Avis : The Door - Page 6

l'histoire a le mérite d'accentuer la dimension tragique par l'indicible horreur racontée qu'une mère puisse perdre son fils enfant dans de terribles circonstances. pour le reste l'histoire est creuse même si elle met en valeur une culture et des croyances pour souligner le caractère mystique et horrifiques de celles-ci. a voir sans plus (vous survivrez si vous n'y allez pas ...)

De par son rythme trop lent et son manque flagrant de scènes horrifiques pendant la majorité du temps, The Door s’avère être une véritable déception. Du déjà vu qui fera penser en partie à Vinyan dans la souffrance d’une mère dans un milieu étranger. On attendait bien mieux de la part d’Alexandre Aja. Si The Door est tout de même bien meilleure que Pyramide, il reste une oeuvre mineure qui ne vaut franchement pas le déplacement en salles. [Lire la critique complète sur le site]

Une famille américaine coule des jours heureux à Mumbai, en Inde, jusqu'à ce qu'un accident de voiture tragique coûte la vie à leur jeune fils. La mère, inconsolable, apprend par sa servante qu'un rituel hindou dans un vieux temple d'Inde du sud abandonné peut lui permettre de lui faire un dernier adieu. Elle se rend sur place et s'adresse à son fils à travers une porte qui sépare le monde des vivants et celui des morts. Mais quand elle désobéit à l'avertissement de sa servante de ne jamais ouvrir cette porte, elle bouleverse alors l'équilibre entre les deux mondes et son fils fait son retour...mais il a beaucoup changé....

Le script de"The door" rappelle énormément celui de "Pet Semetary", l'excellent film de Mary Lambert, tiré du non moins bon roman de Stephen King. Dans les 2 cas, les vivants ayant perdu un enfant ne respectent pas les règles, les outrepassent et déclenchent l'enfer. On remplace le cimetière des indiens mics macs par un temple perdu gardé par une déesse séparant le monde des vivants et des morts et le chat Chartreux par une peluche appelée Sheer Kahn (on est en Inde quand même)....Mais la comparaison s'arrête là.

"The door" est très formaté et très prévisible. Le déroulement est un copier coller de l'intrigue de "Pet Semetary". Si le film est produit par le fameux Alexandre Aja, la réalisation de Johannes Roberts est très standart.

Coté casting, les acteurs (Jeremy Sisto et Sarah Wayne Callies) sont également très formatés. Des répliques m'ont fait mourir de rire comme celle où la petite soeur d'Oliver dit à sa mère "je suis sorti pour sentir l'air sur la peau de mon visage..." alors qu'elle a 5 ans.

Tout cela est bien dommage car l'Inde a un vrai potentiel mystique et horrifique avec son panthéon de dieux, ses sadhus cendrés et son mysticisme.

Petit bémol à ma frustration (et c'est pour ça que j'ai mis 5/10), pas de "happy end" dans "the door"...comme dans "simetierre", me direz vous.

Le scénario de the door est du déjà vu.
Ce film surfe sur la vague des esprits sans y apportait la moindre originalité.
Seul point positif de ce film est la production d"Alexandre Aja".

Nul du début à la fin, pourtant le principe même d’une porte des Enfers pouvait être tellement cool, mais alors dans ce film c’est n’importe quoi, la scène en question est bidon de chez bidon "non je ne dois pas ouvrir la porte, oups j’ai ouvert", à partir de là je ne vois pas comment l’intrigue pouvait rattraper le coup. Et puis surtout on ne croit pas aux émotions des personnages (l’actrice principale est ultra mauvaise), on a droit à une orgie de jumpscares insupportables (là j’en peux plus de ce genre de gimmicks, je crois que le point de rupture a été franchi), il y a des ellipses très douteuses qui participent grandement à l’aspect foutraque de l’ambiance, on est soit disant en Inde alors que c’est le dépaysement niveau zéro, les références culturelles sont d’ailleurs assez grossières, la fin est un non sens absolu et l’ultime plan tombe complètement à plat. Bref c’est creux, facile, chiant, horriblement convenu et absolument dispensable.

Sarah Wayne Callies interprète la mère qui a perdu un fils dans un film d’épouvante qui ne doit pas dépasser les cinq millions de budget. Telle une énième production faite pour et par l’argent par un Jason Blum non pas producteur mais homme d’affaires, sauf que, ici, ce dernier est remplacé par Alexandre Aja, mis en avant sur l’affiche pour donner un minimum d’importance à la promotion de l’oeuvre. « The Door » démarre tel un film de vacances : un couple à l’étranger, sous le soleil, des séquences dans un restaurant puis sur une plage, suivis par l’annonce qui fait mouche. Elle est enceinte. Il est assez amusant de constater que le réalisateur Johannes Roberts (qui a mis en scène ou écrit seulement des films d’épouvante) ne créé rien d’original malgré la volonté de faire une mise en scène avec une partition de plans variée. Car oui, bien-sûr qu’il y’aura de ces screamers envahissants, de ces personnages idiots et pour la plupart sans charisme, accompagnés heureusement d’un personnage cette fois-ci secondaire pour activer une intrigue, une histoire, quelque chose d’assez viable pour que l’on puisse en faire le sujet principal de notre film. Attention, « l’histoire » continue. Alors que l’héroïne de cette aventure mal écrite poursuit son ascension dans la bêtise (en abandonnant sa famille et en réglant ses comptes avec des fantômes), celle-ci tombe malencontreusement dans le piège des sentiments, bien qu’on lui en avait déconseillée l’usage plus tôt… Mais tant pis, elle devait sûrement avoir sur ses épaules le poids trop intense des médicaments, ces derniers valsant avec sa santé aussi agilement que le corps putréfié de son fils avec le Diable indien. Les premières trois quarts d’heure sont exaspérantes. Alourdies par des dialogues plats et mal interprétés (les acteurs sont présents pour la somme d’argent promise en bas du contrat, et non pour la passion du jeu, comme beaucoup trop d’acteurs dans ce genre de production aujourd’hui), on s’ennuie et on perd le fil de cet infortune de vie transformée en banal film d’horreur pour adolescents qui n’ont vu pas un classique. Que dire de plus? Que certaines scènes vaillent le coup d’oeil pour le genre de techniques utilisées, mais que ces dernières sont rapidement noyées par le flot d’inepties balancées à (presque) tous les autres niveaux? Que nous ne sommes jamais touchés par une affaire de perte, alors que celle-ci devrait réussir à nous émouvoir, dans de rares mais précieux moments? Les critiques sont parfois des répétitions bien trop grotesques : on écrit et on écrit, sans cesse, des choses semblables sur des « oeuvres » qui se ressemblent (et qui s’imitent) beaucoup trop. Alors on s’ennuie, et pourtant il arrive un moment durant lequel ça repart. La fougue, l’envie, le désir d’alignement de ces lettres et de ces données glanées durant la projection sur un grand écran, comme on le ferait dans une salle de montage, avec la connaissance de ce qu’on doit mettre en avant, puis en seconde et en troisième places. Ah oui, le film en question! Oubliable, comme tous les autres dans la même veine.

Ce film d'horreur réalisé par Johannes Roberts sorti tout récemment n'est vraiment pas génial. Autant, le début est prometteur, l'histoire est plutôt sympa : une femme ayant perdu son garçon voyage jusqu'à un ancien temple où se trouve une porte qui relie le monde des morts et des vivants et nous pouvons parler à un mort à travers la porte mais ne surtout pas l'ouvrir et évidemment, elle ouvre la porte. Ce qui pèche énormément dans le film, c'est le rythme et le réalisme. Un film d'horreur est très rarement réaliste vous allez me dire, mais celui-ci part dans des délires un peu gros quand même, notamment la fin qui part un peu dans tous les sens. Et il y a le rythme. Le film commence bien, on ne s'ennuie pas malgré une scène d'exposition un peu longuette et puis plus on avance dans l'histoire, plus le film devient vraiment long et ennuyant, ce qui est très dommage. Pour les acteurs, ils ne jouent pas trop mal mis à part Jeremy Sisto qui se montre parfois un peu fade. "The Door" n'est donc dans l'ensemble pas terrible mais il conviendra sûrement aux fans assidus du genre et encore !

Eh bah 1.5 étoiles c'est pas mal vu comment le film se fait défoncer et c'est quand même mérité car c'est pas oufissime hein c'est des jumpscares, c'est pas très bien joué et puis ça fait pas peur quoi, alors que ça devrait être le but mais bon je suis indulgent aujourd’hui et puis la réa est pas bonne quoi, et en plus c'est moche alors qu'un film d'horreur ça peut être esthétique et avoir de la gueule prenez It Follows ou le monde des morts du remake de Poltergeist ça a de la gueule alors que là non.

Pas beaucoup d'originalité dans le récit et un peu d'esbrouffe (effets sonores, visions, jump scares...) mais le film a un côté exotique en nous faisant visiter le folklore indien et parvient à installer une ambiance anxiogène.

Un film d'épouvante réalisé avec le classicisme des années 80-90 . Des effets spéciaux présentés, quelquefois à l'ancienne , le reste étant du même acabit . Une demi-étoile supplémentaire pour la note finale, due aux 30 dernières secondes de cet opus . 2 étoiles et demie !

Une thématique sujette à un récit intrigant et à quelques effets d'effroi finement distillés. Mais l'ensemble ne prend pas et certains aspects sont vraiment absurdes!

On n'assimile pas souvent l'Inde avec les films d'horreurs ce qui aurait pu être un petit plus pour cette réalisation. Mais malheureusement on touche une nouvelle fois les travers du genre : effet sonore, angle caméra et visage effrayant la bouche ouverte, sont identiques à tous les autres films. Rien d'innovant.

Un film surfant sur la mode des films mixant l'épouvante et la découverte des mondes parallèles. On se fait peur , les trucages sont bien fait et la mise en scène solide et efficace.Un film qui atteint son objectif , pas très ambitieux.

On ne va pas se mentir ce film n’a pas grand-chose à faire valoir pour susciter l’intérêt, il ressemble à tout ce qui se fait dans le genre épouvante/horreur depuis des années, sacrifiant à beaucoup des stéréotypes d’un genre ultra-conventionnel. A peine pourrait-on lui trouver une petite dose d’originalité dans son décor : l’Inde et à l’utilisation de cette culture pour donner un cadre un peu inédit à une histoire qui va de toute façon rester sur les rails habituels de ces histoires de fantômes harceleurs. Je ne vous cache pas que je me suis quand même vraiment ennuyé devant et n’ai été tenu en éveil que par les deux trois scarry-jumps qui s’y trouvent. Les acteurs font le job, mais avec des personnages si stéréotypés, ils ne peuvent pas faire non plus de miracle. Un film d’horreur insipide à réserver à un public ado qui, dans sa candeur cinématographique, y trouvera probablement son compte ou alors les fans absolus du genre qui aiment ce genre d’une passion quasi fétichiste, les autres pourront tranquillement passer leur chemin sans avoir peur de rater la pépite rare. Totalement dispensable en résumer.

A en juger par la qualité des effets de la jaquette, judicieux il est de craindre un nouvel échec horrifique. Qui plus est, le premier rôle revient à Sarah Wayne Callies, bien mieux lotie derrière le petit écran (Prison Break, The Walking Dead) que le grand (Black Storm, déjà, fut décevant). The Door ne déroge pas à la règle. Car même s'il ose en déplaçant le contexte en Inde, le film se parjure en habituels clichés et facilités scénaristiques déconcertantes. Quelques jump scare intéressants, en sus d'un joli maquillage ne réduiront en rien ses mauvais pas : les dialogues sont lourds, les personnages caricaturés à l'extrême et certaines réactions totalement invraisemblables. Bon twist cela dit, qui explore quelques pistes rarement abordées.