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    L'Affaire Roman J.
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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 194 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mars 2018
    Denzel Washington est Roman J. Israel, un avocat idéaliste. Il intègre le grand cabinet de Colin Farrell après le décès de son mentor. Mais il se rend compte que celui-ci met le profit avant l’humain et va tenter de faire entendre sa voix, sans s’engouffrer dans la norme du système. Nous avions été captivés par Night Call et le second long-métrage de Dan Gilroy change totalement de registre. Le réalisateur n’est pas novice au cinéma. Avant de diriger, il écrivait. Ainsi, nous lui devons les scénarios de The Fall, Real Steel, Jason Bourne l’héritage ou encore Kong Skull Island. Nous soulevons ce point car au vu de ce film judiciaire, l’histoire devrait être qualitative. En fait, le scénario de L’Affaire Roman J. est confus et se ressent même dès la première scène. On a ensuite beaucoup de mal à comprendre le ton de l’ensemble. Est-ce un thriller, un drame, une comédie ? Même Denzel Washington avec sa perruque afro ne sait pas sur quel pied danser. Alors qu’il n’est que fictif, ce long-métrage se donne des airs de biopic et rend encore plus instable les bavardages à n’en plus finir.
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    thenewchamp
    thenewchamp

    34 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2018
    C est l'histoire d'un avocat qui mène une vie dans le droit chemin, sans effreindre la loi ... jusqu au jour où toute sa vie va basculer. J'ai pas trop aimé le film il ne se passe pas grand chose et il est assez ennuyeux.
    goupillon
    goupillon

    14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2018
    Film raté. Le scénario se traine ... on comprend assez vite que Roman J. n'a pas de chance dans la vie mais le scénario met les bouchés doubles : totalement lourdiingue ! Puis d'un seul coup, il bascule pour récupérer du fric et se lancer dans une autre vie... pas de chance une superbe Maya est très attirée par l'ancien Roman J. et pas le nouveau. Les quelques autres personnages s'emmerdent graves à être des caricatures de lawyers américains, forcément ambitieux et bien habillés... Bref, changez de salle de cinéma dès que possible !
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    47 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2018
    Vu et avis le 20180323

    Plaisant mais pas très satisfaisant

    Les personnages sont contrastés, plaisants, intéressants. Le film est correctement fait. Chaque lieu son ambiance, bien joué, le film fait bonne impression. Malheureusement il ne raconte pas grand chose, il ne m a pas semblé décoller des constats bien pensants assez primaires.

    C'est caché par des discours un peu énigmatiques qui ne veulent pas vraiment dire quelque chose de précis. Des propos un peu décalés, énigmatiques sur un sujet précis donnent une fausse impression de profondeur qui nous échappe mais lorsque le spectateur s en aperçoit, c est contre productif, il a l'impression d'être floué. Ca a été mon cas.
    A cela s ajoute la relation entre george et roman. Ils ne se connaissent pas, 48h ou 62h plus tard, ils sont déjà de vieux amis et roman devient le confident dont George avait besoin depuis longtemps. C'est très poussif et peu crédible. Tout comme l'entretien d'embauche pour les droits civiques ou la découverte d'avoir de l argent devant soi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 mars 2018
    Un drame judiciaire efficace et intelligent avec un scénario captivant et un Denzel Washington excellent.
    bouddha5962
    bouddha5962

    56 abonnés 712 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2018
    Denzel Washington nous offre un rôle où il excelle dans un domaine juridique où l’éthique n’est pas toujours au rendez-vous.

    La droiture est son mode de pensée et de vie jusqu’au jour où des événements vont bouleverser et remette en cause ces principes fondamentaux.

    Un film réussi et percutant avec des acteurs incarnés.

    Un très bon film.
    Stephenballade
    Stephenballade

    359 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2018
    La première loi de la nature: c’est autour de ça que va graviter le scénario, et plus précisément l’histoire de ce fameux Roman J. Israel Esquire. N’attendez pas de moi que je vous révèle ce qu’est cette première loi de la nature, je préfère vous la laisser découvrir. Je ne vais pas dévoiler ce qui constitue l’essence-même de ce film, quand même ! Par contre, ce que je peux dire, c’est qu’elle constitue la ligne de conduite à laquelle s’accroche le personnage principal, le tournant du film (on le comprendra en fin de film), et… tout le propos du film. Ainsi, "L’affaire Roman J." est un cinéma bavard, très bavard, et en ce sens, ne plaira pas à tout le monde. Et pourtant, je vous promets que le sujet donne sacrément matière à réfléchir. Le plus remarquable dans l’écriture du scénario réside dans le fait que les propos optimistes, idéalistes, voire utopiques sont mis en confrontation directe avec les propos pessimistes. De ce fait, le long métrage de Dan Gilroy ne sera pas accessible à tout le monde, et surtout pas aux enfants. Même les ados risquent fort de ne pas comprendre la réelle profondeur du sujet. Un film à réserver aux adultes, donc. Dans une certaine mesure, c’est dommage. Dommage parce que tout le monde ne pourra pas profiter de la prestation une nouvelle fois magistrale de Denzel Washington. On connait l’immense talent de cet acteur qui à lui seul, est capable de sauver un film du fiasco le plus complet. Les nombreuses récompenses et nominations parlent suffisamment pour lui et témoignent de la qualité de sa filmographie, prestigieuse il faut le reconnaître. Pour ce rôle, il franchit un cap supplémentaire : kilos en trop et chevelure à la Jackson Five sont au menu de sa transformation physique. A cela on rajoute une tenue vestimentaire sortie tout droit des années 70, malgré tout soignée. Et pour couronner le tout, une démarche lourde, quelque peu pataude, accentuée par les grands pas de l’homme. Sa démarche si particulière fait penser à Baloo, l’ours de "Le livre de la jungle" (1967). D’accord, l’acteur a été aidé par le port de chaussures trop grandes. Mais quand même : tenir la distance au niveau de cette démarche si particulière et de ses manies est en soi une vraie performance, surtout si on réfléchit au grand nombre de prises qu’il a dû y avoir. Si encore ça ne s’arrêtait qu’à ça… On dirait que l’acteur ne se contente pas de jouer, même avec la plus grande application. Non, il fait preuve d’une énorme implication. Ainsi, il ne joue pas les personnages, mais il les vit ! Il a toujours les comportements justes, des postures toujours appropriées, une expression scénique inégalable et inégalée. Et c’est encore une fois le cas pour le rôle de Roman J., plus encore qu’à l’accoutumée. Personnellement, j’ai beaucoup apprécié tout ce qui anime ce personnage : cette fausse modestie, les balbutiements qui l’inondent alors qu’il est en prise avec une vive émotion, cette gêne très visible quand il sort de l’ombre alors qu’il n’y était pas préparé. Cet homme effectuait depuis tant d’années un travail d’ombre qu’il est resté coincé dans les années 70, au point d’en paraître anachronique et limite insignifiant, suscitant quelquefois la risée de quelques badauds. Je parle bien entendu de son apparence, et non pas des dossiers qui lui passent entre les mains. Ceux-là, il les connait sur le bout des doigts, tous comme les textes de lois, y compris les plus récents. Mais avant de découvrir cet homme apparemment sorti tout droit d’un coffre hermétique l’empêchant de suivre l’évolution de la mode au cours des nombreuses années passées, le film commence par une intro singulière : un homme qui porte plainte contre lui-même et qui choisit d’assurer sa propre défense. Eh bien les deux heures suivantes vont expliquer comment cette situation qui sort de l’ordinaire a pu arriver. A me lire, vous allez vous dire qu’il n’y a guère que Denzel Washington qui existe. Oui et non. Oui parce que son talent est tel que sa présence est omniprésente. Du coup, les autres rôles ont bien du mal à exister. Et non, il n’y a pas que Denzel Washington qui existe car Colin Farrell et Carmen Ejogo parviennent tout de même à tirer leur épingle du jeu. Si l’actrice réussit à amener à travers Maya un peu de douceur et de sensualité dans ce monde de requins que sont les institutions, Colin Farrell incarne un homme impitoyable, ambitieux, imbu de sa personne. Il rend une copie propre, mais le spectateur n’a pas trop l’occasion de suivre l’évolution de son personnage. Dans un sens, c'est un peu gênant, mais dans l'autre cela permet d'amener une pirouette finale pour le moins inattendue. Enfin on voit cette évolution, mais disons plutôt qu’elle a été survolée. La réalisation de Dan Gilroy est classique, mais efficace. Son film repose presque exclusivement sur les épaules de Denzel Wahington et heureusement que ce dernier est à la hauteur, voire même au-delà des espérances. Ce Roman J., impossible de ne pas le trouver touchant ! Cependant le cinéaste n’a pas réussi à éviter quelques faux raccords. Aaaah lala ! Dan Gilroy a semble-t-il du mal avec la gestion des portes. Un coup elles sont fermées et sur le plan d’après ouvertes (première confrontation entre Denzel Washington et Colin Farrell), un coup inversement (à l’hôpital, baie coulissante restée entrouverte puis sur le plan suivant complètement fermée). Mais qu’importe : cela n’altère en rien la performance de l’acteur afro-américain, ni la qualité de la profondeur du propos, dont le sujet serait un excellent sujet de philosophie. Sans compter que le propos est universel puisque ce sont les institutions qui sont visées, ce qui est pour le spectateur lambda comme moi toujours appréciable, bien que le discours ne s’encombre pas vraiment de cynisme, même le plus édulcoré qui soit. C’est assez bien ressenti, au vu de la psychologie de Roman J., lequel fut porté par l’espoir d’un monde meilleur, ce monde qui inspire (et a de quoi) un brin de fatalisme. Mais le cinéaste nous gratifie tout de même de quelques mises en scène remarquables, comme cette façon de filmer le tournant du film en faisant le tour plusieurs fois autour du personnage principal quand celui-ci se sent plus seul que jamais au beau milieu de nulle part. Si "L’affaire Roman J." n’est et ne sera jamais le film du siècle, il restera tout de même marquant dans la filmographie de Denzel Washington, tout simplement parce que c’est une de ses meilleures prestations dans la peau de cet homme idéaliste, voire utopiste, et ô combien engagé. Alors oui, l'hommage rendu en fin de film est poignant et se passe aisément de commentaires (en l'occurrence de dialogues).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 mars 2018
    Une jolie réflexion sur le sens de la moralité qui nous questionne sur nos propres limites et aspirations.
    Benito G
    Benito G

    598 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2018
    Un film qui nous laisse songeur vis à vis du personnage principal et de nous ; si nous avions vécu cette situation. Mais table avec une bonne brochette d'acteur (pour ne pas les citer). SA dernière production, si je me rappelle était déjà plutôt corrosif (Night Call, si je me rappelle qui valait le coup!). Il nous ressort un film mélangeant un peu de biographie, d'affaire judiciaire, de drame... Mais tout cela à juste mesure. Pour cette fois, il nous révèle les failles du système, fallait il oser (même si le public s'en doute plus ou moins..). Denzel W. est au top en tant qu'autiste et avocat dénuer d'incroyable capacité (enfin plus au niveau du papier que d'un ténor du barreau^^) On a une petite impression d'être bloqué en plein milieu des années 70 ou la satire général du film contrebalance avec une sorte de conte étrange ou l'on aborde la corruption d'un innocent par le monde. Bref, comme on pouvait s'en doutait la machine judiciaire est montré comme forte pour les plus "haut" et broyant les plus petits ; mais tout cela avec une certaine efficacité... Et une lutte de tout les jours.
    DRI75
    DRI75

    9 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2018
    L’idée était bonne, mais la réalisation est d’une médiocrité étonnante…! Rencontres improbables, dialogues surréalistes, … scènes inutiles donnant de la longueur pesante et ennuyeuse, … bruitages plutôt que musiques… Comment de si bons acteurs ont pu accepter un scénario si mauvais. On ne croit rien de ce film.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    111 abonnés 2 335 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2018
    Si le film se voulait à l'image de son héros, c'est-à-dire amphigourique à souhait, eh bien, c'est réussi.
    Requiemovies
    Requiemovies

    188 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2018
    So, comme une évidence, Denzel Washington inonde avec une facilité déconcertante le dernier long-métrage de Dan Gilroy et s’octroie à lui seul l’intérêt principal de L’Affaire Roman J.. Passé ça, cet intéressant mais confus et décousu film social, évoque certes des propositions et sujets intéressants mais mis en scène de la sorte, et porté par une écriture balbutiante, finit par ennuyer. Dommage, car on sent que quelque chose pointait son nez, tiré par le haut par un toujours hallucinant Denzel Washington abonné de plus en plus à des films moyens dans une interprétation XXL. Fort !... Mais insuffisant cette fois. requiemovies.over-blog.com
    this is my movies
    this is my movies

    632 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2018
    Denzel Washington a une carrière bien remplie, une armoire à trophées qui déborde, et pourtant, il lui arrive encore de se lancer des défis. Là, il campe un homme effacé, un homme de l'ombre, brillant certes, mais limite autiste voire sociopathe, bourré de tics, empâté, hésitant. Il mène une vie bien rangée, loin du tumulte des tribunaux, une vie faite de routine et de principes. Passé l'introduction coup de poing, nous allons donc assister à sa lente descente vers son enfer moral, là où les principes ne résistent jamais à une certaine pression. Le thème du film est là, dans le parcours d'un homme qui aura vécu toute sa vie comme un honnête citoyen, qui fait un écart une seule fois, s'éloignant à la fois de ses principes, de la légalité mais aussi de sa conscience, avant de se faire rattraper par son incapacité à endurer cette situation au-delà d'une certaine limite, mais aussi en bute à une société dans laquelle il n'est plus en phase. Il aura beau se transformer, il n'échappera jamais à ce qu'il est. En ce sens, le film est parfois tragique, déployant quelques séquences d'une grande puissance, parfois d'une grande violence, comme une confrontation verbale avec une jeune femme, le tout en restant visuellement assez sage. C'est d'ailleurs l'un des principaux reproche que l'on peut faire à Gilroy, c'est d'être un metteur en scène un peu plat, au style trop classique voire impersonnel, même si on trouve de manière éparse quelques jolis plans et quelques idées. De plus, le montage de son jumeau John Gilroy lui donne un bon rythme, ce qui fait que les deux heures du film s'écoulent plutôt bien. La critique de la société américaine, cette nouvelle société du retour des droits civiques et qui reste pourtant prisonnière de ses démons, cette société là est attaquée de manière frontale par Gilroy, qui en tire un sous-texte acide voire parfois subversif. Le héros se retrouve donc confrontée à deux autres personnages importants, celui de l'avocat qui évolue bien plus haut dans l'échelle sociale, Colin Farrell donc, et une activiste bénévole qui en pince un peu pour notre anti-héros, Carmen Ejogo. Farrell est impeccable, voire plus, dans ce rôle au départ peu aimable, qui a un parcours inverse à celui de Washington. Requin confirmé, il va peu à peu voir son humanité resurgir, changé un peu de philosophie, à force de côtoyer un homme qui a appliqué les principes de leur maître commun (le patron du personnage de Roman a été le prof du personnage de Farrell). Une nomination à l'Oscar du meilleur acteur dans un 2nd rôle n'aura pas été un scandale. Carmen Ejogo est elle aussi parfaite, dans un rôle un peu moins développé, mais qu'elle parvient à rendre touchant, profondément humaine et passionnée. Hélas pour le film, il appartient donc, comme son héros, à un ancien monde, celui où l'on brosse le portrait d'un personnage aux zones d'ombre, aux vraies zones d'ombre j'entends, qui questionne notre propre rapport à une certaine morale, qui pousse la société US faire une profonde auto-critique, un film engagé mais de manière moins voyante que dans les différents produits actuels qui portent leur bonne conscience en bandoulière. Un bon film donc, qui mérite un peu plus qu'un coup d'oeil. Un film qui interroge, qui ne laisse pas indifférent, un film qui n'est pas pour tout le monde et qui pourtant, nous parle à nous, les humains. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    226 abonnés 2 886 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2018
    Un grand coup de chapeau à Mr Denzel Washington !! Quelle performance, quel acteur !! Encore une fois il transperce l'écran et incarne avec génie cet avocat à la fois brillant et minable et moi personnellement j'en ai pris plein les yeux !! Le scénario part lentement pour prendre une tournure inattendue et moi personnellement j'ai totalement été happé par l'histoire !! On passe par tous les sentiments (on s'émeut, on se choque, on ressent pitié, sympathie, antipathie pour le personnage...) et vraiment tout est parfait !! Colin Farrell aussi est brillant dans son rôle d'avocat arriviste et je recommande ce Roman J. Israel, Esq. à tous !! Un vrai moment de bonheur !
    Silence ça tourne
    Silence ça tourne

    17 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2018
    Après l'excellent Night call, Dan Gilroy est de retour à la réalisation avec L'Affaire Roman J. Un nouveau thriller cette fois ci plus dramatique plongé dans la vie d'un avocat. Comme pour son précédent film, il centre sont récit sur un personnage hors du commun, assez marginal. C'est un homme incroyablement brillant, qui ne vit que pour son travail aux idée bien définit mais qui a du mal avec le rapport aux autres et a faire comprendre ses pensées. D'ailleurs son manque d'intégration et la société où l'on vit sera source de tentation, et l'amènera à franchir ses propres idées et ses convictions. Comparé à Night Call, ce film est beaucoup plus sobre visuellement, très ancréer dans la réalité avec une mise en scène certes classique mais qui fonctionne. Elle ne lâche jamais ce personnage atypique, joué magistralement bien par Denzel Washington toujours excellent qui m'avait bluffé l'an dernier dans Fences. Ce rôle lui permet une nouvelle nomination aux oscars. Le film lorgne avec le thriller mais est surtout un drame. Le film est bien construit autant que les idées qu'il veut faire transmettre. Malheureusement, le film tire de trois fois sur la la corde avec des dialogues parfois un peu lourd qui rabaisse l'impact du film. Il aurait mérité d'être plus condensé pour avoir plus de puissance. Ceci dis sa reste un bon film au message bien amené malgré ses longueurs.
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