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    L'Île aux chiens
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    295 critiques spectateurs

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    Housecoat
    Housecoat

    102 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2018
    Un sacré tour de force technique qui rendrait presque Fantastic Mr.Fox obsolète. Wes Anderson pousse plus loin que jamais sa mise-en-scène décalée avec une optimisation de son style grâce à la stop-motion qui ne lui impose aucune limite. Il ne se passe pas une scène sans qu'une nouvelle idée vienne rendre ce conte moderne nourrie de culture nippone drôle et rythmé, pas une seule scène sans qu'une nouvelle idée n'intervienne pour servir ses différents propos. Seul les paroles des chiens sont traduits, mais ce sont eux qui dégagent le plus d'humanité face aux conspirateurs humains qui ne souhaitent que les anéantir. Anderson adopte volontairement la forme d'un conte (l'introduction en dit long là-dessus) pour justifier un manichéisme en une dimension mais qui aborde avec simplicité des thématiques plus que jamais d'actualité (maltraitance animale, manipulation des masses, surconsommation, déportation). Un tournant qui ne fait que confirmer encore plus le talent d'un esthète de haut-niveau. Une pépite de cette année 2018.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 mars 2020
    Spontanément, mon regard ne se serait pas porté forcément vers ce film dont la bande-annonce ne m'a pas emporté plus que ça. C'est surtout suite à la critique d'un influenceur cinéphile qui a exhorté ses viewers à le regarder que j'ai emboîté le pas.

    Sous ses faux airs de comédie pince sans rire ce film met au pilori bon nombre de méfaits présents dans notre société.
    La manipulation politique, les pots de vins salutaires, le traitement fait aux animaux, les déchets toxiques, l'épidémie pernicieuse ... le regard pointé vers le prolongement d'un index dénonciateur qui met en cause notre système corrompu, et la négligence de notre environnement.
    Ironie du sort, c'est en pleine propagation du Coronavirus à travers le monde et une actualité politique sous fond de perversion que j'ai vu "l'île aux chiens" de Wes Anderson.

    Hormis son aspect accusateur qui se distingue tout du long, l'autre caractéristique du film qui saute aux yeux dès la première seconde c'est son design très multi-facettes. J'ai pu m'en rendre compte encore davantage en regardant le Making off du film et l'envers du décor notamment avec le travail minutieuxqu'il a fallu à l'ensemble de l'équipe d'animations pour mettre en mouvement ces petits personnages d'une façon assez incroyable.
    Ils prennent vie dans des décors fait main de maquettes peaufinées dans les moindres détails, en y incluant des effets spéciaux et d'autres effets numériques et même des estampes japonaises, le tout lui conférant un style sans doute unique en son genre. Clap Clap Clap

    Cependant, l'allure et le style rigide est guindé des marionnettes les rendant presque inexpressifs contraste totalement avec l'émotion censée être véhiculée par le film. On voit souvent ( un peu trop ) les yeux des personnages animés dégoulinant de larmes abondantes alors que ni leur gestuelle, ni leur voix très monocorde ne se cale avec l'émotion ressentie. Tout est censé se passer dans le regard, mais leur regard ne m'a pas transcendé
    J'image sans trop me mouiller que cette dichotomie était voulue par le réalisateur pour amplifier ce contraste et donner au
    film une identité plus forte et un style singulier dans son ensemble, alors après tout pourquoi pas ... Mais je trouve cette disparité trop marquante pour que j'arrive à passer outre ou/et adhérer à son choix.

    On peut reprocher au film également son rythme sinusoïdale, mon nez s'allongerait si je dirais que j'ai été happé de la première à la dernière minute par cette épopée canine.

    Un travail sérieux a également était fait avec la bande son du film, mêlant différents genres, orientaux et plus occidentaux gardant cet esprit arc-en-ciel, il en est de même pour le doublage.

    Je tiens de nouveau à louer le travail d'artiste fait par cette production, c'est vraiment à saluer. Malgré tout, et comme toujours, mon premier critère de notation concerne le plaisir que j'ai pu ressentir, peu importe le statut dont un film jouit ou non, et à ce titre il était à la croisée des chemins, en son centre.
    2,5/5
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 avril 2018
    En grand fan de Wes Anderson, "L'île aux chiens" était le film que j'attendais le plus de cette année 2018 et, le moins que l'on puisse dire, c'est que je n'ai pas été déçu. Tout est simplement parfait dans ce long-métrage pleinement abouti, aussi bien sur le fond que sur la forme. Visuellement, Anderson renoue avec le stop-motion après le superbe "Fantastic Mr. Fox", en poussant cette fois-ci encore d'avantage la maîtrise de cette technique si particulière. Le cinéaste américain parvient une nouvelle fois à transposer son univers si particulier en offrant un film léché, hyper stylisé dont la perfection des décors impressionne à chaque seconde. On retrouve également les thématiques chers à Wes Anderson, notamment dans le traitement de l'enfance, mais l'on peut également observer un vrai renouvellement de ce dernier qui confère à son film une dimension politique inédite. Anderson n'est pas un cinéaste engagé à proprement parler mais un grand enfant qui transmet à travers cette oeuvre son dégoût face à un monde corrompu et déshumanisé. L'intrigue est en soi assez sombre, Anderson mêlant la légèreté du conte à une profonde mélancolie qui faisait la particularité de ses précédents long-métrages. La carrière du réalisateur texan est également faite de collaboration, d'abord avec le compositeur français Alexandre Desplat qui propose une nouvelle une bande originale mémorable qui se marie parfaitement à l'univers poétique et décalé du film. Mais que serait un film de Wes Anderson sans sa bande d'acteurs fétiches qui forment un casting vocal cinq étoiles. Chacun d’entre eux se donnent à fond pour donner leur voix à des personnages qui leur correspondent jusque dans leurs traits physiques et même de caractère. Je reconnais être incapable d'être objectif quand il s'agit de Wes Anderson mais, il faut bien l'avouer, "L'île aux chiens" est une pépite de cinéma d’animation qui pousse au rêve, un nouveau grand film d'un cinéaste qui n'est à mon avis pas prêt de me décevoir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 avril 2018
    Amis des chiens, ce film est pour vous ! Tendrement humoristique, délicatement satirique, mais quelque peu soporifique, « L’île aux chiens » est un conte cynophile qui met le spectateur en empathie vis-à-vis de l’espèce canine. En effet, dans la cité nippone imaginée par W. Anderson (Megasaki), loin d’être traités comme les « meilleurs amis de l’homme », les chiens sont systématiquement persécutés, traqués et déportés par le pouvoir en place, une sorte de dictature ailurophile et caniphobe. Dans l’attente d’une « solution finale de la question canine » (i.e., l’extermination de tous les chiens et leur remplacement par des robots), pour justifier le bannissement des chiens et leur concentration sur une île-dépotoir, les autorités invoquent la surpopulation canine et les risques épidémiques associés (grippe canine). Pour nous faire épouser le point de vue des chiens, W. Anderson ne s’est pas contenté de l’anthropomorphisme habituel consistant à les faire parler et à leur conférer une psychologie proche de la nôtre. Il a eu l’idée très astucieuse de ne pas sous-titrer la plupart des propos tenus pas les humains (qui se trouvent être des Japonais) : de ce fait, à moins d’être japonophone, le spectateur se trouve dans une situation inversée où il comprend directement les chiens, mais où la signification exacte des sons émis par les humains lui est aussi opaque que celle de jappements ou d’aboiements ! Par ailleurs, la « société » canine (mœurs, statuts, rôles, etc.) nous est rendue familière, sympathique, par sa proximité avec la nôtre, alors que les humains de Megasaki, du moins ceux qui remplissent les meetings du maire de la ville (Kobayashi), ne forment qu’une masse amorphe de moutons conditionnés, applaudissant avec une promptitude comparable à celle de chiens dressés qui lèveraient la patte sur ordre de leur maître ! Sur le plan visuel, le film est une réussite : les animations et les décors sont extrêmement soignés ; et Anderson s’amuse plaisamment avec les codes et les clichés du dessin animé. En revanche, l’inévitable marche vers un heureux dénouement se fait à la faveur d’une série peu palpitante de péripéties et d’actes héroïques (ceux du neveu de Kobayashi, ceux d’une étudiante-activiste américaine, et ceux des chiens entrés en résistance !). De quoi découle donc le charme qui nous a fait tenir sans trop de bâillements jusqu’à la fin du film ? Sans doute de cette sensibilité si tendrement fantasque qui est le propre de W. Anderson.
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 avril 2018
    En général j'apprécie les film de Wes Anderson.
    Aussi, j'adore les animaux, le chiens.
    Là j'ai eu du mal à rentrer dans ce film.
    Le propos est très intéressant, c'est certain mais ce qui m'a déplu c'est l'esthétique générale que j'ai trouvé moche et pénible.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    149 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2018
    Excellent film de part son rendu visuel, son histoire, ses personnages ! C'est drôle, touchant, innovant ! Une forme d'animation décalée et originale. On reconnait le style du réalisateur par ces images avec peu de mouvements (souvent latéraux). En VOST, le casting est extra. De la voix d'Edward Norton à celle sensuelle de Scarlett Johansson, leur personnalité colle parfaite ! Un nouveau coup de coeur de ce début d'année 2018
    josloren
    josloren

    20 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2018
    Intrigué par ce raz de marée des critiques "pro" exaltées et unanimes, je suis allé voir le dernier W.Anderson.Toute la mécanique du réalisateur était pourtant là: message humaniste, réflexion géopolitique etc...et pourtant... ce film d'animation m'a carrément irrité! Je mets une étoile pour des images somptueuses(il faut être dur avec un réalisateur qui nous avait habitué a mettre souvent la barre assez haut) mais par contre, si vous aimez les tambours japonais et autres musiques a base de percussions,étalées sur quasiment tout le film, étouffant de nombreuses scènes avec dialogues pendant plus d' une heure, ce film est fait pour vous! Et que de longueurs,de discours style "conférence",de complications, et de répétitions d'un scenario bien tortueux pour, au final, un message assez simpliste.Les "marionnettes" ne sont pas vraiment attachantes,(bien que très travaillées), car desservies par des dialogues hélas,ni assez pertinents, ni assez drôles pour nous émouvoir.Je me suis également demandé à un moment donné si ce film n'était pas sponsorisé par la SPA et visait le SAV des vétérinaires!(marque de biscuits omniprésents...). Bref, je fut soulagé de voir le générique de fin(happy end expédié) ,mais accompagné.... d'un bon concert de tambours!! Je vous conseille donc de revoir "The Grand Budapest Hôtel" , ou le Grand W.Anderson avait atteint selon moi, l'accord quasi parfait!
    Stargate
    Stargate

    254 abonnés 2 870 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2018
    Un film d'animation germano-américain qui se déroule au Japon, pourquoi pas... Si le décor (une île peuplée uniquement de chiens) et le registre fantastique (des chiens qui parlent) donnent déjà un côté original à cette production, ce sont vraiment ses personnages et sa qualité visuelle qui m'ont séduit. Je pense sincèrement que L'île aux chiens a le potentiel pour plaire aux petits comme aux grands.
    domit64
    domit64

    20 abonnés 221 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2018
    On rit... un peu, on y croit... pas trop, on s’attache à peine aux personnages.
    Scénario vu et revu, beaucoup de clichés.
    Dénoncer dictature, surpopulation, fake news et camps concentrationnaires est un beau projet mais difficile d’y croire via un film d’animation tout de même destiné aux de grands enfants.
    Prouesse technique, jolies couleurs !
    Bref, si vous avez le temps ou attendez de le voir à la télé...
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2022
    Ce n’est plus un secret pour personne, Wes Anderson et son sens du détail revient en force et trônera longtemps avant de tirer sa révérence. Au sommet de son art, celle des références de la Nouvelle Vague ou encore d’Akira Kurosawa qui lui sont chères et celle d’une composition de l’image soigneusement habitée, il nous revient avec un second film d’animation des plus loufoques. Après « Fantastic Mr. Fox », puis « Moonrise Kingdom » et « The Grand Budapest Hotel », pour ne citer qu’eux, le metteur en scène américain nous dévoile une sombre histoire, encore en stop-motion, pour le plaisir de nos pupilles et pour le bonheur de la satire. Il détourne ainsi le concept en sa faveur, en introduisant un univers entièrement japonais, afin d’y instaurer ses propres thématiques.

    Le récit nous questionne d’entrée sur l’identité du chien, après avoir expédié un contexte bien sec et honteux. Le sentiment fort qui affecte tout possesseur d’animaux canins ou autres seront donc mis à l’épreuve le temps d’une rétrospective, vue par les chiens eux-mêmes. Isolés en quarantaine pour une maladie que craint l’homme, ces chiens vivent sur une île d’ordures et de tout type de déchets, dont on aura l’occasion de croiser pendant l’intrigue. Le message écologique passe au second plan, mais n’hésite pas à refaire irruption lorsqu’on s’y attendra le moins, afin de créer un ressort scénaristique assez bien ficelé en humour et en tendresse. On découvre alors le jeune homme, Atari, qui passe par-dessus les normes fixées afin de retrouver son fidèle compagnon Spots. À partir de là, la quête commence et avec une volonté de proposer un instant théâtral et magistral.

    Chief et sa meute de fortune finissent par interagir avec le japonais afin de l’appuyer dans ses recherches, mais en même temps, ce dernier les aidera à comprendre sur quoi est basé la cohabitation entre humain et chien, qui sera d’ailleurs bien extrapolée pour le concept de loup solitaire dans une meute. On passera par une tonne de référence, allant du western traditionnel aux créatures d’Ishirô Honda. On parle de symétrie, chose qu’il n’est pas négligeable, car on nous insuffle un climat de sérénité ou de chaos, suivant les éléments qui composent le cadre. De plus, les travellings viennent apporter tout un dynamisme chez les personnages, bercé par un Alexandre Desplat également en quête de spiritualité. Ainsi, les chiens réapprennent à vivre en tant que chien domestique. Et tout le travail se pose au niveau de la communication par le regard. Le film est majoritairement traité en japonais pour les dialogues, hormis pour les animaux. Mais les plus bavards, ce sont bien les hommes, qui s’acharnent à véhiculer une doctrine qui sacrifie la noblesse avant la sagesse. D’où le fossé linguistique qui ne sera volontairement pas doublé pour le public occidental. On se permet alors de concentrer le cadre sur ses faces expressives, ou du moins juste ce qu’il faudra pour en apprécier les nuances.

    « L'Île Aux Chiens » ne trébuche donc pas et parvient à se hisser à un niveau de lecture multiple, où l’homme d’âge mûr et l’enfant qui ne vit que pour la passion iront de pair, tout comme un maître et son chien. Cette affinité est donc soumise au test de la fraternité, qui doit exister lorsqu’un groupe partage les mêmes objectifs. Malgré les entraves qui peuvent ralentir, comme les maladies et l’orgueil, il vaut mieux être bien accompagné que de ramper, seul dans son fantasme. Anderson l’a bien compris, et il nous laisse un la plus belle part du gâteau et la plus croustillante des croquettes au sommet de son puzzle ludique et moral.
    nefastodelirio
    nefastodelirio

    8 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mai 2018
    Soporifique, très ennuyeux, agaçant, vexant, ennuyeux, une vraie torture, gaspillage de temps.
    Rarement je me suis irrité à ce point.
    Vinz1
    Vinz1

    123 abonnés 2 291 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Très bien fait car fustigeant la société actuelle avec ses tyrans prenant des décisions implacables pour leurs concitoyens comme l'ancienne avec la dénonciation des camps, ce film d'animation entièrement en stop motion est vraiment bien vu et assez référentiel quant à la culture nippone. Toutefois, il n'est pas réservé aux enfants mais aux adultes qui pourraient être lassés par son côté "OVNI", son austérité dans le style ou par certains de ses partis-pris (comme ne pas sous-titrer les paroles en japonais). Un bon Wes Anderson, mais pas non plus son chef-d'oeuvre.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    304 abonnés 1 696 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2020
    Alors déjà, même si je n’ai pas accroché avec ce film, je reconnais tout de même qu’il est de bonne qualité. Après je ne suis pas trop fan de la stop motion qui a été utilisé pour la modélisation. Je trouve que l’émotion qui ressort fait vraiment artificiel. Pour l’univers on sent vraiment l’inspiration nipponne. Wes Anderson ne s’en cache pas d’ailleurs, il voulait rendre hommage au cinéma Japonais. L’aide de Kunichi Nomura aura été un véritable plus. Mais par contre je n’ai pas compris le choix de ne pas traduire les dialogues en Japonais. Selon le réalisateur cela fait qu’on se concentre sur les émotions mais dur de bien les interprété quand on ne comprend pas ce qu’il se dit. J’ai trouvé ça désagréable. Et c’est dommage d’ailleurs car le scénario est bien ficelé. On comprend tout l’enjeu de cet exil des chiens où on peut faire le parallèle d’une société qui préférait chasser les gens en difficulté plutôt que de les aider. Même si c’est trop lent à mon goût, jusqu’à la manière dont les personnages parlent, quand on prend du recul, on sent un vrai travail de fond. Ce n’est pas une simple histoire d’un petit garçon qui cherche son chien, c’est une véritable croisade contre vent et marrée qui ont été poussé par le sentiment le plus noble qu’il soit, l’amour. J’ai donc apprécié le fond de L'ÎLE AUX CHIENS mais c’est plus sa forme qui m’a rebuté.
    Fabien S.
    Fabien S.

    456 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2018
    Un très bon film d'animation de Wes Anderson. On retrouve la fantaisie du réalisateur. Un bel hommage au cinéma japonais.
    Eselce
    Eselce

    1 201 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2018
    Beaucoup aimé l'histoire, l'animation, l'ambiance et surtout la bande-son. Les doublages français sont très bien choisis, le fil est facile à suivre et assez captivant pour ce qui concerne l'île aux chiens. Comment les japonais en sont arrivés là, pourquoi et comment le système canin sur l'île s'est mis en place. L'humour n'est pas toujours visible, mais le film est parfaitement rythmé et le sérieux des personnages m'a plu, on sent bien la culture japonaise, souvent impassible mais profondément humaine.
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