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    L'Île aux chiens
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    295 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    En tant que film d'artisans, c'est une réussite brillante, comme l'était déjà Mr. Fox, mais je ne suis pas un grand adepte de cette méthode d'animation. Pour cet univers japonisant, en particulier, je me serais bien passé du relief, qui donne un côté un peu jeu vidéo arty par moments, alors qu'un dessin animé aurait suffi à mon avis. Niveau scénario et montage, Wes Anderson n'a jamais été un as du rythme, disons qu'il a une fois de plus son univers bien à lui, dont je commence personnellement à me lasser un peu. Mais comme toujours, il sait faire exister progressivement ses personnages pour faire naître l'émotion. Sur ce dernier point, il est largement aidé par un casting de doublage VO assez exceptionnel, Bryan Cranston en tête, dont la voix m'avait manqué depuis Breaking Bad.
    Henning P
    Henning P

    36 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 avril 2018
    Ce film animé est une pure réussite. De la musique aux dessins en passant par le scénario, tout est parfait. De l'humour, de l'intelligence et un message politique fort, c'est divertissant, rafraîchissant et donne à réfléchir. Que demander de plus ? Les voix en français sont remarquables (notamment Vincent Lindon). Vu avec deux adolescents de 13 ans qui ont apprécié. Mais je déconseillerais aux enfants de 10 ans et moins. Wes Anderson est véritablement un génie du cinéma. À voir absolument. 19/20
    Euquinom
    Euquinom

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 avril 2018
    Triste copie américaine des films d'animation japonais. Le message est incompréhensible ou alors tellement peu subtil. Film qui n'est pas même distrayant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 avril 2018
    C'est un film formidable avec une très belle histoire qui vous fait sentir bien. La bande son et les images sont resplendissantes. C'est un chef d'œuvre et c'est mon film préféré de 2018.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 juin 2018
    Bien évidement, la principale vertu de L’île aux chiens c'est l'incroyable côté technique. Un travail d'artisanat qu'on n'avait jamais connu. Le moindre détail se magnifie grâce à la mise en scène. Chaque guignol est enregistré avec des micro-caméras qui donnent l'impression que les personnages ont été fabriqués à taille réelle. Aussi, pour créer une illusion de profondeur, les éléments du paysage en deuxième plan sont de taille réduite. Ainsi, le contraste avec les premiers plan des personnages, donnent une sensation de distance entre les différents objets.

    En plus, toutes les retransmissions qu'on voit sur les télés du film sont intégralement animées au méthode traditionnel. Le contrecoup que ça crée par rapport aux marionnettes tridimensionnelles amplifie la délicatesse de chaque poupée et chaque décor. Au-delà de l'image, Anderson traite soigneusement le son. Les voix de chiens sont en anglais et la plupart des humains parlent en japonais, sans sous-titres, s'appuyant seulement sur des autres personnages secondaires qui traduisent ce qu'ils dissent. Le cinéaste sublime encore une fois le côté visuel de son film avec quelques idées bien exécutées qui font de L'île aux chiens son travail le plus intéressant jusqu'à la date.

    Ce n'est pour rien que cette fois-ci Anderson va plus loin du plaisir visuel pour charger le film d'un message politique assez critique, contrairement au reste de sa filmographie, si jolie comme creuse. La déportation d'un groupe de la population visé pour le pouvoir, d'un jour au lendemain, résonne comme une claque dans la gueule de Trump même si le fond du film se cache derrière la culture nippone. Une première pour le réalisateur, qui donne un coup sur la table sans renoncer à son style si particulier.

    Depuis qu'on avait connu la synopse de L'ìle aux chiens, l'attente semblait interminable. Un gamin de douze ans qui s'échappe sur une île abandonnée pour récupérer son chien. On aurait dit que, enfin, après une carrière centré sur l'extravagant et l'excentrique, Anderson misait sur l'émotion. Ces dernières années, Pixar a perfectionné la formule touchante pour les adultes qui reconnectent avec leurs sentiments de l'enfance, devenant aujourd'hui le référent principal dans l'industrie. Aussi, la figure du chien comme être naïf et câlin devrait aider le film pour émouvoir son public. Malgré toutes ces facilités, la tendresse du scénario ne sort pas en surface.

    Les blagues de Wes Anderson ne marchent pas à tous les coups. C'est un humour sec, blindé de sarcasme, qui frappe les spectateurs. spoiler: On trouvera ce style comique au début du film, quand il nous fait croire que le chien du protagoniste est mort parce-que personne savait ouvrir sa cage. On le retrouve aussi quand le char de la grue avec les chiens dedans tombe dans un incinérateur, ce qui nous fera penser quelques minutes que la moitié des chiens protagonistes sont morts aussi.
    Il s'agit de ces coups d'effet si fermes qui coupent le fil narratif d'une façon trop directe qui nous contrarient, incapables de nous surprendre ou nous faire rire. Dommage pour Anderson, qui préfère laisser son empreinte frivole sur l'humour au lieu d'approfondir dans le portrait des personnages si bien retouchés en surface.

    ///// Encore plus de fautes et d'erreurs sur hommecinema.blogspot.fr
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 avril 2018
    attention ce film n'est pas pour les enfants il aurait dû être interdit au moins de 10 ans. le problème porte sur la compréhension d'histoire l'absence de doublage des dialogues en japonais. certaines scènes ne sont pas pour des enfants. graphiquement réussi. le scénario n'est pas très original.
    Korbô D.
    Korbô D.

    6 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mai 2018
    Encore un chef d’oeuvre du maitre Anderson.
    Sublime animation. Les décors, la musique, les chiens: tout est à tomber.
    Yetcha
    Yetcha

    745 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    Wes Anderson est un habitué des films loufoques... Et force est d'avouer que je n'aime pas toujours ses réalisations, mais là.... Je suis sous le charme. Décalé, original, superbe et moralisateur par sa lecture sous forme de brûlot anti-racial, une animation qui sert les propos et que la musique des taïkos vient renforcer. La photographie, les plans... Tout est franchement parfait. Une oeuvre magistrale à découvrir.
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2018
    Découvert avec le brillant Rushmore, Wes Anderson a imprimé son style tout au long de sa filmographie. Créant un univers et une marque dont son cinéma était d’une fort ADN cinématographique. Après un passage réussit à l’animation, Fantastic Mr. Fox, ont suivi, hors courts et pubs, Moonrise Kingdom et The Grand Budapest Hotel.
    C’est donc par le biais du stop motion qu’il fait son retour à l’animation, technique qui lui avait si bien réussit avec Fantastic Mr. Fox. L’île aux chiens semble être avant tout un très bel hommage au Japon dans un écrin visuel totalement enjouer et imprégné d’idées à la minutes. Et pourtant nous sommes toujours et encore en plein univers « andersonnien ». Si la fibre cinématographique du metteur en scène est moins présente, support oblige, les idées et le mode de narration (micro-ellipses, très découpé…) sont celles que l’on retrouve dans tous les films du cinéaste. Autant dire qu’il ne pourra sans doute par conquérir un nouveau public ici mais il continu de valider tout le talent que ses fans (ou moins fans) lui trouvent. L’île aux chiens est un petit bijou de stop motion, et c’est son principal argument face à ce qui gâche un peu (vraiment un peu) l’ensemble du film. C’est le manque de fluidité du récit qui interpelle un minimum, trop découpé, passe d’armes d’une séquence à une autre sans réelle continuité, avec cette sensation de chaos « organisé ». Mais c’est aussi ça la patte Anderson, un univers barré, parfois baroque, où la folie prend toujours des contours poétiques ; et son nouveau terrain de jeu de marionnettes à quatre pattes est parfait pour exécuter et mettre en scène son récit. Entre douce rêverie et folie moderne, qui prennent ici un accent critique de certaines sociétés modernes sans doute plus « dingues » que son film en lui-même, et pourtant... L’île aux chiens permet donc de s’évader un long moment, à travers une plastique éblouissante dans une mise en scène aux trouvailles visuelles constamment surprenantes et renouvelées. Moins objectivement on restera sur la version originale et non doublée tant le casting français composé de comédiens parfois trop connus font de l’ombre aux personnages qu’ils doublent, un détail, mais bon.
    L’île aux chiens est sans surprise un pur film de Wes Anderson qui si il ne retrouve pas pleinement le génie de The Grand Budapest Hotel s’avère une excellente réussite d’un metteur en scène unique et inclassable comme pouvait l’être Tati à son époque. requiemovies.over-blog.com
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 034 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2019
    Ne perdons pas de temps, L'Île aux chiens est une claque; premier film de Wes Anderson vu, il a su me donner envie de me plonger dans l'art apparemment fascinant de cet artiste à l'univers si coloré. Virtuose, émouvant, attachant, il apparaît comme un rafraichissement dans le monde formaté des dessins animés actuels, et vaut encore plus pour son propos d'auteur que pour les belles émotions qu'il voudra nous transmettre, s'éloignant des grosses productions environnantes pour nous livrer une histoire à échelle humaine, juste et poignante.

    On est rapidement surpris par la pertinence du propos, qui mêle avec un étonnant brio aventure canine et société dystopique. Dès le départ, on est fasciné par sa manière si particulière de narrer les exploits de ses personnages, de poser le cadre coloré de son background exubérant. Films de samouraï, classiques de la dystopie, les inspirations sont nombreuses et leur réunion explosive, L'Île aux chiens part d'un postulat génial (la guilde des chats) pour justifier l'évolution de son scénario.

    Parfaitement écrit jusqu'à sa conclusion, il alterne avec talent entre flashbacks et moments présents, sachant toujours quand ajouter toujours plus de détails pour qu'on savoure encore mieux son intrigue et ses personnages attachants, entre maîtres et animaux de compagnie, amants et frères qui se redécouvrent. C'est beau parce que c'est simple et fait simplement, sans artifice, avec amour et sincérité.

    On sent dans L'Île aux chiens la grande affection qu'apporte Anderson aux thèmes qu'il aborde, aussi vrai qu'il développe ses personnages avec un grand soin, où le travail de doublage prend tout autant d'importance pour les caractériser que le non-verbal, les mimiques qu'ils affichent. En termes d'expressions faciales, de vie des personnages, les chiens paraissent étrangement plus expressifs, plus vivaces que les humains présentés, asiatiques mono-expressifs au visage froid, lisses et artificiels, comme de véritables androïdes.

    Les animaux, quand à eux, vivent par les caractéristiques de la maladie qui les affecte, de ces yeux globuleux et rougis qui leur assènent toute une dimension de fragilité attachante, de ces poils tombant et sales qui flottent au gré du vent, loin de la propreté superficielle des humains. Ils sont physiquement dégradés, et s'élèvent au rang d'hommes par le retour à leur bestialité, au point de devenir plus humains que les mêmes humains évoqués plus haut.

    Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que les seuls personnages parlant que l'on comprend sont les chiens; certaines paroles humaines sont traduites du japonais, sans que ce soit pourtant une majorité. J'aime à croire qu'il y a dans L'Île aux chiens la volonté d'inverser les rôles et de montrer l'homme mauvais, capitaliste comme l'animal destructeur de sa propre humanité (dans le sens où ses intérêts et son but de domination de l'autre le font dégringoler du podium de l'animal conscient et sain vers celui de bête féroce incapable de penser au bien de l'autre, juste à son intérêt personnel).

    Des figures adultes déshumanisées au point d'en changer aussi le peuple, l'espoir de l'humanité de chacun ne dépendant plus que du personnage de l'enfant héros, et de ses fidèles acolytes chiens. Et si l'on pensera au départ que c'est le garçon qui dirige la révolte, c'est au final au personnage du leader des chiens, figure dont je vous cacherai l'identité, que revient le rôle d'élu des foules, protagoniste attachant qui nous réservera un plan final d'une rare beauté.

    Des personnages qui sont d'ailleurs étrangement représentés; outre sa sublime photographie que d'autres évoqueront mieux que moi, on remarquera l'étrange manière qu'a Anderson de les animer, amenant un drôle de mélange entre vie des décors et rigidité des mouvements des personnages. L'Île aux chiens nous laisse l'impression de voir des figures figées dans le temps, qui n'existent que par les actions qu'ils peuvent amener à l'intrigue, sa mise en scène épousant la rigidité de leurs comportements.

    C'est au final si étrange que c'en devient fascinant, et l'on se retrouve à suivre l'histoire sans pouvoir décrocher l'oeil de l'écran, la plupart du temps par peur de rater la moindre image, la moindre couleur, le moindre détail qui pourrait ajouter à l'impression de voir le film de l'année, chef-d'oeuvre intemporel laissant finalement un grand sentiment de claque cosmique. Virtuose et profond, L'Île aux chiens affiche un éclairage, une colorimétrie, un sens de la photographie unique et atypique, offrant une personnalité certaine à cet animé sorti de nul part.

    On regrettera cependant cette conclusion d'intrigue beaucoup trop simple, et le retournement de comportement de notre antagoniste principal, source d'une intrigue qui partait trop loin pour se conclure trop vite. L'on était donc proches du film de 2018, même si L'Île aux chiens peut être considéré comme l'un des plus beaux animés jamais sortis. Sans la facilité scénaristique finale, la claque aurait été véritablement monumentale. Le tout reste cependant génial, et le plan final, comme dit plus haut, fait chaud au coeur. Magnifique.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    591 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2018
    Wes Anderson frappe fort avec son "Ile aux chiens", conte d'anticipation politique et fantaisiste étonnant à l'esthétique asiatique foisonnante, où les personnages principaux à quatre pattes se battent pour leur liberté face à une dictature sans merci dans un Japon futuriste. A l'instar de "Fantastic Mr. Fox", le réalisateur renoue avec la stop-motion pour cette histoire infaisable en prise de vues réelle, sans rentrer dans la case dessin animé, mais en repoussant les limites de ce dispositif singulier. J'avoue avoir été très vite charmé par cet univers visuel riche et dépaysant, où fourmillent détails, idées de mise en scène et références à la culture japonaise. L'originalité est servie à la pelle tant la forme et le contenu nous bousculent de notre zone de confort habituelle : raconter sous forme d'un récit d'aventures canine le drame des populations en exil, c'est quand même un beau coup de maitre ! Néanmoins, dans ce feu d'artifices de singularités, j'ai trouvé le ton global de "L'ile aux chiens" déprimant et monotone. Malgré ce casting vocal cinq étoiles, que ce soit dans version originale (celle que j'ai vu) ou dans la version doublée, les voix se restreignent à un niveau sonore identique qui rend le tout absolument monocorde et sans nuances. Certaines, bien sur, vont à contre-courant mais pas suffisamment pour que ça dynamite l'ensemble. Cette impression entièrement subjective n'a donc pas fait bon ménage sur la durée avec la stop-motion, aplatissant tout et le banalisant en émotions. Ca rend le film vraiment déprimant... Heureusement, l'univers sonore d'Alexandre Desplat est là pour rythmer ces voix drôlement dirigées. Du coup, je crois être passé à côté de l'humour qui semble avoir marqué les critiques. Je me suis donc accroché à cette esthétique sublime, quoique sur la durée, un peu trop envahissante, notamment sur la disposition des nombreux sous-titres. Il faut croire que je n'ai pas su tirer entièrement la joie contagieuse de cette atmosphère injuste et noire. Sans parler de l'écho évident à notre réalité, cette histoire, bien que sublime en tout point, ne m'a simplement pas touché par son intrigue du petit garçon qui a perdu son gentil chien garde du corps dans un monde corrompu. Je chipote mais je me justifierai en plaidant une question de gout et de sensibilité...
    Benito G
    Benito G

    583 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2018
    J'avoue n'être pourtant pas fan du réal... Mais sur ce coup, j'ai été agréablement surpris. Nous voilà devant un conte relativement esthétique et qui change de ce que l'on voit habituellement. On sent une certaine modernité, là ou la BA aurait pu laisser penser le contraire. On est donc devant quelques choses de fantaisiste et en même temps dérangeant par moment, mais tellement humain. Il y a donc, sous ce pitch ; une vraie imagination de la part du réalisateur. Qui ajoute un humour ne tombant pas dans l'excès et jouant avec le code de la poésie tout en finesse. Bref, un plaisir des yeux ou l'on se perdrait presque dans ce Japon réinventé (quelques hommages... Pas spécialement mai pourquoi pas). Il s'agit donc d'une fable que l'on peut qualifier d'anticipation ou même si ressort un coté politique. LE réalisateur arrive à rendre ce qu'il nous montre de drôle, d'émouvant.... Pour conclure, une aventure assez canine pour toute la famille ou humour et implicitement un petit coté politique^^ Mais totalement abordable et savoureux. C'est touchant, ludique et inattendu. Les parents y verront evidemment un peu plus que leurs bambins ; mais ce n'est pas pour autant que les petits n'apprécieront pas cette fable pleine de joie. Du plaisir à l'état pur avec des personnages farfelues et un ensemble qui est remarquable et qu'il fallait oser. Là ou cela aurait pu tomber dans l'excès, le film reste du coté de sa ligne et nous offre un vrai régal pour tout le monde!
    romano31
    romano31

    243 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2018
    Après s'être essayé au film d'animation en 2010 avec le génialissime Fantastic Mr. Fox, Wes Anderson y revient cette année avec L’île aux chiens. Et autant le dire de suite, c'est une nouvelle fois une belle réussite. L'animation est absolument géniale et l'histoire est très prenante. Avec ce film, Wes Anderson nous livre une nouvelle fois un fabuleux conte dont lui seul en a le secret. C'est drôle, touchant, et terriblement bien pensé avec un message on ne peut plus d'actualité. Même si j'ai quand même une petite préférence pour Fantastic Mr. Fox, L’île aux chiens reste un excellent film d’animation qu'il faut absolument découvrir.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    164 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2018
    Wes Anderson, le cinéaste à l'univers bien défini, revient avec un film d'animation suite au très beau succès de Fantastic Mr. Fox. On retrouve la même ambiance, la même technique d'animation, le même style d'histoire des films du cinéaste. C'est très réussi, l'animation étant vraiment excellente. L'histoire est originale et on se laisse séduire par cette quête menée par une petite meute de chiens afin d'aider un garçon à retrouver son fidèle compagnon. Tout est bien ficelé, même si des fois on peut trouver que certaines situations sont un peu trop orchestrées. L'explication des animaux qui parlent et que nous comprenions alors que nous ne comprenons pas les humains est vraiment intéressante et très séduisante. Wes Anderson nous séduit, voire même un peu plus qu'avec ses autres films.
    CH1218
    CH1218

    153 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juillet 2023
    Je reconnais que le packaging (animation stop-motion, culture nippone, musique) est singulier… mais voilà, je n’ai pas vraiment accroché et ne le recommande pas plus que ça en dépit des nombreux avis favorables. En même temps, est-ce que ce film en aurait eu autant s’il n’avait pas été dirigé par Wes Andersen ? J’en suis pas sûr…
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