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    New York 1997
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    456 critiques spectateurs

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    gizmo129
    gizmo129

    76 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 novembre 2020
    New York 1997 était sûrement un grand film en 1981. 40 ans plus tard, il est affreux. L'idée de départ est pourtant fabuleuse et ouvre la porte à de nombreuses possibilité, la création d'une société parmis les renégats, le cannibalisme pour survivre, une guerre des gangs...Le film ne se contente que d'effleurer ces différents sujets et nous ennuie profondément par son action si souvent absente. Ringard et mal joué, ce film a très mal vieillit. Son concept appelle toutefois à un reboot qui, avec les moyens d'aujourd'hui et un réalisateur ambitieux, aurait de quoi rendre cette histoire attrayante.
    Vrakar
    Vrakar

    34 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2021
    John Carpenter fait partie de ces grands noms de la SF. Pourtant, il n'a été sérieusement considéré qu'au milieu des 90's. Il faut dire qu'avec un film comme "New-York 1997", Big John ne s'était pas facilité la tâche. Tout sauf un film pour le grand public : un anti-héro badass au possible, des personnages secondaires antipathiques et un univers post-apocalyptique malsain. Mais JC assume déjà parfaitement son statut de réalisateur de série B. Son talent fait le reste. A la réalisation, certes, mais aussi pour la B.O mythique.

    Que dire de plus qui n'ait pas été dit sur "NY 97" et Snake Plissken ? Culte.
    gregbox51
    gregbox51

    29 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2024
    Une époque qui sent les premiers balbutiements de l'informatique, des écrans colorés, téléphones à antenne rétractable et faisait rêver. Finalement juste une course contre la montre qui prête presque à sourire...
    Dynastar21
    Dynastar21

    24 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    Un sacré morceau de science-fiction ! Sorti deux ans après le génialissime Max Max (1979) de Georges Miller et un an avant le cultissime Blade Runner (1982) de Ridley Scott, ce "New-York 1997" n'a rien à envier eux deux précédents ! John Carpenter nous livre une "Big Apple" noire et glauque comme jamais dans une dystopie effrayante de folie. Son personnage charismatique joué par un Kurt Russel très en forme, et que découvre le monde avec ce long-métrage, devra affronter la "lie de l'humanité" pour sauver le président américain fortuitement aux mains de ces dangereux malfrats. Snake Plissken devient par la suite le héros nihiliste punk des années 80. Le film, à la manière d'un western spaghetti urbain futuriste porté par cette bande-son électronique si symbolique de cette décennie, devient quant à lui un modèle de film d'anticipation et science-fiction sombre. Le réalisateur à travers celui-là dénonce pêlemêle les états policiers, le pouvoir et la notion de déviance en société. Et pour finir quel grand plaisir de voir en seconds rôles Lee Van Cleef et Ernest Borgnine qui apportent de la densité à l'ensemble.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    17 abonnés 924 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2024
    Je connais peu John Carpenter mais je profite de la présence de quelques films disponibles sur Canal+ pour combler ce manque.

    New-York 1997 fait partie de ces films d'anticipation post-apo des années 80 à l'image des RoboCop, Blade Runner, Soleil Vert et compagnie, représentant un monde incertain, et qui dénonce une certaine image de la société (comme un certain Rambo également). New York est désormais transformée en véritable prison regroupant les pires énergumènes. Il fait sombre, la ville est polluée, glauque et même inquiétante avec des ombres de créatures sortant de nulle part.

    Très rapidement, l'histoire nous présente un personnage assez badass, en la personne de Kurt Russel, alias Snake Plissken, bandeau de pirate sur un œil, lui-même criminel reconnu, chargé d'aller chercher le président des USA au cœur de cet enfer de violence.

    Bon, autant le dire tout de suite, en 2024, ça a vieilli et Carpenter ne devait pas disposer de moyens infinis. Mais, l'argent ne fait pas tout et le film se tient étonnamment bien. Et ça devait être une sacrée claque en 1981. L'ambiance est assez folle, musique y compris.

    Kurt Russell incarne à la perfection ce personnage anti-héros dans l'obligation de réussir sa mission sous peine d'être exécuté.

    Le casting est mine de rien assez costaud avec Lee Van Cleef, Ernest Borgnine ou Donald Pleasence.
    Régis L.
    Régis L.

    8 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2015
    Un excellent film de science-fiction. Kurt Russell interprète le personnage culte Snake Plissken. Donald Pleasence tient le rôle du prédisent des Etats-Unis. Lee van Clef joue l'orgnisateur de la mission de sauvetage. Adrienne Barbeau incarne la femme fatale des années 80.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 209 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2018
    John Carpenter a aussi fait de bons vieux nanars. En 1981, il imaginait que Manhattan devenait une immense prison ghetto où vivaient trois millions de prisonniers en 1997. Victime d’un attentat, l’avion du Président des Etats-Unis s’écrasait dans la ville avec des documents ultra-secrets. Snake, un dangereux criminel est chargé de le sauver en échange de sa grâce, mais ne dispose que de 24h. Dans une ambiance apocalyptique, Carpenter installe un climat anxiogène et punk et offre à Kurt Russel l’occasion de jouer les gros bras. Mais le cinéaste emploi des acteurs secondaires et figurants de mauvaises factures et tout résonne comme une blague. Il n’y a qu’à écouter les bruitages poussifs et les dialogues de mauvais goûts. On fait tous des erreurs, mais on peut apprécier « New York 1997 » avec un second degré.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    620 abonnés 2 716 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2020
    Action movie maîtrisé qui offre un rôle solide à Kurt Russell. La vision dystopique de John Carpenter demeure intéressante et glaçante. Et même si ça manque parfois de profondeur, et que ça a légèrement mal vieilli, c'est parfaitement divertissant.
    Grouchy
    Grouchy

    109 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2016
    Les films futuristes apocalyptiques de plusieurs décennies en jettent plein la vue que les plus récents, c'est dire. Grâce au talent de Carpenter, le décor de New York en ruine, conquis par les criminels, a tout pour être crédible.
    Pas de vaisseaux spatiaux ni de batailles au fusil laser, il y a un mélange entre l'armée à la pointe de la technologie et les bas-fonds qui conservent un style assez rustique. Le scénario et les personnages restent classiques, les interprétations des acteurs retiennent mieux l'attention. La direction artistique est excellente, l'univers de la prison urbaine représenté avec détail et aussi embelli par la lumière dont les couleurs dominantes sont le vert et le bleu. Si ce n'est pas le chef d'oeuvre du cinéaste, ce film d'action est bien fait et une perle pour le genre.
    dagrey1
    dagrey1

    88 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2017
    Suite à une explosion de la criminalité, Manhattan est devenue en 1997 une prison où sont enfermés 3 millions de prisonniers. Victime d'un attentat, l'avion du président s'écrase au beau milieu de cet enfer sur terre.

    On ne présente plus "New York 1997" (Escape from New York) réalisé par John Carpenter en 1981.
    Ce film met en scène Snake Plissken, criminel endurci, chargé de récupérer le président qui se retrouve au mauvais endroit au mauvais moment. Pour être certain qu'il ne prendra pas la "poudre d'escampette", Plissken est équipé d'une charge explosive qui explosera s'il n'accomplit pas sa mission dans les 24 heures.

    Flirtant avec le "second degré", à mi chemin entre le "survival" et le film de "science fiction", "New York 1997" fait partie des films les plus réussis de John Carpenter. Engagé politiquement, le réalisateur avait écrit le scénario du film au milieu des années 70, dénonçant au passage le "scandale du Watergate".

    Le film met en scène un "casting royal": Kurt Russel (Snake Plissken, l'homme au bandeau sur l'oeil), Donald Pleasence (le Président), Issac Hayes (Le Duc de NY), Lee Van Cleef (Bob Hauk) , Harry Dean Stanton (Harry Hellman) et Ernest Borgnine (Le chauffeur de Taxi) sans oublier l'actrice "fétiche" de Carpenter, Adrienne Barbeau (Maggie).

    Comme toujours dans les films de John Carpenter, la bande originale de Carpenter et Howarth est particulièrement soignée.

    Le film a été tourné à une époque où la ville de New York était beaucoup moins "secure" qu'elle ne l'est actuellement. Prenant le sillage de films justifiant l'autodéfense comme "un justicier dans la ville" ou "l'exterminateur, le droit de tuer" très en vogue dans les années 80, même s'il n'en partage pas cette vision conservatrice, le réalisateur prend plaisir à montrer New York comme une jungle où tout peut arriver. Il décrit également un monde cynique dans lequel Plissken, héros malgré lui, n'a que peu de respect pour les autorités qui l'ont utilisé, comme le montrent les dernières images du film.

    Kurt Russel reprendra le rôle dans une séquelle tournée de nouveau par Carpenter, "Los Angeles 2013". Le film "Doomsday" tourné en 2008 par Neil Marshall (The descent, Centurion...) avec Rohna Mithra s'inspire énormément du script de "New York 1997".

    Budget: 6 millions de dollars
    Box office: 25 millions de dollars
    Nico2
    Nico2

    78 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 décembre 2011
    En 1997, Manhattan est devenu une immense île-prison ou trois millions de détenus sont organisés en bandes rivales. A la suite d'un attentat, l'avion du Président des Etats-Unis se crashe dans le pénitencier. Le chargé de sécurité Bob Hauk décide d'envoyer un prisonnier pour le récupérer. Ce détenu s'appelle Snake Plissken. Lâché à l'intérieur, il doit se frayer un chemin en évitant les loubards et les cannibales qui peuplent Manhattan. Snake n'a que quelques heures pour récupérer le président, éviter un incident diplomatique catastrophique et surtout... désamorcer les mini-bombes qu'on lui a implantées dans le corps à son insu. Certes, Manhattan n'est toujours pas devenu une île-prison mais New York 1997 n'en demeure pas moins un film d'aventures efficace et prenant reposant en grande partie sur le charisme de son personnage principal : Snake Plissken, antihéros anarchiste obligé d'aider un système auquel il est opposé en échange d'une remise de peine. Kurt Russell est excellent dans ce qui reste comme son rôle le plus célèbre. Carpenter maîtrise son œuvre comme toujours et soigne particulièrement l'atmosphère, préférant la suggestion pour mieux distiller l'angoisse, mais n'ayant pas peur de donner la part belle à l'action lors de certaines scènes d'anthologie, dont un combat de boxe et une course-poursuite finale mémorables. Carpenter utilise le divertissement pour mieux faire passer un message sur la discrimination sociale et le sécuritarisme sans pour autant paraître lourd. Les seconds rôles ne sont pas en reste : le regretté Isaac Hayes est un méchant original et charismatique et Harry Dean Stanton est excellent comme à son habitude. Divertissant et intelligent à la fois, New York 1997 est un film qui procure beaucoup de plaisir et un film visuellement et artistiquement maîtrisé de bout en bout, confirmant que John Carpenter est définitivement un des plus grands cinéastes de son temps.
    Agnes L.
    Agnes L.

    134 abonnés 1 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2021
    Film d'action qui ne se passe que la nuit. Il faut dire que l'histoire est sombre. L'univers de cette île de Manhattan est transformée en prison où les prisonniers s'organisent et où un noir appelé "Duc" règne sur cette pègre. On suit Snake qui doit récupérer le président des USA qui a été enlevé. Beaucoup d'actions et pas mal de morts, prétexte à suivre une sorte d'héros bad boy. Histoire avec des petits gadgets de science fiction qui rendent le film assez palpitant.
    soulman
    soulman

    70 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2021
    Solide film d'anticipation et belle ambiance concentrationnaire où - sur une musique new wave très datée (composée par Carpenter lui-même) - Kurt Russell déambule avec la suprême coolitude qui le caractérise. Harry Dean Stanton et Lee Van Cleef ne sont pas mal non plus, tous comme les décors d'un New York futuriste et du World Trade Center, prémonitoirement bien esquinté... Le scénario ne révèle cependant que peu de surprises, mise à part l'apparition de notre homme Shaft, à qui le réalisateur aurait été inspiré de commander une musique plus funky.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 750 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2021
    Sorti en 1981, ce film-culte de John Carpenter nous embarque dans une Amérique dystopique et ultra-militarisée, dans laquelle l’île de Manhattan est devenue une prison à ciel ouvert en même temps qu’une zone de non-droit absolue. Le génial Kurt Russell, dans le rôle mythique de l’anti-héros Snake Plissken, est contraint par les autorités de mettre la main sur le président des États-Unis, pris en otage sur l’île suite au crash de son avion. Avec une réelle économie de moyen (assumée ou subie), John Carpenter nous entraîne pendant 1h30 dans ces rues de New-York désolées, sombres et dangereuses, où règnent les rats et les barons locaux du crime, nous offrant une leçon de mise en scène magistrale, qui donne à son New York 1997 (Escape from New York dans son titre original) une atmosphère nihiliste unique.
    Jahro
    Jahro

    45 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2018
    Les films de Carpenter se ressemblent tous, mais sont tous différents. Derrière chaque thème qu’il aborde, chaque menace qu’il brosse, de spectres de pirates en roadster hanté, de virus alien en cauchemar d’auteur, de fantômes chinois en fils de Satan, il y a toujours sa patte, brute, accrocheuse, fauchée, inventive, rustre et pourtant si appliquée. En salles à l’aube des eighties, la même année qu’Evil dead et Au-delà du réel, excusez du peu, le cinquième du metteur en scène reste à ce jour son plus grand succès en France. Il le doit en partie à son budget, enfin correct, mais surtout parce qu’il est le témoin d’un temps, et plus précisément d’un style : si Blade Runner sera bientôt porté aux cimes de la cybernétique, New York 1997 en restera le pendant punk ultime. Sous les arpèges poisseux joués à quatre mains avec son éternel complice Alan Howarth, le réalisateur nous plonge dans l’enfer d’une ville sacrifiée, déserte, en ruines, abandonnée au crime. On parcourt ses rues glauques au milieu d’une meute de prisonniers retournés à l’état sauvage, on devine le corps dirigeant corrompu à l’abri dans ses hautes tours, et puis surtout, on suit ce rude anti-héros tout de cuir qui ne voit que d’un œil et ménage sa salive. Kurt Russel, ex de chez Disney, voulait changer d’image. Il trouve là l’écrin d’or rouillé dont il n’aurait pu rêver.
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