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    La Communauté
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    Flowcoast
    Flowcoast

    53 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2017
    Autant dans l'idée, la Communauté aurait pu être un plaisir à regarder entre des personnes habitants sous un même toit à la manière d'un teen movie mais un peu plus mature. Au contraire, on est sur un film très, voire trop lent, où même des scènes où un coup de peur arrive, rien ne semble véritablement bouger. Seul le personnage de la mère et journaliste est véritablement intéressant, les autres restent très voire trop en retrait. En fait, ce qui est très intéressant, c'est cette déchéance qui détruit totalement cette femme à partir de l'adultère de son mari où rien ne se passe comme prévu dans sa tête.
    mat niro
    mat niro

    307 abonnés 1 733 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2017
    Le cinéaste danois, Thomas Vinterberg, s'est inspiré de sa propre expérience de vie en communauté de l'âge de 7 ans à celui de 19 pour réaliser ce film. On est ici dans les années 70 au Danemark où Erik et Anna s'installent avec leur fille de 14 ans dans une villa en ayant l'idée d'y fonder une vie en communauté. J'ai trouvé ce film un peu en dessous de mes attentes. On n'y parle pas assez des six personnages qui occupent cette maison, de leur personnalité. Le réalisateur s'attarde trop sur cette liaison d'Erik avec une de ses étudiantes qui va fragiliser le groupe. Il y a de nombreuses baisses de rythme au milieu du film et finalement celle qui donne un vrai impact émotionnel, c'est Trine Dyrholm en femme trompée qui est magistrale. Pour le reste, c'est tout juste passable car le film ne retranscrit que très rarement la vie commune comme je pouvais m'y attendre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 avril 2017
    Le Danois Thomas Vinterberg sort ici une version assez ironique de la vie dans les communautés d'habitation dans les années 70. Ulrich Tjomsen y est brillant et on notera également la belle prestation du Suédois Fares Fares. Les clichés sont évités et les écueils sur lesquels l'utopie collective s'est fracassée décrits avec nuance.
    souslesoleil
    souslesoleil

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2017
    Plutôt décevant et poussif de la part de Thomas Vinterberg, sur un sujet pourtant passionnant. Le film a tôt fait de se recroqueviller sur des enjeux dramatiques étroits et finalement plutôt petit-bourgeois, sans laisser à ses personnages la possibilité d'un vrai beau choix politique. Helene Reingaard Neumann crève l'écran.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 février 2017
    Le scénario et les personnages sont très intéressants, on est pris par l'histoire. Cependant on regrettera que les relations entre les personnages ainsi que leurs sentiments ne soient pas approfondies.
    dagrey1
    dagrey1

    87 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2017
    Dans les années 1970, à Copenhague, Erik, professeur d'architecture, et Anna, journaliste à la télévision, s'installent avec leur fille de 14 ans, Freja, dans une villa d'un quartier huppé où ils décident de tenter l'expérience de la communauté. Ils y invitent donc des amis mais aussi de nouvelles connaissances à partager là une vie en collectivité. Erik entretient alors une relation amoureuse avec une jeune étudiante, ce qui perturbe profondément tous les protagonistes amateurs de la vie en groupe.

    "La communauté" est le dernier film de Thomas Vintenberg, réalisateur entre autres des excellents "Festen" et "La chasse". Dans cette chronique douce amère, le réalisateur aborde intelligemment le sujet de la vie en communauté ainsi que les limites de l'exercice lorsque l'amour adultérin s'en méle.
    En peignant une galerie de personnages qui, s'ils ne sont pas parfaits sont attachants, Vintenberg fait osciller le spectateur entre rires et émotions. A noter particulièrement l'excellent jeu des acteurs particulièrement Tryne Dirholm (Anna) dans le rôle de l'épouse trompée prête à tous les compromis, récompensée par l'ours d'argent de la meilleure actrice à la Berlinale 2016. Les autres acteurs sont également très bons: Ulrich Thomsen (Erik) ainsi que Maria Sofie Hansen (Freja) pour ne citer qu'eux.

    Coté BO, on entend notamment beaucoup "Goodbye Yellow Brick road" d'Elton John, morceau contemporain et nostalgique des années 70 qui sied bien au ton du métrage.

    "La communauté" est encore un signe de l'excellente santé du cinéma danois servi par de très bons acteurs et d'excellents réalisateurs comme Susan Bier, Lars Von Trier et Thomas Vintenberg.
    chas
    chas

    33 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 février 2017
    La maison est confortable qui accueille un couple formé d’un architecte et d’une présentatrice de télévision auxquels s’adjoignent d’autres personnes dans une colocation qui se met en place.
    Si les deux heures passent agréablement du comique léger à la tragédie un peu appuyée, un sentiment d’inachevé subsiste avec quelques portraits réussis et d’autres insignifiants.
    L’évocation des années 70 est sans âme, alors que la tonalité danoise est présente, le sujet pouvait être intéressant mais il est platement traité.
    L’adolescente observe et se montre la plus adulte en marge d’une bande fumante et descendant sans cesse des bières et du blanc, il ne se passe pas grand-chose entre eux.
    « Tu vas voir ça va aller » comme intensité dans la compassion : peut mieux faire.
    La solitude est encore plus criante avec des simagrées de votes à ambition démocratique qui peinent à régler des problèmes de lave-vaisselle et ne peuvent rien contre l’usure des cœurs et des corps.
    On se croirait en 2017 avec l’omniprésence des formules toutes faites. Le cynisme masculin qui transparaît parfois n’est pas cohérent avec la générosité initiale du personnage principal qui touche à l’abandon et son épouse mieux traitée dans ses dilemmes n’aurait-elle pas dû avoir dans ces années plus le soucis de son indépendance ?
    Arnaud B.
    Arnaud B.

    8 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2017
    Alors oui le film est à voir. Le rythm est calé. Les comédiens sont bons. De belles images.
    Mais par contre pourquoi appeler le film la communauté? Parce que ce n'est pas le sujet principale du film..
    pitch22
    pitch22

    148 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 février 2017
    Thomas Vinterberg nous pond, en collab avec Tobias Lindholm, un film au sujet excitant, qui aurait pu partir dans une réelle et intéressante confrontation des divers membres vivant sous le même toit. Or, au-delà de l'esprit très sincère mais solidaire et festif qui les anime, c'est dans la direction des marécages du dolorisme intime, surtout autour du couple initiateur de la «communauté», qu'on s'enfonce peu à peu. Une histoire de demi-mensonge et de demi-jalousie virant au pathos, malgré l'excellent jeu de Trine Dyrholm (Ours d'argent), ne suffit pas à rendre l’œuvre réellement attachante. Le portrait de cette nouvelle famille paraît finalement trop calme, trop sage, et ce n'est pas les problèmes cardiaques de l'enfant du groupe qui suffisent à soutenir l'intérêt de l'idée. Reste le portrait de l'échec d'un couple, entre une présentatrice TV dépressive et un chef de famille chez qui l'utopie de transparence ou de polyamour ne résiste pas à l'esprit égoïste et sanguin qui l'anime. De ce point de vue, c'est plutôt bien rendu. A noter que ce film, qui se passe dans les années 1970, comporte un nombre incalculable d'allumage de clopes, sans parler des bouteilles d'alcool sifflées.
    isakkk
    isakkk

    14 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2017
    Très beau film sur la vie qui passe, un portrait de Femme de 50 ans sublime au début du film et qui subit des épreuves qui l'affaiblissent et la mettent à nu.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 février 2017
    elle est présentatrice de télé, il est architecte, il a une maitresse ils vivent en communauté . dur dur pour eux comme pour nous. aucun intérêt si non de promouvoir le tabac . bâclé, ridicule avec des scènes érotiques même pas bien filmées. enfin , c'est d'un ennui insupportable , a oublier vite vite.
    Emma Schell
    Emma Schell

    9 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2017
    C'est décidé ! J'arrête de regarder LE CERCLE -émission de critique ciné présentée par Augustin Trapenard sur CANAL -. Mais pourquoi cela ? vous demandez vous... peut-être ? D'une part à cause des chroniqueurs qui, à argumenter à qui mieux mieux, finissent inexorablement par spoiler le contenu d'un film, mais aussi parce que j'ai trouvé particulièrement injuste les mauvaises notes données à "La Communauté". Puisqu'il m'est impossible d'apporter ma contradiction sur leur plateau télé, je vais le faire Ici et Maintenant.

    Dans le désordre, j'ai listé les principaux griefs reprochés au film de Thomas Vinterberg (réalisateur de l'oppressant FESTEN) :

    une lumière pâle, des couleurs délavées, trop de grains, une mise en scène plate et prévisible, un film qui porte mal son nom puisque la communauté n'est pas le seul sujet abordé.
    Petit rappel aux chroniqueurs du Cercle, le film se déroule en 1970 (le fluo des années 80 n'était pas encore à la mode), en plein hiver (journée courte où le soleil brille par son absence), et à Copenhague (ville qui invite davantage au mystère qu'au batifolage). Ajoutez à cela, un réalisateur membre du Dogme 95 (association ciné. dont le but est de revenir à une sobriété formelle en réaction aux superproductions et à l'utilisation abusive d'artifices aboutissant à des produits formatés, impersonnels), il n'y a rien d'étonnant à voir un film au sobre et dépouillé.

    Concernant le 3ème point de discorde, j'ai envie de dire : un partout, balle au centre !

    Si la première partie du film se veut joyeuse, animée par les échanges et l'insousciance du "Vivre Ensemble" ; progressivement, le film va glisser vers une seconde partie beaucoup plus sombre (au propre comme au figuré). Thomas Vinterberg finit par nous proposer le portrait sans fard d'une femme, délaissée par son mari volage et bien seule au milieu de ses colocataires -chapeau à Trine Dyrholm (Ours d'Argent de la meilleure actrice à Berlin) de réussir à nous emporter avec elle dans sa tourmente-.

    Moralité de La Communauté : Il est peu d'êtres sur lesquels on puisse compter, qui soient réellement des secours, des appuis, des conseils, des affections. Tous les autres se contentent de paroles vides, de protestations creuses, de simagrées qui n'engagent à rien. Ô mes amis, disait mélancoliquement Aristote, il n'y a pas d'amis !
    Citation de Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 25 décembre 1879.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    60 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2017
    La Communauté de Thomas Vinterberg est un film qui marche dans les pas des précédents, en disséquant les dysfonctionnements propres aux humains, ici une communauté et un couple. Mais un film en demi-teintes, avec des personnages peu caractérisés et comme tiraillés entre plusieurs directions. Malgré la performance de Trine Dyrholm et des autres acteurs, le film n’atteint pas le niveau de ses précédents films.
    tixou0
    tixou0

    640 abonnés 1 972 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    Comment (essayer de) vendre le dernier Vinterberg ? Affirmer en haut de l'affiche l'annonçant, que c'est son "meilleur film depuis Festen"..... Promesse pas du tout tenue ! Le cinéaste de l'excellent "La Chasse" fait plus raté encore que son film américain raté, "Loin de la foule déchaînée". Ce "La Communauté" fait dans ce que le cinéma scandinave (souvent très intéressant) peut faire de pire - on dirait même une caricature dudit.... Le fin mot de l'histoire : les états d'âme d'une quadra à la suite d'un banal adultère bourgeois (Monsieur se payant une de ses étudiantes, qui a la moitié de l'âge de sa légitime), mais reconditionnés au prisme d'un "art de vivre" à la mise en place duquel elle est à l'origine : celui de la vie en phalanstère (pré - on est en 1975) bobo (organisé dans la grande maison bourgeoise, dont son mari a hérité). Cette variable apporte-t-elle un supplément cinématographiquement intéressant ? Pas le moins du monde. Au résultat, on a du verbeux, du creux, du fumeux. Se conjuguant pour faire de l'ennuyeux - du très ennuyeux.... Une étoile (quand même...) pour l'actrice principale (Madame, qui a ses vapeurs), Trine Dyrholm (découverte pour ma part dans "Les Héritiers", série diffusée il y a quelques mois sur Arte).
    Fiers R.
    Fiers R.

    60 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 janvier 2017
    L’idée d’un film sur plusieurs personnes décidant de vivre ensemble dans une communauté au Danemark durant les années 70, une période à l’ouverture d’esprit immense et qui augurait de tous les possibles, était une excellente idée de film. Surtout que Thomas Vinterberg a fait ses preuves en film de groupe avec « Festen », son chef-d’œuvre, et que son récit est en partie autobiographique. Dommage de voir à quel point le cinéaste danois passe totalement à côté de son sujet pour nous livrer un film tiède et décevant.

    Le problème majeur de « La Communauté » vient de son scénario qui, au lieu de se focaliser sur cet excellent postulat de la vie à plusieurs dans une sorte d’immense colocation entre adultes, se perd dès le premier quart du film dans une toute autre direction, plus consensuelle et surtout beaucoup moins intéressante. On assiste ensuite plutôt à un adultère douloureux si l’on prend l’évolution de l’intrigue sous l’angle dramatique ou à un triangle amoureux si on la perçoit du côté romantique ou sentimental. Le film s’enlise alors dans la trivialité la plus complète où l’argument de base, pourtant captivant, devient simplement contextuel.

    Heureusement, Trine Dyrholm en épouse trompée mais consentante livre une interprétation digne et puissante. Elle est le cœur vibrant du film et c’est grâce à elle que l’on pardonne l’errance narrative qui se joue sous nos yeux. Tout ce qui aurait pu faire le sel d’un tel sujet part en cendres plus le film avance. Les habitants de la maisonnée ne sont jamais creusés à tel point qu’on ne pourra même pas avancer qu’ils se contentent d’être des stéréotypes - écueil possible du film de groupe. Non, ils ne servent strictement à rien, l’équivalent de figurants améliorés. Vinterberg a clairement loupé son film en changeant de direction et de propos.

    On passe tout de même un moment loin d’être désagréable, mais qui n’est rien de plus qu’un drame de couple maquillé en chronique générationnelle. Sur la fin, quelques envolées lyriques et beaux moments nous frustrent encore plus en nous laissant deviner ce qu’aurait pu être « La Communauté » s’il avait tenu son cap de départ. Las, on préfère oublier ce faux pas de la part du réalisateur scandinave et s’en remettre à l’un de ses derniers films « La Chasse », mal aimé mais pourtant bien plus puissant et marquant.
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