux, c'est l'extase ! Le réalisateur parvient à créer des images étonnantes, sans doute les plus dingues qu'on aura vu cette année. Les mauvaises langues dénoncerons la vacuité d'une œuvre privilégiant la forme au fond et dont la trame scénaristique est réduite au minimum (ils n'ont pas complètement tord sur ce point), mais n'est-ce pas là une manière tout à fait correcte de dépeindre une industrie de la beauté où, justement, tout n'est qu'apparence et faux-semblants ? Car en effet, The Neon Demon développe, non sans ironie, une réflexion inquiétante sur le monde de la mode et ses dérives, notamment par le biais d'omniprésentes métaphores toutes plus gonflées les unes que les autres (on pense notamment à la question du cannibalisme). C'est donc dans cette ambiance à la fois cauchemardesque et envoûtante que nous suivons le parcours d'une héroïne virginale, évidemment très enviée, semblant incarner la beauté dans ce qu'elle a de plus pure, mais qui sera ensuite progressivement pervertie par la décadence du milieu qu'elle fréquente. Malheureusement, cette prometteuse montée en tension débouche sur un climax, très sanglant certes, mais assez peu satisfaisant par rapport à ce qui semblait s'annoncer. Bien sûr, on ne boudera pas notre plaisir devant la folie décomplexée de certaines scènes (mention spéciale au vomis final), mais on aurait préféré que Refn exploite davantage potentiel horrifique de son histoire. On regrette également que le film, avare de péripéties, se traîne autant en longueurs et en silences gênants, le montage aurait probablement gagné à être un peu plus découpé, plus rythmé... Car si vous ne vous laissez pas immédiatement emporter par l'atmosphère lancinante du Neon Demon, il est fort probable que vous trouviez l'expérience assez rebutante (la fameuse impression « c'est beau, mais c'est long, mais c'est beau, mais c'est long... »). Ces quelques lacunes sont cependant pleinement comblées par les qualités plastiques et sensorielles du film, nous en avons bien assez parlé, mais aussi par la présence d'actrices de talent comme Jena Malone et évidemment Elle Fanning, d'une blancheur angélique, tenant ici parfaitement le rôle titre en faisant preuve d'une ambiguïté fascisante. Alors au final, faut-il aller voir The Neon Demon ? J'aurais plutôt tendance à répondre oui, car même s'il ne fait pas l’unanimité, c'est un film qui ne laisse pas indifférent, qui vous hante plusieurs jours après sa projection. Voilà une œuvre qui assume ses parti pris jusqu'au bout et qui, au même titre que Mulholland Drive de David Lynch (dont l'influence se ressent clairement chez Refn), fait débat et peut cacher mille interprétations passionnantes. De telles propositions de cinéma, on en croise finalement assez peu et c'est pour cette raison que je vous encourage sincèrement à vous faire votre propre avis en salles.
    dagrey1
    dagrey1

    87 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Jesse, une jeune orpheline de 16 ans débarque à Los Angeles. Son rêve: devenir mannequin. Son ascension fulgurante suscite jalousies et convoitises. Certaines filles sont prêtes à tout pour lui voler sa beauté. Au fur et à mesure qu'elle est jalousée, Jesse devient de plus en plus sûre d'elle et vaniteuse...

    "The neon demon" était un film attendu. Depuis "Drive", les films de NWR sont guettés par les amateurs de cinéma. "Only God forgives" avait quelque peu échaudé le public, le parti pris radical du réalisateur, comme dans "le guerrier silencieux", ayant désorienté de nombreux spectateurs. Avec "the Neon Demon", le réalisateur danois confirme que si Drive était estampillé NWR, ce gros succès tourné en 2011 était un film de commande.

    The "neon demon" est un film esthétisant avec de superbes images mais j'ai trouvé l'ensemble assez vide. De très belles images souvent juxtaposées, quelques plans chocs et une parabole sur le vol de la beauté via le vampirisme/cannibalisme sont des thématiques originales et intéressantes. Toutefois, je me suis personnellement un peu perdu durant les premières 80 minutes du film où l'ennui n'était jamais bien loin. En outre, certaines questions demeurent sans réponse: qu'est il arrivé aux parents de Jesse? (...).

    Coté casting, NWR a bien choisi ses actrices/mannequins (Bella Heathcote et Abbey Lee). Elie Fanning a un petit quelque chose de pervers et d'innocence mélangé mais ce n'est pas son physique qui peut lui permettre d'"éclipser" les filles autour d'elles...il y a forcément autre chose, une aura.

    A souligner une très bonne bande originale de Cliff Martinez (déjà à l'oeuvre dans "Drive").
    Acidus
    Acidus

    634 abonnés 3 660 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Si il y en a un qui se renouvelle tout en ne décevant jamais (ou presque: cf. "Valhalla Rising") c'est bien Nicolas Winding Refn. La sortie de "The neon demon", son dernier film, était attendu au tournant et, là encore, le cinéaste danois a frappé fort.
    Glamour et violence se mélange dans ce thriller s'ancrant dans le monde de la mode. Sur une intrigue que n'aurait pas renié un David Cronenberg, Winding Refn déploie tout ses talents de metteur en scène pour nous livrer une photographie magnifique à l'esthétique léchée. Ce visuel, dont les jeux de lumière ont beaucoup d'importance, rappelle fortement celui de son précédent long métrage, "Only God Forgives". La bande-son joue un rôle primordial également et l'on retrouve avec plaisir le compositeur Cliff Martinez, déjà présent dans "O.G.F" et "Drive", plus inspiré que jamais. Cette combinaison entre l'esthétisme de l'image et du son donne l'impression, par moment, de regarder un clip musical. spoiler: L'exemple le plus frappant est la montée sur le podium
    . Pour résumer, d'un point de vue formel, "The neon demon" est une beauté rare, unique dans le sens où l'on reconnaît sans hésiter la patte de Nicolas Winding Refn.
    Le fond est plus clivant. Je dois admettre ne pas avoir compris toute la portée du propos du réalisateur et la signification de certains passages. Cela n'empêche pas d'apprécier cette intrigue dont l'intensité se fait progressive. On pourrait lui repprocher quelques petites longueurs durant la première moitié du film. Certains pourront être choquer par la violence de certaines scènes ( spoiler: gore et nécrophilie sont au rendez-vous
    ) mais elles ont leur place dans ce thriller. spoiler: On peut aborder "The neon demon" comme une retranscription contemporaine du mythe de la comtesse Bathory
    .
    C'est clairement un film qui ne nous laisse pas indifférent et dont on ressort secoué. C'est ça aussi le cinéma.
    Isabelle R
    Isabelle R

    7 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 juin 2016
    Film très esthétique avec de très belles actrices mais c'est pour moi le seul point positif... La bande annonce est trompeuse, le film sombre assez vite dans le ridicule et certaines scènes sont répugnantes...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 juin 2016
    NWR est le cinéma expressionniste du XXième siècle. Rare sont les cinéastes qui font de leur mise en scène leur scénario. Alors bien sur, ce n'est pas ouvert à tout public. C'est le seul reproche que je ferais à NWR et c'est pour ça que je ne lui met pas 5/5. J'aurais apprécié avoir une petit tracé narratif histoire de ne pas être qu'envouté par le cadre visuel de l'auteur et cela aurait pu peut-être un impact plus émotionnel.

    Mais que c'est beau tout de même, ce cinéma tout en métaphore. Certains cinéastes auraient passé 10 secondes sur une situation, le réalisateur danois préfère lui en consacrer 5 min. Et ce n'est pas ennuyeux. C'est de l'art, vraiment de l'art. Le jeu des lumières, les décors. Un simple travelling est d'une grande classe grâce à son ensemble. Soyons claire 'The neon démon" est loin d'être le film de l'année, mais son visuel lui bat presque tout le monde.

    Après il n'y a pas que ça, il y a des idées.. Montrant un monde de la mode tourmenté qui se rapproche plus de la jungle que de l'humanité. NWR emprisonne ses personnages dans la superficialité, même Elle Faning, qui est d'ailleurs magistral tout comme l'ensemble des comédiens d'ailleurs, que l'on croit hors de ce chemin là, y est aspiré et sombre comme toute ses filles dans cette spirale. NWR lui ose en métaphore, le comparer au cannibalisme. Le réalisateur ose même la nécrophilie. Après il est bien difficile pour le spectateur de comprendre toutes ses comparaisons, mais même si parfois on ne sait pas où on va on reste sur l'écran figé et admiratif du travail accompli.

    Comme je l'ai dit au début de ma critique, NWR ne devrait plus s'enfermer dans ses prochains longs métrages dans ce cinéma-là. Au risque d'être dépassé par sa folie où de perdre du public. Mieux encore d'aller voir vers d'autre horizons dans un autre style afin de nous surprendre encore et encore.
    cylon86
    cylon86

    2 283 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Après le déroutant "Only God Forgives", Nicolas Winding Refn revient à la réalisation pour "The Neon Demon". Et le cinéaste signe à nouveau un film complètement envoûtant, une merveille visuelle de chaque plan tout en évitant de brosser son spectateur dans le sens du poil. Il en résulte une étrange impression notamment celle que Refn aime tellement ce qu'il fait et ce qu'il filme qu'il fait durer le plaisir, quitte à nous asséner de manière répétitive des plans superbes mais tournant rapidement à vide. Certes, le film dénonce, par le biais de l'horreur glissante et subtile, le culte de la beauté qui règne sur notre société ("La beauté ne fait pas tout, elle est tout" dira un créateur couturier) mais pour ce faire, il utilise une certaine vanité et vacuité qui ne manque pas de nous plonger dans une certaine indifférence si ce n'est un certain ennui. Utiliser les outils du culte de la beauté pour la dénoncer ? Pourquoi pas mais impossible de ne pas sentir une certaine complaisance de la part du réalisateur dans tout ce procédé. Prenant des allures de conte nous montrant l'ascension d'une jeune mannequin innocente dans le milieu impitoyable de la mode où avoir 20 ans veut dire être out, "The Neon Demon" n'hésite pas à user de symbolique un peu lourdingue pour mieux illustrer son propos. Sans pour autant s'être départi de son talent, Nicolas Winding Refn se désintéresse de plus en plus du fond (le scénario tient sur finalement sur peu de lignes) au profit d'une forme de plus en plus aboutie et maîtrisée. Alors oui c'est beau mais ça semble tout de même un peu vain, comme cette poursuite de la beauté dans laquelle les personnages du film sont tous lancés. Mais ne crachons tout de même pas dans la soupe, déjà rien dans le choix du casting, Nicolas Winding Refn ne s'est pas trompé, offrant à ses comédiennes des rôles de choix. Outre Elle Fanning et sa beauté virginale qui s'imposent d'emblée à nous, le trio diabolique l'entourant ne manque pas de charme. Jena Malone surprend en maquilleuse trouble, Abbey Lee est presque touchante en mannequin mis de côté et Bella Heathcote amuse dans un personnage qui croit dur comme fer à la chirurgie esthétique. Notons aussi que Keanu Reeves se paye un second rôle assez savoureux en gérant de motel à l'humour sacrément malsain. De beaux rôles pour une œuvre fascinante qui méritera certainement de nouvelles visions pour qu'on en déniche tous les trésors et que l'on puisse voir au-delà de l'ennui qu'il peut susciter en nous. Une chose est sûre en tout cas, c'est que NWR ne laisse pas indifférent, c'est certainement tout ce qu'on peut lui souhaiter et tout ce qu'il désire.

    PS : on se mettra tout de même d'accord sur le générique de fin sur une chanson de Sia, c'est déjà ça.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2016
    L'esthétisme de ce film est à couper le souffle ! Je suis restée hypnotisée face à l'écran, submergée par la beauté du film. De plus, la BO est géniale. Malgré le côté glauque du film. Ce chef-d'oeuvre m'a traumatisé et perturbé . Félicitations
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