Avis sur La Chute du président

Un troisième opus un peu en deçà des deux premiers, même s'il fait le job côté action et divertissement. Gégé Butler reste égal à lui-même, très pro, mais la surprise vient surtout de Nick Nolte en papa grincheux coupé du monde et de sa propre famille, très belle surprise même.

Le dernier d'une trilogie qui épuise le filon... une histoire écrite avec de la grosse ficelle. On devine tout dès le début.prestation correcte de Gerard Butler. Nick Nolte fait une belle prestation.

Le réalisateur, Ric Roman Waugh, ne se fatigue pas à rendre crédible le complot, il aligne pendant deux heures dialogues plats et scènes d’action plus ou moins inspirées (on retient l’attaque de drones, on se lasse du shoot’em up à tire-larigot).

Film cheap .... jada smith botoxée, Gerard Butler donutsé. Acting cata.stro.phi.que.
On dirait un film d'action d'il y a 20 ans.
Comme si des français avaient voulu faire un film " comme les américains".

Le plus mauvais du Hollywood, un scénario totalement irréaliste, des acteurs qui surjouent des scènes auxquelles ils n'accordent pas une once de crédibilité, des personnages caricaturaux avec les inévitables torrents de bon sentiments et de politiquement correct.Ce film n'est ni un bon film d'action, très peu de suspens, ni un bon film politique. Ce cinéma est le poison de l'Amérique : son chiffre d'affaires se réalise sur du militantisme people bien pensant Il utilise la politique américaine qu'il caricature, réduit les rôles aux bons (démocrates forcément) (de couleur, bien sur) pacifistes contre les méchants blancs haineux, va t-en guerre, (républicains ça va de soi).

« Ce sont les combats que nous livrons, qui nous définissent. » Après les prenants Olympus Has Fallen et London Has Fallen, on suit le troisième opus des mésaventures de Mike Banning et du Président des Etats-Unis baptisé Angel Has Fallen. Il se veut le plus explosif des trois mais s'avère néanmoins, le spoiler: moins
sanglant de la franchise. On retrouve toutefois tout ce qui constitue l'ADN de ses prédécesseurs : du patriotisme, de la propagande, de la testostérone, un leader en danger et un héros qui ferait tout pour son pays. Ce dernier est toujours campé par un Gerard Butler égal à lui-même. spoiler: Ses supérieurs l'accusent d'un complot qu'il n'a pas commis,
ressemblant à un Mission Impossible ou du dernier Taken de la série. spoiler: Une vraie chasse à l'homme dont Banning retrouvera son père afin de prouver son innocence et ainsi sauver le Président
(cette fois joué par Morgan Freeman)... Une oeuvre qui ne brille guère par son originalité, sur un récit prévisible au possible et des dialogues quelques peu risibles mais le public y va pour les scènes d'action, distrayantes dans l'ensemble spoiler: comme cette attaque de drones.
Malgré une introduction assez longue spoiler: et des passages familiaux/sentimentaux
plombant le rythme, la tension augmente ensuite ! C'est aussi grâce à une bande sonore nettement plus travaillée comparé aux anciens volets. Il y a beaucoup de séquences musclées et de tirs spoiler: mais peu de bagarre...
Ce qui faisait pourtant le charme de la série, spoiler: moins brutal ainsi qu'une absence d'affrontement verbal entre le protagoniste et le vilain...
Exit Fuqua et Najafi, place au cinéaste Ric Roman Waugh, fidèle à ses habitudes, privilégie encore une fois les tons sombres de gris et de noirs. Le réalisateur maîtrise le genre, sans pour autant être transcendant ! spoiler: Aucun plan-séquence ici,
comparé à London Has Fallen mais spoiler: un passage faisant référence au classique avec Harrison Ford - The Fugitive - est à l'honneur dans Angel Has Fallen (quand le héros devient la proie).
La distribution des acteurs fait le nécessaire avec un Morgan Freeman crédible en Président d'Amérique s'appuyant sur des discours appuyés mais obligés... Aaron Eckhart a déclaré forfait et manque quand même dans ce troisième tour parce que la complicité entre lui et Gerard Butler était évidente à l'écran. Danny Huston, Jada Pinkett Smith, Lance Reddick complète ce casting avec l'apparition de Nick Nolte en papa du héros, ajoutant un brin d'humour à ce scénario limité. En bref, Angel Has Fallen est un honnête film d'action à l'américaine remplissant son mandat de divertissement et se révèle cependant, le moins bon des trois. Pour les amateurs en manque d'explosion et de munition, il est fait pour vous !

On prie pour une idée intéressante et originale, qui n'arrive pas. Un film distrayant mais ennuyeux sur la fin. Tout est écrit, ficelé. Pas besoin d'aller au cinéma pour voir ce film, il est déjà sorti un millier de fois avant sous d'autres titres.

Même si j ai vraiment du mal avec Gérard butler, je me suis laissé avoir par la bande annonce et notamment la séquence avec les drones. En fait, j aurai du en rester là... Le reste du film est plat et ce malgré l action et les explosions omniprésentes... Même Morgan Freeman n arrive pas à sauver ce naufrage pyrotechnique. Le scénario tient sur un post it, on ne rentre pas dans le film, on ne ressent pas d émotion, le charisme ou plutôt l absence de charisme du hero y contribue largement. A quand la re.re chute du président

Bon film d'action américain comme on les aime et qui finit bien !
Bonne histoire, bonne morale, grands acteurs, Nick Nolte détonant, gerard butler super héros patriote et Morgan Freeman s'adapte à tous les rôles qu'il incarne.
Film

Nous sommes 3 à avoir beaucoup apprécié ce film. Action réaction du début à la fin. Plutôt bien ficelé même si l'on se doute de certaines choses.

nous avons adoréééééééééééééééééé , dans la même lignée que les autres , vraiment pas déçue, tjr très attractif, plein d'action, on voit pas le temps passé . Je recommande vivement à ceux qui qui aiment l''action :)

Il n’y a pas à dire, les amateurs de films d’action bien construits devraient être satisfaits par le spectacle qu’offre "La chute du Président". D’ailleurs on lit sur l’affiche qu’après "La chute de la Maison Blanche" et "La chute de Londres", celui-ci serait le meilleur des trois. Ma foi, je suis dans l’incapacité totale de dire si c’est effectivement le cas, et ce pour la bonne et simple raison qu’à l’heure où je rédige ces lignes, je n’ai toujours pas vu l'étape londonienne, que j’ai malheureusement manquée. Sacré foutu emploi du temps… En attendant de combler cette lacune, le fait est que "La chute du Président" est distrayant, au point que je n’ai pas vu passer les deux heures. Pourtant, si on regarde la mouture générale du scénario, c’est du déjà-vu. Ben tiens, ce n’est pas la première fois qu’on s’en prend au Président des Etats-Unis pour des raisons diverses et variées, le plus fréquent étant tout de même pour l’aboutissement d’un complot. Même la notion de groupes paramilitaires n’est pas nouvelle en soi, puisque déjà traitée par Michael Bay et son célèbre "13 hours". Cependant, le film se dote de quelques petites nouveautés assez impressionnantes je dois dire. Et quand je dis cela, je pense bien évidemment à l’attaque perpétrée sur le Président et sa garde rapprochée. Perso, je n'avais jamais rien vu de pareil et ai trouvé l'idée géniale, même en sachant qu'avec la technologie d'aujourd'hui, on peut se permettre beaucoup plus de choses qu'auparavant. Seulement il y a une faille : quand on décide de laisser en vie le héros du film, il faut s’attendre à ce qu’il y ait un retour de bâton, en particulier quand celui-ci est plus fort et plus malin que tout le monde, comme d’habitude du reste, ainsi que dans tout film d’action américain qui se respecte. Mais bon, en même temps, le film aurait été très rapidement fini. Peu importe, cela permet de faire entrer en scène un Nick Nolte plus touchant que jamais, et c’est même par lui qu’entre un petit vent de fraîcheur bienvenu malgré sa tenue semblable à celle d’un dernier trappeur fatigué. D’ailleurs, on prend fait et cause très vite pour lui, nous faisant alterner entre émotion et sourire. Et puis l’air de rien, le film se targue d’avoir bouclé la boucle en commençant et en se finissant plus ou moins de la même manière… euuuh sur les scènes d’action, je parle hein. Oui, "La chute du Président" a le mérite de cueillir le spectateur à froid et de le mettre dans le bain tout de suite pour que l’un et l’autre ne se lâchent plus mutuellement. La musique signée David Buckley vient accompagner l’intrigue de façon efficace, surtout quand elle vient renforcer les moments de tension. Les scènes d’action sont très bien faites, très immersives. Elles sont même parfois filmées au plus près, comme c’est le cas dans le SUV, et c’est plutôt bien vu car ça tient compte de l’étroitesse de l’espace que constitue ce véhicule, alors ça crédibilise cette scène. La contrepartie est que la scène perd en lisibilité, et on voit assez mal ce qu’il s’y passe, d’autant que tout va très vite. Le réalisateur peu prolifique Ric Roman Waugh n’a donc rien à envier aux plus grands spécialistes du genre. Après, que dire ? Que les acteurs sont au sommet de leur forme ? Ça oui, je peux vous l’assurer. On connait la combativité hors norme de Gerard Butler formidablement mise en scène dans "300. Danny Huston joue bien le coup également même si on devine assez rapidement que son personnage est impliqué dans cette grosse pagaille. Et personnellement, je suis heureux de retrouver Morgan Freeman dans le genre de rôle qui lui va le mieux : celle du vieux sage, et qui se permet même d'apporter une petite morale. Alors même si "La chute du Président" est un film qui n’offre pas grand-chose de réellement neuf, il réussit à divertir efficacement le spectateur durant deux heures. Ses atouts ? Un rythme soutenu, parfois et judicieusement aéré de quelques moments de répit, un montage impeccable, et surtout… un attachement à certains personnages (les bons) par une description plus poussée. Il se dit que Wade sait tout de Mike, eh bien nous aussi ! Cerise sur le gâteau : la bande-son, absolument énorme !

C'est à mon avis moyen, moyen. Tout est pourtant bien en place, le scénario, les acteurs, les cascades mais il manque un petit quelque chose. Ça ne m'a pas impressionné.

Un navet à l'image de cette trilogie de série B catastrophique. Cela ne vaut même pas la pire saison de 24h chrono. Le scénario est ici catastrophique, il n'y a même pas d'efforts pour rendre ce complot crédible. Les personnages affligeants (genre le vice-président). Morgan Freeman a dû recevoir un bon chèque. Gerard Butler lui, bouffi, a la même tête pendant tout le film: il pense juste au bon chèque qu'il va recevoir en tant que producteur. Le pire ici c'est que certaines scènes d'action sont affligeantes, notamment certaines images de synthèses digne du pire téléfilm. Comme dab ça finit au couteau entre les 2 anciens potes. Ça ne vaut vraiment pas un bon Seagal des années 90.

Dans la série de la chute de quelque chose (de la Maison Blanche, de Londres), celle du Président est une réussite du genre –c’est notamment un exploit de nous tenir en haleine avec une telle quantité d’invraisemblances. Mais il est vrai que les amateurs se moquent des invraisemblances, surtout si elles sont bien ficelées (et c’est le cas). Donc bravo à Gerard Butler, glorificateur de la violence bonne et virile, qui nous distrait deux heures sans faillir. Il ramène sa poire au moment opportun où les politiques nous écœurent, où l’on ne sait pas trop se défendre (lui, si !), et où les super dindons des dernières sorties ciné nous lassent.