Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Transfuge
par François Bégaudeau
Un des plus beaux films de l'année.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le film se construit réellement avec ses personnages, et une adéquation se trouve entre leur état et la forme qu’il adopte – longueur profitable des plans, dialogue possible avec celui qui les filme. De cette façon, les abattoirs ne sont pas seulement le lieu infernal d’une tuerie perpétuelle mais aussi un endroit à l’écart du monde, qui sert de caisse de résonance à une parole soudain libérée et libératoire.
Critikat.com
par Marie Gueden
Un riche objet formel qui fait d’un document humain, social un objet esthétique, mais aussi politique et historique s’arrimant au motif du rond-point.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par La Rédaction
Pour voir le film, il faut avoir le cœur bien accroché : à cette condition, oui, c’est du bon cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Chloé Rondeleux
Au fil de plans-séquences très photographiques, les personnages se dévoilent pendant leurs moments de pause, filmés le plus souvent de nuit.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Hassen Ferhani accorde avec grâce les couleurs franches d'un abattoir et la colère moîte de ses occupants.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur fond de raï et entre confidences intimes ou déclarations poétiques, voire frôlant la philosophie, un documentaire âpre mais édifiant sur l'Algérie d'aujourd'hui.
Positif
par Fabien Gaffez
Il parvient à faire vivre devant nous un monde équarri, mais que l'humanité des portraits ouvre au vent des sentiments, parfois des fantasmes, qui vont de coeur à coeur.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Cruel, poétique et saisissant.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) un discours fort, avec des images magnifiées par une photographie splendide.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ce film lent, âpre, n'est assurément pas une partie de plaisir, mais une longue tranche de vie et de mort. D'une intensité assez exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Ferhani arrive à merveille à dédoubler le regard, révéler les paradoxes de cette très étrange coexistence de deux systèmes oppressifs, incommunicables l’un à l’autre : celui des hommes entre eux, celui des hommes et des bêtes ; l’un se filme et s’exorcise par la parole, l’autre se tient juste à côté, sanguinolent, impénétrable.
Première
par Mathias Averty
La métaphore filmée par Hassen Ferhani est puissante, dommage qu’elle ne soit pas filée jusqu’au bout. Les plans sont soignés mais leur monotonie, un brin forcée, plombe cette critique de l’immobilisme politique algérien.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Entre les murs de cet abattoir se mêlent souffrance et désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film est d’abord l’histoire d’une amitié entre un maigrichon et un grassouillet débattant de leurs problèmes amoureux. Ce qu’on appelle une œuvre bon enfant, malgré un contexte qui a priori ne s’y prête pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Transfuge
Un des plus beaux films de l'année.
Cahiers du Cinéma
Le film se construit réellement avec ses personnages, et une adéquation se trouve entre leur état et la forme qu’il adopte – longueur profitable des plans, dialogue possible avec celui qui les filme. De cette façon, les abattoirs ne sont pas seulement le lieu infernal d’une tuerie perpétuelle mais aussi un endroit à l’écart du monde, qui sert de caisse de résonance à une parole soudain libérée et libératoire.
Critikat.com
Un riche objet formel qui fait d’un document humain, social un objet esthétique, mais aussi politique et historique s’arrimant au motif du rond-point.
L'Obs
Pour voir le film, il faut avoir le cœur bien accroché : à cette condition, oui, c’est du bon cinéma.
La Croix
Au fil de plans-séquences très photographiques, les personnages se dévoilent pendant leurs moments de pause, filmés le plus souvent de nuit.
Le Monde
Hassen Ferhani accorde avec grâce les couleurs franches d'un abattoir et la colère moîte de ses occupants.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond de raï et entre confidences intimes ou déclarations poétiques, voire frôlant la philosophie, un documentaire âpre mais édifiant sur l'Algérie d'aujourd'hui.
Positif
Il parvient à faire vivre devant nous un monde équarri, mais que l'humanité des portraits ouvre au vent des sentiments, parfois des fantasmes, qui vont de coeur à coeur.
Studio Ciné Live
Cruel, poétique et saisissant.
aVoir-aLire.com
(...) un discours fort, avec des images magnifiées par une photographie splendide.
Franceinfo Culture
Ce film lent, âpre, n'est assurément pas une partie de plaisir, mais une longue tranche de vie et de mort. D'une intensité assez exceptionnelle.
Les Inrockuptibles
Ferhani arrive à merveille à dédoubler le regard, révéler les paradoxes de cette très étrange coexistence de deux systèmes oppressifs, incommunicables l’un à l’autre : celui des hommes entre eux, celui des hommes et des bêtes ; l’un se filme et s’exorcise par la parole, l’autre se tient juste à côté, sanguinolent, impénétrable.
Première
La métaphore filmée par Hassen Ferhani est puissante, dommage qu’elle ne soit pas filée jusqu’au bout. Les plans sont soignés mais leur monotonie, un brin forcée, plombe cette critique de l’immobilisme politique algérien.
Télérama
Entre les murs de cet abattoir se mêlent souffrance et désespoir.
L'Humanité
Le film est d’abord l’histoire d’une amitié entre un maigrichon et un grassouillet débattant de leurs problèmes amoureux. Ce qu’on appelle une œuvre bon enfant, malgré un contexte qui a priori ne s’y prête pas.