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dougray
209 abonnés
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3,0
Publiée le 4 avril 2013
La consécration d'un acteur étonnant, Vin Diesel, et d'un personnage d'anti-héros déroutant, Riddick le tueur nyctalope. Le prototype du film à petit budget qui compense son manque de moyens par des idées géniales (la planète plongée dans le noir, les monstres qui sortent la nuit, la mort de personnages sans qu'on s'y attende...) La suite sera moins surprenante mais bien meilleur visuellement.
Un bon film de science-fiction. Non pas que Vin Diesel soit si génial que ça, mais le scénario, l’ambiance et le suspens sont vraiment bien pensés. A conseiller à tous ceux qui aiment ce genre, et à ceux qui ont l’intention de regarder Les Chroniques de Riddick, puisque, bien qu’il ne soit pas nécessaire de regarder Pitch Black pour le comprendre, il faut quand même souligner qu’on retrouve 3 des personnages de Pitch Black dans Les chroniques... A noter que les bestioles ont une bouche à la Alien (mais pas la langue). Comme quoi, il y a des races de bébêtes qui se ressemblent dans l'espace... Claudia Black, alias Vala dans les dernières saisons de Stargate SG-1, est de la partie ici.
Sans être géniale, l'idée de base était suffisamment originale pour donner naissance à une bonne petite série B de SF horrifique un peu dans la lignée d'un "Aliens". La bonne impression est malgré tout fortement atténuée par une multitude d'incohérences, ramenant "Pitch black" au statut de film popcorn.
En laissant de côté son gros côté série B, son montage quasi identique à un clip, ses effets nuémriques de mauvaise qualité et quelques décors en carton pâte, Pitch Black s'avère être au final un bon divertissement qui casse les codes du genre (approfondissement de certains personnages, de l'originalité), en nous offrant de bons moments et des acteurs "sympathiques".
Le film qui a fait connaître son réalisateur au grand public. Avec un pitch de départ alléchant, "Pitch Black" David Twohy réalise un survival à tendance nettement horrifique, qui ne transcende pas les codes du genre mais fait preuve d'une efficacité redoutable. La mise en scène est nerveuse, rapide, sans vrais temps-morts, le scénario va à l'essentiel, ne s'encombrant pas vraiment de détails superflus, et c'est mieux comme ça car le résultat est brute de décoffrage. Le casting n'est pas exceptionnel mais rend crédible l'intrigue (cependant certaines questions resteront sans réponse), les créatures sont plutôt bien faites et la fin n'est pas bâclée (ce qui est souvent le cas dans les films de genre). On a vu mieux mais, quoi qu'il en soit, "Pitch Black" s'en sort toujours avec les honneurs et assume son statut de série B SF/horreur. Que demander de plus ?
Le pitch (black) tient en une ligne : des rescapés d’un crash interstellaire tentent de s’extraire d’un désert plongé dans le noir et infesté de ptérodactyles. Scénario réduit à un ersatz d’Aliens, photo hideuse et acteurs à l’ouest, le deuxième long-métrage de David Twohy, homme d’environ une seule saga, a bien fait de parier Vin Diesel pour sortir de l’oubli. A lui seul l’« acteur » sent plus la testostérone qu’un complet régiment de parachutistes – et il lui faut bien ça pour défendre sa troupe contre la nuée de sauriens grouillants. C’est donc parti pour deux heures d’action musclée frimeuse, réalisée n’importe comment, où tout est prétexte à un combat de coqs ou une démonstration de loyauté. C’est dommage car derrière, l’univers entrevu promet bien quelque chose, avec ses routes astrales et ses planètes inexplorées, son atmosphère de parent de Star trek brutal et glauque, et l’apport des effets numériques quinze d’âge mais qui tiennent encore la cote. Reste que seuls les plus friands de virilité seront réceptifs à la décharge de sueur et de phéromones de ce premier Riddick. Aux autres, prenez garde, à trop lorgner sa montre on risque une tendinite.
3/5 et ça fait 5/10 comme convertisseur qui fera calculatrice 10/20 sur la totalité vue au cinéma, il y a beaucoup d'effort d'encouragement positif, c'est pas mal cette science-fiction interstellaire au système solaire trinaire. Vin Diesel, la révélation Riddick aux lunettes de plongeon en apnée retient correctement son souffle, quand il les enlève, c'est des beaux yeux délicates lentilles de contact que l'on découvre par nos sens visuels.
La nuit lui appartient sur cette planète interdite où des vampires avec plein de références de ses mentors SF, plutôt des Aliens qui pullulent sur place, c'est peu angoissant, on se doute de quelque chose d'intrigant qui se trame à des années-lumière. Un super-personnage mystère prisonnier capable de faire-valoir dans ce film jaune montage photographie mise en scène, attendons pour la transcendance spatio-temporelle philosophie ethno-culturelle sans le chef-d'œuvre à venir.
Malgré peu de moyen David Twohy parvient à être assez inventif pour faire de son film une bonne petite surprise. Grace à un scenario ingénieux et une narration nerveuse ce long-métrage tire son épingle du jeu et fait de Riddick un anti-héro hollywoodien. 13/20
Sympa mais pas plus. Un scénario vu et revu: une poignée d'hommes se retrouvent entourés de monstres dans un milieu hostile, et périssent un par un jusqu'à ce que certains d'entre eux arrivent à survivre... L'univers a le mérite d'exister et le tout se tient relativement bien.
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3,0
Publiée le 14 février 2012
Avant de devenir le hèros de "Fast and Furious" et de "XXX", Vin Diesel, nouveau monsieur Muscle du cinèma amèricain, tient la vedette de ce solide suspense de science-fiction au dècors singulièrement oppressants! Dans le rôle d'un repris de justice dèbrouillard, il aide l'èquipage d'un vaisseau spatial èchouè à survivre sur une planète hostile! Entre tensions factices dans un groupe et rèpliques meurtrières, Diesel, muscles saillants à la personnalitè insaisissable, excelle en anti-hèros roublard et charismatique! C'est une sèrie B nerveuse, divertissante, sans fioritures et visuellement rèussie, un film vivement recommandè aux amateurs de science fiction viril! Suite chronologique de "Pitch Black", "The Chronicles of Riddick" est un deuxième volet encore plus spectaculaire...
Petit thriller horrifique signé par D. Twohy et qui surpris son monde. Tout d'abord, il se frotte au genre casse-gueule du survival SF, mettant aux prises un petit groupe de survivants face à des monstres avides de chair humaine. Prenant pour cadre une planète baignée de lumière (gros travail sur la photo dans le film) avant d'être plongée dans le noir total, le scénario est habile, développant une mythologie ample et installant un héros qui deviendra culte : Riddick. Interprété par un V. Diesel concerné, ce personnage évolue dans une multitude de caractères intéressants, chaque personnage n'étant pas vraiment ce qu'il semble être (la plupart sont même carrément antipathique). Du rythme, du gore, des scènes d'action tendues, des images soignées mais des effets spéciaux pas toujours réussis (dû à un budget un peu short) mais un film de SF plaisant, de la série B bien faite et avec un score d'un G. Revell de retour en forme bref, à voir. D'autres critiques sur
Un film de science fiction qui débarque sans aucun avertissement et qui devient rapidement l'occasion de découvrir un anti héros cultissime à souhait. L'univers, l'intrigue, les combats et les dialogues sont somptueux et rajoutent de l'intensité dans un récit déjà lancer en pleine vitesse. A star is born !!!
Le premier volet comparé au second et nettement moins bien par le manque de moyens et d'effets spéciaux.On aperçoit que le scénario manque d'actions .Un handicap qui pèse mais notre acteur marque son style , c'est déjà ça!
La peur du noir, des monstres dans la nuit... Pitch black nous propose une virée dans nos frayeurs les plus profondes. Après une séquence d'ouverture diablement réussie, le film nous embarque dans un bon suspense, avec des décors superbes et une photographie magnifique. Les acteurs sont au top, et on regrettera juste que le montage s'égare parfois dans une profusion d'images (le clip n'est pas loin). Un bon film.