Avis : Five Nights At Freddy's - Page 4

L'objectif d'un film pour les fans est réussit.
C'est un cadeau, une consécration offert à la communauté de joueurs et de théoriciens de la saga FNAF. Certainement, se rendre dans une salle obscure pour découvrir FNAF ne laissera qu'un goût amer : celui d'avoir vu un film médiocre. Le scénario peut paraître vide pour un non-initié. Il est difficile d'inclure le lore entier dans 1h30 et quelques (voir impossible); malgré tout de nombreuses références ont été soigneusement sélectionné et proposées : elles sont cohérentes et prouvent le soin avec lequel les participants ont contribué à ce film.
D'accord, j'admets que le film a des points négatifs (voir très pesant pour le premier) : le film ne fait pas peur du tout alors que les jeux sont terrifiants.
Mais le film est beau, il a une belle qualité! Ce n'est pas un film pour faire de la recette, c'est une pièce d'art que Scott a voulut ajouter à sa collection pour finir en beauté cette histoire. Le casting est aussi soigné que la technique (Josh est incroyable)
Merci.

Le film fait un peut peur mais les animatronique sont trop lent mais sinon un très bon film vivement five night AT Freddy's 2

Film incroyable pour les fans de fnaf, les gens qui donnent des avis négatifs sont des gens qui n’ont jamais ou très peu jouer ou regarder fnaf.
Je le conseil fortement, c’est un film fantastique,
Thanks you Scott

J'ai bien aimé le film ! Par contre il ne fait pas peur et ne respecte pas l'histoire originale (du jeux) mais pas grave parce que sa crée une nouvelle histoire ! Vivement five night at Freddy's 2

Etant un fan de la première heure de cette saga, et attendant le film depuis son annonce en 2015, je ne cache pas que j'avais d'énormes attentes. Et bien je ne suis pas déçu. Le film parvient très bien à retranscrire l'ambiance des jeux, sans pour autant se résumer à ces derniers. Les fans reconnaîtront l'univers qu'ils aiment et les libertés prises par le long-métrage. J'ai personnellement apprécié l'équilibre entre respect de l'univers de base et l'histoire racontée ici. Les visuels sont très intéressants et les animatroniques sont très réussis, si ce n'est un peu trop de souplesse dans leurs mouvements. Le film manque peut-être d'ambition dans le scénario, mais ce n'est pas tant un problème à mes yeux. Le film raconte ce qu'il a à raconter et ne cherche pas plus loin. Ce scénario souffre malgré tout de quelques flottements, mais rien qui ne gâche le film. Certaines scène font aussi sourire tant elles semblent sortir du cadre posé par le film, mais dans l'ensemble, tout tient la route. Ce n'est pas un grand film, mais je n'attendais pas mieux et je n'ai pas été déçu. C'est un pari réussi pour moi et je le reverrai.

Five Nights at Freddy's: Un cauchemar de cheeseburgers et de jump scares

Vous savez, le casting d'animatroniques de "Five Nights at Freddy's" est tellement bien réussi que même Iron Man aurait des raisons d'être jaloux. Ces créatures animées sont le résultat d'un travail acharné du Jim Henson's Creature Shop, et elles sont plus authentiques que les photos de profils sur les applis de rencontres. Là où d'autres films d'horreur ont des monstres qui ressemblent à des acteurs en pyjama, ici, les créatures de Freddy Fazbear's Pizzeria sont des bêtes massives dignes de votre pire cauchemar d'enfant des années 80. Pourtant, malgré leur apparence d'enfer, le film ne parvient jamais à créer une ambiance vraiment effrayante. Peut-être que les animatroniques ont juste besoin de plus de pizzas pour se détendre. Qui sait, peut-être qu'un grand méchant clown aurait dû venir pour les épicer un peu, ou un groupe de super-héros geek déguisés en animaux en peluche aurait fait le boulot.

Alors, imaginez : vous êtes Mike Schmidt, interprété par Josh Hutcherson, un homme tourmenté par des souvenirs d'enfance traumatisants. Vous avez un job de nuit dans un restaurant fermé où les animatroniques se baladent comme s'ils avaient mangé trop de bonbons. Votre principale responsabilité est de garder un œil sur eux, et si vous échouez, vous êtes condamné. En gros, c'est comme si Mike avait signé un contrat avec le Diable où le Diable était un bonhomme de plastique flippant. Et bien, il y a tellement de failles dans ce plan que même les scénaristes de "Scream" diraient : "Mec, tu te mets vraiment dans des situations de merde."

Le scénario de "Five Nights at Freddy's" est aussi clair que de la mayonnaise dans un désert. Mike est censé être le héros, mais soyons honnêtes, il est aussi plat qu'un personnage de jeu vidéo des années 80. On a plus d'empathie pour le vendeur de hot-dogs dans "Stranger Things". Alors que d'autres films d'horreur ont réussi à donner un peu de profondeur à leurs personnages, "Five Nights at Freddy's" les laisse aussi creux que le ventre de la Pizza Hut après une soirée de buffet à volonté. C'est comme si les scénaristes avaient décidé de partir en quête du Graal, mais se sont retrouvés avec un coupon de réduction pour une pizzeria abandonnée.

Les rêves de Mike sont aussi mystérieux que la disparition des chaussettes dans la machine à laver. On passe plus de temps à essayer de comprendre ce qui se passe dans sa tête qu'à réellement frissonner. Si le film était une recette de cuisine, ce serait quelque chose comme : "Prenez un soupçon de cauchemar, ajoutez une pincée de nostalgie pour les années 80, et mélangez avec une portion de frites surgelées." Les résultats ? Une intrigue aussi floue que de la sauce barbecue sur un cheeseburger.

Pendant que "Five Nights at Freddy's" tente de nous donner des frissons, il manque cruellement de punchlines. C'est comme si le film était plus préoccupé par les jump scares que par un scénario solide. Les fans de la franchise pourraient apprécier les petits clins d'œil et les références cachées, mais pour le reste d'entre nous, c'est comme essayer de comprendre le jargon geek sans un guide. On préférerait presque que le film se transforme en un épisode de "South Park" avec des marionnettes géantes, des explosions et des blagues douteuses pour secouer un peu ce rêve sans fin.

En fin de compte, "Five Nights at Freddy's" est comme un rendez-vous chez le dentiste : on s'attend à avoir mal, on espère que ça passera vite, et on se dit qu'on préférerait être n'importe où ailleurs. Malgré son apparence soignée et ses animatroniques bien faits, le film peine à faire décoller l'histoire et à rendre les personnages intéressants. Alors, si vous voulez vraiment une dose d'horreur et de comédie geek, peut-être que vous devriez simplement revisiter "Stranger Things" ou regarder un épisode de "Rick and Morty". Au moins, vous n'aurez pas à vous soucier de ces satanés animatroniques qui n'ont rien de mieux à faire que de vous faire sursauter à chaque coin de couloir.

Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr

Je connais un peu le jeu, sans en être fan. Mais au-delà de cet aspect voulu d'utiliser ces peluches démoniqaues et violentes, la relation avec un ehistoire totalement nulle et des scènes comme collées les unes aux autres font de ce film un véritable navet. Pourtant il a eu de très bons chiffres au box-office. Espérons que cela ne leur donnera pas envie d'en faire un deuxième parce que déjà celui-ci est à oublier totalement.

Il y avait tant de promesses à l’aube de cette adaptation cinématographique de « Five Nights At Freddy’s » que le résultat à l’écran laisse un goût particulièrement amer, voire un douloureux sentiment de frustration. Le casting n’a absolument rien à jouer, c’est mal écrit et ça manque grandement de rythme. Le film est facilement oubliable.

Interdit aux moins de 12 ans? "Five nights at Freddy's" ? Ce film de jouets méchants plaira plutôt à des enfants , même si c'est un film d'horreur à la base mais bon. Long métrage qui doit faire peur et auquel je n'ai senti aucun frisson, j'ai eu plus l'impression de voir une comédie scolaire où un jeune homme obtient un emploi dans un lieu de jouets mystérieux et en s'endormant, il fait un rêve répétitif étant enfant de voir un garçon enlevé sous ses yeux et courir après la voiture. C'est le "Transformers " de frisson qu'on a affaire ici avec des gadgets débiles embêtant le jeune gardien de nuit et attirant sa petite sœur. Les enfants spectateurs prendront peut être plaisir mais passé cette âge, on trouve cela bête. Néanmoins, je suis content de voir sur grand écran Mary Stuart Masterson et Matthew Lillard, deux comédiens très présents autrefois dans les années 80/90. A éviter.

Un film extrêmement fade en général. Le début est beaucoup trop long et les personnages vraiment transparents. Trop classique. Après reste des robots plutôt réussis et quelques rebondissements.

encore un blumhouse raté, le film n'est ni drole ou effrayant, les acteurs sont catastrophiques et je me suis endormi 3 fois... difficile à comprendre l'engouement outre atlantique pour ce film

N'étant qu'un petit connaisseur du jeu original, "Five Nights At Freddy's" avait quand même réussi à attirer mon attention. De par son statut d'adaptation, il était intéressant de voir comment le projet pouvait évoluer, même si je redoutais forcément de voir quelque chose de très simple. Et très rapidement, lors du visionnage, on se rend compte que l'on est effectivement face à quelque chose de très classique. L'introduction de nos héros et de l'histoire s'avère assez banale et cousue de fil blanc, pour permettre aux fans de la licence d'être vite confrontés à l'environnement qu'ils apprécient. Mike a beau être un héros assez attachant de par sa relation avec sa sœur, son écriture va être parfois très maladroite pour le bon déroulé du scénario. Je parle notamment dans ces échanges avec Vanessa ou Steve, où n'importe quel spectateur voit venir les problèmes à des kilomètres, il n'y a aucune subtilité. Mais globalement, sans être de mauvaise foi, je trouve que cette entrée en matière s'avère quand même plutôt prenante. Les décors du jeu sont plutôt bien retranscrits, l'ambiance réussit un minimum à fonctionner. Il y a une certaine envie au niveau de la façon d'éclairer tout cela, et une séquence va être plutôt divertissante dans le lot ( spoiler: le cambriolage
). Mais malheureusement, au bout d'un peu moins d'une heure de film, tout le petit potentiel qui avait été entrevu va s'estomper. Très rapidement, on comprend que l'on ne va jamais pouvoir avoir peur devant ce film, car celui-ci effectue l'interdit dans sa façon de traiter les animatronic. spoiler: Comment avoir peur d'eux lors du final, quand le long-métrage les a rendus sympathiques auparavant ? Mais encore, comment réussir à s'investir de manière émotionnelle quand on se perd dans une intrigue à base d'esprits et de rêves qui n'ont aucun sens ?
Et quand je pense à l'angoisse que pouvait provoquer les jeux vidéo, je suis bien déçu que le film n'est jamais réussit à le retranscrire. Plutôt que de reprendre la grande force de la licence, à savoir le travail de l'ambiance, le film a voulu se la jouer cool en rendant la copie basique du film d'horreur actuel. Donc même si certains fans pourront apprécier, je pense sincèrement que cette adaptation s'est foirée. Pour conclure, une mauvaise utilisation d'une licence intéressante.

On se doutait qu’un jeu vidéo qui a suscité un engouement aussi massif, généré cinq épisodes et des bénéfices sans commune mesure avec le peu qu’il avait dû coûter au développement allait attirer l’attention de Jason Blum. ‘Five nights at Freddy’s’, le jeu, reposait sur deux idées simples comme tout : une peluche animatronique, ce n’est pas mignon du tout, c’est même effrayant…et une peluche animatronique qui vous saute au visage pour vous bouffer, c’est un jump-scare qui fonctionne. Après, il y avait ce gameplay basique à base de gestion raisonnée d’une ressource unique (l’électricité, vitale pour checker les caméras et fermer les portes) mais ça n’avait pas beaucoup d’importance : le côté freaky avait réussi son hold-up et généré un de ces cultes bizarres dont Internet a le secret. Ce qui manquait au jeu donc, c’était un véritable scénario (et Nicolas Cage, qui a joué voici quelques années dans une copie conforme, bien supérieure à la nouvelle version et appelée ‘Wily’s wonderland). Cette vacuité narrative, l’adaptation à l’écran y a remédié…beaucoup…beaucoup trop même. On s’y perd, entre l’histoire de ce vigile dont le petit frère a été kidnappé dix ans plus tôt, de sa petite soeur autiste que la tante veut récupérer pour toucher le chèque et de la fliquette trop bien intentionné qui passe tout les soirs voir comment ça se passe chez Freddy’s : non seulement tout cela est inutilement entortillé mais aussi parfaitement inintéressant. D’autre part, bien que basé sur un jeu qui fonctionnait intégralement sur l’effet jump-scare, le film se montre terriblement économe en la matière. Je ne vais pas commencer à râler vu tout le mal que je dis d’habitude des films d’horreur qui basent tous leurs effets là-dessus…mais ‘Five nights at Freddy’s’, s’il n’est pas effrayant du tout, ne fait même pas usage de violence graphique ou de gore. En fait, plus on avance dans le film et ses tentatives forcenées de ne rien laisser sans explications, plus on découvre les bestioles et moins elles ont de raison de faire peur à qui que ce soit puisque le scénario leur confie finalement un rôle plutôt positif. On se retrouve donc devant un paradoxe, celui d’un film d’horreur “familial” qui ne pourra réellement impressionner que les enfants d’une dizaine d’années…mais en tant qu’adulte responsable, vous ne montreriez jamais ce genre de film, qui pourrait contrarier leur développement affectif et émotionnel, à des enfants de cet âge, pas vrai ? Pas vrai ?

Déconseillé...aux plus de douze ans, c'est pour les gamins. Adaptation du jeu vidéo éponyme, ce Five Nights at Freddy's a malheureusement tout à envier à sa copie comique (totalement pompée sur le jeu vidéo, sans devoir en payer un centime de droit d'auteur : suffit de changer le nom et la gueule des peluches), on nomme : Willy's Wonderland. Là où on s'était au moins amusé de voir un Nicolas Cage taiseux et ultra sérieux (comme d'habitude : en faisant des caisses dans le style du héros de western qui fume de la peluche au petit-déj), là où on avait de la franche rigolade dans les scènes de tueries ridicules et musclées, avec pourtant quelques sursauts sympas, on a ici une obsession de masquer tout ce qui pourrait faire peur à un public qu'on devine immédiatement très (très très) jeune. Pas une goutte de sang, pas une baffe, rien, tout se passe en ellipse, on ne voit absolument aucune attaque (uniquement l'approche), et ce, même pour le spoiler: combat final contre le meurtrier d'enfants (un profil qui méritait pourtant une vengeance sanglante... Mais non, même là : on voit vaguement un tissu dans l'ombre du costume qui s'assombrit, et basta).
La résolution est à la limite du cucul, les peluches ne font pas vraiment peur dès qu'on nous explique spoiler: qu'elles ne sont pas méchantes (juste manipulées) et que l'on peut même jouer avec (allez, faisons un château fort !)
. Côté mise en scène, on flirte avec un mauvais Blumhouse qui pense que faire clignoter les ampoules et couper le son suffit à ancrer une ambiance, et on met des clins-d’œil aux joueurs de façon ostentatoire (le générique de début qui est le jeu, ce qu'on ne retrouve plus jamais ensuite... Ou encore la spoiler: poupée censée accueillir la sœur
qui est l'opus "Sister" de la saga). On ne sauve au final que l'arc narratif du jeune héros, avec un Josh Hutcherson (oui, "le mec de Hunger Games") qui s'efforce continuellement d'en faire un personnage meurtri (une histoire spoiler: d'enlèvement d'enfant
qui nous intéresserait limite davantage que l'histoire principale de ce Five Nights at Freddy's... Mais là encore : montrez-nous ce qu'il est advenu de ce gamin ! On voulait savoir !). D'ailleurs, ne cherchez pas non plus la fin de l'arc narratif de la spoiler: belle-mère qui veut zigouiller les héros
, on oublie cette histoire au bout de vingt minutes. Five Nights at Freddy's ne fait absolument pas peur, est ridiculement censuré (public-cible : 8 ans ?), oublie de creuser ses sous-intrigues au profit d'une principale qui est finalement niaise. Remettez-nous plutôt Nicolas Cage qui tabasse le gros furet ensanglanté qui chante "Joyeux Anniversaire"... Oui, Willy's Wonderland est pété du casque, et est donc mille fois plus divertissant que ce film pour enfants purement commercial et qui ne fait pas peur ni rire.

Le film manque d'un file conducteur, j'ai eu l'impression qu'ils ont mélanger deux idées qui on rien à voir juste développer juste l'histoire de l'enlèvement du gamin comme a pu être le film black phone aurait été beaucoup mieux.