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    Hostiles
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    622 critiques spectateurs

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    cinono1
    cinono1

    254 abonnés 1 985 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2019
    Comme beaucoup de westerns de ces dernières années, Hostiles s'intéresse à la fin des conflits, voire la fin de le violence. Il le fait au travers de son héros incarné par un Christian Bale, toujours convaincant dans les rôles physiques. Le western est un genre idéal pour traiter les questions de la violence, de l'honneur, du bien et du mal. Le film possède une ambiance contemplative, sereine à travers une mise en scène classique et une caméra qui sait se poser (ca nous changes de quelques superproductions). On quitte ce film curieusement apaisé et ouvert sur ce monde que nos enfants nous ont prétés (pour reprendre un diction indien).
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    134 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2018
    Vous souvenez vous du temps où demander à John Wayne de dézinguer des peaux rouges violeurs de pucelles suffisaient à faire un Western ? Une fois de plus ce n'était pas mieux avant. Le genre a évolué et Hollywood a rendu leur humanité aux amérindiens. Mais ce n'est pas le seul atout de Hostiles. Cette traversée sauvage est belle à crever. Le dépaysement est total et la photographie sublimée par des plans au millimètre : le traveling d'entrée, les plans sur les sépultures, la traversée à cheval dans la forêt... C'est beau et ça l'est plus encore grâce à un rythme au service de l'image... disons contemplatif. On peut reprocher à Hostiles cette lenteur comme le coté taiseux voir la tendance à l'emphase mais je trouve que ces caractéristiques contribuent à l'équilibre, l'unité de l’œuvre. D'autant que les rares scènes d'actions sont de qualité. Elles m'ont suffit. Un mot sur Bale qui est un authentique génie : aucune de ses compositions ne se ressemble et il transmet une fois encore une émotion incroyable. Mon seul regret dans Hostiles serait l'absence de rebondissement. La progression physique mais aussi psychologique de notre héros en quête de rédemption le voit s'humaniser et modifier son regard sur l'autre selon un cheminement finalement très classique. Il n'empêche que j'ai vécu avec ces personnages traumatisés un beau et violent voyage dans l'ouest américain. [Merci au modérateur tatillon (ou à l'algorythme automatique) de noter que le terme de "peaux rouges" qui semble m'être reproché est utilisé au second degré].
    ned123
    ned123

    126 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 août 2018
    J'ai vu un film... qui dans la plus grande des traditions des westerns crépusculaires montre des personnages vivant, survivant et mourant dans la wild wild west... et filmé avec une maestria incroyable... Il y a beaucoup de réflexion et de retenue, ainsi que des scènes d'une grande violence. Les premières minutes du film sont incroyables de tensions et de cruauté. La réalisation se veut lente et contemplative de l'âme humaine. Et la tension est tout le temps palpable. C'est un film qui traite de l'humain, avec toute sa complexité, sa diversité des sentiments et la force de ses convictions, qui elles, évoluent dans le temps. Les Indiens, si souvent minimisés, moqués ou dénigrés, dans des productions plus anciennes, sont ici partie-prenantes, et réussissent à faire entendre leur point de vue, dans le désastre qu'ils vivent face à l'avancée inexorable de l'homme blanc. Et on perçoit les états d'âme de ces militaires qui font ce qu'on leur demande, à savoir tuer des Indiens, puis les escorter, enfin les protéger en faisant face à des sentiments contradictoires. Le film brûle l'âme de sa violence...
    shindu77
    shindu77

    73 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Très bon film du début jusqu'à la fin. Les images sont très belles, le casting est excellent, la mise en scène est très efficace et tout cela porté par un scénario de bonne facture. C'est véritablement un film très solide, pas de défaut majeur. Au contraire.
    Rudy M
    Rudy M

    59 abonnés 881 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mars 2018
    Un très grand western, avec des décors somptueux , une histoire dure mais remplie d'humanisme portée par deux acteurs fantastiques que sont Christian Bâle et rosamund pike ! À voir
    iceman7582
    iceman7582

    40 abonnés 1 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2020
    Un western aussi brutal qu'humain. A la fois poignant et profond, le film tourne autour d'un thème fort. Le rythme est lancinant et fascinant a la fois. Contemplatif du début à la fin et toujours sur la retenue, on assiste à un spectacle mentalement intense sur la condition humaine et les croyances de chacun. Cooper signe un western pur et dur comme on en voit rarement. Le casting est superbe et une mention particulière au génial C.Bale qui excelle une fois de plus dans son rôle. A voir et a méditer, tout simplement.
    Dynastar21
    Dynastar21

    24 abonnés 430 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2021
    Deux ans après l'hiver 2016 qui avait vu sortir en France "The Revenant" d'Iñárritu et les Huit salopards de Tarentino, voici donc un nouveau western qui débarquait. Et quelle claque je m'étais pris durant la séance ! Je peux le dire tout de suite, j'avais adoré ce film. Aficionado du genre, je ne m'attendais à rien de particulier et j'en avais été d'autant plus surpris ! Le scénario met en scène le capitaine Joseph Blocker chargé de convoyer le chef Cheyenne Yellow Hawk sur sa terre natale alors qu'il est mourant : seulement voilà, c'est l'un des plus grands ennemis du glorieux capitaine de l'Union - interprété par Christian Bale - qui l'a combattu des années durant. On sent venir le "road-movie" parsemé d'embuches et c'est tant mieux ! Le film est tout d'abord long à se mettre en place et débute dans la violence la plus crue, celle du massacre d'une famille de colons par des Comanches. Le ton est donné, les indiens sont les méchants et les américains sont les gentils, le manichéisme le plus basique se dévoile. Mais heureusement, tout le film s'apparente à un long chemin de rédemption pour les divers protagonistes qui chacun à leur manière, reconnaissent leurs erreurs et apaisent les blessures du passé, tout en arpentant des montagnes et des vallées magnifiques (lieux de tournage en décors naturels dans le Nouveau-Mexique et le Colorado de grande qualité) ; mais néanmoins toujours poursuivis par la violence. Jusqu'à cette dernière fusillade un peu vite expédiée et bâclée, le principal défaut selon moi. La bande originale du film (volontairement très mélancolique mais cependant très jolie) accentue l'impression de nostalgie et de scepticisme d'une époque révolue où la guerre contre les indiens a été un véritable massacre : les hommes qui y ont participé n'en sont pas sortis indemnes. L'interprétation de Christian Bale est d'ailleurs magistrale sur ce point ! Il joue parfaitement bien ce vieux soldat tourmenté et seul au crépuscule de sa vie, qui se cherche un but et qui voit sombrer ses meilleurs amis dans la dépression (cf. Rory Cochrane). Il enterre la hache de guerre avec le chef indien (à noter l'utilisation d'un dialecte indien Cheyenne du Nord, dialecte parlé à plusieurs reprises dans le film) et, la rencontre avec la récente veuve, jouée par Rosamund Pike, lui apporte un nouveau but sur son chemin de croix afin d'essayer de faire le bien ; les autres personnages et leurs psychologies sont un atout indéniable de l'ensemble. L'époque de la modernité et de l'ère industrielle sonne le glas de l'ancien monde (cf. locomotive à vapeur qui emmène nos héros vers la "grande" ville de Chicago et la soit disant "civilisation"). Par cette vision désabusée, le film s'apparente à un western spaghetti où le mythe du far-west est relativisé et partiellement déconstruit. Avec cette démarche, le réalisateur Scott Cooper (qui retrouve C.Bale pour la seconde fois) s'engage dans une voie contemporaine, c'est à dire de démystification de la conquête de l'ouest et d'un certain mea culpa envers les indiens qui ont subi un génocide : cependant il le fait de manière intelligente et proportionnée, sans se flageller à outrance (à contrario de l'époque actuelle où une partie des occidentaux se roulent dans la boue et se positionnent constamment dans l'auto accusation permanente de tout les soi-disant crimes commis au cours de l'histoire). Il donne donc matière à réflexion et livre un long-métrage équilibré où les tords sont partagés, la violence engendrant la violence. Mon humble avis est le suivant : l'Histoire avec un grand H n'est pas un long fleuve tranquille, les civilisations se succèdent, se dominent et puis s'effondrent, n'oublions jamais de recontextualiser.
    En conclusion, ce grand western tragique et fataliste mérite quasiment la note parfaite et intègre la liste de mes films favoris.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 173 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2018
    Christian Bale est le capitaine de cavalerie Joseph Blocker. Nous sommes en 1892 et il est chargé, avec un petit groupe, d’escorter le chef de guerre cheyenne Yellow Hawk sur ses anciennes terres tribales afin qu’il y vive ses derniers jours. Une femme qui vient de voir le massacre de sa famille sous ses yeux, le rejoint sur sa route. Depuis quelques années, nous découvrons des westerns d’un nouveau genre. Plus noirs, plus violents, plus psychologiques et visuellement superbes, ils sont encore d’une rareté précieuse. A l’image de Brimstone de Martin Koolhoven, sorti l’année dernière, ce nouveau long-métrage de Scoot Cooper s’avère tout aussi délicat dans l’attention accordée à sa mise en scène. Les plans et la photographie sont sublimes. S’il n’est pas révolutionnaire, le scénario est merveilleusement bien porté à l’écran. Mais les éloges d’Hostiles vont surtout au casting. Christian Bale aborde un personnage à la fois déchu, porté par les préjugés mais bon. Rosamund Pike dévoile ici sa meilleure performance en laissant évoluer la complexité de son personnage au fil des jours. Wes Studi, Adam Beach ou encore Jesse Plemons ou Ben Foster sont une réelle plus-value à la virilité d’Hostiles. Même le jeune Timothée Chalamet, actuellement dans Lady Bird et Call Me By Your Name, est crédible dans la peau du soldat Dejardin. Hostiles est western qui retient sa douleur dans les silences mais qui sait mesurer ses tensions pour toujours nous captiver et c’est un grand moment de cinéma.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    7eme critique
    7eme critique

    461 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2018
    Avec sa scène d'introduction, "Hostiles" n'y va pas par quatre chemins et annonce la couleur d'entrée de jeu ! C'est le genre de film qui nous accroche instantanément avec un traumatisme parfaitement réaliste et un joli travail quant à la psychologie des personnages.
    Particulièrement riche en émotions, et avec des acteurs impeccables, "Hostiles" vient s'imposer comme un western indispensable de ces dernières années.
    Audrey L
    Audrey L

    552 abonnés 2 424 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2020
    Un capitaine de cavalerie est désigné pour accompagner un chef Cheyenne mourant dans ses terres pour qu'il puisse "passer de l'autre côté" selon ses croyances sacrées, mais les deux hommes ont un passé commun bien sinistre... Ils devront mettre de côté leur haine mutuelle pour traverser les contrées hostiles peuplées de Comanches sanguinaires, aider une jeune mère à faire le deuil de toute sa famille, et convaincre les propriétaires de laisser le Cheyenne reposer sur leurs terres. En mère rendue folle par la douleur, Rosamund Pike donne le frisson, et met la larme à l'oeil avec une sincérité impressionnante. Christian Bale est un parfait "cow-boy" droit dans ses bottes et voulant simplement finir le travail rapidement, son jeu d'acteurs lui permet décidément d'endosser bien des casquettes (chapeaux) différentes. Une bonne surprise parmi les seconds rôles, que cela soit Jesse Plemons (le cavalier haineux) ou Thimothée Chalamet (celui qui aurait dû être trop jeune pour le périple...). Les plans sont souvent d'une beauté et ingéniosité remarquable (les chevaux cadrés au travers d'une porte délabrée, un rayon de soleil qui filtre parmi la poussière...), et finissent de placer Hostiles parmi les très bons westerns. Rosamund Pike crève l'écran dans cette chevauchée infernale.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2021
    Un très bon western avec Christian Biale , Rosamud Pike, Wes Studi , un véritable amérindien. Un petit bijou de cinéma.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    153 abonnés 2 759 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2018
    Hostiles parle de notre nature humaine, mais surtout de l'Amérique et de ses crimes pour la conquête de territoire. Alors que dire de plus que ce qui n'a déjà été dit? Ce western renvoi au pardon. Et c'est là toute sa force, au-delà de ses nombreuses qualité. Un film âpre et lumineux.
    x-worley
    x-worley

    133 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2018
    Un excellent western a la réalisation impeccable avec des scènes d'action vraiment mémorables. Quant a Christian Bale quel acteur, il est(comme a chaque fois) époustouflant dans son rôle.
    videoman29
    videoman29

    204 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2018
    Fan de western depuis toujours, je me suis facilement laissé happer par « Hostiles », signé par le cinéaste Américain Scott Cooper (inconnu par ailleurs). Son film, d'un réalisme étonnant, nous immerge très profondément dans les immensités de l'ouest Américain, plutôt inhospitalières pour l'homme blanc. On y suit le parcours initiatique d'un Capitaine de cavalerie, proche de la retraite et dont la dernière mission est d'accompagner son pire ennemi (le vieux Chef Cheyenne Faucon jaune) vers son territoire natal où il souhaite mourir. Évidemment, le chemin ne se fera pas sans un certain nombre d'accrochages qui rendent le film particulièrement intéressant et agréable à suivre. Au cours de leurs tribulations, les deux protagonistes (judicieusement accompagnés de seconds rôles de grande qualité) devront peut-être revoir leurs positions pour parvenir jusqu'au terme de leur voyage. Doté d'un rythme volontairement lent et contemplatif, ce western est traversé de scènes d'action brutales qui tranchent avec les longues périodes de chevauchées. Il en résulte une œuvre sombre mais particulièrement philosophique dans laquelle de nombreux thèmes universels sont traités avec intelligence. Aventure, spectacle, réflexion et dépaysement sont également au rendez-vous pour nous offrir un très beau moment de cinéma, qui parvient à faire preuve de profondeur tout en restant divertissant... Une indéniable réussite que je vous conseille donc vivement !
    garnierix
    garnierix

    197 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mars 2018
    Les mémoires de Jules César sont dans les mains du capitaine au début et à la fin du film. Pas la Bible, ce n’est bien sûr pas un hasard. La vie de César a été très romaine… Le film aussi. Un soldat lui dit « ça va quand on ne respire pas » (après avoir pris une balle dans la poitrine au cours d’une attaque des Comanches) : c’est exactement notre cas, assis dans notre fauteuil, du début à la fin de ce film. La charge émotionnelle du film est en effet intense ; il s’en passe à tous les niveaux, dans l’action autant que dans les images, dans les paroles autant que dans les silences... Une première raison est qu’il s’agit d’une nouvelle performance de Christian Bale –ce n’est pas la meilleure car toutes ses performances sont excellentes (sauf bien sûr Exodus, la cochonnerie de Ridley Scott millésime 2014). On n’en dit pas plus, c’est le gros intérêt du film. La deuxième raison est que c’est une interrogation sur l’homme. Pourquoi l’homme devient mauvais ? Et sans s’en rendre compte dans la majorité des cas ! Que peut-il faire quand il s’en rend compte ? S’il a la chance (ou le malheur) de s’en rendre compte ! Et pour celui qui ne s’en rend pas compte, que lui reste-t-il ? L’un est accusé de massacre, on va le pendre ; l’autre en a fait autant mais se défend « moi, je faisais mon travail ». L’un dira « vous n’êtes pas celui que je croyais », et de fait, l’un est récupérable, l’autre ne l’est pas. C’est là toute la tragédie du film : on tue par devoir ; on s’accoutume ; on devient assoiffé de sang ; on perd son humanité ; certains se regimbent, d’autres pas… Ces questions nous taraudaient hier et nous taraudent aujourd’hui. Enfin, troisième raison, c’est une histoire des États-Unis, ce coin du monde qui s’est construit dans la douleur, pour ne pas dire la folie, la conquête s’étant faite sur l’extermination des indiens, dont l’Amérique en a fait une épopée ensuite. Le film se passe juste après la fin théorique de la guerre contre les nord-amérindiens (c’est-à-dire leur quasi-génocide). On est aussi, et ça joue un rôle dans le film, 25 ans après la guerre civile (qui avait tué ou blessé presque un million d’américains en quatre ans). C’est toujours bon de ruminer sur ces deux folies… Surtout que Trump règne aujourd’hui, et qu’on rumine encore sur la folie meurtrière. On accusait le diable pour excuser des tueries (car « sans la foi que reste-t-il ? » dit un personnage), comme Trump accuse le diable pour la tuerie de Las Vegas. Plus d’un siècle après l’époque du film (1892), ce que disait D. H. Lawrence de l’américain est toujours actuel –The essential American soul is hard, isolate, stoic, and a killer. It has never yet melted (l’américain, par essence, est dur, solitaire, stoïque, c’est un tueur, et il l’est toujours). Il a écrit ça en 1923. D’ailleurs, la citation est en exergue du film. Mais attention, le film n’est pas que déprimant, ni que violent. Il y a du soleil derrière les nuages. Une fin est curieusement amenée d’ailleurs, dont on ne dira rien, sauf que celui qui part juste après l’avant-dernière image aura vu un tout autre film (la dernière image change tout en effet)… Pour finir, on regrette que Paul Anderson, le Arthur Shelby de Peaky Blinders, n’ait pas un rôle plus central. Quant à Timothée Chalamet, il est un peu comme un cheveu sur la soupe, trop joli pour cette rudesse, d’ailleurs il s’en va vite, ce n’était pas son film.
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