Avis : Ils sont partout - Page 7

Fallait oser ! Démonter les clichés sur les juifs qui sont censés être riches ! Alors qu'il y en a des pauvres, des brigands, classe moyenne et quelques riches . Ils sont partout .... Les antisemites . Scènettes très drôles , voire loufoques avec Yvan Attal chez son psychanalyste comme fil conducteur ! J'ai adoré !

film pas drôle. pour une comédie c'est dommage. Il y a des bonnes idées mais elles sont mal exploitées. Quand on verse dans l'humour noir, faut aller jusqu'au bout sinon c'est la catastrophe. c'est le cas ici

Yvan Attal est chez son psy. Sa femme pense qu'il a un problème : il est obsédé par les juifs et l'antisémitisme.
Entre deux séquences chez le psy, Yvan Attal nous propose cinq scènes abordant les reproches antisémites les plus souvent entendus. On imagine qu'Yvan Attal souhaitait traiter son sujet avec humour et une certaine autodérision. Si celle-ci se perçoit parfois dans le rôle qu'il s'est attribué, les dialogues qu'il s'est écrits ont surtout l'allure de discours bien poussifs. Les idées de séquences sont originales mais souvent bancales et pas toujours très claires dans ce qu'elles sont censées démontrées. Surtout, l'ensemble n'est pas drôle. Même les comédiens pourtant de premier choix (Benoit Poelvoorde, Valérie Bonneton, François Damiens, Gilles Lellouch, Denis Podalydes, Gregoire Gadebois, Charlotte Gainsbourg, Dany Boon, Marthe Villalonga...) ne sonnent pas toujours justes. Le seul moment fort du film est une scène de trois minutes interprétée par Popeck. La scène la moins bavarde du film.
On aurait adoré aimer ce film. Mais Yvan Attal s'est totalement loupé dans cet exercice qui s'annonçait effectivement bien difficile.

Une très très moyenne dissertation sur le sujet. L'humour est trop souvent absent ou alors c'est du 4eme degré.

Un film à sketches avec une réunion d'acteurs assez sympa, des idées farfelues tout à fait bienvenues, dont une absolument géniale dont je ne parlerai pas pour ne pas spolier, une autodérision sympathique et une magnifique prestation de Popeck.
Un film qui ne s'adresse pas à la communauté juive, qui au contraire tord un peu et se moque de certains positionnements victimaire. Un bon divertissement qui ne se prend pas au sérieux et qui fera rire ou sourir. Un bon message républicain qui ne fera de mal à personne. Juif, pas juif, on s'en fout, c'est drôle et ça fonctionne.

Dommage. La bande-annonce était alléchante. Finalement le film est...raté. Les sketchs sont sans rythme. Ça sonne faux et surtout pour une comédie c'est jamais drôle. C'est dommage quand même...

J'ai rarement vu un film aussi NUL !!! 3 ou 4 histoires sur les clichés sur les juifs sans aucun rapport entre elles et vraiment pas terrible. Que sont venus faire dans ce films des acteurs comme D Boon, M. Villalonga ou Castel... A éviter !

Un humour dans l'excès qui peut être interprété comme du mauvais goût voire du dénigrement excessif (tout le monde n'a pas le même humour et certains gags peuvent être vexants, doit-on exclure des spectateurs pour autant ?). Le passage le plus tolérable est le premier, avec Poelvoorde et Bonneton, car on reste dans les clichés "gentillets" comparé à la suite qui est un peu "too much" : le Juif est avide d'argent, paranoïaque, banquier, dentiste, prie sans arrêt, se revendique tout le temps et se reconnaît dans un peuple fermé... C'est limite comme humour. Beaucoup n'ont pas apprécié, avec ou sans sens de la blague. Le passage avec Jésus peut également blesser les fervents croyants, les reprises maladroites "Je suis flic, Je suis Charlie" n'arrange pas le tableau, et les mots "Juifs" scandés d'un bout à l'autre du film sont lassants (on aurait pu élargir le sujet au lieu de faire un faux plaidoyer poussif), et que dire des clans de "roux" et "blonds" et, comble du mauvais goût des "malades d’Alzheimer"... On peut rire de tout, mais pas n'importe comment, et le passage sur les malades d'Alzheimer n'est pas drôle. Il n'y a pas d'histoire, pas d'action, pas de drame ni de romantisme, bref, il y a un certain vide... Une suite de scénettes très décevantes ou vexantes, à défaut d'être drôles.

Malgré une belle distribution et quelques vérités bien placées, ce film à sketch réalisé par Yvan Attal sur les clichés des Juifs n'est jamais drôle, et subit même dans sa deuxième partie une sortie de cadre qui devient du grand n'importe quoi. Une bouse de plus. Passez votre chemin.

Qui à produit ce film? C'est des...des...des mauvais producteurs évidement.Hé oui c'est à cette belle bande de ringards qui ont déjà produit déjà des daubes tels que les Francis,Nos femmes,Un moment d'égarement etc...que à qui l'on doit ce film. Il n'y avait qu'eux pour produire ils sont partout,y en a qui ont vraiment le blaire pour dénicher le talent. Ils transforment la merde en caillasse je dit chapeau. Voilà un bon truc pour démonter ces fameux préjugés attribués aux juifs. Les vertus ancestrales
Donc la volonté première d'yvan Attal est de démonter les préjugés qui entour sa communauté. Enfin il dit qu'il ne revendique pas le fait d’être juif,mais il fait un film là dessus. Si ça n'est pas revendiquer,je ne sais pas ce que c'est. Le truc c'est que quand on s'attelle à ce genre de chose il faut savoir le faire avec finesse,ce qui est bien loin d’être le cas d'Attal,vu qu'il prêche pour sa communauté. C’était justement l'erreur à ne pas commettre. Les goys sont de gros beaufs, d'ailleurs le ils sont partout leur est destiné. C'est la France entière qui n'aime pas les juifs et qui tape dessus,j'crois pas que ça soit le cas.

Il ne faut pas raccourcir (oh raccourcir c'est drôle,ouais j'assume ça m'amuse) la communauté juive à l'argent,mais que fait Attal quand il montre les autres il fait de bons vieux gros raccourcis qui n'apportent rien. C'est les clichés de ceux qui ne nous aiment pas,regardez c'est les autres qui ont des préjugés sur nous et c'est eux qui ne nous aime pas. Alors c'est certainement vrai qu'il y a des personnes qui n'aiment pas la juiferie,mais je pense que la majorité des gens n'en n'ont strictement rien à foutre du fait que quelqu’un soit juif ou pas. Il faut arrêter de penser que vous êtes le centre du monde. Attal se dit non religieux pourtant il se sent attaqué en tant que juif,c'est difficile à comprendre il n'est pas religieux mais il est juif,ça n'est pourtant pas une nationalité être juif. Il se revendique comme juif c'est difficilement compatible,car si on se revendique en tant que catholique ou juif c'est qu'on à un attachement même léger à cette religion. Quand Mocky regarde les césars et lui qui est Juif dit en regardant la cérémonie''quand tu fais un film sur la Shoah t'es sur d'avoir un prix...Ben oui ils préféreront le filer à ton film sur la Shoah plutôt qu'a une comédie avec un chien !'' C'est malheureusement vrai,le politiquement correct influence les gens dans la discrimination positive.

Le problème de ce genre des films s'est qu'il s'adresse à une communauté et il est clair qu'on le finance uniquement pour cette seule et unique raison,car comme personne ne le fait il y a une grande chance que la communauté dont on parle se sente concernée et donc qu'elle se rendre dans les salles. Attal va d'ailleurs exploité le filon en bd puisqu'il va faire,les noirs,les arabes,les handicapés,etc.... Si ça ce n'est pas exploiter un filon,qu'est ce que c'est?

Pas facile d’être drôle,l'humour juif n'a pas fonctionné ici,comique c'est un vrai savoir faire, je vais me mater une video youtube de dieudonné au moins lui est drôle. Il y a aussi south park qui ont un vrai recul sur la religion juive et les autres. Attal est loin d'avoir le savoir faire des auteurs de south park,et malheureusement Attal se prend à parler au nom de sa communauté qui n'a absolument pas besoin de ce genre de message maladroitement fait.

Ils sont partout, film à sketchs de Yvan Attal qui traite d'un sujet délicat à propos des Juifs au sein de la société. Après un Do not disturb plutôt cocasse au côté de son ami François Cluzet, le réalisateur a fait une production osée qui est sorti malgré tout, dans les salles de cinéma en France mais le résultat manque de finesse en jouant sur les clichés de cette culture juive. Partant d'une bonne idée sur le papier, Attal tient également le personnage principal dans son film et parle de ses séances chez le psy qui alternent avec des sketchs. Malheureusement, ceux-ci s'avèrent plus ou moins longs et plus ou moins drôles... Il y a un certain malaise en voyant Ils sont partout, les tentatives scénaristiques dans les séquences sont souvent poussives et ne séduit pas tant que ça ! Elles n'apportent pas d'éléments concrets. C'est trop bavard ! Malgré une galerie d'acteurs de luxe, le film ne réussit pas à faire rire ! Les dialogues ne sont pas grinçants, aucune scène mémorable. On arrache seulement un ou deux sourires pour dire... Grâce à l'interprétation de Benoît Poelvoorde en leader d'extrême droite qui découvre sa judéité sort du lot ! Le reste est peu convaincant... Dany Boon spoiler: en looser de son quartier, le seul juif qui n'a pas d'argent, divorcé de sa femme
(Charlotte Gainsbourg qui surjoue trop). Gilles Lellouche spoiler: envoyait en mission par le Mossad pour tuer Jésus en faisant un voyage dans le temps
est plutôt un sketch intéressant, peut être fou mais guère cocasse... L'apparition de Denis Podalydès est clairement inutile, de même pour notre belge qu'on aime beaucoup : François Damiens ! Mention spéciale au sosie de François Hollande. La mise en scène est assez monotone, le public s'ennuie à défaut d'un rythme peu calibré. Un réel manque de dynamisme de Yvan Attal... En bref, Ils sont partout était prometteur et possédait de bonnes intentions, pourtant le film en soi est une véritable déception. On s'attendait à rire mais on s'est trompé !

J'ai beaucoup apprécié ce film très original et très bien vu.
Cela m'a beaucoup plu.
Toutefois, sachez que l'ambiance est plutôt triste dans l'ensemble.
Le sujet est important, lourd et ce fut une très bonne idée de la part du réalisateur.

Sans parler de film comique pour un sujet grave pris de front, j'ai et la salle a beaucoup ri.
Il ya d'excellents acteurs - la grosse distribution n'est pas surfaite - qui jouent dans une serie de court-metrages , je ne parle pas de sketch car c'est 100% du cinéma, avec pour chacun des issues surprenantes.
Le sujet de l'antisemitisme est bien sur omnipresent mais donne lieu a des situations ou l'absurde devient jubilatoire.
Le theme de nos jours ne pouvait pas produire un Rabi Jacob, le ton de la société a changé et il n'est plus possible de rire de tout, encore moins avec n'importe qui.
Les leviers restent identiques : un jeu d'acteur excellent, l'ecriture jouissive des situations, le rythme global soutenu ici par le découpage en saynettes.
Attal y rajoute meme un coté déjanté que Rabi Jacob limitait au seul De Funes, ici c'est encore plus fort.

Vraiment trop inegal suivant les sketches. Certains tres amusant , d'autres presque rate et qui donne un film trop decousu. Dommage car rien a reprocher au realisateur ou ses comédiens tous bien et aux interrogations qui peuvent menes presque a la schizophrénie. Pourquoi reprocher a une tout petite minorite de cette trop bien integre et a d'autre de ne pas assez s'integrer?

Un film tendu mais nécessaire, ou l'humour et l'autodérision ont leur place. Ils s'agit après tout d'une névrose parmi d'autres, à voir pour mieux comprendre la difficulté de faire face à la haine de ceux qui rêvent de se débarrasser des juifs..alors qu'ils se trompent de cible et se tirent une balle dans le pied.