Avis : Super Mario Bros, le film - Page 5

Fan depuis mon enfance, ce film enchaîne les références aux jeux vidéos et ce n'est que nostalgie minute après minute. Pas de temps mort. Une pépite

il est parfait. Le scénario peut paraître simple mais en réalité c'est secondaire , car des le début on est happé par tout l'univers des frère plombiers. vous rigolerez aussi beaucoup parents et enfants.

N'en déplaise aux aigris, nous avons adoré ce film. Drôle, très joli et terriblement nostalgique pour les plus grands. Un deuxième opus est largement envisageable quand on pense aux personnages mythiques qui n'ont pas encore été exploités 🤩

Mario est le personnage de jeu vidéo qui a bercé mon enfance. Alors dès le premier trailer, la hype était au rendez-vous : une animation magnifique, des réfs à tire larigot...

Ma réaction face à ce film est plus mitigée au final. L'Univers est pétillant, tous les clins d'oeils et petites blagues sont top, Bowser est très drôle dans son rôle de lover toxique qui ne comprend rien à comment l'amour fonctionne et qui oscille entre le mignon et le franchement creepy.

Mais pour moi, trop de défauts qui empêchent ce film d'être vraiment mémorable. Avoir un Mario IRL n'amène au final pas grand chose, parce que l'intrigue dans son New-York de base n'amène à mon sens franchement rien. Un antagoniste en plus, inutile. Des scènes de famille qui ne font rien pour contribuer à l'histoire. Un character arc qui à mon sens manque de cohérence puisque de ce que j'en retiens, Mario apprend à avoir confiance en lui au long du film parce qu'il se sent petit et pas désirable, mais en réalité il fait preuve de courage et de compétence depuis la scène où on le voit gamin défendre luigi, puis quand il faut sauver Brooklyn. Donc un peu artificiel à mon sens d'avoir voulu axer le film sur une quête un peu bateau de la confiance en soi.

Ensuite, la quête de Luigi est inutile. Pendant tout le film, Luigi ne sert à rien à part à un moment à la fin. La relation avec Mario est jamais creusée au delà du côté "on se comprend on se complète on s'adore". Je pensais que les deux allaient suivre des aventures de leur côté et se retrouver pour le final mais bon, le réal a préféré que Luigi se fasse capturer dès son arrivée. Pour ensuite perdre son temps dans des scènes avec les cages.

Les scènes d'action pour moi manquent aussi de signification. Même si elles sont réussies techniquement, à part dans la scène d'entraînement Mario ne doit jamais rien à sa détermination, sa compétence ou autre pour combattre qui que ce soit : toutes ses réussites sont dûes presque exclusivement à ses powerups. Que ce soit la transformation en chat, ou le très décevant combat de fin avec le pouvoir de l'étoile. Rien n'est mérité au final, on reste sur notre fin. Là où Peach est plus intéressante puisqu'elle laisse beaucoup moins ses combats à la chance.

L'histoire avec Peach aussi me paraît pas naturelle. Les circonstances dans lesquelles ils se rencontrent, le fait que Peach se trimballe Mario et prenne le temps de l'entraîner alors qu'elle est dans une situation d'urgence absolue puisqu'elle doit sauver son peuple.

L'intrigue avec les Kongs complique l'histoire et rajoute des personnages à mon sens plus pour montrer qu'on est dans l'univers Mario que pour faire progresser l'histoire. Les guerriers Kong n'ont jamais été utiles dans l'histoire alors que ça a occupé un bon tiers du film d'aller les recruter. C'est un peu dommage.

Bon bref toute cette énumération pour dire que ça suffit pas de faire un film tout beau tout coloré avec des personnages tout mignons pour faire une histoire engageante alors que le potentiel était clairement là. Pour moi une occasion manquée.

Ce film est une leçon sur comment on adapte un univers de jeux video, c'est drôle sans être ridicule, bien rythmé et pleins de détails sympa comme des références à l'univers nintendo et des thèmes très connu, foncez voire cette merveille.

The Super Mario Bros. Movie s’affirme tel un divertissement de bonne tenue, à l’animation soignée et fluide qui témoigne de la qualité du studio américain Illumination. Les différents univers bénéficient chacun d’une colorimétrie spécifique, empruntée à la fois aux jeux vidéo et aux codes axiologiques qui régissent nos représentations du bien et du mal : le Royaume Champignon multiplie les couleurs chaudes et vives là où le territoire de l’antagoniste Bowser cultive noirceur et esthétique gothique ; Brooklyn est restitué dans son aspect grouillant et convivial, fidèle en cela aux stéréotypes du district.
L’introduction de deux frères étrangers aux mondes vidéoludiques et leur initiation par paliers successifs facilitent l’immersion de tout spectateur, qu’il soit joueur ou non. Les séquences d’action, quoique trop bruyantes et épileptiques par moments, attestent un soin porté à la lisibilité d’ensemble ; elles sont desservies par un goût prononcé pour les ralentis inutiles qui applique une imagerie épique contemporaine sans jamais la penser ni même la réviser. Là se trouve la limite d’une telle production destinée à un public conquis d’avance : assembler des morceaux de jeux que l’on intègre dans une structure narrative actancielle, dont le schéma semble identique aux précédentes réalisations du studio voire de ses concurrents (Disney, Warner). Cette fainéantise d’écriture s’avère d’autant plus dommageable que les jeux Mario avaient su, eux, se réinventer en permanence et donner leurs lettres de noblesse à des dispositifs vidéoludiques déjà existants. Elle aurait pu se voir conjurer par la parodie, registre parfois exploité – notamment dans la relation qui unit Bowser à la princesse – mais qui demeure superficiel : le cas de la cérémonie de mariage en constitue la preuve parfaite, puisqu’aussitôt installée elle se désavoue, engloutie sous la nécessité de la course générale du récit et de ses personnages. Il manque un angle d’attaque singulier justifiant l’adaptation cinématographique, et le duo de réalisateurs Aaron Horvath/Michael Jelenic ne vaut pas celui formé par Phil Lord et Chris Miller sur les Lego Movies.
En résulte une bonne surprise, un divertissement anodin mais plaisant, similaire en cela à un parc d’attractions, qu’il serait facile de disqualifier au regard des placements de produits établis – puisque l’entièreté du film est une publicité, comme le sont les parcs Disneyland ou Astérix.

Oui, carrément 5 étoiles. Les critiques concernant l'histoire, la parentalité de Mario etc n'ont pas de raison d'être. ils ont choisi cette voie pour les faire arriver dans le monde champignon, c'est un choix qu'il faut respecter. Pour les non connaisseurs ou les non fans des films d'animation il n'apportera rien du tout, mais il n'a clairement pas été fait pour ce dessein. Les fans seront aux anges au regard des centaines de clins d'œil à l'univers du célèbre plombier et à Nintendo en général. Les musiques et le sound design respectent les jeux, on y retrouve les mélodies qu'on aime tant. Le boulot d'Illumination est plus qu'impressionnant avec un travail sur les textures absolument fabuleux. Ce film est une véritable pépite et deviendra un classique qui portera encore plus loin l'influence des jeux vidéo. Yes !

Assez tôt dans le film une réplique m’a chatouillé l’oreille : «  ça n’est pas une pub, c’est un film » . Le dire c’est bien le faire ça aurait été mieux. Car ce Super Mario Bros ne ressemble qu’à une longue réclame pour le célèbre plombier de Nintendo et les multiples jeux où il apparaît depuis plusieurs décennies. Attention ça n’est pas mauvais non plus, l’aspect visuel est une réussite, la musique et les différentes variations de thèmes ultra connus aussi. Le rythme est soutenu, c’est efficace et les plus petits trouveront le compte. Mais il reste la désagréable impression que tout est marketté et inséré au chausse pied.

Oubliez la version live de 1993 (non vraiment, effacez-la de votre mémoire) et tournez-vous plutôt vers cette nouvelle adaptation-là.

Développé par les français de chez Illumination Studios (Moi, moche et méchant, Tous en scène), ce «Super Mario Bros. le film» remplit sans trop de problèmes le cahier des charges habituel du divertissement familial, tout en étant plus respectueux du matériau d'origine.

Projetés dans un univers magique, Mario et Luigi vont devoir le défendre aux côtés de la Princesse Peach, Toad ou encore Donkey Kong, et ce face au très méchant Bowser.

Prouvant qu'il n'y a que l'animation qui puisse réellement rendre justice au duo de plombiers le plus célèbre qui soit, ainsi qu'aux personnages et à l'univers haut en couleurs qui les entoure, le film déroule son intrigue (très simple et manichéenne, il ne faut pas trop lui en demander non plus) sans surprise mais sans temps mort, glissant ça et là des références à «Luigi's Mansion», «Mario vs Donkey Kong» ou encore «Mario Kart».

Énergique et visuellement très généreux (on sent que les animateurs se sont fait bien plaisir lors de certaines séquences), les 1h30 que dure le film passent sans trop de problèmes, même si on aurait voulu un peu plus de fond à la forme.

Basé sur le principe narratif de "personnages ordinaires à qui il arrive quelque chose d'extraordinaire", «Super Mario Bros.» reste un divertissement assez conventionnel et innocent, mais remplissant son contrat principal : nous divertir le temps du film, et ce de manière plutôt efficace. 6,5/10.

Une certaine presse a du perdre son âme d'enfant... Si tenter qu'ils l'ont déjà été un jour. J'y suis allé avec mon fils. Il a adoré et moi tout autant. Les effets visuels sont sublimes, l'histoire est forcément classique puisque tous les jeux mario tournent autour de ça mais très bien construite, la bande son est cool, et les références très nombreuses. Je recommande vivement !

J'hésite à placer ce film d'animation en chef d'oeuvre. Alors, évidemment, l'histoire autour de Mario, Luigi, la princesse Peach pour sauver Luigi de l'infâme Bowser ravira les plus jeunes adeptes du jeu de la Nintendo Switch mais également les plus anciens d'entre nous qui seront émerveillés devant l'histoire, l'animation, l'humour de ces personnages qui ont bercé notre enfance.
Bref : incontournable !!

J'ai été étonné que Nintendo mette autant de temps à sortir un film sur le célèbre moustachu sachant que Sega avait sorti son Sonic et même 2 films! Nous voilà donc balancer dans le monde de Mario avec tout les codes et références qui à fait et font toujours le succès mondial de cette franchise. Perso je suis team Sonic de base mais le film à pour lui de rappeler des souvenirs et j'y ai joué sur la NES oui oui et ainsi qu'a Mario Kart etc...donc cela fait plaisir de voir et revoir tout cela. Le film est bien rythmé tout du long et les 1h30 passe super vite.Vous nous mettez une dose d'humour, certes basiques mais sympathiques et vous passerez un bon moment. Après quand je lis toutes les critiques qui sont limites en extase...ouais ouais un peu de mesure, c'est un bon film mais pas un chef d'oeuvre! Cela me fait penser à Shazam qui est selon beaucoup une grosse bouse et qui n'est pas si nul et là l'inverse, ce fim grandiose pour la plupart et qui est sympa à voir. Plus de demi-mesure...dommage...les nuances c'est pas mal aussi.
Mes enfants ont bien aimé aussi.
NOTE : 6.5/10

Un bel hommage assez fun et divertissant. C'est avant tout du fan service avec plein de références, mais il délivre quelques surprises. Les enfants vont adorer, les plus grands resteront sur leur faim question scénario.

Super Mario Bros, le film est en fait un jouet d'éveil, ces jolis petits objets ronds et colorés dont nous appuyons frénétiquement sur les boutons et sommes récompensés en entendant les sons qu'il était attendu qu'il fasse.

Mario les bons tuyaux:

Résumé à la con : Un rejeté de la vie fait un caca nerveux parce que la fille sur qui il crush n’en a que faire de sa carapace et préfère trainer avec un moustachu qui porte des casquettes beaucoup trop grandes pour lui.

L’avis pas ouf : Pas la peine d’utiliser l’intégralité de vos boosters pour diriger votre Kart plus rapidement jusqu’à la salle de ciné la plus proche : Mario n’est pas le miracle tant attendu. Sans doute encore effrayé 30 ans plus tard par les retombées de son premier échec sur grand écran avec un nanar qui en aura certainement traumatisé plus d’un, Nintendo revient aujourd’hui avec un film qui en tentant de plaire à tout le monde, risque bien de passer à côté d’une partie de son public.

L’avis moins cool : On apprécie que la jouvencelle en détresse ne soit pas celle que l’on attend. Malheureusement, le film a beau dégouliner de couleurs vives et proposer une animation ultra qualitative, dans le fond tout ça manque cruellement de créativité et de folie. Le scénario est ultra basique et l’enchaînement des péripéties est aussi empressé que superficiel. On a beau fouiller chaque carapace, même les bleues à épines, impossible de dénicher la légère sous couche de profondeur qui aurait pu sublimer le tout.

Si tu veux rester dans l’univers des jeux vidéo mais en mieux :
- LES MONDES DE RALPH, 2012
- READY PLAYER ONE, 2018 - Steven Spielberg