Avis : Dernier train pour Busan - Page 3

Dès la première scène (terriblement efficace), Yeon Sang-ho délivre la clé de son film : une épidémie se prépare et ne va pas tarder à se propager, transformant les gens en zombies façon "28 jours plus tard". Ce qu'il arrivera au monde, nous ne pourrons que le deviner puisque "Dernier train pour Busan" s'attarde, comme son nom l'indique, sur les passagers d'un train en route pour Busan alors que les zombies commencent à proliférer. Il suffira d'une victime mordue montant à bord du train à la dernière minute pour transformer tous les wagons en un véritable carnage, mettant sérieusement à mal les personnages regroupés là pour les besoins du scénario.

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Les zombies sont très populaires ses derniers temps, notamment grâce à la fièvre qui entoure The Walking Dead. Mais cela faisait un moment qu'on n'avait pas vu les zombies véritablement utilisés avec intelligence pour représenter autre chose q'un effet de mode de la pop culture. Alors quand le cinéma Sud-coréen s'attaque au film de zombies à grande échelle, lui qui a détrôné un été aux blockbusters hollywoodiens assez faibles et a offert des pépites tels que The Strangers ou Man on High Heels, on lui prête attention. Surtout que le réalisateur Yeon Sang-ho ne se cache pas d'être un grand fan du cinéma de George Romero et promet d'offrir un revival du genre assez intéressant. Signant en plus son premier film live action, ayant avant ça travaillé que sur de l'animation, il a vraiment la possibilité d'apporter une patte visuelle assez inédite au genre.

L'aspect visuel qui sera d'ailleurs le plus gros intérêt du film, celui-ci se voulant être avant tout une expérience sensorielle plus qu'intellectuelle. Il met le spectateur autant à l'affût que ses personnages et instaure très vite le fait que personne n'est à l'abri pour mieux nous entraîner dans un pur voyage aux sensations fortes. C'est vraiment le plus belle réussite du film, cette maîtrise de la tension constante qui rend certains passages insoutenables où l'on s'accroche à son siège et où l'on s'arrête de respirer. Surtout que le film à une gestion du rythme assez brillante, car après un prologue qui pose ses personnages, il lance la menace et ne s'arrête plus. Les moments pour respirer sont rares et fugaces et le tout s'impose comme une fuite en avant constante mais dans un endroit confiné, mettant en parallèle de manière assez habile, l'urgence de fuir mais aussi l'incapacité de bouger. Les mises en situations sont vraiment originales et rarement vu dans un film de zombies arrivant toujours à se renouveler et à palier l'aspect déjà-vu propre aux genres du zombies pour maintenir l'intérêt du spectateur. Surtout que le tout est vraiment soutenu par une mise en scène impeccable de maîtrise. Yeon Sang-ho sait vraiment ce qu'il fait et instaure de l'inventivité dans chacun de ses plans, sachant tirer le meilleur chez la concurrence notamment dans l'aspect très massif des vagues de zombies qui ne sont pas s'en rappeler World War Z ou en cherchant l'inspiration dans son propre travail dans l'animation. Certaines scènes pourrait être tout droit sorties d'un film animé et cela leurs confères une grâce, une poésie et une élégance qui laisse admiratif. Même si le photographie est peut être un peu trop saturée durant les rares passages en extérieur du train ou que le climax manque un peu de force faute à quelques facilités, le tout est d'une virtuosité qui laisse souvent sans voix.

Après on ne peut pas en dire autant du scénario qui se révèle terriblement classique. Même si on dénote une intention assez louable de critiquer les dérives de la société et de l’égoïsme humain, on reste dans une démarche déjà-vu et qui a déjà été fait avec plus de subtilité ailleurs. On est dans une oeuvre au style très coréen et il y a souvent des lourdeurs dans l'écriture qui transparaît aussi dans le surjeu des acteurs. Ce n'est pas foncièrement dérangeant surtout que dans le contexte du film cela fonctionne assez bien mais parfois cela tombe un peu dans le ridicule. Notamment dans la manière très maladroite de forcer un antagoniste dans le groupe des survivants. Même si l'idée paraît logique, cela est fait de manière bien trop lourde et handicap les intentions du récit. Après on reste dans les codes assez classique du film de zombies, on sait qui va vivre et qui va mourir ce qui fait que le tout est très prévisible. Les personnages sont des stéréotypes assez basiques qui ont une évolution peu surprenante et c'est dommage que le film ne prenne pas autant de risque dans son fond qu'il le fait dans sa forme. Cependant, le fait d'expérimenter les mêmes émotions que les personnages à travers la tension distillée par le film, on arrive à s'intéresser à eux et à s’identifier ce qui fait que l'on est pas totalement laissé sur le touche mais il faut reconnaître que ce ne sont pas des personnages qui nous toucherons véritablement. Le tout manque un peu de traitement par moments, et sacrifie sa dimension politique et humaine au profit d'un spectacle trépidant, ce qui n'est pas un mal mais qui aurait paru moins handicapant si le film ne plaçant pas ici et là des pistes de réflexions plutôt passionnantes mais qu'il n'exploite jamais vraiment.

Busanhaeng est un très bon film. Il s'impose même comme le blockbuster le plus impressionnant et tendu de cet été. Le cinéma Sud-coréen frappe encore une fois très fort et s'impose clairement comme le patron d'un été relativement morne au niveau de la concurrence. Après le film possède pas mal de défauts, étant bien trop ancré dans des mécaniques classiques qui le rendent très vite prévisible tandis que son écriture, sans être mauvaise, et quand même relativement faible. Pourtant, l'oeuvre s'impose comme une expérience sensorielle saisissante qui grâce à sa maîtrise et la virtuosité de sa mise en scène, offre des moments de tensions absolument dingue. Rares sont les films à nous faire vivre une telle détresse et en ça, le film de Yeon Sang-ho s'impose comme une flamboyante réussite. Surtout qu'il s'offre le luxe d'offrir des situations assez inédites pour le genre qui transparaisse d'un poésie et d'un grâce propre au cinéma d'animation. Un tour de force admirable qui est aussi le film de zombies le plus élégant et mémorable de ses dernières années.

"Dernier train pour Busan" restera pour moi un mystère, au moins tout autant que les "cinéphiles" criant au génie en fustigeant les pauvres moutons adorateurs de blockbusters américains. Et pour quelles raisons au juste ? Une critique acerbe de la société ? Des médias ? Un choc émotionnel ? Une puissance lyrique et profonde ? Mais laissez moi rire ! L'unique critère qui pousse les critiques à s'émerveiller de ce métrage n'est autre que sa provenance, s'il n'était pas Sud-Coréen, ce nanar serait passé complétement inaperçu ou aurait été moqué avec virulence par les mêmes qui le portent aux cieux aujourd'hui. Mais quelle mouche a bien pu piquer tout ce beau monde pour s'émouvoir devant ce ramassis de clichés en tous genres, bourré d'incohérences (allez en voilà une pour le plaisir : Miss Machin, enceinte jusqu'aux dents, qui nous courre un 100m façon Usain Bolt ...), et qui plus est extrêmement mal joué ? Ok la pitoyable VF n'arrange rien mais entre nous, les dialogues de base, les scènes et le jeu des acteurs n'ont pas été modifiés en passant la frontière à ce que je sache ! Pour être tout à fait franc, disons que la réalisation est à peu près à la hauteur malgré de beaux ratages mais c'est bien tout ce qu'il y a de positif à sortir de ce bourbier cinématographique, tout le reste est risible au possible, totalement improbable et sur-joué autant que faire se peut. En outre, c'est très long et totalement prévisible et côté émotions, tu peux me sortir tous les violons du monde, impossible d'être touché ici tant l'ensemble parait peu crédible. Ajoutons à cela une atmosphère post apocalypse totalement absente et un manichéisme éhonté et nous voilà devant un beau nanar, malheureusement l'un des trop rares films Sud Coréens dépassant nos frontières pour se hisser jusqu'à nos cinémas. Je dis malheureusement car ce cinéma est capable de créer de tels bijoux au pays du matin calme que je ne pouvais qu'être déçu devant cet énième film de zombies qui n'apporte absolument rien au genre. Oui, un mystère, vraiment ...

Depuis plusieurs années, les coréens talonnent de près Hollywood en terme de blockbusters, thrillers et films policiers et ce *Dernier Train pour Busan* vient en remettre une couche à l'heure où la production de films de zombies se fait plus anecdotique que jamais. En effet, le réalisateur signe là son premier film en prises de vues réelles après une petite carrière dans l'animation et nous offre un véritable spectacle dont l'influence de l'excellent *Snowpiercer* est évidente tout en arrivant à lui créer une identité propre.

On est très vite plongé dans le vif du sujet et il faut bien avouer que le postulat de base se veut très simpliste : "un père se retrouve, avec sa fille, dans un train contaminé par une invasion de zombies (infectés) et fait tout pour survivre." Le fait est qu'il s'agit bien évidemment d'un divertissement mais celui ci réussi, à l'instar d'un *Snowpiercer* pour ne citer que lui, à proposer un spectacle visuel de grande qualité tout en proposant une écriture intelligente, travaillée et traitant en profondeur de la psychologie de ses personnages pour que ce trajet infernal à bord du train soit un véritable moyen pour eux d'évoluer.

Mis à part donc ses qualités d'écriture nous offrant un scénario extrêmement riche, le film possède une véritable esthétique visuelle, la mise en scène étant par moment impressionnante, tant dans le choix des cadres, des focales et dans la gestion de l'espace.

Bref, un film que je conseille grandement, pour les amateurs de zombies ou non, il s'agit d'une valeur sure !

Avec ce film, on atteint des sommets dans ce que peux encore nous offrir le genre. Superbement bien filmé, le réalisateur innove même complètement à certains moments dans sa manière de filmer les hordes de zombies, avec de nombreux plans inédits et bien pensés. Il limite les prises de vue à bord du train, et se contente de centrer sa caméra sur les acteurs présents à l'intérieur et à leur hauteur, nous permet de vivre encore plus intensément les situations, et rend le tout encore plus réaliste. Quasiment aucun temps mort pendant plus d'une heure et demi, même si on pourra regretter quelques dialogues un peu longuet et des réactions de la part des personnages pas toujours crédible ou incompréhensible tant ils peuvent mettre du temps à réagir, dans des moments où justement, il faut réagir rapidement et surtout autrement ! En dehors de cela, c'est une maitrise totale en la matière et la barre est à présent mise très haute pour les autres titres de ce genre à venir. Le rythme lors des scènes d'action est d'une intensité rare, les poursuites sont effrénées, les infectés vraiment angoissants, l'atmosphère étouffante et stressante, l'adrénaline est poussée à plein régime. Les personnages, même si ils ne sont pas tous très bien interprétés on le mérite d'être attachant pour la plupart, et la relation père/fille très touchante. Intense, viscéral, bluffant par certains aspects, angoissant, rythmé, jubilatoire ( car oui, j'ai eu ici tout ce que j'aime voir dans ce genre de film ) et souvent touchant, ce Dernier train pour Bussan ne m'aura pas laissé indifférent !

"Dernier train pour Busan" est un film coréen de genre survival assez inspiré d’œuvres occidentales, notamment "28 semaines plus tard", "28 mois plus tard" et plus récemment "world war Z". On a affaire en effet à un virus contaminant les gens les transformant en une sorte de zombi agressif et très véloce qui contaminent d’autres personnes par la morsure (ça reste très classique). Si les passagers de ce train présentent différents aspects psychologiques de l'atruisme à l'égoisme, on retrouve toute de même des personnages stéréotypés, comme le père délaissant sa famille pour son travail dont le contexte va le rapprocher de sa fille pour devenir un papa héros, le salop de service prêt à sacrifier les autres pour survivre, les teenagers, etc. Il manque à ce film l’atmosphère angoissante que l’on peut trouver dans d’autres films de zombis comme les Romero. Il s’agit plus d’un film d’action, avec l’originalité qu’elle se passe en grande partie dans l’équivalent coréen de notre TGV et que les personnages essaient de survivre sans arme, avec les moyens du bord. Le dernier train pour Busan bénéficie de scènes particulièrement spectaculaires comme les amas de zombis, voire les vagues de zombis assez impressionnantes, certaines transformations avec les contorsions des infectés. L’une des qualités de "Dernier train pour Busan" est surtout son rythme. On ne s’ennuie pas. J'ajouterai même une des scènes de fin très poignante.

Diablement efficace, je ne m'y attendais pas. Un fois lancé, il n'y a presque plus de temps mort. La mise en scène de l'action est très bien gérée, on sent vraiment les impacts et la violence. Les personnages sont assez attachants, en particuliers certains personnages secondaires. Seul le mec qui fait un peu office d'antagoniste fait assez cliché ( dans le sens ou on peut prévoir chacune de ses actions). Le scénario est lui aussi plutôt bien foutu car il ne s'agit pas de dégommé du zombie par paquet de cent, mais de leur survivre ou les évité, le tout dans un train, ce qui demande des idées scénaristiques plutôt poussés. Bref du très bon.

Quand les coréens s'y mettent, ils font les choses bien ! Surtout en matière de cinéma ! Leur ciné étant très souvent plus intéressant que celui d'Hollywood. Ici, ce "dernier train" réussit à faire oublier le raté et friqué "World War Z" avec Brad Pitt ! Le scénario est original et offre quelques idées plutôt sympathiques. Bien sûr, cela reste du cinéma asiatique avec les stéréotypes de là-bas (c'est-à-dire quelques moments larmoyants et certains personnages en faisant de trop) mais qu'importe ! Après un début assez long, histoire de mettre bien en place la situation et la mentalité du perso principal, ça s'enchaine très rapidement et dans un bain de sang sympathique. Suivre les protagonistes passer d'un wagon à un autre rempli de zombies/infectés devient vraiment stressant, tant on s'attache vite à quelques personnages. Le final étant malheureusement un peu prévisible, cela n'altère pas le produit final, on en redemanderai presque même !

En ce triste été 2016 niveau blockbusters le salut semble bien venir de la Corée du Sud. Si « Dernier train pour Busan » n’a pas le côté définitif et magistral de « The Strangers », il impressionne tout autant que lui et se révèle la série B à voir cet été, loin devant toutes les autres. Et dire que ces deux films étaient présentés au festival de Cannes cette année mais hors compétition. Ils auraient sans nul doute trouvé une place de choix dans un palmarès trop consensuel et à côté de la plaque qui ne laisse malheureusement pas vraiment la place aux films de genre.

Le long-métrage ne révolutionne rien dans le film de zombies mais réussit avec brio tous les défis auxquels il semble se mesurer. S’il manque peut-être un peu de saillies réellement gores qui inscriraient « Dernier train pour Busan » dans les sommets du genre horrifique, les zombies sont particulièrement réussis que ce soit pour leurs maquillages comme pour leur façon de se mouvoir : rapide, enragée et déchaînée. A noter également qu’il ne faut pas aller chercher une histoire poussée car le film est avant tout un shoot d’adrénaline qui se vit, un peu comme « Mad Max, Fury Road » l’an passé, dans l’action et le mouvement.

L’originalité est de placer les évènements quasi intégralement dans les wagons d’un train à grande vitesse avec quelques arrêts dans des gares. La claustrophobie inhérente à ce genre d’endroit, notamment lorsqu’ils sont en proie à une menace telle que celle du film, est bien rendue. Et la caméra du metteur en scène, dont c’est le premier film en prises de vue réelles, optimise à merveille cet espace clos et tout en longueur. Les attaques de zombies n’en sont que plus intenses grâce à une mise en scène fluide et ample qui capitalise sur l’espace sans jamais user d’un montage épileptique où l’on n’a le temps de rien voir.

On se souviendra de nombreuses scènes éprouvantes dont trois morceaux de bravoure mémorables (l’arrêt dans la première gare, le passage des wagons entre les zombies et le final sur la locomotive) sur un rythme général qui ne faiblit jamais. Qui plus est, « Dernier train pour Busan » se paie le luxe de fouiller ses personnages un peu plus qu’à l’accoutumée pour une série B en nous offrant une scène finale terriblement émouvante. De plus, une petite réflexion sur l’individualisme et l’égoïsme s’avère tout à fait bienvenue. Des montagnes russes horrifiques qui nous procurent un sacré plaisir.

La Corée du Sud s'était déjà signalé il y a une décennie en signant une flopée de polar furieux, subversifs, techniquement virtuoses et portés par des histoires qui jouaient avec intelligence avec les codes du genre. Alors que la vague zombie a petit à petit cannibalisé une partie de la pop-culture, les voir s'emparer du genre est une bonne nouvelle. Car oui, ça tourne sacrément en rond et le cinéma US mainstream s'avère incapable d'en faire autre chose que des produits de consommation (quand Romero dénonçait cet état de fait via le genre il y a 40 ans !). Voilà donc un petit film spectaculaire, rythmé, éreintant, violent et surtout émouvant qui rue littéralement dans les standards du genre, imposant visuellement son univers en reprenant des éléments existants mais en lorgnant moins sur les effets gore que sur le développement des personnages. On frissonne parfois, on est suspendu à certaines séquences qui démontre une belle virtuosité technique, déployant une imagination visuelle folle pour nous faire vivre une invasion de zombies dans un train puis dans un pays ravagé par une épidémie (le tout avec les manipulations du gouvernement qui vont bien). Le film dit beaucoup de choses sur son pays, l'espèce humaine l(a plupart des persos sont des archétypes et représentent différentes strates de notre société occidentale), c'est furieux et ça contient quelques plans affolants, les acteurs sont bons et spoiler: il n'est pas interdit de verser sa petite larme à la fin
. Grand film ! D'autres critiques sur

On ne le dira jamais assez mais le cinéma coréen est, qualitativement parlant, l'un des meilleurs actuellement et nous offre régulièrement quelques pépites. "Dernier train pour Busan", lui, s'attaque a un genre user jusqu'à la moelle: le film de zombies. On pourrait le définir comme un croisement entre "Snowpiercer" (huis clos dans un train) et "World War Z".
Autant le dire tout de suite, "Dernier train pour Busan" ne révolutionne pas le genre. Le scénario est classique et, à l'instar d'un "WWZ" privilégie l'action à l'horreur. Ne vous attendez donc pas à des scènes de tensions insoutenables ou à du gore à tout va.
Toutefois, ce long métrage se démarque sur plusieurs aspects. Tout d'abord, on y retrouve notamment un style coréen dans la mise en scène qui nous change des habituelles productions anglophones. Enfin, malgré quelques clichés scénaristiques, il est appréciable de voir que même les personnages principaux peuvent être frappé par la mort à tout moment ( spoiler: faisant même de la gamine une orpheline à la fin
). On est loin de la "lisseté" (pour reprendre le néologisme d'Amélie Nothomb) des films hollywoodiens.
Une bouffée d'air frais dans le film de zombies, plaisante, qui mêle le déjà-vu avec quelques nouveautés.

Un petit film d'horreur haletant et inventif qui réussit à être aussi drôle et émouvant. Une réussite.
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Dernier train pour bousin est un surprenant film de zombies. Il possède un bon scénario. Les acteurs en font parfois des tonnes, mais le côté sérieux et dramatique du film rend le film vraiment bon. 4/5

Très bon film de zombies magistralement filmé. Les plans s'enchaînent à une vitesse folle. Le voyage à bord de ce train est long et éprouvant ainsi bien pour les acteurs que le spectateur. Le soulagement arrive vraiment au générique du film qui est vu comme une libération !

Premier long métrage en prise de vue réelle pour le réalisateur qui est un spécialiste du film d'animation. Ce film est d'ailleurs la suite de son dernier film d'animation "Seoul Station" (2016)... Malgré un manque de franc suspense, il y a une certaine tension omniprésente grâce à un rythme effréné. Par contre il use beaucoup trop de facilités et quelques maladresses également dont une pub pour la Wii pas futée. La parfaite équation entre "28 jours plus tard" (2003) de Danny Boyle "Snowpiercer" (2013) de Bong Joon-Ho.