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    Phantom Thread
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    303 critiques spectateurs

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    49 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2018
    Un très bon film sur les relations de couple, l’ambiguïté de l’amour dans tout son splendeur ! 🧡

    Photographie impecable, musique top 👌�

    Daniel Day Lewis très élégant, parfait dans son rôle, Vicky Krieps est magnifique aussi, à l’hauteur !
    Blog Be French
    Blog Be French

    32 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2018
    Phantom Thread, chef-d'oeuvre d'un classicisme à la beauté époustouflante. La musique, composée par Johnny Greenwood, embaume somptueusement les costumes exceptionnels réalisés par Mark Bridges ! Après le très décevant Inherent Vice, Paul Thomas Anderson livre ici un vrai film de cinéaste, avec un réel point de vue dramatique. Le réalisateur prouve encore une fois son talent de conteur avec cette histoire si particulière, coincée entre Mme Bovary et Yves Saint Laurent, sans jamais tomber dans la trivialité. Daniel Day-Lewis est énorme et mériterait amplement l'Oscar du meilleur acteur, tout comme la charmante Vicky Krieps, qui aurait dû accompagner Lesley Manville dans la catégorie Meilleur second rôle féminin ! Phantom Thread est clairement THE MOVIE de ces Oscars 2018 !
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2018
    Rarement un film ne m'a paru aussi parfait que "Phantom Thread" du grand Paul Thomas Anderson. Le cinéaste américaine garde une maîtrise constante de son film, s'appuyant sur une narration simple qu'il illustre et prolonge à merveille à travers des plans marquants qui imprègnent la rétine du spectateur. J'étais véritablement en extase devant la beauté de ce long-métrage où chaque plan jouit d'un splendide travail du cadre et de la photographie qui contribuent à le rendre marquant. Le film se développe petit à petit, posant les bases d'une relation en apparence banale qui prend finalement une tournure inattendue. Pour son dernier rôle, Daniel Day-Lewis est impérial en offrant une prestation de haute volée à l’image de l'ensemble de sa carrière. La belle surprise du film reste la jeune et épatante Vicky Krieps à qui un grand avenir semble promis tant sa performance est impressionnante. Je mentirai en disant que je ne me suis jamais ennuyé devant ce film mais paradoxalement, je pense qu'on ne peut pas lui enlever ne serait-ce qu'une seconde sans briser l'équilibre de l'oeuvre. "Phantom thread" est à ce titre un film à part, un long-métrage compliqué à aborder et qui ne pourra pas plaire à tout le monde mais qui mérite que l'on fasse l'effort de s'y plonger pour en apprécier la magie.
    nicolas t.
    nicolas t.

    54 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2018
    Superbe portrait d'un créateur démiurge. Surement un auto portrait du réalisateur. Touchant et fascinant.
    Mise en scène élégante et inventive, très loin de l'académisme des films d'époque hollywoodiens.
    Daniel Day Lewis est encore une fois génial. Pourvu que ce ne soit pas dernier film !!
    Jean-Patrick Lerendu
    Jean-Patrick Lerendu

    13 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 mars 2018
    Un grand couturier ( Daniel Day-Lewis) a mis en place autour de lui un monde froid et glaçant qui va etre rompu par une petite serveuse ( Vicky Crieps ) qu' il aurait du trouver quelconque. Et ils vont s'aimer follement.
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2018
    On adore Daniel Day Lewis, une fois de plus monstrueux de génie et d'abnégation. Sa jeune partenaire n'est pas en reste, digne et fière elle est belle et bien présente face à son pygmalion transi prisonnier des convenances mais surtout d'une maniaquerie de vieux célibataires associés à l'amour sans concession à son art. C'est sans compter avec sa nouvelle muse, aussi transie que vénéneuse, une mante qu'on ne voit pas venir pour une histoire d'amour unique et troublante. Un grand film lancinant digne d'un thriller psychologique.
    Site : Selenie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2018
    D’une force ! wow!!! 10/10 Acteurs au top, ambiance, atmosphère, décor, tension amoureuse....j’ai adoré, le film étant de plus en plus puissant au fur et à mesure qu’il avance !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 février 2018
    Officiant en tant que metteur en scène, scénariste et directeur de la photographie, Paul Thomas Anderson prend, pour la première fois, la direction artistique quasi-complète d'un film. "Phantom Thread" serait donc le film où la patte de l'excellent cinéaste serait la plus prégnante. En tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'encore une fois, le géniteur du monstrueux "There Will Be Blood" réussit un sacré coup de force.
    Le sujet pourtant (la haute couture) n'est pas un terrain accessible à tous. Pourtant, il permet au réalisateur d'orchestrer une histoire sensationnelle sur le paraître soyeux et charmeur tout en prenant un contre-pieds viscéral, charnel et quasi-repoussant au détour de nombreuses images (en témoigne les nombreux plans sur la nourriture, cette obsession pour le gras ou encore la sueur malade d'un personnage principal qui ne se dévoile qu'un genoux à terre). En cela, "Phantom thread" se place dans l'exacte lignée des films de PTA, un cinéma schizophrène peuplé de personnages complexes qui ne révèle leur vraie nature que lors de fugaces instants.
    Les deux personnages du film sont ici incarnés par l'immense Daniel Day-Lewis (dont ce sera sans doute le dernier film pour le plus grand malheur de tous les cinéphiles de ce bas-monde) et la jeune inconnue Vicky Krieps. Ce choix n'est pas anodin car il permet au cinéaste de tisser un ingénieux rapport de force des liens amoureux entre le génie de la mode, célibataire endurci caché sous des tonnes de tissus luxueux et la jeune serveuse spontanée et naturelle mais plus audacieuse qu'elle n'y paraît. Une véritable relecture du thème de l'amour se met alors en branle et débouche sur un prodigieux final où le réalisateur fait tomber les codes préétablis du sentimentalisme bas de gamme.
    Encore une fois, Paul Thomas Anderson vient nous titiller psychologiquement et ça fait du bien. Mise en scène somptueuse, jeux de lumière flamboyants et direction d'acteurs impeccables ne sont que les supports d'un vaste dessein visant à mettre à jour le plus profond de l'âme humaine. C'est beau, hypnotique et déchirant.
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2018
    La vie est un long fil tranquille

    Abordant une thématique peu récurrente de sa filmographie, Paul Thomas Anderson exploite tout son style et ses influences dans un projet de synthèse surprenant. Il s’agit avant tout d’une rédemption et d’un nouveau départ pour les plus impliqués. L’acteur vedette de « There Will Be Blood » fait ses adieux à la scène, à l’image du styliste qu’il interprète et qui a marqué son temps. Le réalisateur doit également faire la part des choses, respectant ainsi la mûre décision du triple Oscarisé, Daniel Day-Lewis, et il doit préserver un style qui évolue peu dernièrement, mais que ne manque pas d’efficacité.

    Nous assistons à l’éveil d’une chimère. Son élaboration est telle que le duo d’acteur-réalisateur y place une figure caractéristique de leur situation, en conflit avec le métier. L’un souhaite y laisser un fantôme derrière lui et l’autre souhaite rendre hommage à un autre. De ce fait, les deux hommes s’identifient en la personne de Reynolds Woodcock, là où on croise les valeurs de chacun. Anderson dresse alors le portrait d’un styliste des années 50, où Londres frisonne par son talent incontestable. Mais au cœur de la mêlée, il existe une histoire qui suit sa propre temporalité. Le rythme, qu’il soit lent, rapide ou bluffeur dicte notre lecture. Il y aura toujours une place pour tout dans les plans les plus significatifs, mais dans sa globalité, l’œuvre offre un bon équilibre entre l’image et le son. Le cadre, souvent bas et en mouvement, permet d’octroyer un sentiment de proximité dont on connait les ressources. La partition de Jonny Greenwood vient compléter la grâce de chacun de ces plans, très travaillés.

    Alors qu’on s’aventure encore plus loin dans l’aventure, on lève le voile sur les relations qui ont au centre de toutes les discussions. L’amour connecte l’homme à son métier. Il voit en lui une distraction une échappatoire, plus encore un Art. Les coutures et les courbures font partie intégrante de la vie de Reynolds. Rongé par la perfection, son exigence aura bien des limites. S’y frotter le plongera dans une folie émotionnelle intense, c’est pourquoi son caractère impose une concentration maximale. Son univers n’est pas le plus captivant, mais c’est son interaction avec son environnement qui le rend si complexe et touchant. On peut ressentir une force herculéenne en lui, car il ne lâchera pas prise aussi facilement. Il ne s’agit pas de combativité à l’état brut, car on y trouve du contrôle et très peu de faiblesses.

    L’arrivée soudaine d’Alma (Vicky Krieps) dans sa vie lui fera comprendre que son entêtement n’est pas forcément une conduite qui le libèrera de sa condition. Le couturier, avant d’être une machine à rêve, est humain. Il personnalise et respecte ses œuvres qu’il ne cède pas sous la confiance, mais sous une satisfaction personnelle. Il néglige les clients dans leur état d’esprit, il ne voit que leur silhouette, ingrédients qui stimule sa créativité et sa détermination de se surpasser. Alma vient alors à subir un retour glaçant de la part d’un homme qui ne considère que l’enveloppe, sans prêter attention à son contenu. Sa compagne résiste tant bien que mal à lui faire comprendre en quoi l’amour qu’elle éprouve mérite d’être considéré à sa juste valeur. Et comme les enjeux se multiplient très rapidement, cette volonté se prend le revers de l’indécision. Briser les habitudes et les traditions, c’est comme trancher les jambes d’une personne afin de la catégoriser dans une classe sociale isolée et abandonnée. Nous flirtons souvent avec la frontière de l’excès, qu’importe le point de vue. Les dialogues ont un poids conséquent quant à l’état d’esprit adopté. Le réalisateur s’y reconnait quelque part et cette obsession peut s’étendre à d’autres domaines bien plus pointilleux.

    Malgré tout, Reynolds est aussi un mon manager, car l’aide de Cyril (Lesley Manville) est grandement apprécié. Sachant qu’elle occupe un brin d’espace entre sa vie privée et sa vie personnelle, l’atmosphère dépressif peut en surprendre plus d’un. Cependant, lorsque vient le dénouement, toute la gloire explose avec justesse. La grande leçon de cinéma gagne en robustesse au fur et à mesure que l’on avance paisiblement avec des personnages nuancés, sous les draperies qui les séparent. Sur cet exercice de qualité, « Phantom Thread » correspond bien à un film taillé sur mesure pour Day-Lewis. L’élégant éclate et le récit déchire par sa richesse, si bien exposée. Toute la prestance de l’acteur est enfin rendue à son naturel, où la passion rime avec usure et le tout tient sur un fil.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    591 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2018
    Qualifié de chef-d'oeuvre par les critiques, adulé par les spectateurs, je suis sorti de "Phantom Thread" séduit par cette mise en scène rigoureuse autour de cette histoire d'amour vénéneuse mais je n'ai pas trouvé l'ensemble transcendant pour autant. Certes, la réalisation, la photographie, la musique et le jeu d'acteur sont travaillés avec la même minutie qu'une couturière doit avoir pour s'atteler à la dentelle. Cet enjeu constant de perfection se répercute dans toute l'atmosphère appliquée du film. Une sérénité, une élégance ainsi qu'une certaine complaisance se dégagent de ces plans sur-maitrisés, sur-corrigés, parfaits. Au milieu de cet univers réglé au millimètre près s'immisce une histoire d'amour involontaire, imprévue et sinueuse. On assiste alors à l'implosion émotionnelle dans un monde parfaitement contrôlé, qui est celui de la haute couture. C'est dans cet imprévu que réside le génie de "Phantom Thread", dans l'accomplissement des sentiments dans ce quotidien hermétique à toute forme de plaisir. J'ai été gagné progressivement par le jeu de Vicky Krieps, bien plus que par celui de Daniel Day-Lewis, qui, dans sa maitrise parfaite du rôle n'atteint pas les sommets que touchent sa partenaire, inconnue au bataillon pour ma part. Avec ses airs de Meryl Streep jeune, elle véhicule énormément d'émotions et de pensées par sa prestance naturelle et si connectée au présent. Les scènes où elle s'impose sont fortes et témoignent parfaitement de la complexité de nos ressentis dans un amour non-réciproque. Transparente au début, elle nous hypnotise et nous touche progressivement et intensément. Face à elle se trouvent deux artistes d'envergure, Daniel Day Lewis est toujours aussi imprégné de son personnage mais ça manque pour moi d'émotion pour qu'il décroche la statuette. Il en va de même pour Lesley Manville, imperturbable et autoritaire, glaçante mais aimante, dont le jeu se résume à un visage sévère qui ne se laisse pas démonter. La musique est omniprésente, subtile et accompagne ce lieu de raffinement et de classe. Je suis rentré lentement dans cette histoire sans savoir où elle voulait en venir et l'arrivée du personnage d'Alma concentre toute l'intrigue vers des axes contraires à la rigueur de la confection perfectionniste d'une robe. C'est avec séduction mais néanmoins avec distance que j'ai regardé cette histoire d'amour tourmentée, toujours reliée à ce travail d'ombre et de perfection. Les émotions ne m'ont pas bouleversés, le scénario ne m'a pas surpris, et ceci est surement du à la monotonie de l'image, pure et travaillée, ne changeant pas face aux bouleversements intérieurs des personnages. Je vois en "Phantom Thread" un portrait d'amour en filigranes, faites de non-dit et d'actions cachées, passionnant dans ce qu'on se raconte, à contempler comme un joli tableau mais sans réussir à y rentrer totalement, car après tout, ça n'est qu'une image où tout reste à inventer...
    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2018
    Que dire de ce chef d'oeuvre sinon que l'on ressort fascinée par Daniel Day Lewis parce qu'il est beau et qu'il joue tellement bien son rôle! La jeune actrice n'est pas en reste face à lui, ainsi que Lesley Manville qui vient parfaire un très bon scénario! ce trio nous entraine dans leur quotidien et nous donne du grand cinéma!! Bravo rien de plus à dire sinon allez le voir.
    Marcel D
    Marcel D

    99 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2018
    Du grand art, un film comme on n'en fait plus, et pourtant tellement moderne ! Deux acteurs au sommet (dont une petite nouvelle qui ne va pas en rester là !), un film élégant, subtil, qui prend le temps d'installer son univers et son propos. Une superbe histoire d'amour, avec la création en toile de fond. Paul Thomas Anderson en scénariste, réalisateur, chef op' et même producteur... quel talent !
    Jonathan P
    Jonathan P

    59 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2018
    Un nouveau film, de PTA aka Paul Thomas Anderson, se fait désirer dès le lancement du tournage. Il fait partie de ces très grands réalisateurs, que l'on suit attentivement aux files des années. Déjà 7 films au compteur "Boogie Nights" en 1998, "Magnolia" en 2000 avec Tom Cruise, "Punch-drunck love" avec Adam Sandler en 2003. L'immense "There Will Be Blood" avec pour le rôle titre Daniel Day-Lewis qui remportera par la même occasion le second Oscars de sa carrière, en 2008. Et pour finir "The Master" avec Joaquin Phoenix et le regretté Philip Seymour Hoffman. Que l'élégance et la démarche sont belles. Concentré sur sa feuille blanche sûre c'est rituel du quotidien. Il pensait s'affranchir de l'amour, pour éviter que son esprit ne s'obscurcisse dans cette maison où le calme semble indissociable à son apaisement créatif. La suite sur Boulevardducinema.com
    blacktide
    blacktide

    39 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2018
    Dans l'écrin d'un regard, le tissu d'un sourire et la beauté d'un silence, l'exigence de P.T. est un festin sur le fil des baisers à broder.

    J'aimerai pouvoir rendre compte de la puissance que dégage Phantom Thread, mais sa force, son essence réside au sein même de son mystère, de sa grâce, de son insondable étoffe. Ecrire quelque chose dessus fut une tâche des plus complexes mais aussi des plus faciles: toute sa suggestion ne peut qu'alimenter l'imaginaire des mots. Et pourtant, les mots s'échappent encore dans le silence de sa beauté. Car il s'agit bien d'une oeuvre insaisissable, où l'Amour se digère dans la doublure des sentiments, et où son élégant mystère revêt une exigence Hitchcockienne (comme un inversement du "Soupçon"). D'autant plus que son propos est absolument fascinant: une sorte de "Mother" dans sa description de la femme de l'artiste, mais un rapprochement aussi avec le cinéma de James Gray dans sa manière de filmer l'Amour. Encore plus passionnant: cet écho au travail créateur, comme un autoportrait de son acteur et de son réalisateur, atteints du syndrome de la perfection. Haute couture, sans l'ombre d'un doute !
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    149 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 février 2018
    Rapport de dominant à dominée puis inversion des rôles dans le Londres des années 50. Un film boursouflé à l'image des robes du couturier joué par un Daniel Day Lewis en lice vers son 4eme oscar dont le moindre battement de cils semble avoir été sujet à une réflexion sur le jeu d'acteur. Pour le coté brut et la sincérité on repassera ou on ira (surtout) voir ailleurs. Une oeuvre engoncée dans son formalisme et son passéisme, ennuyeuse, plongeant le spectateur dans un bain de naphtaline.
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