Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Si cette fresque pourra sembler un brin démonstrative au public français, elle se révèle profondément ancrée dans la culture afro-américaine notamment dans sa représentation de la religion.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Un drame historique poignant parfois insoutenable, un sujet fort porté par un souffle romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Nate Parker traite de la ségrégation esclavagiste des années 1830 aux Etats-Unis avec assez de justesse pour inspirer la révolte, sans tomber dans la complaisance. Bien écrit, mis en scène et interprété. Édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Inspiré par des faits et un personnage réels, passablement revus et corrigés, un récit classique, édifiant et émouvant.
Le Figaro
par Laura Terrazas
Inévitablement comparé au triplement oscarisé "12 Years a Slave" de Steve McQueen, "The Birth of a Nation" se concentre peut-être plus subtilement sur l'oppression d'une communauté pour mieux questionner le reste de l'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Ici, pas de discours politiquement correct ni de romantisme dans le drame, juste la brutalité, la cruauté, l’entente impossible entre deux communautés. Si tout se passe il y a près de deux cents ans, le racisme d’hier explique celui d’aujourd’hui et le film rappelle qu’il n’est pas trop tard pour faire encore la révolution.
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce film — interdit aux moins de 12 ans — comporte des scènes très dures, parfois insoutenables, mais toujours à l'appui de la démonstration de Nate Parker, qui montre comment la violence sème peu à peu la révolte. La réalisation parfois lyrique et le jeu habité des comédiens servent eux aussi ce film puissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Valérie Marin la Meslée
En s'attaquant au personnage d'un esclave rebelle pour sa première réalisation, l'acteur afro-américain Nate Parker, qui tient aussi le rôle-titre, frappe fort.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
POUR : Le sujet n'est pas manichéen du tout. Il démonte d'abord l'image des esclaves dociles qui ramassaient le coton en chantant. Puis il montre comment on peu instrumentaliser un discours pour pousser les gens à faire le contraire de ce qui est bien pour eux.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une page sombre de l'Histoire américaine qu'il radiographie dans toute sa cruelle vérité. D'où la difficulté d'affronter certaines scènes insoutenables de ce film témoignage doublement récompensé au dernier Festival de Sundance.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Entre réflexion historique et fougue ardente, un film choc qui rappelle que l'Amérique s'est construite aussi avec le sang et la sueur des esclaves.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Helen Faradji
Un cri de colère particulièrement retentissant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Marie Soyeux
Ce film se veut donc une réponse historique et morale à Griffith – mais aussi cinématographique, retournant contre son imagerie raciste toute l’artillerie du 7e art. Sans subtilité à bien des moments, mais avec une indéniable efficacité, par ses images puissantes, ses scènes oniriques et ses acteurs habités.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Nate Parker évoque puissamment mais imparfaitement la barbarie de l’esclavage dans les Etats du Sud.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Classique mais sans génie, le premier film de l’acteur Nate Parker raconte un épisode sanglant, fondateur de la révolte anti-esclavagiste dans le sud des États-Unis. Parfois touchant, mais souvent trop démonstratif.
Ouest France
par La Rédaction
Violent, radical et engagé, un film parfois bancal mais salutaire.
Paris Match
par Yannick Vely
Le film a aussi le malheur de passer après «Twelve Years A Slave» de Steve McQueen, chef d'oeuvre récompensé de l'Oscar du film. Il ne soutient pas la comparaison, ni sur le plan de la mise en scène, ni sur celui de la construction narrative, tant le récit est linéaire, suivant le héros de son enfance à sa mort.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
(...) "The Birth of a Nation" ne réalise pas totalement toutes ses ambitions mais ne manque pas d'idées.
Culturopoing.com
par Samy El Hourch
Si l’intention militante est honorable – voire toujours indispensable – le résultat est plus que discutable. "The Birth of a nation" restera au moins un beau reliquaire à ranger aux côtés d’autres objets scolaires et hagiographiques, se gardant bien de toute profanation iconoclaste.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
LCI
par Marilyne Letertre
On est en revanche plus réservé sur le parti pris scénaristique, condamnant à juste titre la cruauté des esclavagistes tout en la filmant avec complaisance et en cautionnant a contrario la violence perpétrée au nom de Dieu. Regrettable, discutable et, de fait, moins pertinent que le "Twelve years a slave" de Steve McQueen sorti il y a trois ans.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Marianne
par Frédéric Bas
Si le film de Parker déçoit sur le plan artistique, trop soucieux d'appliquer les codes du biopic, trop scolaire, trop pédago, bien loin de la fougue pop du "Django Unchained" de Tarantino, il a néanmoins soulevé les passions outre-Atlantique (...).
VSD
par Bernard Achour
Une dénociation sincère mais guère novatrice de l'esclavagisme.
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Mal joué et kitsch, ce Birth of a Nation faute surtout par son manque de subtilité (…) On attendait un film moins réducteur et donc plus perturbant.
Critikat.com
par Benoît Smith
"The Birth of a Nation" ne semble exister que pour signaler aux aînés de Nate Parker, artisans plus chevronnés de grosses machines de prestige sans conscience, avec quelle efficacité servile il peut faire un travail comparable aux leurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
En est-on à ce point de régression intellectuelle et humaniste pour qu'un film soit obligé de mettre en scène cette période et le racisme qui va avec en réexpliquant ce que tout le monde devrait savoir et combattre ? Peut-être. Alors "The Birth of a Nation" est une défaite paradoxale de la pensée et du cinéma : nécessaire et raté, volontaire et déprimant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Une pure opération marketing, en somme, dont il ne restera pour seule singularité que le titre, "Birth of a Nation", un piratage assez gonflé du hit parade raciste de D.W. Griffith.
Libération
par Guillaume Gendron
Sous ses airs de projet militant et «nécessaire», financé par de riches mécènes (...), "The Birth of a Nation" témoigne avant tout du narcissisme de son auteur, obsédé par son alter ego messianique qu’il interprète d’une lèvre perpétuellement tremblante - de peur, de frustration, de rage…
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Avec un sujet aussi grave, une telle absence de réflexion politique et cinématographique confine à la faute morale. N'est pas Steve McQueen qui veut.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
CONTRE : Scénario manichéen, personnages réduits à leur plus simple appareil dramatique, musique écrasante et enfilade de clichés et d'images d'Épinal sur la période. Ce n'est plus un film, mais une attraction Disney !
Télérama
par Samuel Douhaire
Le titre se veut une réponse au "Naissance d'une nation" de David W. Griffith. Ce film de 1915, si raciste soit-il, était pionnier dans sa mise en scène. Celui de Nate Parker, d'une complaisance malsaine dans la représentation de la violence, ne vaut pas un clou dans sa forme... et est très embarrassant sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Si cette fresque pourra sembler un brin démonstrative au public français, elle se révèle profondément ancrée dans la culture afro-américaine notamment dans sa représentation de la religion.
Femme Actuelle
Un drame historique poignant parfois insoutenable, un sujet fort porté par un souffle romanesque.
Franceinfo Culture
Nate Parker traite de la ségrégation esclavagiste des années 1830 aux Etats-Unis avec assez de justesse pour inspirer la révolte, sans tomber dans la complaisance. Bien écrit, mis en scène et interprété. Édifiant.
Le Dauphiné Libéré
Inspiré par des faits et un personnage réels, passablement revus et corrigés, un récit classique, édifiant et émouvant.
Le Figaro
Inévitablement comparé au triplement oscarisé "12 Years a Slave" de Steve McQueen, "The Birth of a Nation" se concentre peut-être plus subtilement sur l'oppression d'une communauté pour mieux questionner le reste de l'humanité.
Le Journal du Dimanche
Ici, pas de discours politiquement correct ni de romantisme dans le drame, juste la brutalité, la cruauté, l’entente impossible entre deux communautés. Si tout se passe il y a près de deux cents ans, le racisme d’hier explique celui d’aujourd’hui et le film rappelle qu’il n’est pas trop tard pour faire encore la révolution.
Le Parisien
Ce film — interdit aux moins de 12 ans — comporte des scènes très dures, parfois insoutenables, mais toujours à l'appui de la démonstration de Nate Parker, qui montre comment la violence sème peu à peu la révolte. La réalisation parfois lyrique et le jeu habité des comédiens servent eux aussi ce film puissant.
Le Point
En s'attaquant au personnage d'un esclave rebelle pour sa première réalisation, l'acteur afro-américain Nate Parker, qui tient aussi le rôle-titre, frappe fort.
Studio Ciné Live
POUR : Le sujet n'est pas manichéen du tout. Il démonte d'abord l'image des esclaves dociles qui ramassaient le coton en chantant. Puis il montre comment on peu instrumentaliser un discours pour pousser les gens à faire le contraire de ce qui est bien pour eux.
Télé 7 Jours
Une page sombre de l'Histoire américaine qu'il radiographie dans toute sa cruelle vérité. D'où la difficulté d'affronter certaines scènes insoutenables de ce film témoignage doublement récompensé au dernier Festival de Sundance.
aVoir-aLire.com
Entre réflexion historique et fougue ardente, un film choc qui rappelle que l'Amérique s'est construite aussi avec le sang et la sueur des esclaves.
Bande à part
Un cri de colère particulièrement retentissant.
La Croix
Ce film se veut donc une réponse historique et morale à Griffith – mais aussi cinématographique, retournant contre son imagerie raciste toute l’artillerie du 7e art. Sans subtilité à bien des moments, mais avec une indéniable efficacité, par ses images puissantes, ses scènes oniriques et ses acteurs habités.
Le Monde
Nate Parker évoque puissamment mais imparfaitement la barbarie de l’esclavage dans les Etats du Sud.
Les Fiches du Cinéma
Classique mais sans génie, le premier film de l’acteur Nate Parker raconte un épisode sanglant, fondateur de la révolte anti-esclavagiste dans le sud des États-Unis. Parfois touchant, mais souvent trop démonstratif.
Ouest France
Violent, radical et engagé, un film parfois bancal mais salutaire.
Paris Match
Le film a aussi le malheur de passer après «Twelve Years A Slave» de Steve McQueen, chef d'oeuvre récompensé de l'Oscar du film. Il ne soutient pas la comparaison, ni sur le plan de la mise en scène, ni sur celui de la construction narrative, tant le récit est linéaire, suivant le héros de son enfance à sa mort.
Première
(...) "The Birth of a Nation" ne réalise pas totalement toutes ses ambitions mais ne manque pas d'idées.
Culturopoing.com
Si l’intention militante est honorable – voire toujours indispensable – le résultat est plus que discutable. "The Birth of a nation" restera au moins un beau reliquaire à ranger aux côtés d’autres objets scolaires et hagiographiques, se gardant bien de toute profanation iconoclaste.
LCI
On est en revanche plus réservé sur le parti pris scénaristique, condamnant à juste titre la cruauté des esclavagistes tout en la filmant avec complaisance et en cautionnant a contrario la violence perpétrée au nom de Dieu. Regrettable, discutable et, de fait, moins pertinent que le "Twelve years a slave" de Steve McQueen sorti il y a trois ans.
Marianne
Si le film de Parker déçoit sur le plan artistique, trop soucieux d'appliquer les codes du biopic, trop scolaire, trop pédago, bien loin de la fougue pop du "Django Unchained" de Tarantino, il a néanmoins soulevé les passions outre-Atlantique (...).
VSD
Une dénociation sincère mais guère novatrice de l'esclavagisme.
Cahiers du Cinéma
Mal joué et kitsch, ce Birth of a Nation faute surtout par son manque de subtilité (…) On attendait un film moins réducteur et donc plus perturbant.
Critikat.com
"The Birth of a Nation" ne semble exister que pour signaler aux aînés de Nate Parker, artisans plus chevronnés de grosses machines de prestige sans conscience, avec quelle efficacité servile il peut faire un travail comparable aux leurs.
L'Express
En est-on à ce point de régression intellectuelle et humaniste pour qu'un film soit obligé de mettre en scène cette période et le racisme qui va avec en réexpliquant ce que tout le monde devrait savoir et combattre ? Peut-être. Alors "The Birth of a Nation" est une défaite paradoxale de la pensée et du cinéma : nécessaire et raté, volontaire et déprimant.
Les Inrockuptibles
Une pure opération marketing, en somme, dont il ne restera pour seule singularité que le titre, "Birth of a Nation", un piratage assez gonflé du hit parade raciste de D.W. Griffith.
Libération
Sous ses airs de projet militant et «nécessaire», financé par de riches mécènes (...), "The Birth of a Nation" témoigne avant tout du narcissisme de son auteur, obsédé par son alter ego messianique qu’il interprète d’une lèvre perpétuellement tremblante - de peur, de frustration, de rage…
Positif
Avec un sujet aussi grave, une telle absence de réflexion politique et cinématographique confine à la faute morale. N'est pas Steve McQueen qui veut.
Studio Ciné Live
CONTRE : Scénario manichéen, personnages réduits à leur plus simple appareil dramatique, musique écrasante et enfilade de clichés et d'images d'Épinal sur la période. Ce n'est plus un film, mais une attraction Disney !
Télérama
Le titre se veut une réponse au "Naissance d'une nation" de David W. Griffith. Ce film de 1915, si raciste soit-il, était pionnier dans sa mise en scène. Celui de Nate Parker, d'une complaisance malsaine dans la représentation de la violence, ne vaut pas un clou dans sa forme... et est très embarrassant sur le fond.