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    Les Filles d'Avril
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    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 août 2017
    C'est vraiment une histoire terrible, dramatique, perturbante.
    Une fille de 17 ans est en couple avec son copain du même âge et ils viennent d'avoir un enfant.
    Elle vit avec son copain dans le même logement que sa demi soeur d'environ 28 ans.
    La maman de ces deux jeunes femmes, 45 ans environ, accepte cette maternité.
    Tout le monde au début semble sérieux et normal.
    Le gros souci c'est que la jeune fille de 17 et son copain sont immatures et sont complètement chamboulés par cette naissance et ont du mal à s'occuper convenablement de leur enfant.
    La maman de la jeune fille va prendre les choses en main et tout va déraper.
    Elle va juger que les parents du bébé ne sont pas capables de s'en occuper, elle va s'accaparer l'enfant et comble de l'horreur coucher avec le copain de sa fille (donc le père du bébé).
    Le pire c'est qu'elle va déménager ailleurs avec le bébé et le copain de sa fille qui est consentant.
    Pendant ce temps la jeune fille de 17 ans être complètement dévastée et va tout faire pour retrouver leurs traces et récupérer sa fille.
    C'est vraiment une histoire hallucinante et perturbante.
    Aussi la fin est pénible car spoiler: que ce soit la jeune fille de 17 ans et sa maman de 45 ans, toutes les deux deviennent complètement folles et vont agir de façon terrible et incroyable
    .
    Quoi qu'il en soit, c'est un très bon film prenant, angoissant, captivant.
    ffred
    ffred

    1 499 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 août 2017
    En 2012, Despuès de Lucia avait été, pour moi, l’un des pires films de l’année. Je n’avais donc pas vu le suivant de Michel Franco. En fait, je suis allé voir Les filles d’Avril après en avoir eu de bons échos et ne sachant pas que c’était son nouveau film. Hasard donc. Contre toute attente, j’ai beaucoup aimé. D’entrée, j’ai trouvé cela intriguant. Même si ça part dans le drame familial plutôt gentiment. Lentement, le récit glisse vers quelque chose de plus en plus dérangeant, voir pervers, qui finit par nous glacer le sang. La mise en scène du mexicain est toujours aussi froide, voir austère, mais l’ensemble a quelque chose de très touchant, tout autant qu’effrayant, et en tout cas haletant. Cela monte en puissance jusqu’à un final inattendu et finalement logique. L’interprétation de Emma Suárez (Julieta) est sans faille, elle est vraiment parfaite. Le trio de jeunes acteurs mexicains est au diapason. Ils trouvent tous là leur premier rôle et sont très convaincants. Un film fort donc, parfaitement maitrisé sur tous les plans, d’où on ressort avec un certain malaise. Une bonne surprise et un réalisateur qui remonte dans mon estime.
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 août 2017
    J'ai beaucoup aimé, le film joue dans un registre très original, avec je dois le dire, le souligner, un fait scénaristique peu banal entre les personnages. C'est bien interprété et l'on s'attache aux personnages (ce qui est toujours bon signe). La version originale donne l'occasion de réviser son espagnol. La réalisation assez sobre est quand même soignée et esthétique. le film a un certain rythme, et une belle lumière, mon seul regret étant el manque d'extérieurs sur cette ville mexicaine en bord de mer....Pour conclure, on passe un bon moment de cinéma, avec une situation familiale jamais vue et qui ne manque pas de piquant. A découvrir assez vite, je pense.
    Alice025
    Alice025

    1 514 abonnés 1 304 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2017
    C'est un film assez dérangeant mais qui m'a plu dans sa globalité. Avril, la mère, va venir aider sa fille et son copain, mineurs et qui ont eu un enfant mais sont dépassés par les évènements. La mère va peu à peu s'accaparer l'enfant jusqu'à atteindre un point de non retour, jusqu'à aller dans la malsanité où on comprend qu'elle est tout simplement folle ou névrosée. Alors oui, ça peut surprendre mais c'est très bien réalisé et scénarisé. D'un autre côté, on va suivre le combat de Valéria la fille, qui va tout faire pour récupérer son enfant. De très bons acteur pour une histoire pour le moins, originale.

    cinephile-critique.over-blog.com
    Ufuk K
    Ufuk K

    465 abonnés 1 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2017
    " les filles d'avril " récompensé par le prix du jury dans la sélection un certain regard au dernier festival de cannes est un film deregeant. En effet nous y suivons l'histoire d'avril ( emma suarez ) qui peu à peu va s accaparer de la vie de sa fille. Celle ci est quasi parfaite dans le rôle de la mère psychopathe dans ce drame social prenant.
    Jorik V
    Jorik V

    1 196 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2017
    Première scène déroulant un plan fixe sur un moment de la vie de tous les jours ajouté à une légère tendance à la provocation. On est dans un film de Michel Franco, cinéaste mexicain devenu un habitué du Festival de Cannes et découvert en 2010 avec le tétanisant « Daniel & Ana », où un frère et une sœur sont enlevés et obligés de coucher ensemble. Pas de doute, et on l’a vu avec les films qui ont suivi, le réalisateur aime les sujets chocs et ne fait pas dans la dentelle en évitant toutefois soigneusement de se complaire dans un excès de voyeurisme, mais préférant le réalisme le plus extrême. Ici, il montre que même dans des lieux aussi paradisiaques que Puerto Vallarta se trament les drames humains les plus tordus avec des êtres complètement amoraux. Et pourtant, « Les filles d’Avril » semble être son film le plus doux et psychologiquement le moins difficile, c’est tout dire.

    Michel Franco, dans le choix de ses sujets comme dans sa mise en scène, se rapproche beaucoup d’un autre habitué de la Croisette, en l’occurrence l’autrichien Michael Haneke. Même penchant pour une réalisation proche de l’ascétisme (faite de longs plans fixes ou de légers travellings qui s’éternisent) et absence totale de musique qui assimilent leurs œuvres à des observatoires de la banalité de l’horreur humaine. Cela rend leurs films étouffants et produit en général un certain malaise. Ici, on est toujours captivés par ce qui va se passer, par un dénouement que l’on sent inéluctable et atroce. Mais, ce nouveau film est un peu moins réussi que son œuvre la plus magistrale et définitive, « Despues de Lucia » qui voyait une adolescente se faire harceler par ses camarades et l’engrenage dans lequel son père allait se fourvoyer pour la venger. « Les filles d’Avril » développe quelques longueurs et la fin est trop abrupte, ce qui va beaucoup moins au sujet que sur le film cité précédemment. En effet, on reste sur notre faim quant au sort d’Avril, interprétée avec force par Emma Suarez. Enfin, les problèmes de poids de l’autre fille sont trop vite mis de côté au profit de l’intrigue principale et s’avèrent soit frustrants dans leur absence de traitement, soit de trop.

    Le personnage d’Avril reste assez énigmatique ; il manque en effet de clés de compréhension psychologique. On sent petit à petit que quelque chose cloche chez cette mère mais on ne nous expliquera jamais le pourquoi du comment. C’est un choix qui en vaut un autre et accroît encore le sentiment de danger (et une certaine tension) ressenti par le spectateur pour son entourage. Un personnage de mère castratrice, border line et imprévisible qui fait peur par le côté imprévisible de ses réactions, voire de ses exactions. A nous de nous faire notre propre interprétation. On a droit encore à quelques scènes pas très catholiques voire quelque peu choquantes qui deviennent en quelque sorte une marque de fabrique pour le mexicain et son style inimitable d’Haneke du sud. Elles servent cependant le récit. Qu’on aime ou pas, le cinéaste développe une œuvre intéressante et étouffante sur les dérives de l’âme humaine et ses aspects les plus torturés et pervers. Et pourtant, « Les filles d’Avril » reste certainement son film le plus accessible et dans le compromis, notamment avec une fin relativement clémente. Maîtrisé et puissant, il reste un film à découvrir.
    velocio
    velocio

    1 164 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juillet 2017
    A 38 ans, le réalisateur mexicain Michel Franco peut déjà être considéré comme un vieux routier du Festival de Cannes : ses débuts sur la Croisette datent de 2009, avec "Daniel & Ana", son premier long métrage, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs. En 2012, "Después de Lucía" obtient le Prix du Jury de la sélection Un Certain Regard. En 2015, c’est la consécration avec "Chronic" : sélectionné pour la compétition officielle, ce film obtient le Prix du scénario. Cette année, il était de nouveau à Cannes, dans la sélection Un Certain Regard, avec "Les filles d’Avril", et à la clé, de nouveau, le Prix du Jury.

    C’est avec un sentiment de surprise qu’on entre dans "Les filles d’Avril" : connaissant l’œuvre de Michel Franco, sorte de Haneke mexicain, on s’étonne qu’un tel sentiment de douceur envahisse le début du film. Que lui est-il donc arrivé ? C’est ainsi qu’on rencontre Valeria, une jeune fille de 17 ans qui vit avec sa sœur Carla, une jeune femme neurasthénique dont le seul but dans l’existence semble être de perdre du poids. Détail important : Valeria s’est retrouvée enceinte des œuvres de son petit ami Mateo et le jeune couple a tenu à garder le bébé. Serions nous donc partis vers la peinture gentillette des problèmes rencontrés par un très jeune couple avec l’arrivée inattendue d’un enfant ? Eh bien non, car Michel Franco, visiblement, s’est amusé à nous prendre en traitre et, petit à petit, par touches progressives, il va redevenir le Michel Franco que l’on connait, grâce à l'arrivée d'Avril, la mère de Valeria et de Carla, grâce à la perversité de son comportement : le Michel Franco qu’on aime … ou qu’on n’aime pas !

    L’idée de l’histoire racontée dans "Les filles d’Avril" est venue à Michel Franco de deux observations : tout d’abord, la rencontre dans la rue d’une adolescente enceinte qui lui est apparue comme, à la fois, pleine d’espoir et terrorisée à l’idée d’affronter les conséquences de son futur accouchement ; ensuite, l’observation faite couramment des relations conflictuelles que certains parents ont avec leurs enfants, en particulier lorsqu’ils refusent le fait de vieillir. A partir de ces points de départ, on peut faire confiance à Michel Franco pour construire un film dérangeant sans jamais être glauque, un film qui, jusqu’au bout, va réserver son lot de surprises.

    Michel Franco est un réalisateur qu’on retrouve toujours avec plaisir. Dans "Les filles d’Avril", il commence par nous surprendre en ne montrant que des gens « anormalement normaux » pendant de nombreuses minutes. Mais on ne perdait rien pour attendre et la suite, connaissant l’individu, est à la hauteur de nos espérances, avec une très grande Emma Suárez dans le rôle principal.
    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2017
    L'affiche de Les filles d'Avril est belle et attendrissante : en bord de mer, une femme protège de ses mains le ventre de sa fille enceinte. Image idyllique qui ne s'accorde guère avec la personnalité de Michel Franco, le cinéaste des relations toxiques et du malaise (Daniel & Ana, Despues de Lucia, Chronic). Un cinéaste aussi violent que son compatriote Amat Escalante (La région sauvage) mais d'une manière différente, moins physique et plus psychologique. Les filles d'Avril développe sa toile autour de l'instant maternel (sic) entre une adolescente de 17 ans et sa mère qui l'est sans doute un peu restée dans sa tête (adolescente). Le personnage que joue la magnifique Emma Suarez (la Julieta d'Almodovar) est-il dérangé et monstrueux ou simplement en quête d'amour ? Tout cela à la fois et la narration sèche de Franco, avec de larges ellipses, semblant laisser toute latitude au spectateur de construire sa propre interprétation. La chose est singulière d'ailleurs : cette liberté qui nous est donnée est illusoire étant donné le dispositif narratif arachnéen que le réalisateur a mis en place, transformant peu à peu son film en thriller suffocant, jusqu'à un dénouement acrobatique et ouvert. Le film n'est pas parfait, on peut le trouver d'une austérité trop marquée et parfois déconcertant dans les décisions prises par les différents protagonistes. Et deux personnages, celui du jeune père, terriblement passif, et de la soeur, en surcharge pondérale et quasi mutique, auraient pu être davantage développés. Autant de petits regrets qui ne remettent pas en question l'intérêt de Les filles d'Avril. On évitera juste de parler de plaisir car le tout est indubitablement inconfortable.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2017
    Quadragénaire épanouie, Avril a deux filles qui vivent ensemble dans la maison de vacances qu'elle possède en bord de mer. Elles ont quinze ans d'écart : Clara qu'elle a eue très jeune est complexée par ses kilos en trop, Valeria, dix ans à peine, est enceinte de Mateo que ses parents ont chassé. Le quatuor cohabite en attendant la naissance du bébé.

    Il ne faut pas s'arrêter au résumé que je viens de faire des "Filles d'Avril". Il annonce un film à la Bergman tendance "Cris et chuchotements" : un long huis clos familial entre des femmes qui se déchirent. Il n'en est rien. Car le scénario original de Michel Franco cache des rebondissements étonnants. Ils ne sont pas toujours crédibles ? Qu'importe. Ils vous scotcheront à votre siège. Ils le feront avec d'autant plus d'efficacité qu'ils le feront sans avoir l'air d'y toucher. Aucune théâtralisation. Aucune bande son surdéterminante. une façon unique de jouer avec les temporalités, en allongeant le temps par de brusques ruptures ou en l'étirant dans de longs plans séquences. On dirait du Stephen King filmé par Eric Rohmer.

    Avril est l'héroïne du film. Emma Suarez, une star en Espagne, une quasi-inconnue en France, lui prêt ses traits. Elle est d'une sensualité folle. Mais sa beauté solaire cache bien des failles. "Les Filles d'Avril" dévoile progressivement une mère pathologique, une femme vampirisante. Elle est d'autant plus saisissante qu'elle nous reste quasiment jusqu'au bout sympathique.

    Face à elle, les autres protagonistes en sont réduit à la passivité - au point que l'ultime rebondissement me soit paru incohérent avec le reste du film. Le plus pathétique est Mateo, jeune homme inconsistant, marionnette entre les mains des femmes qui l'instrumentalisent. Valeria est moins passive mais guère plus subtile : c'est une jeune fille qui s'est mis dans les têtes de faire un enfant. Dommage qu'une plus grande place n'ait pas été laissée à Clara, la fille aînée, qui aurait pu jouer un rôle dans le dénouement de l'intrigue.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2017
    Les Filles d’Avril est très certainement le film le plus dérangeant de la compétition Un Certain Regard de Cannes 2017. Ce qui lui vaudra le prix du Jury. En apparence, il nous présente une famille avec ses problèmes comme beaucoup de familles pourraient en avoir. Valeria est enceinte à 17 ans et a décidé de garder le bébé. En soit, rien ne nous choque, car le couple a l’air stable et sain. De plus, sa grande sœur est présente et la soutien. Sa mère aussi est compréhensive, jusqu’à ce que nous apprenions réellement à la connaître… Nous n’avons pas envie de détailler l’histoire, car celle-ci est surprenante de malsanité. Car Avril n’est pas la douce mère que nous pensions. Jalouse et restée bloquée dans une période qui n’est plus la sienne, Avril va s’immiscer peu à peu dans le quotidien de sa fille jusqu’à en franchir la limite. Oubliez le Julieta d’Almodóvar, Emma Suárez vous délivre son rôle le plus cuisant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2017
    Introspection dans une famille bourgeoise mexicaine. Ou presque. Maman espagnol qui sombre peu à peu dans la folie. On est d'abord dans un conflit sociale moderne, une opposition mère-fille complexe, qui laisse présager d'un film choral, où le bon sens y sortirai gagnant. Mais c'est sans compter sur l'étrangeté du cinéaste Michel Franco. Les tournures choisies et l'angle sont vraiment curieux. La détermination de cette maman est difficilement explicable. Le rôle de la grande soeur est complètement abandonné au milieu du film. La cadette elle se voit enterrer par sa propre mère sans justification plausible. Déroutant.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2017
    L’histoire est dérangeante, presque irréelle et pourtant ce genre de situations plus ou moins graduées ne doit pas manquer de peupler des foyers quand la zizanie s’installe autour d’une névrose que d’autres symptômes psychologiques alimentent presque inconsciemment. L’histoire de cette femme qui devant l’incapacité de sa cadette à élever l’enfant qu’elle vient d’avoir avec un compagnon tout aussi jeune (17 ans) prend en charge l’avenir du nourrisson. De manière brutale et inconsidérée, malgré les apparences favorables à cette démarche de prévention. Plutôt que d’en révéler le pourquoi et le comment, il faut laisser le spectateur suivre si possible le réalisateur qui également scénariste double la mise dans l’inconvenance et la cruauté des sentiments ravalés à la folie d’une grand-mère . Redevenue mère , elle efface tout autour d’elle toute possibilité de révolte. Emma Suarez, plus agréable quand elle est la maman de « Julieta » est matrone, mante religieuse insupportable, mais si vraie dans sa recherche d’amour et de certitude.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Domnique T
    Domnique T

    55 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 août 2017
    Ce film est un habile étalage de toutes sortes de psychopathologie et autres névroses ! Une femme quadragénaire autoritaire, manipulatrice, en mal de maternité et mère de deux filles. L’ainée est dépressive, mal dans sa peau et en surcharge pondérale, la cadette de 17 ans est hystérique et incapable d’assumer sa grossesse hâtive à 17 ans. Le père de l’enfant, 17 ans lui aussi est insignifiant et immature. Il n’est pas aidé par des parents non-concernés et autocentrés sur leurs occupations. Reste le père absent de la jeune mère qui n’en a rien « secouer » ! En voilà une belle brochette de névrosés !! Ne doutons pas que la réalité, non moins prodigue que la fiction en histoires tordues, ne recèle des cas semblables. La froideur implacable avec laquelle le réalisateur met ses personnage en scène, ne leur laisse aucune chance … tous tant qu’ils sont étant affligés d’une tare mentale qui semble congénitale ou héréditaire. Déprimant tableau clinique sauvé par le talent de séduction hystérique d’Emma Suarez.
    clamarch
    clamarch

    9 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 août 2017
    Je suis très déçue : l'histoire n'est pas crédible , rien n'est abouti, le comportement pathologique de la mère méritait mieux que cette fin qui n'en est pas une..l'impression qui reste est celle d'un malaise profond sans explication .
    Claude C.
    Claude C.

    4 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 août 2017
    Un récit qui traîne en longueur. rien de convaincant. Fin ouverte, un peu queue de poisson. Très décevant.
    Les meilleurs films de tous les temps
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