Mon compte
    La Communauté
    Note moyenne
    3,2
    418 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Communauté ?

    53 critiques spectateurs

    5
    3 critiques
    4
    9 critiques
    3
    22 critiques
    2
    13 critiques
    1
    5 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    btravis1
    btravis1

    100 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 janvier 2017
    Film sans inspiration, qui rate complètement son sujet, la vie en communauté. Le film ne raconte finalement qu'une rupture et la dépression qui finit par ronger intérieurement la femme délaissée qui se sent vieillir, perd ses repères et n'accepte plus cette situation. Le tout est ennuyeux au possible, absolument le contraire des meilleurs films de vinterberg qui restent festen et la chasse, et certainement pas celui-ci, à oublier au plus vite.
    Benjamin A
    Benjamin A

    658 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 janvier 2017
    C'est dans les années 1970 que nous transporte Thomas Vinterberg avec La Communauté, nous faisant suivre la création d'une communauté qui risque, chaque jour, d'être mise en péril par le comportement de chacun...

    Le metteur en scène du génial La Chasse revient dans son Danemark natal pour une oeuvre le ramenant à sa propre vie, et jeunesse, lui qui a vécu durant une douzaine d'années dans une communauté. Démarrant sur des problèmes d'argents qui vont déboucher sur des colocations puis une communauté, le film prend son temps pour poser les enjeux, présenter les personnages et mettre en place l'élément déclencheur, Vinterberg sachant nous immerger dans ce quartier huppé de Copenhague.

    Le cinéaste danois s’interroge donc sur la question communautaire et de vie commune, se demandant si une vie heureuse se trouve au côté d'autrui ou non. Il semble évident que la réponse se trouve dans le choix des personnes, et Vinterberg opte ici pour un ton plutôt dramatique, où les personnages sont confrontés au bonheur éphémère et surtout naïf, dont la dure réalité n'est jamais bien loin de les rattraper.

    Plus le film avance, plus l'on découvre les dysfonctionnements dans cette communauté, où les pulsions humaines, parfois individualistes, ont raison du reste. C'est dans les personnages que le film trouve sa plus grande réussite, et si certains sont légèrement sous-exploités, ils sont tout de même intéressants et on suit avec intérêt leurs évolutions et les relations qu'ils vont entretenir (bien que l'écriture réserve parfois de mauvaises surprises), et la façon dont tout cela va et doit se terminer.

    Vinterberg a néanmoins du mal à faire ressortir de réelles sensations de ces personnages et enjeux, tout comme La Communauté pâtit d'une certaine baisse de rythme en cours de récit et ce malgré des rebondissements parfois inattendus. C'est dans la vision de l'illusion du bonheur et de l'équilibre humain que le film demeure captivant, ainsi que dans ses comédiens, tous impeccables, notamment Ulrich Thomsen et Trine Dyrholm.

    Thomas Vinterberg propose avec La Communauté une oeuvre forte par ses thématiques et sa vision de l'humain et du bonheur mais trouvant des failles dans la mise en scène et l'émotion proposée, dommage.
    Pascal G
    Pascal G

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2017
    Det er et fantastisk dansk film!
    Bien que ça ne restera pas un chef d'œuvre, on passe un excellent moment en compagnie d'une joyeuse troupe. Mais comme dans tout, l'harmonie n'a qu'un temps.
    Yves G.
    Yves G.

    1 323 abonnés 3 319 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2017
    Thomas Vinterberg a connu, alors qu’il n’avait pas trente ans, une célébrité aussi méritée qu’encombrante pour son premier film, « Festen ». On se souvient de ce huis clos étouffant, de ce règlement de comptes autour d’un dîner de famille. Depuis, le réalisateur danois a tourné une demie-douzaine de films qui souffrent de la comparaison avec ce chef d’œuvre de jeunesse.

    Tel est le cas de son dernier film en date. On y retrouve, bien vieillis, quelques uns des protagonistes de « Festen ». Anna (Tryne Dyrholm) et Erik (Ulrich Thomsen) forment un couple cinquantenaire qui, héritier d’une immense demeure en plein centre de Copenhague, décide, pour partager les frais de fonctionnement de la maison et pour combattre l’ennui qui menace leur couple, d’y accueillir quelques colocataires. On est dans les années 70 ; mais la toile de fond historique importe peu et l’action aurait aussi bien pu se dérouler aujourd’hui.

    « La Communauté » raconte comment se constitue une communauté, comment ses membres se choisissent, comment la vie entre eux s’organise. On aurait pu craindre une approche trop manichéenne : après l’euphorie des commencements, la douloureuse découverte des servitudes du quotidien. « La Communauté » n’est pas si simpliste et, sans rien nier des impasses dans lesquelles l’ultra-démocratie conduit, ne jette pas le bébé avec l’eau du bain.

    Mais le film raconte surtout l’histoire d’un couple qui se dissout. Le héros, qui voit sa femme s’éloigner, tombe amoureux d’une jeune et jolie étudiante. Pour éviter de le perdre, sa femme accepte qu’il l’installe dans la communauté. Cette union à trois rencontre vite d’évidentes limites.

    L’une des plus grandes réussites du film est le personnage de leur fille adolescente qui observe, sans mot dire, l’évolution de ses parents. Tandis qu’elle aussi connaît ses premières amours adolescentes, elle est tour à tour amusée par le joyeux désordre introduit par l’arrivée des colocataires, choquée par les infidélités de son père et effondrée par la réaction de sa mère.
    ffred
    ffred

    1 531 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2017
    Déjà bientôt vingt ans que Festen nous a ébranlé. Thomas Vinterberg n’a jamais vraiment renouvelé l’exploit depuis. Après un ratage (La chasse), un passage anglais pas vraiment convaincant (Loin de la foule déchainée) et malgré un film bien noir (Submarino), il ne nous convainc pas vraiment une nouvelle fois. Non pas que La communauté soit raté. Ça part même plutôt bien. On s’attend alors une comédie débridée et décalée. Qui bifurque bien vite vers le drame familial et le drame tout court. On ne sait plus trop alors sur quel pied danser. Malgré tout, la mise en scène est solide, l’époque (les années 70) bien rendues (scénario très autobiographique de la part de Vinterberg) et l’interprétation de qualité. Belle prestation de Trine Dyrholm (prix d’interprétation à Berlin cette année pour ce rôle), d’Ulrich Thomsen (Festen) et de l’ensemble du casting. Le film a son charme mais je m’attendais à un peu plus de mordant, de corrosif, de politiquement incorrecte pour une chronique sociale et un portrait de femme un peu plus prenant. En cela, on reste un peu sur notre faim. On passe malgré un bon moment pas désagréable...
    Christoblog
    Christoblog

    753 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2017
    L'avant-dernier film de Thomas Vinterberg (La chasse) m'ayant profondément déplu, c'est un peu inquiet que je suis allé voir La communauté.

    Le début du film est plutôt rassurant. En nous faisant immédiatement ressentir la folle ambiance des années 70 (la création d'une communauté d'individus qui partagent et définissent leur règles en commun), le cinéaste danois retrouve une partie de la maestria qu'il déployait dans Festen.

    La caméra caresse, enveloppe et martyrise à la fois. La mise en scène est urgente, brûlante et semble vouloir capter les moindres frémissements des personnages. Bientôt cependant, l'attachant portrait de la communauté devient un mélodrame conjugal, au sujet mille fois vu : un homme mûr quitte sa femme pour une jolie et jeune étudiante.

    Si la deuxième partie de La communauté se laisse regarder, la tension baisse tout à coup, et on ne saisit pas très bien comment les deux aspects du film s'enrichissent l'un l'autre : la communauté n'interagit pas vraiment avec le couple principal. Le scénario introduit artificiellement un évènement dramatique en fin de film, ce qui ne parvient pas vraiment à dynamiser le récit.

    Reste tout de même à porter au crédit du film, outre l'aspect prenant de la mise en scène, l'incroyable interprétation de l'actrice Trine Dyrholm, qui obtint à Berlin un prix d'interprétation féminine bien mérité.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    44 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2017
    Un professeur qui hérite d'une maison familiale qu'il trouve trop grande pour sa famille et il souhaite la vendre mais son épouse va l'en dissuader et elle souhaiterait pour partager les frais d'entretien vivre en communauté et il va falloir mettre des règles de vie commune et ce n’est pas toujours évident. Tous les personnages de cette communauté ont l'air de s 'apprécier et feront face aux problèmes qui surviendront au sein de leur communauté. A voir.
    Sandie M.
    Sandie M.

    4 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    Excellent, et d'une grande finesse, comme tout ce que réalise ce cinéaste. il nous fait réfléchir, aborde plusieurs sujets sans concession... bref, un fil dense et utile, à voir entre amis pour mieux débattre ensuite!!
    PLR
    PLR

    413 abonnés 1 492 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    Un film sur des gens énervants. Des bobos réinventant leur monde, essayant de se faire violence pour ne pas le reproduire mais n'y arrivant pas forcément.
    Ce qui donne donc un film énervant aussi. Mais ce n'est pas de la faute de la réalisation, des acteurs, de la mise en scène. C'est de la faute du sujet.
    La partie spoilée qui suit, juste pour ceux qui auraient envie de se mettre dans l'ambiance avant d'aller voir ce film. spoiler: Ah, cette scène ou d'aucuns ont oublié de mettre des croix quand ils prennent une bière dans le réfrigérateur ! Bon, pour ce coup-là amnistie des croix manquantes. Les bières consommées dont il n'a pas été pris attachement seront mises au compte du pot commun locatif. Une membre de la communauté fera alors remarquer que ceux qui ne consomment pas de bière payent quand même ! Ben oui, ce n'est pas juste. C'est voté quand même. La démocratie directe et participative ne conduit pas toujours à des choses justes...
    lionelb30
    lionelb30

    393 abonnés 2 512 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 janvier 2017
    Titre trompeur. La communaute n'a qu'un role secondaire. L'histoire est plus celle d'une famille qui va se desunir. Pas tres amusant et pas tres interressant non plus.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 janvier 2017
    Malgré le talent de son actrice principale, Trine Dyrholm, Ours d’argent de la meilleure actrice à Berlin, le film tourne en rond, comme si le réalisateur avait déserté le plateau, faute d’inspiration.

    LA SUITE :
    Éric De Larmor
    Éric De Larmor

    12 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 janvier 2017
    La Communauté démarre sur un ton bon enfant, enjoué, faussement naïf, mais insensiblement un glissement s'opère, et le film prend la dimension d'un tableau à la fois tragique et jubilatoire des mœurs des Seventies, de leurs idéaux, de leurs rêves aussi généreux qu'illusoires. Nous sommes bien dans la lignée du décapant Festen.
    C'est un héritage qui va tout chambouler. Eric se retrouve soudain à la tête d'une imposante propriété familiale : 450 m2 habitables entourés d'un sympathique parc arboré. L'émotion qu'il ressent à visiter la maison bourgeoise de son enfance ne l'empêche nullement d'avoir l'intention de la vendre sans tarder : trop grande, trop chère à entretenir. Entre le cœur et la raison le choix est vite fait. Comme toujours il opte pour la tranquillité d'une vie sans encombre. Tout semble aller si bien… Peut-être trop bien ? Car Anna lui glisse à l'oreille qu'un peu de piment dans leur routine trop bien huilée ne serait pas pour lui déplaire. Pourquoi ne saisiraient-ils pas au vol la folie douce de certaines idées de ces roaring seventies ? Pourquoi ne s'enhardiraient-ils pas à monter une petite communauté ? Une sorte de colocation entre gens qui se choisiraient mutuellement, unanimement. Eric est évidemment réticent mais il ne sait pas résister à celle qu'il aime. Freja, qui est à l'âge des expériences, suit le mouvement, réjouie par ce vent de liberté, cette joyeuse pagaille qui lui ouvre de nouvelles perspectives.

    Vont s'en suivre des entretiens improbables et cocasses pour sélectionner les futurs élus qu'une Anna devenue pétillante, pleine d'une énergie contagieuse, entraîne dans la valse. La communauté s'étoffe donc au gré des rencontres, des désirs et des besoins des unes et des autres, sans véritable projet structurant. Sans le savoir Anna vient d'introduire le grain de sable dans la belle mécanique d'une vie familiale jusqu'ici harmonieuse, même si elle manquait de surprise. Car l'extrême tolérance que prêche son épouse va autoriser Eric à se permettre ce dont il n'aurait jamais eu l'idée auparavant : il se lance dans une liaison passionnée avec une de ses étudiantes… Il l'avoue à Anna. Qui encaisse le coup, qui souffre mais qui accepte. Qui accepte même qu'Emma vienne vivre sous leur toit… À partir de ce moment-là le frêle socle sur lequel repose la petite communauté va peu à peu se fissurer…
    Très très bon film qui nous a régalé !
    Min S
    Min S

    51 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2017
    Excellent film sociologique, profond qui montre bien la nature humaine,les croyances, la douleur, les choix de vie et les conséquences ....
    dominique P.
    dominique P.

    794 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 janvier 2017
    Je suis partagée par ce film.
    D'un côté le film est très bien réalisé et très bien interprété.
    On ne s'ennuie pas et la tension psychologique est là.
    D'un autre côté, ce monsieur qui cède si facilement à l'adultère et sa femme qui accepte cela si facilement aussi avec l'installation de la maîtresse au domicile, c'est vraiment exagéré et tiré par les cheveux.
    On sait dès le début que cela va finir par dégénérer et donc au final pas très bien se passer.
    Donc bilan mitigé.
    Dan C
    Dan C

    20 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2017
    On part d'une utopie pour arriver aux déboires de la vie. J'ai adoré. Les deux actrices principales sont extraordinaires.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top